Je me lance dans des essais de focus stacking.
J'ai trouvé 2 logiciels qui le font (gratuits ou pas chers).
Je les ai essayés avec une série de 20 photos.
Je me lance dans des essais de focus stacking.
J'ai trouvé 2 logiciels qui le font (gratuits ou pas chers).
Je les ai essayés avec une série de 20 photos.
Je me lance dans des essais de focus stacking.
J'ai trouvé 2 logiciels qui le font (gratuits ou pas chers).
Je les ai essayés avec une série de 20 photos.
NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis longtemps
le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi mon article sur ce
sujet dans "La pratique du reflex numérique" de René Bouillot, 4ème édition.
p. 446-448.
NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis longtemps
le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi mon article sur ce
sujet dans "La pratique du reflex numérique" de René Bouillot, 4ème édition.
p. 446-448.
NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis longtemps
le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi mon article sur ce
sujet dans "La pratique du reflex numérique" de René Bouillot, 4ème édition.
p. 446-448.
Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :
NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
Le 11/02/2016 11:36, Jean_ a écrit :Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
En fait, aucun investissement n'est indispensable, bien que les solutions de l'ami Jacques Dassié soient tout-à-fait recommandables
et tu peux les suivre sans crainte si tu as l'intention d'y consacrer un peu de temps.
En ce qui me concerne, je pratique l'empilement en macro entièrement à main levée.
Pourquoi à main levée ? Parce que les bestioles que je chasse ne supportent généralement pas de voir toute une installation se
mettre en place : trépied, plateau, APN, flash etc. Elles fichent le camp.
Pour les fleurs, c'est évidemment possible.
A main levée, je me rapproche petit à petit du sujet en prenant des photos successives, mise au point bloquée, ou bien je ne me
déplace pas mais je modifie un peu l'axe de l'appareil pour que l'autofocus se fixe sur des zones différentes. Bien entendu, ces
méthodes changent le cadrage, mais peu importe, le logiciel superpose les bonnes zones, les agrandit ou les réduit pour les
superposer et coupe les excédents à la périphérie de l'image.
Je n'utilise que Combine ZP, gratuit et qui vaut les payants.
Ça donne ça : les 4 images de la périphérie ont été prises en changeant l'axe de prise de vue et la grande photo montre le résultat.
http://www.cjoint.com/doc/16_02/FBlluZeJ1nG_Araign%C3%A9e-empil%C3%A9e-2-001.jpg
Si on regarde à 100% on voit qu'il y a des parties intermédiaires ou extrêmes floues, mais avec un peu de pratique on arrive à des
résultats montrables.
Le 11/02/2016 11:36, Jean_ a écrit :
Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :
NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
En fait, aucun investissement n'est indispensable, bien que les solutions de l'ami Jacques Dassié soient tout-à-fait recommandables
et tu peux les suivre sans crainte si tu as l'intention d'y consacrer un peu de temps.
En ce qui me concerne, je pratique l'empilement en macro entièrement à main levée.
Pourquoi à main levée ? Parce que les bestioles que je chasse ne supportent généralement pas de voir toute une installation se
mettre en place : trépied, plateau, APN, flash etc. Elles fichent le camp.
Pour les fleurs, c'est évidemment possible.
A main levée, je me rapproche petit à petit du sujet en prenant des photos successives, mise au point bloquée, ou bien je ne me
déplace pas mais je modifie un peu l'axe de l'appareil pour que l'autofocus se fixe sur des zones différentes. Bien entendu, ces
méthodes changent le cadrage, mais peu importe, le logiciel superpose les bonnes zones, les agrandit ou les réduit pour les
superposer et coupe les excédents à la périphérie de l'image.
Je n'utilise que Combine ZP, gratuit et qui vaut les payants.
Ça donne ça : les 4 images de la périphérie ont été prises en changeant l'axe de prise de vue et la grande photo montre le résultat.
http://www.cjoint.com/doc/16_02/FBlluZeJ1nG_Araign%C3%A9e-empil%C3%A9e-2-001.jpg
Si on regarde à 100% on voit qu'il y a des parties intermédiaires ou extrêmes floues, mais avec un peu de pratique on arrive à des
résultats montrables.
Le 11/02/2016 11:36, Jean_ a écrit :Jacques DASSIÉ a présenté l'énoncé suivant :NOTA 2016 : Il existe des plateaux automatisés dont on programme les
paramètres de mouvement et toute la prise de vue. J'utilise depuis
longtemps le "Stackingshot" américain. C'est très souple. Voir aussi
mon article sur ce sujet dans "La pratique du reflex numérique" de
René Bouillot, 4ème édition. p. 446-448.
Pour débuter, avant d'investir, j'utilise DigicamControl qui fait varier
la MAP de l'objectif (à condition que celui-ci ait un moteur de MAP, ce
qui est le cas des systèmes autofocus).
En fait, aucun investissement n'est indispensable, bien que les solutions de l'ami Jacques Dassié soient tout-à-fait recommandables
et tu peux les suivre sans crainte si tu as l'intention d'y consacrer un peu de temps.
En ce qui me concerne, je pratique l'empilement en macro entièrement à main levée.
Pourquoi à main levée ? Parce que les bestioles que je chasse ne supportent généralement pas de voir toute une installation se
mettre en place : trépied, plateau, APN, flash etc. Elles fichent le camp.
Pour les fleurs, c'est évidemment possible.
A main levée, je me rapproche petit à petit du sujet en prenant des photos successives, mise au point bloquée, ou bien je ne me
déplace pas mais je modifie un peu l'axe de l'appareil pour que l'autofocus se fixe sur des zones différentes. Bien entendu, ces
méthodes changent le cadrage, mais peu importe, le logiciel superpose les bonnes zones, les agrandit ou les réduit pour les
superposer et coupe les excédents à la périphérie de l'image.
Je n'utilise que Combine ZP, gratuit et qui vaut les payants.
Ça donne ça : les 4 images de la périphérie ont été prises en changeant l'axe de prise de vue et la grande photo montre le résultat.
http://www.cjoint.com/doc/16_02/FBlluZeJ1nG_Araign%C3%A9e-empil%C3%A9e-2-001.jpg
Si on regarde à 100% on voit qu'il y a des parties intermédiaires ou extrêmes floues, mais avec un peu de pratique on arrive à des
résultats montrables.
L'avance entre images dépendra de la dimension axiale du sujet statique. Il
sera nécessaire de prendre plusieurs images, souvent plusieurs dizaines
d'images. Et c'est ce qui déterminera l'avance optimale.
Un exemple appliqué : soit un insecte assez rond, dont la profondeur dans
l'axe de prise de vue est de 13 mm environ. Par mesure de sécurité, nous
souhaitons que la plage de parfaite netteté s'étende sur 15 mm. Pour une
bonne définition du document résultant, nous souhaitons prendre une
cinquantaine d'image.
Cela permet de calculer immédiatement l'avance : 15/50
= 0,3 mm entre chaque image. A nous de repérer à quelle fraction de tour de
la vis de commande cela correspond (1/4 de tour sur plateau "Manfrotto 454").
L'avance entre images dépendra de la dimension axiale du sujet statique. Il
sera nécessaire de prendre plusieurs images, souvent plusieurs dizaines
d'images. Et c'est ce qui déterminera l'avance optimale.
Un exemple appliqué : soit un insecte assez rond, dont la profondeur dans
l'axe de prise de vue est de 13 mm environ. Par mesure de sécurité, nous
souhaitons que la plage de parfaite netteté s'étende sur 15 mm. Pour une
bonne définition du document résultant, nous souhaitons prendre une
cinquantaine d'image.
Cela permet de calculer immédiatement l'avance : 15/50
= 0,3 mm entre chaque image. A nous de repérer à quelle fraction de tour de
la vis de commande cela correspond (1/4 de tour sur plateau "Manfrotto 454").
L'avance entre images dépendra de la dimension axiale du sujet statique. Il
sera nécessaire de prendre plusieurs images, souvent plusieurs dizaines
d'images. Et c'est ce qui déterminera l'avance optimale.
Un exemple appliqué : soit un insecte assez rond, dont la profondeur dans
l'axe de prise de vue est de 13 mm environ. Par mesure de sécurité, nous
souhaitons que la plage de parfaite netteté s'étende sur 15 mm. Pour une
bonne définition du document résultant, nous souhaitons prendre une
cinquantaine d'image.
Cela permet de calculer immédiatement l'avance : 15/50
= 0,3 mm entre chaque image. A nous de repérer à quelle fraction de tour de
la vis de commande cela correspond (1/4 de tour sur plateau "Manfrotto 454").