La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des
cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant
l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du
vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations
pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits
démocratiques.
Pierre Bourdieu
Cette action est irreversible, confirmez la suppression du commentaire ?
Signaler le commentaire
Veuillez sélectionner un problème
Nudité
Violence
Harcèlement
Fraude
Vente illégale
Discours haineux
Terrorisme
Autre
Une Bévue
Le 09/03/2016 09:40, Joie a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+ A- Imprimer Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Delicious Partager sur Google+ Si rien n’est venu enrayer le mouvement de concentration du paysage médiatique français, l’apparition du net a permis l’émergence de nouveaux médias indépendants. Selon quelles modalités et dans quelles perspectives, avec quels espoirs et quelles inquiétudes ? C’est la question posée par Acrimed, l’association de critique des médias, à l’initiative d’une journée de débats le 12 mars à Paris. Avec des blogueurs, youtubeurs, syndicalistes et journalistes de Mediapart, Là-bas si j’y suis, Arrêt sur images, Nada, Reporterre, et aussi Basta !. Voici le programme.
Après le succès de l’édition 2015, Acrimed organisera, le 12 mars 2016, la Deuxième Journée de la Critique des médias, de 14h à 21h à La Java (105, rue du Faubourg-du-Temple 75010 Paris).
Pour cette deuxième édition, qui coïncidera avec les vingt ans de l’association, nous nous pencherons, au cours des trois tables rondes qui scanderont l’après-midi et dont vous trouverez le programme détaillé ci-dessous, sur les (plus ou moins) récentes évolutions qui ont touché le paysage médiatique : passage du « print » au « web », nouvelles pratiques journalistiques, « réorganisation » des rédactions, fourmillement de nouveaux médias – et de critiques des médias – indépendants sur Internet, etc. Le tout sur fond d’un mouvement de concentration et de financiarisation peut-être un peu moins « nouveau », mais que rien n’est venu enrayer, bien au contraire.
Les nouvelles technologies font bien souvent l’objet de discours enchantés qui voudraient voir dans l’arrivée d’Internet la solution aux difficultés croissantes des médias « traditionnels » : Internet permettrait tout à la fois un accès rapide à une masse incommensurable d’information, leur exploitation en temps réel et à grande échelle, une proximité avec les lecteurs par les blogs et le forum, des lecteurs qui serait dorénavant capables de choisir les articles qui les intéressent et constitueraient ainsi leur propre « comité de rédaction »…
Or, l’apparition de ce nouveau support, sans avoir remédié, comme on pouvait du reste s’y attendre, à tous les problèmes du journalisme, en a de surcroît généré d’autres : dépendance à la publicité qui passe dorénavant sous les fourches caudines de Google, culte de l’audimat qui pousse maintenant à chercher le buzz, exigence d’extrême rapidité qui se fait bien souvent au détriment de la vérification des informations, difficultés à trouver un modèle économique réellement viable, etc.
Certes, la diminution évidente des coûts de publication, de diffusion, la démocratisation des moyens techniques, ont effectivement permis à de nombreux médias indépendants de voir le jour et de se faire un place, parfois remarquable, dans le paysage médiatique actuel : selon quelles modalités et dans quelles perspectives ?
Nous vous invitons donc à venir nombreuses et nombreux assister à cette journée, afin d’interroger ensemble la « nouveauté » d’un paysage médiatique en constante évolution, les inquiétudes qu’il suscite et les espoirs qu’il autorise.
Comme l’an dernier, l’entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Le programme détaillé : - 14h : ouverture au public - 14h30 : Introduction de la journée - 14h45 : Première table ronde : Nouvelles pratiques, nouvelles contraintes. Transformations du journalisme et des conditions de travail des journalistes Intervenants : Mathias Reymond (Acrimed), Michel Thomiche (SNJ), Jean-Bernard Gervais (SNJ-CGT) - 16h45 : Intervention de Gilles Balbastre (Nada), autour d’une vidéo - 17h : Deuxième table ronde : Médias indépendants : une alternative aux médias dominants ? Intervenants : Mediapart (François Bonnet), Basta ! (Agnès Rousseaux), Là-bas si j’y suis (Daniel Mermet), Reporterre (Hervé Kempf) - 19h : Intervention d’Usul (youtoubeur), autour d’une vidéo - 19h15 : Troisième table ronde : Critique des médias : nouveau paysage, nouveaux enjeux ? Intervenants : Télérama (Samuel Gontier pour son blog « Ma vie au poste »), Arrêt sur images (Anne-Sophie Jacques), Acrimed (Henri Maler) - 20h45 : Conclusion de la journée
Plus d’informations sur le site d’Acrimed. <http://www.acrimed.org/Journee-de-la-critique-des-medias-deuxieme-edition-le-12-mars-2016>
Le 09/03/2016 09:40, Joie a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des
cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant
l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du
vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes
que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques.
Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster
Ajouter
A+
A-
Imprimer
Partager sur Facebook
Partager sur Twitter
Partager sur Delicious
Partager sur Google+
Si rien n’est venu enrayer le mouvement de concentration du paysage
médiatique français, l’apparition du net a permis l’émergence de
nouveaux médias indépendants. Selon quelles modalités et dans quelles
perspectives, avec quels espoirs et quelles inquiétudes ? C’est la
question posée par Acrimed, l’association de critique des médias, à
l’initiative d’une journée de débats le 12 mars à Paris. Avec des
blogueurs, youtubeurs, syndicalistes et journalistes de Mediapart,
Là-bas si j’y suis, Arrêt sur images, Nada, Reporterre, et aussi Basta
!. Voici le programme.
Après le succès de l’édition 2015, Acrimed organisera, le 12 mars 2016,
la Deuxième Journée de la Critique des médias, de 14h à 21h à La Java
(105, rue du Faubourg-du-Temple 75010 Paris).
Pour cette deuxième édition, qui coïncidera avec les vingt ans de
l’association, nous nous pencherons, au cours des trois tables rondes
qui scanderont l’après-midi et dont vous trouverez le programme détaillé
ci-dessous, sur les (plus ou moins) récentes évolutions qui ont touché
le paysage médiatique : passage du « print » au « web », nouvelles
pratiques journalistiques, « réorganisation » des rédactions,
fourmillement de nouveaux médias – et de critiques des médias –
indépendants sur Internet, etc. Le tout sur fond d’un mouvement de
concentration et de financiarisation peut-être un peu moins « nouveau »,
mais que rien n’est venu enrayer, bien au contraire.
Les nouvelles technologies font bien souvent l’objet de discours
enchantés qui voudraient voir dans l’arrivée d’Internet la solution aux
difficultés croissantes des médias « traditionnels » : Internet
permettrait tout à la fois un accès rapide à une masse incommensurable
d’information, leur exploitation en temps réel et à grande échelle, une
proximité avec les lecteurs par les blogs et le forum, des lecteurs qui
serait dorénavant capables de choisir les articles qui les intéressent
et constitueraient ainsi leur propre « comité de rédaction »…
Or, l’apparition de ce nouveau support, sans avoir remédié, comme on
pouvait du reste s’y attendre, à tous les problèmes du journalisme, en a
de surcroît généré d’autres : dépendance à la publicité qui passe
dorénavant sous les fourches caudines de Google, culte de l’audimat qui
pousse maintenant à chercher le buzz, exigence d’extrême rapidité qui se
fait bien souvent au détriment de la vérification des informations,
difficultés à trouver un modèle économique réellement viable, etc.
Certes, la diminution évidente des coûts de publication, de diffusion,
la démocratisation des moyens techniques, ont effectivement permis à de
nombreux médias indépendants de voir le jour et de se faire un place,
parfois remarquable, dans le paysage médiatique actuel : selon quelles
modalités et dans quelles perspectives ?
Nous vous invitons donc à venir nombreuses et nombreux assister à cette
journée, afin d’interroger ensemble la « nouveauté » d’un paysage
médiatique en constante évolution, les inquiétudes qu’il suscite et les
espoirs qu’il autorise.
Comme l’an dernier, l’entrée est libre et gratuite dans la limite des
places disponibles.
Le programme détaillé :
- 14h : ouverture au public
- 14h30 : Introduction de la journée
- 14h45 : Première table ronde : Nouvelles pratiques, nouvelles
contraintes. Transformations du journalisme et des conditions de travail
des journalistes
Intervenants : Mathias Reymond (Acrimed), Michel Thomiche (SNJ),
Jean-Bernard Gervais (SNJ-CGT)
- 16h45 : Intervention de Gilles Balbastre (Nada), autour d’une vidéo
- 17h : Deuxième table ronde : Médias indépendants : une alternative aux
médias dominants ?
Intervenants : Mediapart (François Bonnet), Basta ! (Agnès Rousseaux),
Là-bas si j’y suis (Daniel Mermet), Reporterre (Hervé Kempf)
- 19h : Intervention d’Usul (youtoubeur), autour d’une vidéo
- 19h15 : Troisième table ronde : Critique des médias : nouveau paysage,
nouveaux enjeux ?
Intervenants : Télérama (Samuel Gontier pour son blog « Ma vie au poste
»), Arrêt sur images (Anne-Sophie Jacques), Acrimed (Henri Maler)
- 20h45 : Conclusion de la journée
Plus d’informations sur le site d’Acrimed.
<http://www.acrimed.org/Journee-de-la-critique-des-medias-deuxieme-edition-le-12-mars-2016>
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+ A- Imprimer Partager sur Facebook Partager sur Twitter Partager sur Delicious Partager sur Google+ Si rien n’est venu enrayer le mouvement de concentration du paysage médiatique français, l’apparition du net a permis l’émergence de nouveaux médias indépendants. Selon quelles modalités et dans quelles perspectives, avec quels espoirs et quelles inquiétudes ? C’est la question posée par Acrimed, l’association de critique des médias, à l’initiative d’une journée de débats le 12 mars à Paris. Avec des blogueurs, youtubeurs, syndicalistes et journalistes de Mediapart, Là-bas si j’y suis, Arrêt sur images, Nada, Reporterre, et aussi Basta !. Voici le programme.
Après le succès de l’édition 2015, Acrimed organisera, le 12 mars 2016, la Deuxième Journée de la Critique des médias, de 14h à 21h à La Java (105, rue du Faubourg-du-Temple 75010 Paris).
Pour cette deuxième édition, qui coïncidera avec les vingt ans de l’association, nous nous pencherons, au cours des trois tables rondes qui scanderont l’après-midi et dont vous trouverez le programme détaillé ci-dessous, sur les (plus ou moins) récentes évolutions qui ont touché le paysage médiatique : passage du « print » au « web », nouvelles pratiques journalistiques, « réorganisation » des rédactions, fourmillement de nouveaux médias – et de critiques des médias – indépendants sur Internet, etc. Le tout sur fond d’un mouvement de concentration et de financiarisation peut-être un peu moins « nouveau », mais que rien n’est venu enrayer, bien au contraire.
Les nouvelles technologies font bien souvent l’objet de discours enchantés qui voudraient voir dans l’arrivée d’Internet la solution aux difficultés croissantes des médias « traditionnels » : Internet permettrait tout à la fois un accès rapide à une masse incommensurable d’information, leur exploitation en temps réel et à grande échelle, une proximité avec les lecteurs par les blogs et le forum, des lecteurs qui serait dorénavant capables de choisir les articles qui les intéressent et constitueraient ainsi leur propre « comité de rédaction »…
Or, l’apparition de ce nouveau support, sans avoir remédié, comme on pouvait du reste s’y attendre, à tous les problèmes du journalisme, en a de surcroît généré d’autres : dépendance à la publicité qui passe dorénavant sous les fourches caudines de Google, culte de l’audimat qui pousse maintenant à chercher le buzz, exigence d’extrême rapidité qui se fait bien souvent au détriment de la vérification des informations, difficultés à trouver un modèle économique réellement viable, etc.
Certes, la diminution évidente des coûts de publication, de diffusion, la démocratisation des moyens techniques, ont effectivement permis à de nombreux médias indépendants de voir le jour et de se faire un place, parfois remarquable, dans le paysage médiatique actuel : selon quelles modalités et dans quelles perspectives ?
Nous vous invitons donc à venir nombreuses et nombreux assister à cette journée, afin d’interroger ensemble la « nouveauté » d’un paysage médiatique en constante évolution, les inquiétudes qu’il suscite et les espoirs qu’il autorise.
Comme l’an dernier, l’entrée est libre et gratuite dans la limite des places disponibles.
Le programme détaillé : - 14h : ouverture au public - 14h30 : Introduction de la journée - 14h45 : Première table ronde : Nouvelles pratiques, nouvelles contraintes. Transformations du journalisme et des conditions de travail des journalistes Intervenants : Mathias Reymond (Acrimed), Michel Thomiche (SNJ), Jean-Bernard Gervais (SNJ-CGT) - 16h45 : Intervention de Gilles Balbastre (Nada), autour d’une vidéo - 17h : Deuxième table ronde : Médias indépendants : une alternative aux médias dominants ? Intervenants : Mediapart (François Bonnet), Basta ! (Agnès Rousseaux), Là-bas si j’y suis (Daniel Mermet), Reporterre (Hervé Kempf) - 19h : Intervention d’Usul (youtoubeur), autour d’une vidéo - 19h15 : Troisième table ronde : Critique des médias : nouveau paysage, nouveaux enjeux ? Intervenants : Télérama (Samuel Gontier pour son blog « Ma vie au poste »), Arrêt sur images (Anne-Sophie Jacques), Acrimed (Henri Maler) - 20h45 : Conclusion de la journée
Plus d’informations sur le site d’Acrimed. <http://www.acrimed.org/Journee-de-la-critique-des-medias-deuxieme-edition-le-12-mars-2016>
97126
Joie avait énoncé :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la télé, sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est plus du tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe uniquement sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées par le téléspectateur.
Joie avait énoncé :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux
d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur
les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du
presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le
citoyen pour exercer ses droits démocratiques.
Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la télé,
sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est plus du
tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe uniquement
sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées par le
téléspectateur.
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la télé, sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est plus du tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe uniquement sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées par le téléspectateur.
Santa Claup
97126 a écrit sur fr.rec.tv.programmes :
Joie avait énoncé :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la télé, sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est plus du tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe uniquement sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées par le téléspectateur.
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée aujourd'hui. Au contraire, je lui trouve même une évidence de prémonition bien analysée.
97126 a écrit sur fr.rec.tv.programmes :
Joie avait énoncé :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des
cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en
mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare
avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les
informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour
exercer ses droits démocratiques.
Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la
télé, sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est
plus du tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe
uniquement sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées
par le téléspectateur.
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée
aujourd'hui. Au contraire, je lui trouve même une évidence de
prémonition bien analysée.
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
Vous citez ce brave homme mort à 72 ans en 2002 : son avis sur la télé, sans être négligeable, n'a plus la même saveur en 2016 et n'est plus du tout comparable à celle de 2002, surtout que celui-ci pointe uniquement sur la période 90-98 et sur des émissions peu regardées par le téléspectateur.
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée aujourd'hui. Au contraire, je lui trouve même une évidence de prémonition bien analysée.
Joie
Santa Claup avait énoncé :
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée aujourd'hui. Au contraire, je lui trouve même une évidence de prémonition bien analysée.
Je plussoie, c'était moins pire avant !
-- Y a d'la joie ? http://www.joiedesmots.com/
Santa Claup avait énoncé :
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée aujourd'hui. Au
contraire, je lui trouve même une évidence de prémonition bien analysée.
Je ne vois pas en quoi cette pensée de 1996 serait dépassée aujourd'hui. Au contraire, je lui trouve même une évidence de prémonition bien analysée.
Je plussoie, c'était moins pire avant !
-- Y a d'la joie ? http://www.joiedesmots.com/
Elephant Man
Le 09/03/2016 à 21:33, Une Bévue a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+
Chic, une bataille de copier/coller !
Le 09/03/2016 à 21:33, Une Bévue a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des
cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant
l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du
vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes
que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques.
Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+
Chic, une bataille de copier/coller !
Enzo
Elephant Man a exposé le 10/03/2016 :
Le 09/03/2016 à 21:33, Une Bévue a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+
Chic, une bataille de copier/coller !
lol
Elephant Man a exposé le 10/03/2016 :
Le 09/03/2016 à 21:33, Une Bévue a écrit :
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des
cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant
l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du
vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes
que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques.
Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
La télévision a une sorte de monopole de fait sur la formation des cerveaux d’une partie très importante de la population. Or, en mettant l’accent sur les faits divers, en remplissant ce temps rare avec du vide, du rien ou du presque rien, on écarte les informations pertinentes que devrait posséder le citoyen pour exercer ses droits démocratiques. Pierre Bourdieu
La critique des médias, c’est l’affaire de tous : venez le 12 mars pour
débattre !
PAR ACRIMED 9 MARS 2016
Poster Ajouter A+
Chic, une bataille de copier/coller !
lol
benzo
Elephant Man, le jeudi 10/03/2016 sur fr.rec.tv.programmes :
Chic, une bataille de copier/coller !
Pour une fois que vous avez un fil en charte (et qui plus est, sur un thème assez affûté), vous venez le troller. Et vous vous étonnerez après ça d'être pris pour une burne.
-- On avait dit : pas les affaires !
Elephant Man, le jeudi 10/03/2016 sur fr.rec.tv.programmes :
Chic, une bataille de copier/coller !
Pour une fois que vous avez un fil en charte (et qui plus est, sur un
thème assez affûté), vous venez le troller. Et vous vous étonnerez
après ça d'être pris pour une burne.
Elephant Man, le jeudi 10/03/2016 sur fr.rec.tv.programmes :
Chic, une bataille de copier/coller !
Pour une fois que vous avez un fil en charte (et qui plus est, sur un thème assez affûté), vous venez le troller. Et vous vous étonnerez après ça d'être pris pour une burne.