"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhiu98$6h5$
Evidemment, l'IMC est une moyenne, mais c'est déjà une bonne information pour détecter des obésités naissantes, ou des maigreurs pathologiques.
L'oeil c'est aussi pas mal non plus.
Et ca prend 10 mill.seconde, sans calcul. Mais malheureusement ca court circuite pas mal de professions para / pseudo medical.
- Vous etes gros! - Ah?! J'avais pas vu. - Je vais vous demandez 350 Frs... Merci..
doyoudoo
"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhivbr$res$
Le 15/08/2003 17:34, Le Père Laboulle a écrit :
> Le Papapapy nous a dit ceci : > >>La bouche de la Casta estt à vomir. > > Malgrés le mauvais allignement de ses dents, je m'en ferai bien pour un > petit quart d'heure un collier pour ma bite. >
Ah ? Avec ingurgitation du foutre ou pas ?
Lâche-toi mec !
"Frederic Bezies" <frederic.bezies@free.fr> a écrit dans le message de news:
bhivbr$res$4@news-reader5.wanadoo.fr...
Le 15/08/2003 17:34, Le Père Laboulle a écrit :
> Le Papapapy nous a dit ceci :
>
>>La bouche de la Casta estt à vomir.
>
> Malgrés le mauvais allignement de ses dents, je m'en ferai bien pour un
> petit quart d'heure un collier pour ma bite.
>
"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhivbr$res$
Le 15/08/2003 17:34, Le Père Laboulle a écrit :
> Le Papapapy nous a dit ceci : > >>La bouche de la Casta estt à vomir. > > Malgrés le mauvais allignement de ses dents, je m'en ferai bien pour un > petit quart d'heure un collier pour ma bite. >
Ah ? Avec ingurgitation du foutre ou pas ?
Lâche-toi mec !
doyoudoo
"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhivbr$res$
Ouvre les yeux et regarde autour de toi. Ou mieux, va faire un tour dans une cité balnéaire en période estivale.
Oui et alors ? Les putes veulent plaire aux connards, c'est pas nouveau.
"Frederic Bezies" <frederic.bezies@free.fr> a écrit dans le message de news:
bhivbr$res$5@news-reader5.wanadoo.fr...
Ouvre les yeux et regarde autour de toi. Ou mieux, va faire un tour dans
une cité balnéaire en période estivale.
Oui et alors ? Les putes veulent plaire aux connards, c'est pas nouveau.
"Le Papapapy" a écrit dans le message de news: 3f3d0569$0$27034$
Odieux, pas impolis, odieux. Comme ça elle nous sucera nos pâtisseries avec un large sourire.
Et en retour, on lui farcira le millefeuilles.
doyoudoo
"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhj170$nrg$
Non. Décidément, il faudra lancer un AAV pour renommer le forum en fr.rec.tv.obsédés.du.cul.
Nous ne sommes que de faibles hommes... On ne peut pas être aussi chastes que toi
Quoique...
<blabla légal>
Ce texte est bien entendu sous mon copyright, et donc ne peut être modifié ni adapté sans mon accord.
Ce texte est ouvertement érotique. Si vous êtes choqué par de tels textes, inutile d'aller plus loin.
</blabla légal>
Peace and Love - (c) 1999 Frédéric Béziès
J'ai toujours aimé lire les histoires de dépucelage. Autant vous raconter la mienne. Bien qu'elle ait eu lieu, il y a une trentaine d'années maintenant, elle n'en est pas moins intéressante.
J'étais à l'époque en faculté de droit. A la grande époque de mai 1968. Enfin, un peu après, car je suis rentré en première année en 1969 ! Tout fraîchement bachelier, j'avais quitté ma province pour aller faire des études à Paris.
J'avais 18 ans. Et j'avais intégré avec joie la faculté de droit. Au mois de janvier 1970, j'ai eu ma première expérience sexuelle. Et elle a modifié le cours de ma vie. Timide, je n'osais pas aborder les filles. Jusqu'au jour où sur les bancs de l'amphithéâtre, je fis connaissance de Sophie.
Une brune d'environ 1,70 m, des yeux marron clair, des cheveux longs et ondulés. Sous son pull-over, on pouvait devenir la rondeur de ses seins, et un mignon petit fessier enrobé dans une jupe bleu clair. Elle était assise à coté de moi. J'ai tout de suite craqué pour elle. Je pouvais détacher mon regard de ses seins, que j'essayais d'imaginer par transparence. Se sentant observé, elle me jeta un regard inquisiteur. Puis elle me murmura les yeux dans les yeux : " tu veux pas que je me foute à poil devant toi, non plus ? "
Je ne savais pas quoi répondre, et pour dire, je sentais mon sexe se durcir dans mes pantalons. Je tournais tant bien que mal la tête de l'autre côté. En respirant profondément, je me replongeais dans mon travail, et essayais de reprendre la suite du cours.
Je regardais du coin de l'oeil, de temps à autres, Sophie. Elle suivait le cours. Et semblait n'en avoir plus rien à faire de ce que je pouvais bien faire. Cependant, mon pénis n'était pas plus calme pour autant.
C'est alors que je sentis une main se faufiler entre mes cuisses, et commencer à me caresser le sexe. Tournant la tête, je pus voir Sophie en train de me regarder avec un regard étonné, en sentant la grosseur de mon pénis en train de se durcir.
Je sentis que ma tête allait exploser... Elle me susurra quelque chose à l'oreille. " Dis-donc, je t'excite autant que çà ? T'as l'air d'avoir une bonne grosse bête dans ton pantalon... "
Elle me glissa un papier chiffonné, où j'ai pu lire : " rendez-vous à 20 h 30 à ma résidence ". En dessous, une adresse griffonnée. Je glissais rapidement son papier parmi mes notes. A la fin du cours, elle prit la poudre d'escampette...
20 h 30. Je frappais à la porte de sa chambre louée en ville. Elle m'ouvrit, puis me dit d'entrer.
" - Alors, je vois que tu es venu... Tu me reluquais les seins, tout à l'heure... - Non ! Pas du tout... répondais-je en balbutiant... - Ben voyons... Avec la trique que tu avais, ce serait étonnant. Mais tu l'as de nouveau. "
Elle caressa lentement mon entrejambe. Je sentais que mon pénis était en train de durcir...
" - Je t'excite donc autant que cela... Et pour tout dire, tu me plais aussi... Viens approches-toi. "
Elle s'approcha de moi, et m'embrassa à pleine bouche. Je sentis sa langue, rapide, jouer avec la mienne. Je mis mes mains sur ses hanches, tout en lui rendant son baiser. Je sentais ses seins contre mon torse.
" - Déshabilles-toi ! Je t'attends. "
Elle se déshabilla. Je pus voir ses seins magnifiques, en forme de poire. Elle enleva sa culotte de coton, et je pus voir ses fesses fermes et rondes. Elle s'approcha de moi, descendit le caleçon que j'avais gardé, et m'attira vers le canapé.
" - T'as une grosse queue... Laisse-moi y goûter... " A ces mots, elle engouffra mon pénis dans sa bouche. Je sentais sa langue experte en train de caresser le gland, puis le reste de ma bite. Je soupirais de plaisir... Je sentais que j'allais jouir... Mais je ne voulais pas me décharger dans sa bouche.
" - Arrêtes, je vais jouir... - Au contraire, j'aime çà ! "
Quelques secondes plus tard, je jouis, lâchant mon sperme dans sa bouche. Elle gémit, puis avala tout le sperme que j'avais pu éjaculer dans sa bouche. Je l'observais, avec étonnement...
" - Tu ne savais pas que j'aimais cela ? Mais ce n'est pas tout... - Tu sais, je n'ai pas beaucoup d'expérience, avouais-je, honteux. - Puceau ? Ce n'est pas grave... Laisses-moi te montrer. "
Elle me fit signe de me mettre à genoux... Elle écarta les jambes, puis me dit : " lèches-moi ". Je m'approchais de sa fente. Je me mis à la lécher, doucement, lentement. Je saisis son clitoris entre mes lèvres, que je me mis à le sucer comme un bonbon, durant quelques secondes.
Je l'entendis soupirer. Elle mit ses mains sur ma tête, et je continuais de plus belles, goûtant ainsi au jus de sa chatte. Je me mis à la lécher de plus en plus profondément, ses soupirs augmentant à chacun de mes coups de langues... Durant cinq minutes, je la léchais, et je la vis être secouée, comme si elle s'était prise une décharge électrique...
" - Tu n'as pas d'expérience ? Tu m'as fait jouir comme jamais auparavant... Donnes-moi ta queue... Je vais m'en occuper un peu... "
Je m'allongeais sur le canapé. Elle me fit une fellation, sa langue experte aidant à m'exciter encore plus. Ses lèvres coulissèrent le long de mon pénis... Durant quelques instants, elle avait engouffré entièrement mon sexe... Lorsque mon érection fut complète, elle se leva, puis me dit : " Prends-moi ! "
Elle s'empala sur mon sexe. Je sentais la chaude moiteur de son vagin sur ma queue. Elle commença à effectuer des aller-retours sur ma queue. Je l'entendais soupirer un peu plus fort à chaque fois...
" - Putain ! T'as une bonne queue ! Continue ! Continue ! " Devant de tels encouragements, je me mis à accélérer le mouvement. Je sentais qu'elle mouillait de plus en plus à chaque seconde... Je ne savais pas combien de temps je tiendrais...
" Je vais bientôt jouir... " Elle ne répondit que par un petit cri. Quelques instants plus tard, je sentis que je me déversais en elle. Mon sperme chaud lui remplit le vagin. Elle cria, tout en jouissant elle-même. Elle s'allongea sur moi, ses seins écrasés contre mon torse...
" - Y a pas à dire, pour un puceau, tu te débrouilles bien... " Elle se leva, et lécha les quelques traces de sperme qui restait sur le gland de mon pénis.
Elle m'embrassa profondément, jouant de nouveau avec ma langue...
" - Tu es un bon coup, mon gars ! Mais j'en veux encore plus ! ". Sur ces mots, elle prit de nouveau mon pénis en main, et recommença à le faire grossir dans sa bouche...
Quand il fut suffisamment dur, elle m'éjecta du canapé, puis s'agenouilla en face de lui, me montrant son petit cul...
" Prends-moi en levrette ! " Tout en humidifiant mon sexe, je m'abaissais, et je fourrais ma queue dans sa fente. Je commençais alors à la ramoner de nouveau. Je la sentais qui se trémoussais à chaque fois que mon pénis rentrait entièrement dans son vagin.
Au bout de dix minutes, je jouis de nouveau... Elle transpirait à grosse gouttes... Nous nous sommes assis sur le canapé...
" - Dis-donc, un gars ne m'avait jamais autant fait jouir que toi, auparavant... - J'étais puceau... Et je ne regrette rien ! - Encore heureux... "
On s'embrassa à pleine bouche de nouveau. Je glissais ma main entre ses cuisses pour m'amuser de nouveau avec son petit sexe. Je pus sentir sur mes doigts qu'elle mouillait encore un peu...
Mais nous étions tous les deux trop fatigués pour recommencer... Et nous avons fait bien d'autres trucs par la suite... A vrai dire, cela fait presque trente ans que nous faisons des trucs ensemble...
Mais, elle m'appelle, et je ne voudrais pas la faire attendre... A bientôt, peut-être...
"Frederic Bezies" <frederic.bezies@free.fr> a écrit dans le message de news:
bhj170$nrg$1@news-reader2.wanadoo.fr...
Non. Décidément, il faudra lancer un AAV pour renommer le forum en
fr.rec.tv.obsédés.du.cul.
Nous ne sommes que de faibles hommes...
On ne peut pas être aussi chastes que toi
Quoique...
<blabla légal>
Ce texte est bien entendu sous mon copyright, et donc ne peut être
modifié ni adapté sans mon accord.
Ce texte est ouvertement érotique. Si vous êtes choqué par de tels
textes, inutile d'aller plus loin.
</blabla légal>
Peace and Love - (c) 1999 Frédéric Béziès
J'ai toujours aimé lire les histoires de dépucelage. Autant vous
raconter la mienne. Bien qu'elle ait eu lieu, il y a une trentaine
d'années maintenant, elle n'en est pas moins intéressante.
J'étais à l'époque en faculté de droit. A la grande époque de mai
1968. Enfin, un peu après, car je suis rentré en première année en
1969 ! Tout fraîchement bachelier, j'avais quitté ma province pour
aller faire des études à Paris.
J'avais 18 ans. Et j'avais intégré avec joie la faculté de droit. Au
mois de janvier 1970, j'ai eu ma première expérience sexuelle. Et elle
a modifié le cours de ma vie. Timide, je n'osais pas aborder les
filles. Jusqu'au jour où sur les bancs de l'amphithéâtre, je fis
connaissance de Sophie.
Une brune d'environ 1,70 m, des yeux marron clair, des cheveux longs
et ondulés. Sous son pull-over, on pouvait devenir la rondeur de ses
seins, et un mignon petit fessier enrobé dans une jupe bleu clair.
Elle était assise à coté de moi. J'ai tout de suite craqué pour elle.
Je pouvais détacher mon regard de ses seins, que j'essayais d'imaginer
par transparence. Se sentant observé, elle me jeta un regard
inquisiteur. Puis elle me murmura les yeux dans les yeux : " tu veux
pas que je me foute à poil devant toi, non plus ? "
Je ne savais pas quoi répondre, et pour dire, je sentais mon sexe se
durcir dans mes pantalons. Je tournais tant bien que mal la tête de
l'autre côté. En respirant profondément, je me replongeais dans mon
travail, et essayais de reprendre la suite du cours.
Je regardais du coin de l'oeil, de temps à autres, Sophie. Elle
suivait le cours. Et semblait n'en avoir plus rien à faire de ce que
je pouvais bien faire. Cependant, mon pénis n'était pas plus calme
pour autant.
C'est alors que je sentis une main se faufiler entre mes cuisses, et
commencer à me caresser le sexe. Tournant la tête, je pus voir Sophie
en train de me regarder avec un regard étonné, en sentant la grosseur
de mon pénis en train de se durcir.
Je sentis que ma tête allait exploser... Elle me susurra quelque chose
à l'oreille. " Dis-donc, je t'excite autant que çà ? T'as l'air
d'avoir une bonne grosse bête dans ton pantalon... "
Elle me glissa un papier chiffonné, où j'ai pu lire : " rendez-vous à
20 h 30 à ma résidence ". En dessous, une adresse griffonnée. Je
glissais rapidement son papier parmi mes notes. A la fin du cours,
elle prit la poudre d'escampette...
20 h 30. Je frappais à la porte de sa chambre louée en ville. Elle
m'ouvrit, puis me dit d'entrer.
" - Alors, je vois que tu es venu... Tu me reluquais les seins, tout à
l'heure...
- Non ! Pas du tout... répondais-je en balbutiant...
- Ben voyons... Avec la trique que tu avais, ce serait étonnant.
Mais tu l'as de nouveau. "
Elle caressa lentement mon entrejambe. Je sentais que mon pénis était
en train de durcir...
" - Je t'excite donc autant que cela... Et pour tout dire, tu me plais
aussi... Viens approches-toi. "
Elle s'approcha de moi, et m'embrassa à pleine bouche. Je sentis sa
langue, rapide, jouer avec la mienne. Je mis mes mains sur ses
hanches, tout en lui rendant son baiser. Je sentais ses seins contre
mon torse.
" - Déshabilles-toi ! Je t'attends. "
Elle se déshabilla. Je pus voir ses seins magnifiques, en forme de
poire. Elle enleva sa culotte de coton, et je pus voir ses fesses
fermes et rondes. Elle s'approcha de moi, descendit le caleçon que
j'avais gardé, et m'attira vers le canapé.
" - T'as une grosse queue... Laisse-moi y goûter... " A ces mots, elle
engouffra mon pénis dans sa bouche. Je sentais sa langue experte en
train de caresser le gland, puis le reste de ma bite. Je soupirais de
plaisir... Je sentais que j'allais jouir... Mais je ne voulais pas me
décharger dans sa bouche.
" - Arrêtes, je vais jouir...
- Au contraire, j'aime çà ! "
Quelques secondes plus tard, je jouis, lâchant mon sperme dans sa
bouche. Elle gémit, puis avala tout le sperme que j'avais pu éjaculer
dans sa bouche. Je l'observais, avec étonnement...
" - Tu ne savais pas que j'aimais cela ? Mais ce n'est pas tout...
- Tu sais, je n'ai pas beaucoup d'expérience, avouais-je,
honteux.
- Puceau ? Ce n'est pas grave... Laisses-moi te montrer. "
Elle me fit signe de me mettre à genoux... Elle écarta les jambes,
puis me dit : " lèches-moi ". Je m'approchais de sa fente. Je me mis à
la lécher, doucement, lentement. Je saisis son clitoris entre mes
lèvres, que je me mis à le sucer comme un bonbon, durant quelques
secondes.
Je l'entendis soupirer. Elle mit ses mains sur ma tête, et je
continuais de plus belles, goûtant ainsi au jus de sa chatte. Je me
mis à la lécher de plus en plus profondément, ses soupirs augmentant à
chacun de mes coups de langues... Durant cinq minutes, je la léchais,
et je la vis être secouée, comme si elle s'était prise une décharge
électrique...
" - Tu n'as pas d'expérience ? Tu m'as fait jouir comme jamais
auparavant... Donnes-moi ta queue... Je vais m'en occuper un peu... "
Je m'allongeais sur le canapé. Elle me fit une fellation, sa langue
experte aidant à m'exciter encore plus. Ses lèvres coulissèrent le
long de mon pénis... Durant quelques instants, elle avait engouffré
entièrement mon sexe... Lorsque mon érection fut complète, elle se
leva, puis me dit : " Prends-moi ! "
Elle s'empala sur mon sexe. Je sentais la chaude moiteur de son vagin
sur ma queue. Elle commença à effectuer des aller-retours sur ma
queue. Je l'entendais soupirer un peu plus fort à chaque fois...
" - Putain ! T'as une bonne queue ! Continue ! Continue ! " Devant de
tels encouragements, je me mis à accélérer le mouvement. Je sentais
qu'elle mouillait de plus en plus à chaque seconde... Je ne savais pas
combien de temps je tiendrais...
" Je vais bientôt jouir... " Elle ne répondit que par un petit cri.
Quelques instants plus tard, je sentis que je me déversais en elle.
Mon sperme chaud lui remplit le vagin. Elle cria, tout en jouissant
elle-même. Elle s'allongea sur moi, ses seins écrasés contre mon
torse...
" - Y a pas à dire, pour un puceau, tu te débrouilles bien... " Elle
se leva, et lécha les quelques traces de sperme qui restait sur le
gland de mon pénis.
Elle m'embrassa profondément, jouant de nouveau avec ma langue...
" - Tu es un bon coup, mon gars ! Mais j'en veux encore plus ! ". Sur
ces mots, elle prit de nouveau mon pénis en main, et recommença à le
faire grossir dans sa bouche...
Quand il fut suffisamment dur, elle m'éjecta du canapé, puis
s'agenouilla en face de lui, me montrant son petit cul...
" Prends-moi en levrette ! " Tout en humidifiant mon sexe, je
m'abaissais, et je fourrais ma queue dans sa fente. Je commençais
alors à la ramoner de nouveau. Je la sentais qui se trémoussais à
chaque fois que mon pénis rentrait entièrement dans son vagin.
Au bout de dix minutes, je jouis de nouveau... Elle transpirait à
grosse gouttes... Nous nous sommes assis sur le canapé...
" - Dis-donc, un gars ne m'avait jamais autant fait jouir que toi,
auparavant...
- J'étais puceau... Et je ne regrette rien !
- Encore heureux... "
On s'embrassa à pleine bouche de nouveau. Je glissais ma main entre
ses cuisses pour m'amuser de nouveau avec son petit sexe. Je pus
sentir sur mes doigts qu'elle mouillait encore un peu...
Mais nous étions tous les deux trop fatigués pour recommencer... Et
nous avons fait bien d'autres trucs par la suite... A vrai dire, cela
fait presque trente ans que nous faisons des trucs ensemble...
Mais, elle m'appelle, et je ne voudrais pas la faire attendre... A
bientôt, peut-être...
"Frederic Bezies" a écrit dans le message de news: bhj170$nrg$
Non. Décidément, il faudra lancer un AAV pour renommer le forum en fr.rec.tv.obsédés.du.cul.
Nous ne sommes que de faibles hommes... On ne peut pas être aussi chastes que toi
Quoique...
<blabla légal>
Ce texte est bien entendu sous mon copyright, et donc ne peut être modifié ni adapté sans mon accord.
Ce texte est ouvertement érotique. Si vous êtes choqué par de tels textes, inutile d'aller plus loin.
</blabla légal>
Peace and Love - (c) 1999 Frédéric Béziès
J'ai toujours aimé lire les histoires de dépucelage. Autant vous raconter la mienne. Bien qu'elle ait eu lieu, il y a une trentaine d'années maintenant, elle n'en est pas moins intéressante.
J'étais à l'époque en faculté de droit. A la grande époque de mai 1968. Enfin, un peu après, car je suis rentré en première année en 1969 ! Tout fraîchement bachelier, j'avais quitté ma province pour aller faire des études à Paris.
J'avais 18 ans. Et j'avais intégré avec joie la faculté de droit. Au mois de janvier 1970, j'ai eu ma première expérience sexuelle. Et elle a modifié le cours de ma vie. Timide, je n'osais pas aborder les filles. Jusqu'au jour où sur les bancs de l'amphithéâtre, je fis connaissance de Sophie.
Une brune d'environ 1,70 m, des yeux marron clair, des cheveux longs et ondulés. Sous son pull-over, on pouvait devenir la rondeur de ses seins, et un mignon petit fessier enrobé dans une jupe bleu clair. Elle était assise à coté de moi. J'ai tout de suite craqué pour elle. Je pouvais détacher mon regard de ses seins, que j'essayais d'imaginer par transparence. Se sentant observé, elle me jeta un regard inquisiteur. Puis elle me murmura les yeux dans les yeux : " tu veux pas que je me foute à poil devant toi, non plus ? "
Je ne savais pas quoi répondre, et pour dire, je sentais mon sexe se durcir dans mes pantalons. Je tournais tant bien que mal la tête de l'autre côté. En respirant profondément, je me replongeais dans mon travail, et essayais de reprendre la suite du cours.
Je regardais du coin de l'oeil, de temps à autres, Sophie. Elle suivait le cours. Et semblait n'en avoir plus rien à faire de ce que je pouvais bien faire. Cependant, mon pénis n'était pas plus calme pour autant.
C'est alors que je sentis une main se faufiler entre mes cuisses, et commencer à me caresser le sexe. Tournant la tête, je pus voir Sophie en train de me regarder avec un regard étonné, en sentant la grosseur de mon pénis en train de se durcir.
Je sentis que ma tête allait exploser... Elle me susurra quelque chose à l'oreille. " Dis-donc, je t'excite autant que çà ? T'as l'air d'avoir une bonne grosse bête dans ton pantalon... "
Elle me glissa un papier chiffonné, où j'ai pu lire : " rendez-vous à 20 h 30 à ma résidence ". En dessous, une adresse griffonnée. Je glissais rapidement son papier parmi mes notes. A la fin du cours, elle prit la poudre d'escampette...
20 h 30. Je frappais à la porte de sa chambre louée en ville. Elle m'ouvrit, puis me dit d'entrer.
" - Alors, je vois que tu es venu... Tu me reluquais les seins, tout à l'heure... - Non ! Pas du tout... répondais-je en balbutiant... - Ben voyons... Avec la trique que tu avais, ce serait étonnant. Mais tu l'as de nouveau. "
Elle caressa lentement mon entrejambe. Je sentais que mon pénis était en train de durcir...
" - Je t'excite donc autant que cela... Et pour tout dire, tu me plais aussi... Viens approches-toi. "
Elle s'approcha de moi, et m'embrassa à pleine bouche. Je sentis sa langue, rapide, jouer avec la mienne. Je mis mes mains sur ses hanches, tout en lui rendant son baiser. Je sentais ses seins contre mon torse.
" - Déshabilles-toi ! Je t'attends. "
Elle se déshabilla. Je pus voir ses seins magnifiques, en forme de poire. Elle enleva sa culotte de coton, et je pus voir ses fesses fermes et rondes. Elle s'approcha de moi, descendit le caleçon que j'avais gardé, et m'attira vers le canapé.
" - T'as une grosse queue... Laisse-moi y goûter... " A ces mots, elle engouffra mon pénis dans sa bouche. Je sentais sa langue experte en train de caresser le gland, puis le reste de ma bite. Je soupirais de plaisir... Je sentais que j'allais jouir... Mais je ne voulais pas me décharger dans sa bouche.
" - Arrêtes, je vais jouir... - Au contraire, j'aime çà ! "
Quelques secondes plus tard, je jouis, lâchant mon sperme dans sa bouche. Elle gémit, puis avala tout le sperme que j'avais pu éjaculer dans sa bouche. Je l'observais, avec étonnement...
" - Tu ne savais pas que j'aimais cela ? Mais ce n'est pas tout... - Tu sais, je n'ai pas beaucoup d'expérience, avouais-je, honteux. - Puceau ? Ce n'est pas grave... Laisses-moi te montrer. "
Elle me fit signe de me mettre à genoux... Elle écarta les jambes, puis me dit : " lèches-moi ". Je m'approchais de sa fente. Je me mis à la lécher, doucement, lentement. Je saisis son clitoris entre mes lèvres, que je me mis à le sucer comme un bonbon, durant quelques secondes.
Je l'entendis soupirer. Elle mit ses mains sur ma tête, et je continuais de plus belles, goûtant ainsi au jus de sa chatte. Je me mis à la lécher de plus en plus profondément, ses soupirs augmentant à chacun de mes coups de langues... Durant cinq minutes, je la léchais, et je la vis être secouée, comme si elle s'était prise une décharge électrique...
" - Tu n'as pas d'expérience ? Tu m'as fait jouir comme jamais auparavant... Donnes-moi ta queue... Je vais m'en occuper un peu... "
Je m'allongeais sur le canapé. Elle me fit une fellation, sa langue experte aidant à m'exciter encore plus. Ses lèvres coulissèrent le long de mon pénis... Durant quelques instants, elle avait engouffré entièrement mon sexe... Lorsque mon érection fut complète, elle se leva, puis me dit : " Prends-moi ! "
Elle s'empala sur mon sexe. Je sentais la chaude moiteur de son vagin sur ma queue. Elle commença à effectuer des aller-retours sur ma queue. Je l'entendais soupirer un peu plus fort à chaque fois...
" - Putain ! T'as une bonne queue ! Continue ! Continue ! " Devant de tels encouragements, je me mis à accélérer le mouvement. Je sentais qu'elle mouillait de plus en plus à chaque seconde... Je ne savais pas combien de temps je tiendrais...
" Je vais bientôt jouir... " Elle ne répondit que par un petit cri. Quelques instants plus tard, je sentis que je me déversais en elle. Mon sperme chaud lui remplit le vagin. Elle cria, tout en jouissant elle-même. Elle s'allongea sur moi, ses seins écrasés contre mon torse...
" - Y a pas à dire, pour un puceau, tu te débrouilles bien... " Elle se leva, et lécha les quelques traces de sperme qui restait sur le gland de mon pénis.
Elle m'embrassa profondément, jouant de nouveau avec ma langue...
" - Tu es un bon coup, mon gars ! Mais j'en veux encore plus ! ". Sur ces mots, elle prit de nouveau mon pénis en main, et recommença à le faire grossir dans sa bouche...
Quand il fut suffisamment dur, elle m'éjecta du canapé, puis s'agenouilla en face de lui, me montrant son petit cul...
" Prends-moi en levrette ! " Tout en humidifiant mon sexe, je m'abaissais, et je fourrais ma queue dans sa fente. Je commençais alors à la ramoner de nouveau. Je la sentais qui se trémoussais à chaque fois que mon pénis rentrait entièrement dans son vagin.
Au bout de dix minutes, je jouis de nouveau... Elle transpirait à grosse gouttes... Nous nous sommes assis sur le canapé...
" - Dis-donc, un gars ne m'avait jamais autant fait jouir que toi, auparavant... - J'étais puceau... Et je ne regrette rien ! - Encore heureux... "
On s'embrassa à pleine bouche de nouveau. Je glissais ma main entre ses cuisses pour m'amuser de nouveau avec son petit sexe. Je pus sentir sur mes doigts qu'elle mouillait encore un peu...
Mais nous étions tous les deux trop fatigués pour recommencer... Et nous avons fait bien d'autres trucs par la suite... A vrai dire, cela fait presque trente ans que nous faisons des trucs ensemble...
Mais, elle m'appelle, et je ne voudrais pas la faire attendre... A bientôt, peut-être...