Bonjour à tous. Je suis l'heureux propriétaire d'un Canon A80 fonctionnant
avec des cartes compact flash.
Je me pose la question suivante : quelle est la différence entre :
- formatter une carte
- effacer toutes les images
Etant donné que formatter va beaucoup plus vite, je suis tenter de formatter
pour effacer toutes les images. Mais cela ne risque-t-il pas d'user la carte
prématurément ?
Je comprend tout ce que vous dites. Mais ça m'amène 2 questions : - est-il nécessaire de formatter un carte compact flash au moins une fois dans son existence ? Oui, les routines d'écriture/lecture sont faites pour travailler dans
une structure préétablie. Si on créait cette structure lors de chaque écriture, ce serait non seulement plus lent, mais très compliqué, imagine le nombre de cas tordus à l'écriture si on efface des images (qui peuvent être de plusieurs tailles) avant d'avoir écrit partout, donc créé une structure complète. Mais le premier formattage peut être fait en usine, donc dans un cas idéal (jamais d'erreur cassant le formattage, cas peu probable IRL), un utilisateur peut ne jamais avoir à le faire.
- une carte compact flash est-elle inusable ? Je pensais que le nombre d'écritures était limité à 100000 comme sur une E-EPROM.
Ben en fait je ne sais pas très bien. Les premières flash qui servaient au BIOS des ordis avaient un nombre de cycles limité (modifications basées sur des forçages de barrière, assimilables à des claquages, donc invalidantes). Pour les cartes mémoire, certaines sont garanties à vie, donc je suppose que leur nombre de cycles est très élevé par rapport à leur usage probable, mais cet usage probable est limité par l'obsolescence: qui voudra encore une carte 256MO aux perfs d'aujourd'hui dans 10 ans ?? Alors, changement de principe de fonctionnement, ou juste calcul économique ? Je n'en sais rien.
Je comprend tout ce que vous dites. Mais ça m'amène 2 questions :
- est-il nécessaire de formatter un carte compact flash au moins une fois
dans son existence ?
Oui, les routines d'écriture/lecture sont faites pour travailler dans
une structure préétablie. Si on créait cette structure lors de chaque
écriture, ce serait non seulement plus lent, mais très compliqué,
imagine le nombre de cas tordus à l'écriture si on efface des images
(qui peuvent être de plusieurs tailles) avant d'avoir écrit partout,
donc créé une structure complète.
Mais le premier formattage peut être fait en usine, donc dans un cas
idéal (jamais d'erreur cassant le formattage, cas peu probable IRL), un
utilisateur peut ne jamais avoir à le faire.
- une carte compact flash est-elle inusable ? Je pensais que le nombre
d'écritures était limité à 100000 comme sur une E-EPROM.
Ben en fait je ne sais pas très bien. Les premières flash qui servaient
au BIOS des ordis avaient un nombre de cycles limité (modifications
basées sur des forçages de barrière, assimilables à des claquages, donc
invalidantes). Pour les cartes mémoire, certaines sont garanties à vie,
donc je suppose que leur nombre de cycles est très élevé par rapport à
leur usage probable, mais cet usage probable est limité par
l'obsolescence: qui voudra encore une carte 256MO aux perfs
d'aujourd'hui dans 10 ans ??
Alors, changement de principe de fonctionnement, ou juste calcul
économique ? Je n'en sais rien.
Je comprend tout ce que vous dites. Mais ça m'amène 2 questions : - est-il nécessaire de formatter un carte compact flash au moins une fois dans son existence ? Oui, les routines d'écriture/lecture sont faites pour travailler dans
une structure préétablie. Si on créait cette structure lors de chaque écriture, ce serait non seulement plus lent, mais très compliqué, imagine le nombre de cas tordus à l'écriture si on efface des images (qui peuvent être de plusieurs tailles) avant d'avoir écrit partout, donc créé une structure complète. Mais le premier formattage peut être fait en usine, donc dans un cas idéal (jamais d'erreur cassant le formattage, cas peu probable IRL), un utilisateur peut ne jamais avoir à le faire.
- une carte compact flash est-elle inusable ? Je pensais que le nombre d'écritures était limité à 100000 comme sur une E-EPROM.
Ben en fait je ne sais pas très bien. Les premières flash qui servaient au BIOS des ordis avaient un nombre de cycles limité (modifications basées sur des forçages de barrière, assimilables à des claquages, donc invalidantes). Pour les cartes mémoire, certaines sont garanties à vie, donc je suppose que leur nombre de cycles est très élevé par rapport à leur usage probable, mais cet usage probable est limité par l'obsolescence: qui voudra encore une carte 256MO aux perfs d'aujourd'hui dans 10 ans ?? Alors, changement de principe de fonctionnement, ou juste calcul économique ? Je n'en sais rien.