Bonjour,
j'ai eu en main de multiples APN, actuellement un G5.
Lorsqu'il y a un fort contraste une partie de l'image est brulée.
Lorsque je faisais du NB argentique je n'avais pas ces soucis.
est ce le fait des numériques?
Bonjour, j'ai eu en main de multiples APN, actuellement un G5. Lorsqu'il y a un fort contraste une partie de l'image est brulée. Lorsque je faisais du NB argentique je n'avais pas ces soucis. est ce le fait des numériques? Y a til une solution?
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia (et la dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
je serais abrupt le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
le traitement du contraste n'intervient il pas après le conversion analogique/numérique ?
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des montagnes", on a toujours un risque de brulé. La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de l'image. -- Daniel
Salut
"Daniel Metz" <daniel@NOSPAMg38.com> a écrit
maurice wrote
Salut
"kima" <zabouraa@ club-internet.fr> a écrit
Bonjour,
j'ai eu en main de multiples APN, actuellement un G5.
Lorsqu'il y a un fort contraste une partie de l'image est brulée.
Lorsque je faisais du NB argentique je n'avais pas ces soucis.
est ce le fait des numériques?
Y a til une solution?
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia (et
la
dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule
utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition
grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
je serais abrupt
le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
le traitement du contraste n'intervient il pas après le conversion
analogique/numérique ?
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des
montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la
dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de
l'image.
--
Daniel
Bonjour, j'ai eu en main de multiples APN, actuellement un G5. Lorsqu'il y a un fort contraste une partie de l'image est brulée. Lorsque je faisais du NB argentique je n'avais pas ces soucis. est ce le fait des numériques? Y a til une solution?
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia (et la dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
je serais abrupt le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
le traitement du contraste n'intervient il pas après le conversion analogique/numérique ?
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des montagnes", on a toujours un risque de brulé. La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de l'image. -- Daniel
Pierre Pallier
Hello, maurice a écrit dans <news:cva6aq$2fn3$
je serais abrupt le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
A la base : oui, éventuellement. Mais heureusement, ça ne dure pas bien longtemps ! :o) -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Hello, maurice a écrit dans <news:cva6aq$2fn3$1@feed.teaser.net>
je serais abrupt
le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
A la base : oui, éventuellement.
Mais heureusement, ça ne dure pas bien longtemps ! :o)
--
Pierre.
Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier>
La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com>
Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
je serais abrupt le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
A la base : oui, éventuellement. Mais heureusement, ça ne dure pas bien longtemps ! :o) -- Pierre. Mes photographies : <URL:http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier> La FAQ de frp : <URL:http://frp.parisv.com> Les news avec 40tude Dialog : http://perso.wanadoo.fr/pierre.pallier/Dialog
Mike
"Daniel Metz" a écrit dans le message de news:
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia (et la
dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de l'image.
-- Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser. On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN) pour les cas où il y a trop de dynamique.
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit dépendre aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en mode JPG.
Mike
"Daniel Metz" <daniel@NOSPAMg38.com> a écrit dans le message de
news:0001HW.BE3E4B23000275C2F0407600@news.nerim.net...
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia
(et la
dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule
utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition
grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des
montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la
dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de
l'image.
--
Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser.
On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN) pour
les cas où il y a trop de dynamique.
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit dépendre
aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en mode JPG.
la lattitude d'exposition d'un numérique est plus reduite que la dia (et la
dia qu'un négatif)
Je serais plus nuancé.
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de l'image.
-- Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser. On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN) pour les cas où il y a trop de dynamique.
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit dépendre aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en mode JPG.
Mike
maurice
Salut
"Pierre Pallier" a écrit
Hello, maurice a écrit
je serais abrupt le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
A la base : oui, éventuellement. Mais heureusement, ça ne dure pas bien longtemps ! :o)
par contre la " quadrichromie de Beyer " passe la barrière analogique/numérique sans ... aucun problème :-)
Salut
"Pierre Pallier" <mon_reply_to@nest-pas.invalid> a écrit
Hello, maurice a écrit
je serais abrupt
le capteur d'un numérique ne serait il pas analogique ?
A la base : oui, éventuellement.
Mais heureusement, ça ne dure pas bien longtemps ! :o)
par contre la " quadrichromie de Beyer " passe
la barrière analogique/numérique sans ... aucun problème :-)
| Du contraste peu aidé, | ou un contraste qui peut aider ?
;)) Ceci étant, on peut aider un contraste peu aidé...
-- ___________________ François AIME http://www.jfcustom.com
nikojorj_jaimepaslapub
Mike wrote:
"Daniel Metz" :
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule
utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition
grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des
montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la
dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de
l'image.
-- Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser. On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN) pour
les cas où il y a trop de dynamique.
Ben, le problème ci-dessus, c'est qu'on est limité par le capteur lui-même qui ne sait pas rendre plus de 6 ou 7 diaphs d'écart dans une image non?
Du coup, la solution, je la verrais plutôt dans un gros "bracketing" de 4 ou 5 diaphs : une vue pour les hautes lumières, une pour les basses, et que personne ne bouge entre les 2 SVP! Et si ça a marché, on assemble après...
En gros, y'a pas de miracle...
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit dépendre
aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en mode JPG.
Le gros avantage du Raw, c'est plutôt dans l'autre sens je dirais : pour garder une bonne richesse de tons alors que l'on augmente le contraste d'une image terne?
Sinon, y'a 1 ou 2 ans Fuji avait sorti un capteur "2 en 1", avec à chaque pixel un gros photosite pour les basses lumières et un petit pour les hautes : ça marche ce truc?
Bonnes photos Nicolas
Mike wrote:
"Daniel Metz" :
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la
pellicule
utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude
d'exposition
grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au
pieds des
montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au
détriment de la
dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en
fonction de
l'image.
--
Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser.
On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN)
pour
les cas où il y a trop de dynamique.
Ben, le problème ci-dessus, c'est qu'on est limité par le capteur
lui-même qui ne sait pas rendre plus de 6 ou 7 diaphs d'écart dans
une image non?
Du coup, la solution, je la verrais plutôt dans un gros "bracketing"
de 4 ou 5 diaphs : une vue pour les hautes lumières, une pour les
basses, et que personne ne bouge entre les 2 SVP! Et si ça a marché,
on assemble après...
En gros, y'a pas de miracle...
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit
dépendre
aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en
mode JPG.
Le gros avantage du Raw, c'est plutôt dans l'autre sens je dirais :
pour garder une bonne richesse de tons alors que l'on augmente le
contraste d'une image terne?
Sinon, y'a 1 ou 2 ans Fuji avait sorti un capteur "2 en 1", avec à
chaque pixel un gros photosite pour les basses lumières et un petit
pour les hautes : ça marche ce truc?
Alors qu'en argentique on subit la lattitude en fonction de la pellicule
utilisée, en numérique on a un vaste choix dans la lattiude d'exposition
grâce au réglage de contrast présent sur la plupart des apn.
Le réglage par défaut cherchant à réduire l'histogramme "au pieds des
montagnes", on a toujours un risque de brulé.
La solution consiste à se doter d'une marge confortable au détriment de la
dynamique et ensuite en post-traitement à faire des choix en fonction de
l'image.
-- Daniel
Intéressante cette réponse. C'est à creuser. On peut envisager un mode usager avec contraste minimal (dans l'APN) pour
les cas où il y a trop de dynamique.
Ben, le problème ci-dessus, c'est qu'on est limité par le capteur lui-même qui ne sait pas rendre plus de 6 ou 7 diaphs d'écart dans une image non?
Du coup, la solution, je la verrais plutôt dans un gros "bracketing" de 4 ou 5 diaphs : une vue pour les hautes lumières, une pour les basses, et que personne ne bouge entre les 2 SVP! Et si ça a marché, on assemble après...
En gros, y'a pas de miracle...
La solution RAW ne serait-elle pas un peu moins risquée? Ça doit dépendre
aussi dans chaque APN des possibilités de réglage du contraste en mode JPG.
Le gros avantage du Raw, c'est plutôt dans l'autre sens je dirais : pour garder une bonne richesse de tons alors que l'on augmente le contraste d'une image terne?
Sinon, y'a 1 ou 2 ans Fuji avait sorti un capteur "2 en 1", avec à chaque pixel un gros photosite pour les basses lumières et un petit pour les hautes : ça marche ce truc?