Voila je suis entrein de passer Purify sur mon application. Purify
m'indique qu'il y'a des fuites de m=E9moires importante mais pas dans
mon code, voici quelques lignes de Purify :
[I] MPK: Potential memory leak of 1548288 bytes from 18 blocks
allocated in PeekMessageA [USER32.dll]
[W] MLK: Memory leak of 589824 bytes from 28 blocks allocated in
PeekMessageA [USER32.dll]
Memory leak of 113200 bytes from 190 blocks allocated in GetTextFaceA
[GDI32.dll]
Memory leak of 91568 bytes from 173 blocks allocated in
DocumentPropertySheets [WINSPOOL.DRV]
Potential memory leak of 21840 bytes from 8 blocks allocated in
DocumentPropertySheets [WINSPOOL.DRV]
[I] MPK: Potential memory leak of 8720 bytes from 2 blocks allocated in
GetTextFaceA [GDI32.dll]
[W] MLK: Memory leak of 7712 bytes from 12 blocks allocated in
DocumentEvent [WINSPOOL.DRV]
Memory leak of 5312 bytes from 9 blocks allocated in
DocumentPropertySheets [WINSPOOL.DRV]
[I] MPK: Potential memory leak of 3096 bytes from 3 blocks allocated in
PerfClose [WINSPOOL.DRV]
[W] MLK: Memory leak of 1680 bytes from 2 blocks allocated in
SearchPathW [KERNEL32.dll]
[W] MLK: Memory leak of 1680 bytes from 2 blocks allocated in
ClearCustData [OLEAUT32.dll]
Sachant que cette perte de m=E9moire est cumulable avec le nombre
d'excution(des fonctionnalit=E9s sur lesquelles je passe purify).
Questions :
a) Comment faire pour d=E9tourner ces fuites.
b)Est ce qu'on recup=E8re les fuites de m=E9moires une fois qu'on quitte
l'application?. Si la r=E9ponse est oui, alors dans ce cas pourquoi se
prendre la t=EAte =E0 faire des delete sur tous les objets allou=E9s avant
quitter de l'application(biensur qu'on on redemmare la machine on
recupere la m=E9moire l=E0 c'est claire).
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Hummm... La pédagogie des IUFM, autant se la mettre DTC, cela aura autant d'effet! La pédagogie, si tu es ouvert et à l'écoute des élèves, elle vient avec le temps. A moins d'être stupide, ou bien imbu de sa personne et ne pas reconnaitre ses erreurs, ou bien pédagogue déclaré, ou bien tout à la fois, si des élèves comprennent rien à ce que tu racontes, tu t'en rends comptes assez rapidement, et tu modifies ce qui ne va pas pour l'année suivante. Je ne me considère pas comme un super prof ou un super pédago, mais je me rends compte que depuis mes débuts, j'arrive beaucoup plus facilement à voir ce qui bloque les élèves et à les aider.
L'écoute des autres, c'est fondamental.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la matière et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et TD/TP. C'est tout simplement un manque de moyen.
Mouaich... Cf ce que j'ai dit au dessus. De bons profs de fac pédagos et compétents dans leur domaine, j'en ai eu pas mal, mais il est vrai que l'enseignement leur plaisait (Pourtant, ils auraient pu s'en passer) Des grosses bouzes aussi (et qui ne parlaient pratiquement pas français pour certains! Le russe, c'est pas mon truc!)
Thierry a écrit :
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Hummm...
La pédagogie des IUFM, autant se la mettre DTC, cela aura autant d'effet!
La pédagogie, si tu es ouvert et à l'écoute des élèves, elle vient avec
le temps.
A moins d'être stupide, ou bien imbu de sa personne et ne pas
reconnaitre ses erreurs, ou bien pédagogue déclaré, ou bien tout à la
fois, si des élèves comprennent rien à ce que tu racontes, tu t'en rends
comptes assez rapidement, et tu modifies ce qui ne va pas pour l'année
suivante.
Je ne me considère pas comme un super prof ou un super pédago, mais je
me rends compte que depuis mes débuts, j'arrive beaucoup plus facilement
à voir ce qui bloque les élèves et à les aider.
L'écoute des autres, c'est fondamental.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la matière
et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et TD/TP.
C'est tout simplement un manque de moyen.
Mouaich...
Cf ce que j'ai dit au dessus.
De bons profs de fac pédagos et compétents dans leur domaine, j'en ai eu
pas mal, mais il est vrai que l'enseignement leur plaisait (Pourtant,
ils auraient pu s'en passer)
Des grosses bouzes aussi (et qui ne parlaient pratiquement pas français
pour certains! Le russe, c'est pas mon truc!)
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Hummm... La pédagogie des IUFM, autant se la mettre DTC, cela aura autant d'effet! La pédagogie, si tu es ouvert et à l'écoute des élèves, elle vient avec le temps. A moins d'être stupide, ou bien imbu de sa personne et ne pas reconnaitre ses erreurs, ou bien pédagogue déclaré, ou bien tout à la fois, si des élèves comprennent rien à ce que tu racontes, tu t'en rends comptes assez rapidement, et tu modifies ce qui ne va pas pour l'année suivante. Je ne me considère pas comme un super prof ou un super pédago, mais je me rends compte que depuis mes débuts, j'arrive beaucoup plus facilement à voir ce qui bloque les élèves et à les aider.
L'écoute des autres, c'est fondamental.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la matière et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et TD/TP. C'est tout simplement un manque de moyen.
Mouaich... Cf ce que j'ai dit au dessus. De bons profs de fac pédagos et compétents dans leur domaine, j'en ai eu pas mal, mais il est vrai que l'enseignement leur plaisait (Pourtant, ils auraient pu s'en passer) Des grosses bouzes aussi (et qui ne parlaient pratiquement pas français pour certains! Le russe, c'est pas mon truc!)
Jean-Claude BELLAMY
Dans le message :, Thierry a pris la peine d'écrire ce qui suit :
"Vincent Burel" écrivait news:444d242b$0$20153$:
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!! NAÏF que tu es ! La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice" ;-) ), m'a commenté ses (soi-disant !) cours de pédagogie...
Ce sont des caractériels, des neuronaux déficients, des intellos snobinards, des spécialistes de l'OCR ("Onanisme Céphalo Rachidien", appelé communément "branlage de bulbe")) qui ont conçu ces ... "machins" (je n'ose pas appeler cela "cours")
Un exemple parmi tant d'autres : Savez-vous comment ces crétins de technoconocrates désignent cet objet courant, sphérique et élastique, dans lequel la plupart des mômes s'amusent à taper dedans à la recré ? (même ceux comme moi qui ont toujours eu horreur du foot!) ? ...... .... un "ballon", répondez-vous ????? .... Ah je me gausse !!! ;-) Vous n'y êtes pas du tout avec vos "gros sabots agricoles" !
Non, cela s'appelle (authentique !!!) un .... ... "Référentiel rebondissant" !!!
Et tout est "à lavement" comme disait Bérurier !
Alors de la pédago de ce style ou rien, c'est pareil ...
Et ma fille, en poste depuis septembre dernier (classe de maternelle), à la place de ces idioties, elle fait bêtement fonctionner ses neurones, son bon sens, en écoutant les mômes, en cherchant ce qui peut les intéresser, les motiver, en inventant des tas de trucs tout bêtes mais rigolos et éducatifs à la fois ...
Quand à la pédagogie enseignée pour les autres niveaux (secondaire Collège/Lycée et supérieur), c'est simple : il n'y en a pas du tout ! Mon épouse, issue de Normal'Sup, après avoir passé le CAPES puis l'agreg' de math, a enseigné en Lycée, puis après un doctorat elle enseigne à présent en fac, mais n'a JAMAIS reçu le moindre cours de pédagogie. La seule qu'elle ait pu avoir était purement empirique, au cours de ses stages de CAPES et d'Agreg' !
Donc il y a d'un côté les enseignants qui ont l'esprit pédagogue de façon presqu'innée au départ (grâce à un esprit SIMPLE, à l'écoute, et surtout qui DOMINENT leur sujet), et d'un autre côté ... le reste.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la matière et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et TD/TP.
Les maitres de conf et les profs ont un horaire réduit en cours, les TD/TP étant souvent confiés à d'autres enseignants (p.ex. les PRAG = Professeurs agrégés exerçant dans le Supérieur) Et là aussi on trouve :
- des profs qui possèdent bien leur sujet tout en ayant les "pieds sur terre", et dont la seule préoccupation est de faire "passer" leur connaissance aux élèves.
- des profs dans les nuages, des "bêtes" de théorie, avec des neurones survoltées en permanence, mais à des années-lumières de la réalité, totalement incapables de transmettre quoi que ce soit (sauf à quelques rares étudiants aussi "allumés" qu'eux)
- des profs qui ne maitrisent pas du tout leur sujet, qui doivent apprendre en même temps qu'ils sont censés enseigner, et là c'est la cata ... Heureusement, c'est quand même assez rare ...
C'est tout simplement un manque de moyen.
Pas forcément ! C'est vrai qu'il y a dans certaines fac un manque de moyen, mais souvent je dirais qu'il y a un manque de "discernement" P.ex. certaines FAC renommées vont "s'arracher" des individus très brillants, futurs Nobel ou médaille Fields, mais bordéliques au possible dans leurs cours, sans polycopiés, totalement nuls pour enseigner à des étudiants "lambdas", .... ! Ils feront le régal de quelques "polars", mais c'est tout ... Alors que des enseignants moins "pointus" seront beaucoup plus efficaces pour former les jeunes!
-- May the Force be with You! La Connaissance s'accroît quand on la partage ---------------------------------------------------------- Jean-Claude BELLAMY [MVP] http://www.bellamyjc.org ou http://jc.bellamy.free.fr
Dans le message :XnF97AFDE9A66689pouletetcetc@212.27.42.193,
Thierry <yarglah@com.invalid> a pris la peine d'écrire ce qui suit :
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à
plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur
matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!!
NAÏF que tu es !
La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux
l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même
nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice"
;-) ), m'a commenté ses (soi-disant !) cours de pédagogie...
Ce sont des caractériels, des neuronaux déficients, des intellos snobinards,
des spécialistes de l'OCR ("Onanisme Céphalo Rachidien", appelé communément
"branlage de bulbe")) qui ont conçu ces ... "machins" (je n'ose pas appeler
cela "cours")
Un exemple parmi tant d'autres :
Savez-vous comment ces crétins de technoconocrates désignent cet objet
courant, sphérique et élastique, dans lequel la plupart des mômes s'amusent
à taper dedans à la recré ? (même ceux comme moi qui ont toujours eu horreur
du foot!) ?
......
.... un "ballon", répondez-vous ?????
....
Ah je me gausse !!! ;-)
Vous n'y êtes pas du tout avec vos "gros sabots agricoles" !
Non, cela s'appelle (authentique !!!) un ....
... "Référentiel rebondissant" !!!
Et tout est "à lavement" comme disait Bérurier !
Alors de la pédago de ce style ou rien, c'est pareil ...
Et ma fille, en poste depuis septembre dernier (classe de maternelle), à la
place de ces idioties, elle fait bêtement fonctionner ses neurones, son bon
sens, en écoutant les mômes, en cherchant ce qui peut les intéresser, les
motiver, en inventant des tas de trucs tout bêtes mais rigolos et éducatifs
à la fois ...
Quand à la pédagogie enseignée pour les autres niveaux (secondaire
Collège/Lycée et supérieur), c'est simple : il n'y en a pas du tout !
Mon épouse, issue de Normal'Sup, après avoir passé le CAPES puis l'agreg' de
math, a enseigné en Lycée, puis après un doctorat elle enseigne à présent en
fac, mais n'a JAMAIS reçu le moindre cours de pédagogie. La seule qu'elle
ait pu avoir était purement empirique, au cours de ses stages de CAPES et
d'Agreg' !
Donc il y a d'un côté les enseignants qui ont l'esprit pédagogue de façon
presqu'innée au départ (grâce à un esprit SIMPLE, à l'écoute, et surtout qui
DOMINENT leur sujet), et d'un autre côté ... le reste.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la
matière et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et
TD/TP.
Les maitres de conf et les profs ont un horaire réduit en cours, les TD/TP
étant souvent confiés à d'autres enseignants (p.ex. les PRAG = Professeurs
agrégés exerçant dans le Supérieur)
Et là aussi on trouve :
- des profs qui possèdent bien leur sujet tout en ayant
les "pieds sur terre", et dont la seule préoccupation
est de faire "passer" leur connaissance aux élèves.
- des profs dans les nuages, des "bêtes" de théorie,
avec des neurones survoltées en permanence,
mais à des années-lumières de la réalité, totalement
incapables de transmettre quoi que ce soit (sauf à
quelques rares étudiants aussi "allumés" qu'eux)
- des profs qui ne maitrisent pas du tout leur sujet,
qui doivent apprendre en même temps qu'ils sont
censés enseigner, et là c'est la cata ...
Heureusement, c'est quand même assez rare ...
C'est tout simplement un manque de moyen.
Pas forcément !
C'est vrai qu'il y a dans certaines fac un manque de moyen, mais souvent je
dirais qu'il y a un manque de "discernement"
P.ex. certaines FAC renommées vont "s'arracher" des individus très
brillants, futurs Nobel ou médaille Fields, mais bordéliques au possible
dans leurs cours, sans polycopiés, totalement nuls pour enseigner à des
étudiants "lambdas", .... !
Ils feront le régal de quelques "polars", mais c'est tout ...
Alors que des enseignants moins "pointus" seront beaucoup plus efficaces
pour former les jeunes!
--
May the Force be with You!
La Connaissance s'accroît quand on la partage
----------------------------------------------------------
Jean-Claude BELLAMY [MVP]
http://www.bellamyjc.org ou http://jc.bellamy.free.fr
Dans le message :, Thierry a pris la peine d'écrire ce qui suit :
"Vincent Burel" écrivait news:444d242b$0$20153$:
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!! NAÏF que tu es ! La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice" ;-) ), m'a commenté ses (soi-disant !) cours de pédagogie...
Ce sont des caractériels, des neuronaux déficients, des intellos snobinards, des spécialistes de l'OCR ("Onanisme Céphalo Rachidien", appelé communément "branlage de bulbe")) qui ont conçu ces ... "machins" (je n'ose pas appeler cela "cours")
Un exemple parmi tant d'autres : Savez-vous comment ces crétins de technoconocrates désignent cet objet courant, sphérique et élastique, dans lequel la plupart des mômes s'amusent à taper dedans à la recré ? (même ceux comme moi qui ont toujours eu horreur du foot!) ? ...... .... un "ballon", répondez-vous ????? .... Ah je me gausse !!! ;-) Vous n'y êtes pas du tout avec vos "gros sabots agricoles" !
Non, cela s'appelle (authentique !!!) un .... ... "Référentiel rebondissant" !!!
Et tout est "à lavement" comme disait Bérurier !
Alors de la pédago de ce style ou rien, c'est pareil ...
Et ma fille, en poste depuis septembre dernier (classe de maternelle), à la place de ces idioties, elle fait bêtement fonctionner ses neurones, son bon sens, en écoutant les mômes, en cherchant ce qui peut les intéresser, les motiver, en inventant des tas de trucs tout bêtes mais rigolos et éducatifs à la fois ...
Quand à la pédagogie enseignée pour les autres niveaux (secondaire Collège/Lycée et supérieur), c'est simple : il n'y en a pas du tout ! Mon épouse, issue de Normal'Sup, après avoir passé le CAPES puis l'agreg' de math, a enseigné en Lycée, puis après un doctorat elle enseigne à présent en fac, mais n'a JAMAIS reçu le moindre cours de pédagogie. La seule qu'elle ait pu avoir était purement empirique, au cours de ses stages de CAPES et d'Agreg' !
Donc il y a d'un côté les enseignants qui ont l'esprit pédagogue de façon presqu'innée au départ (grâce à un esprit SIMPLE, à l'écoute, et surtout qui DOMINENT leur sujet), et d'un autre côté ... le reste.
Rien a voir avec la fac où ce n'est pas leur métier (que ce soit la matière et/ou pédagogie) et où ils sont contraints d'assurer cours et TD/TP.
Les maitres de conf et les profs ont un horaire réduit en cours, les TD/TP étant souvent confiés à d'autres enseignants (p.ex. les PRAG = Professeurs agrégés exerçant dans le Supérieur) Et là aussi on trouve :
- des profs qui possèdent bien leur sujet tout en ayant les "pieds sur terre", et dont la seule préoccupation est de faire "passer" leur connaissance aux élèves.
- des profs dans les nuages, des "bêtes" de théorie, avec des neurones survoltées en permanence, mais à des années-lumières de la réalité, totalement incapables de transmettre quoi que ce soit (sauf à quelques rares étudiants aussi "allumés" qu'eux)
- des profs qui ne maitrisent pas du tout leur sujet, qui doivent apprendre en même temps qu'ils sont censés enseigner, et là c'est la cata ... Heureusement, c'est quand même assez rare ...
C'est tout simplement un manque de moyen.
Pas forcément ! C'est vrai qu'il y a dans certaines fac un manque de moyen, mais souvent je dirais qu'il y a un manque de "discernement" P.ex. certaines FAC renommées vont "s'arracher" des individus très brillants, futurs Nobel ou médaille Fields, mais bordéliques au possible dans leurs cours, sans polycopiés, totalement nuls pour enseigner à des étudiants "lambdas", .... ! Ils feront le régal de quelques "polars", mais c'est tout ... Alors que des enseignants moins "pointus" seront beaucoup plus efficaces pour former les jeunes!
-- May the Force be with You! La Connaissance s'accroît quand on la partage ---------------------------------------------------------- Jean-Claude BELLAMY [MVP] http://www.bellamyjc.org ou http://jc.bellamy.free.fr
Aurelien Regat-Barrel
Cyrille Szymanski a écrit :
Ce qui me gêne davantage c'est de ne pas reporter cette responsabilité sur les entreprises via un stage obligatoire en 2° année par exemple. Ca manque un peu de mise en pratique tout ça :-/
Tu penses vraiment que les stages sont utiles ? La plupart sont mal encadrés ; soit le stagiaire fait du tourisme soit il est exploité et n'apprend rien ; sans parler du fait que souvent ces contrats sont peu rémunérés.
Ca me choque pas qu'un patron essaye d'exploiter un stagiaire - s'il est docile et en redemande, il aurait tord de se priver. C'est provocateur, mais ce que j'essaye de dire c'est que le stagiaire "doit apprendre la vie". Si tu dois te faire rouler en entreprise, mieux vaut que ça le soit en stage que pour ton premier emploi, parce que si t'as baissé ton pantalon dès le début de ton embauche, c'est super dur après de le relever. Des mecs exploités, mal encadrés et qui n'apprennent rien, ils sont pas tous stagiaires. La mauvaise expérience d'un stage, ça reste de l'expérience, qui te servira au moment de ta recherche d'emploi et de ton intégration dans l'entreprise. Un truc bête : un "pote" de promo expliquait lors de son exposé de stage de fin d'études que la plus grande chose qu'il avait apprise, en gros, c'était qu'il pouvait discuter avec ses collègues, car sinon il était perçu "comme une chaise ou une table". Il est passé un peu pour un gogol, mais bon, on peut se dire que la prochaine fois il fera en sorte que ses collègues le remarquent en moins de 6 mois.
Pourquoi pour les français est-ce si aberrant qu'un jeune diplômé soit sans expérience professionnelle ?
Un autre point, c'est qu'en stage tu te frottes au milieu de l'entreprise, c'est l'occasion de te confronter à ton futur métier pour de vrai : je connais des personnes qui se sont apperçues qu'elles s'étaient trompées de voie en stage de DUT = bac+2, imagine ceux à qui ça arrive en bac+5, c'est un peu tard/dur de se réorienter. Le stage, c'est l'occasion sortir un peu son nez de la programmation, d'affiner son projet professionnel comme ils disent (à défaut de savoir ce qu'on veut, on peut au moins savoir ce qu'on ne veut pas). Autre point : tu mets un pied dans l'entreprise : tu établis des contacts, qui peuvent être précieux pour ta prochaine recherche d'emploi. C'est comme ça que j'ai trouvé mon job.
-- Aurélien Regat-Barrel
Cyrille Szymanski a écrit :
Ce qui me gêne davantage c'est de ne pas reporter cette responsabilité
sur les entreprises via un stage obligatoire en 2° année par exemple.
Ca manque un peu de mise en pratique tout ça :-/
Tu penses vraiment que les stages sont utiles ? La plupart sont mal
encadrés ; soit le stagiaire fait du tourisme soit il est exploité et
n'apprend rien ; sans parler du fait que souvent ces contrats sont peu
rémunérés.
Ca me choque pas qu'un patron essaye d'exploiter un stagiaire - s'il est
docile et en redemande, il aurait tord de se priver. C'est provocateur,
mais ce que j'essaye de dire c'est que le stagiaire "doit apprendre la
vie". Si tu dois te faire rouler en entreprise, mieux vaut que ça le
soit en stage que pour ton premier emploi, parce que si t'as baissé ton
pantalon dès le début de ton embauche, c'est super dur après de le
relever. Des mecs exploités, mal encadrés et qui n'apprennent rien, ils
sont pas tous stagiaires.
La mauvaise expérience d'un stage, ça reste de l'expérience, qui te
servira au moment de ta recherche d'emploi et de ton intégration dans
l'entreprise. Un truc bête : un "pote" de promo expliquait lors de son
exposé de stage de fin d'études que la plus grande chose qu'il avait
apprise, en gros, c'était qu'il pouvait discuter avec ses collègues, car
sinon il était perçu "comme une chaise ou une table". Il est passé un
peu pour un gogol, mais bon, on peut se dire que la prochaine fois il
fera en sorte que ses collègues le remarquent en moins de 6 mois.
Pourquoi pour les français est-ce si aberrant qu'un jeune diplômé soit sans
expérience professionnelle ?
Un autre point, c'est qu'en stage tu te frottes au milieu de
l'entreprise, c'est l'occasion de te confronter à ton futur métier pour
de vrai : je connais des personnes qui se sont apperçues qu'elles
s'étaient trompées de voie en stage de DUT = bac+2, imagine ceux à qui
ça arrive en bac+5, c'est un peu tard/dur de se réorienter. Le stage,
c'est l'occasion sortir un peu son nez de la programmation, d'affiner
son projet professionnel comme ils disent (à défaut de savoir ce qu'on
veut, on peut au moins savoir ce qu'on ne veut pas).
Autre point : tu mets un pied dans l'entreprise : tu établis des
contacts, qui peuvent être précieux pour ta prochaine recherche
d'emploi. C'est comme ça que j'ai trouvé mon job.
Ce qui me gêne davantage c'est de ne pas reporter cette responsabilité sur les entreprises via un stage obligatoire en 2° année par exemple. Ca manque un peu de mise en pratique tout ça :-/
Tu penses vraiment que les stages sont utiles ? La plupart sont mal encadrés ; soit le stagiaire fait du tourisme soit il est exploité et n'apprend rien ; sans parler du fait que souvent ces contrats sont peu rémunérés.
Ca me choque pas qu'un patron essaye d'exploiter un stagiaire - s'il est docile et en redemande, il aurait tord de se priver. C'est provocateur, mais ce que j'essaye de dire c'est que le stagiaire "doit apprendre la vie". Si tu dois te faire rouler en entreprise, mieux vaut que ça le soit en stage que pour ton premier emploi, parce que si t'as baissé ton pantalon dès le début de ton embauche, c'est super dur après de le relever. Des mecs exploités, mal encadrés et qui n'apprennent rien, ils sont pas tous stagiaires. La mauvaise expérience d'un stage, ça reste de l'expérience, qui te servira au moment de ta recherche d'emploi et de ton intégration dans l'entreprise. Un truc bête : un "pote" de promo expliquait lors de son exposé de stage de fin d'études que la plus grande chose qu'il avait apprise, en gros, c'était qu'il pouvait discuter avec ses collègues, car sinon il était perçu "comme une chaise ou une table". Il est passé un peu pour un gogol, mais bon, on peut se dire que la prochaine fois il fera en sorte que ses collègues le remarquent en moins de 6 mois.
Pourquoi pour les français est-ce si aberrant qu'un jeune diplômé soit sans expérience professionnelle ?
Un autre point, c'est qu'en stage tu te frottes au milieu de l'entreprise, c'est l'occasion de te confronter à ton futur métier pour de vrai : je connais des personnes qui se sont apperçues qu'elles s'étaient trompées de voie en stage de DUT = bac+2, imagine ceux à qui ça arrive en bac+5, c'est un peu tard/dur de se réorienter. Le stage, c'est l'occasion sortir un peu son nez de la programmation, d'affiner son projet professionnel comme ils disent (à défaut de savoir ce qu'on veut, on peut au moins savoir ce qu'on ne veut pas). Autre point : tu mets un pied dans l'entreprise : tu établis des contacts, qui peuvent être précieux pour ta prochaine recherche d'emploi. C'est comme ça que j'ai trouvé mon job.
Dans le message :, Thierry a pris la peine d'écrire ce qui suit :
"Vincent Burel" écrivait news:444d242b$0$20153$:
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!! NAÏF que tu es ! La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice" ;-)
Notez que le mot "maîtresse" - ou "maître" - demeure, et qu'il est très favorablement connoté en général. Disons qu'on est "Professeur des écoles" et qu'on devient "une maîtresse". Un peu comme les docteurs et leurs patients, vs les médecins et leurs clients.
-- Pierre Maurette
Jean-Claude BELLAMY, le 25/04/2006 a écrit :
Dans le message :XnF97AFDE9A66689pouletetcetc@212.27.42.193,
Thierry <yarglah@com.invalid> a pris la peine d'écrire ce qui suit :
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à
plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur
matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!!
NAÏF que tu es !
La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même
nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice" ;-)
Notez que le mot "maîtresse" - ou "maître" - demeure, et qu'il est très
favorablement connoté en général. Disons qu'on est "Professeur des
écoles" et qu'on devient "une maîtresse".
Un peu comme les docteurs et leurs patients, vs les médecins et leurs
clients.
Dans le message :, Thierry a pris la peine d'écrire ce qui suit :
"Vincent Burel" écrivait news:444d242b$0$20153$:
Oui mais le système est différent, les profs de lycées sont prof à plein temps, et ont la chance de pouvoir rester concentrer sur leur matière...
Ben oui, et ils ont reçu des notions de pédagogie.
Ouh la !!!! NAÏF que tu es ! La pédagogie "normalisée" de l'Education Nationnale, il vaut mieux l'oublier!
Ma fille qui est à présent "Professeur des écoles" (çà fait quand même nettement plus branché que cet affreux et ringard mot de "institutrice" ;-)
Notez que le mot "maîtresse" - ou "maître" - demeure, et qu'il est très favorablement connoté en général. Disons qu'on est "Professeur des écoles" et qu'on devient "une maîtresse". Un peu comme les docteurs et leurs patients, vs les médecins et leurs clients.
-- Pierre Maurette
GG
Bonjour,
Et en plus, je dis ca mais je suis prof, donc je fais (bientot) partie de ceux qu'on ne pourra pas deboulonner...
Certes mes des boulons comme toi et d'autres que j'ai la chance de connaitre, j'en voudrais plein l'éducation nationale mais a mon grand désespoir je pense que je n'aurais pas cette chance de mon vivant.
-- Cordialement. GG.
Bonjour,
Et en plus, je dis
ca mais je suis prof, donc je fais (bientot) partie de ceux
qu'on ne pourra pas deboulonner...
Certes mes des boulons comme toi et d'autres que j'ai la chance
de connaitre, j'en voudrais plein l'éducation nationale mais a mon
grand désespoir je pense que je n'aurais pas cette chance de
mon vivant.
Et en plus, je dis ca mais je suis prof, donc je fais (bientot) partie de ceux qu'on ne pourra pas deboulonner...
Certes mes des boulons comme toi et d'autres que j'ai la chance de connaitre, j'en voudrais plein l'éducation nationale mais a mon grand désespoir je pense que je n'aurais pas cette chance de mon vivant.