« ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale,
l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières
élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif
à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir
absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à
propos de celui de droite: «une phobie migratoire».
Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale,
relèverait de la pathologie psychique.
Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que
celui qui la veut violée.
Mais il n’y a pas que l’asile, il y a également la prison: plusieurs
jeunes identitaires ont été en effet condamnés jeudi 29 août par le
tribunal correctionnel de Gap à six mois ferme sous prétexte d’une
éventuelle commission du rare délit de «confusion avec l’exercice d’une
fonction publique». Sans la moindre violence, ces «identitaires» (il
faut reconnaître que le mot est synonyme de nazis dans l’imaginaire
fantasmatique de l’antiracisme de gauche) avaient voulu attirer
médiatiquement l’opinion sur l’impuissance de l’Europe et de l’État à
faire respecter les lois de régulation des flux migratoires.
Dans le même temps, les militants internationalistes ayant prêté
main-forte aux illégaux clandestins, quand ils n’avaient pas été les
chercher hors de France, étaient relaxés ou condamnés à des peines
symboliques. Ainsi, celui qui veut la loi respectée est judiciairement
plus condamnable que celui qui la veut violée. Difficile de ne pas voir
dans ce symbole judiciaire, une inversion des normes aussi vertigineuse
que suicidaire.
Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à
l’incarcération, constatant de surcroît que certains violents
bénéficient de la clémence judiciaire, pour s’étonner de la lourdeur de
la peine prononcée par les juges de Gap.
Quitte à passer pour climatosceptique et bon pour le bûcher, je sens
venir un vent glacial qui me fait froid dans le dos. »
--
https://www.youtube.com/watch?v=krErY7ORb2U
CMP : chevalier du Mérite palmipède
Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à l'incarcération,
Goldnadel sait pourtant bien ce qu'est l'incarcération, en Palestine les sionistes qu'il soutient totalement incarcèrent sans retenue la population palestinienne, adultes, vieillards et enfants, c'est un grand spécialiste ! Alain
Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à
l'incarcération,
Goldnadel sait pourtant bien ce qu'est l'incarcération, en Palestine les
sionistes qu'il soutient totalement incarcèrent sans retenue la
population palestinienne, adultes, vieillards et enfants, c'est un grand
spécialiste !
Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à l'incarcération,
Goldnadel sait pourtant bien ce qu'est l'incarcération, en Palestine les sionistes qu'il soutient totalement incarcèrent sans retenue la population palestinienne, adultes, vieillards et enfants, c'est un grand spécialiste ! Alain
Ingimar
Joe Rodriguez, CMP :
http://www.lefigaro.fr/vox/monde/goldnadel-celui-qui-veut-faire-respecter-la-loi-est-il-plus-condamnable-que-celui-qui-la-viole-20190902 « ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale, l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à propos de celui de droite: «une phobie migratoire». Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale, relèverait de la pathologie psychique. Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée.
GWG a bien raison, y compris au début du texte qui n'est pas cité : "Sur le plan politique, j’observe que le Président de la République qui a un bon sens du rapport de force, a opéré une manière d’aggiornamento. Je l’avais décrit dans ces colonnes et à plusieurs reprises comme une chauve-souris insaisissable et fabuleuse capable de chanter « je suis de droite, voyez ma politique économique! je suis de gauche, vive les migrants! » Tout cela semble terminé, et les réformes libérales, comme la chauve-souris, sont remisées au grenier. Le jeune mammifère élyséen paraît ne plus battre que de l’aile gauche."
« ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale,
l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières
élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif
à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir
absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à
propos de celui de droite: «une phobie migratoire».
Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale,
relèverait de la pathologie psychique.
Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que
celui qui la veut violée.
GWG a bien raison, y compris au début du texte qui n'est pas cité :
"Sur le plan politique, j’observe que le Président de la République
qui a un bon sens du rapport de force, a opéré une manière
d’aggiornamento. Je l’avais décrit dans ces colonnes et à plusieurs
reprises comme une chauve-souris insaisissable et fabuleuse capable de
chanter « je suis de droite, voyez ma politique économique! je suis de
gauche, vive les migrants! » Tout cela semble terminé, et les réformes
libérales, comme la chauve-souris, sont remisées au grenier. Le jeune
mammifère élyséen paraît ne plus battre que de l’aile gauche."
http://www.lefigaro.fr/vox/monde/goldnadel-celui-qui-veut-faire-respecter-la-loi-est-il-plus-condamnable-que-celui-qui-la-viole-20190902 « ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale, l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à propos de celui de droite: «une phobie migratoire». Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale, relèverait de la pathologie psychique. Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée.
GWG a bien raison, y compris au début du texte qui n'est pas cité : "Sur le plan politique, j’observe que le Président de la République qui a un bon sens du rapport de force, a opéré une manière d’aggiornamento. Je l’avais décrit dans ces colonnes et à plusieurs reprises comme une chauve-souris insaisissable et fabuleuse capable de chanter « je suis de droite, voyez ma politique économique! je suis de gauche, vive les migrants! » Tout cela semble terminé, et les réformes libérales, comme la chauve-souris, sont remisées au grenier. Le jeune mammifère élyséen paraît ne plus battre que de l’aile gauche."
François Guillet
Joe Rodriguez, CMP vient de nous annoncer :
http://www.lefigaro.fr/vox/monde/goldnadel-celui-qui-veut-faire-respecter-la-loi-est-il-plus-condamnable-que-celui-qui-la-viole-20190902 « ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale, l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à propos de celui de droite: «une phobie migratoire». Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale, relèverait de la pathologie psychique. Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée. Mais il n’y a pas que l’asile, il y a également la prison: plusieurs jeunes identitaires ont été en effet condamnés jeudi 29 août par le tribunal correctionnel de Gap à six mois ferme sous prétexte d’une éventuelle commission du rare délit de «confusion avec l’exercice d’une fonction publique». Sans la moindre violence, ces «identitaires» (il faut reconnaître que le mot est synonyme de nazis dans l’imaginaire fantasmatique de l’antiracisme de gauche) avaient voulu attirer médiatiquement l’opinion sur l’impuissance de l’Europe et de l’État à faire respecter les lois de régulation des flux migratoires. Dans le même temps, les militants internationalistes ayant prêté main-forte aux illégaux clandestins, quand ils n’avaient pas été les chercher hors de France, étaient relaxés ou condamnés à des peines symboliques. Ainsi, celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée. Difficile de ne pas voir dans ce symbole judiciaire, une inversion des normes aussi vertigineuse que suicidaire. Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à l’incarcération, constatant de surcroît que certains violents bénéficient de la clémence judiciaire, pour s’étonner de la lourdeur de la peine prononcée par les juges de Gap. Quitte à passer pour climatosceptique et bon pour le bûcher, je sens venir un vent glacial qui me fait froid dans le dos. »
« ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale,
l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières élections
(ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif à caractère
prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir absous de tout
racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à propos de celui de
droite: «une phobie migratoire».
Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale, relèverait de
la pathologie psychique.
Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui
qui la veut violée.
Mais il n’y a pas que l’asile, il y a également la prison: plusieurs jeunes
identitaires ont été en effet condamnés jeudi 29 août par le tribunal
correctionnel de Gap à six mois ferme sous prétexte d’une éventuelle
commission du rare délit de «confusion avec l’exercice d’une fonction
publique». Sans la moindre violence, ces «identitaires» (il faut reconnaître
que le mot est synonyme de nazis dans l’imaginaire fantasmatique de
l’antiracisme de gauche) avaient voulu attirer médiatiquement l’opinion sur
l’impuissance de l’Europe et de l’État à faire respecter les lois de
régulation des flux migratoires.
Dans le même temps, les militants internationalistes ayant prêté main-forte
aux illégaux clandestins, quand ils n’avaient pas été les chercher hors de
France, étaient relaxés ou condamnés à des peines symboliques. Ainsi, celui
qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui
la veut violée. Difficile de ne pas voir dans ce symbole judiciaire, une
inversion des normes aussi vertigineuse que suicidaire.
Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à
l’incarcération, constatant de surcroît que certains violents bénéficient de
la clémence judiciaire, pour s’étonner de la lourdeur de la peine prononcée
par les juges de Gap.
Quitte à passer pour climatosceptique et bon pour le bûcher, je sens venir un
vent glacial qui me fait froid dans le dos. »
http://www.lefigaro.fr/vox/monde/goldnadel-celui-qui-veut-faire-respecter-la-loi-est-il-plus-condamnable-que-celui-qui-la-viole-20190902 « ... Vendredi le 30, sur la station radiophonique d’État principale, l’«économiste» Daniel Cohen, soutien de Benoît Hamon aux dernières élections (ce qui n’était pas précisé), présentait un ouvrage collectif à caractère prétendument scientifique sur le populisme. Après avoir absous de tout racisme celui de gauche, le scientifique diagnostiquait à propos de celui de droite: «une phobie migratoire». Ainsi, le refus catégorique d’une immigration massive illégale, relèverait de la pathologie psychique. Celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée. Mais il n’y a pas que l’asile, il y a également la prison: plusieurs jeunes identitaires ont été en effet condamnés jeudi 29 août par le tribunal correctionnel de Gap à six mois ferme sous prétexte d’une éventuelle commission du rare délit de «confusion avec l’exercice d’une fonction publique». Sans la moindre violence, ces «identitaires» (il faut reconnaître que le mot est synonyme de nazis dans l’imaginaire fantasmatique de l’antiracisme de gauche) avaient voulu attirer médiatiquement l’opinion sur l’impuissance de l’Europe et de l’État à faire respecter les lois de régulation des flux migratoires. Dans le même temps, les militants internationalistes ayant prêté main-forte aux illégaux clandestins, quand ils n’avaient pas été les chercher hors de France, étaient relaxés ou condamnés à des peines symboliques. Ainsi, celui qui veut la loi respectée est judiciairement plus condamnable que celui qui la veut violée. Difficile de ne pas voir dans ce symbole judiciaire, une inversion des normes aussi vertigineuse que suicidaire. Il ne se sera donc pas trouvé un seul esprit libre à gauche, opposé à l’incarcération, constatant de surcroît que certains violents bénéficient de la clémence judiciaire, pour s’étonner de la lourdeur de la peine prononcée par les juges de Gap. Quitte à passer pour climatosceptique et bon pour le bûcher, je sens venir un vent glacial qui me fait froid dans le dos. »