Voici mon installation :
Ordinateur ---> borne wifi ---> modem FAI ---> internet
La borne me permet de faire rayonner le wifi là où je suis et où le wifi
du modem ne peut pas m'atteindre.
A l'époque de l'installation, il y a 15 ans, j'ai installé un routeur
LinkSys WRT54G qu'on m'avait offert (merci, les copains) dont j'avais
désactivé la fonction routeur DHCP et qui agit donc comme une borne
émettrice wifi. Je n'ai pas changé l'installation pour acheter un
répéteur.
[Note : Je rappelle que je perds la mémoire.
Pour le moment, le fait de devoir faire une action physique (comme
monter sur une chaise, débrancher un cable) dont j'ai gardé une trace
dans ma mémoire photographique, cela m'aide et je me souviens de ce que
je dois faire sans passer mon temps dans mes notes.]
Donc, le modem Free fait routeur.
IP de la freebox : 192.168.0.254
IP des ordis à la volée : 192.168.0.xx
Il n'y a pas d'IP spécifiée dans la console Free pour la borne wifi.
L'IP locale de la borne wifi est son adresse "naturelle" : 192.168.1.1
Donc, si je veux accéder à la borne wifi, je débranche le cable entre la
borne et le modem, je renouvelle le bail DHCP du mac et j'entre
l'adresse 192.168.1.1 dans firefox.
Si je dois couper le jus de la borne puis le remettre, pas de problème,
les paramètres ne changent pas.
Sauf que des fois, je dois aussi rebooter la borne qui déconnouille, ce
qui remet les paramètres usine et donc réactive le serveur DHCP de la
borne. Je dois donc retourner dans la box (chaise, cable…) pour
désactiver le serveur DHCP.
Existerait-il une façon de faire ça (remettre les paramètres de
désactivation du serveur DHCP de la borne) grâce à un script (auquel je
donnerais un titre bien clair) ou je sais pas quoi, afin de ne pas me
retartiner toute la procédure décrite.
Merci.
--
Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé
Quand les gros seront maigres, les maigres seront morts
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%, (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ? OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire. De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute connaissance de tes problèmes. N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun s'adapte à l'autre ? -- Jean-Pierre
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%michele@inaccessible.org>,
michele@inaccessible.org (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
> diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ?
OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire.
De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute
connaissance de tes problèmes.
N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire
rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun
s'adapte à l'autre ?
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%, (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ? OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire. De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute connaissance de tes problèmes. N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun s'adapte à l'autre ? -- Jean-Pierre
pehache
Le 23/06/2016 à 20:35, J.P a écrit :
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%, (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ? OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire. De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute connaissance de tes problèmes. N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun s'adapte à l'autre ?
Et puis des fois ça fait du bien de "parler".
Le 23/06/2016 à 20:35, J.P a écrit :
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%michele@inaccessible.org>,
michele@inaccessible.org (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ?
OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire.
De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute
connaissance de tes problèmes.
N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire
rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun
s'adapte à l'autre ?
In article <1mpaxjn.1jijoaq7wtqboN%, (Michele) wrote:
François Jacquemin wrote:
diagnostic étiologique ?
Je suis désolée, je n'aurais pas dû répondre.
Mais non ...
Je suis désolée.
Pourquoi ? OK c'est HCharte, mais pas inintéressant, bien au contraire. De plus, cela nous permettra participer à tes discussions en toute connaissance de tes problèmes. N'est-ce pas la base même de toute discussion, conversation, voire rapport humain que du locuteur/émetteur à l'auditeur/récepteur, chacun s'adapte à l'autre ?
Et puis des fois ça fait du bien de "parler".
michele
pehache wrote:
Et puis des fois ça fait du bien de "parler".
Je voulais surtout montrer le côté "inspecteur de police" qui remonte l'intrigue grâce aux indices fugaces (associations d'images et de sensations qui sont restées inscrites), et que ça marchait. Je ne voulais pas être lugubre. Le patos ne m'intéresse pas car ça ne peut pas m'aider. J'observe beaucoup et j'utilise les sensations. je reconstruis des chemins perdus dans une autre partie de mon cerveau avec pleins d'outils créatifs. C'est juste épouvantablement chronophage et je n'ai alors plus l'énergie de faire comprendre que là, j'ai perdu un bout. Même si je reconstruis le bout plus tard grâce à une stratégie de derrière les fagots. Le truc chiant, c'est l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent les moments où je suis très pointue, très affutée, avec les moments où je perds des bouts. Parce que ce n'est pas régulier, prévisible et a priori pas logique. Or, le QI n'intervient pas dans les troubles. On ne devient pas bète. On perd des bouts + les façons de lier les choses entre elles, c'est tout. Et parfois, on les reconstruit autrement. Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat. -- Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé Quand les gros seront maigres, les maigres seront morts
pehache wrote:
Et puis des fois ça fait du bien de "parler".
Je voulais surtout montrer le côté "inspecteur de police" qui remonte
l'intrigue grâce aux indices fugaces (associations d'images et de
sensations qui sont restées inscrites), et que ça marchait.
Je ne voulais pas être lugubre. Le patos ne m'intéresse pas car ça ne
peut pas m'aider.
J'observe beaucoup et j'utilise les sensations. je reconstruis des
chemins perdus dans une autre partie de mon cerveau avec pleins d'outils
créatifs.
C'est juste épouvantablement chronophage et je n'ai alors plus l'énergie
de faire comprendre que là, j'ai perdu un bout. Même si je reconstruis
le bout plus tard grâce à une stratégie de derrière les fagots.
Le truc chiant, c'est l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent
les moments où je suis très pointue, très affutée, avec les moments où
je perds des bouts. Parce que ce n'est pas régulier, prévisible et a
priori pas logique. Or, le QI n'intervient pas dans les troubles. On ne
devient pas bète. On perd des bouts + les façons de lier les choses
entre elles, c'est tout. Et parfois, on les reconstruit autrement.
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive.
Je crains d'avoir raté dans le résultat.
--
Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé
Quand les gros seront maigres, les maigres seront morts
Je voulais surtout montrer le côté "inspecteur de police" qui remonte l'intrigue grâce aux indices fugaces (associations d'images et de sensations qui sont restées inscrites), et que ça marchait. Je ne voulais pas être lugubre. Le patos ne m'intéresse pas car ça ne peut pas m'aider. J'observe beaucoup et j'utilise les sensations. je reconstruis des chemins perdus dans une autre partie de mon cerveau avec pleins d'outils créatifs. C'est juste épouvantablement chronophage et je n'ai alors plus l'énergie de faire comprendre que là, j'ai perdu un bout. Même si je reconstruis le bout plus tard grâce à une stratégie de derrière les fagots. Le truc chiant, c'est l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent les moments où je suis très pointue, très affutée, avec les moments où je perds des bouts. Parce que ce n'est pas régulier, prévisible et a priori pas logique. Or, le QI n'intervient pas dans les troubles. On ne devient pas bète. On perd des bouts + les façons de lier les choses entre elles, c'est tout. Et parfois, on les reconstruit autrement. Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat. -- Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé Quand les gros seront maigres, les maigres seront morts
J.P
In article <1mpbtlo.1hs60521dznok4N%, (Michele) wrote:
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat.
Non, du tout. -- Jean-Pierre
In article <1mpbtlo.1hs60521dznok4N%michele@inaccessible.org>,
michele@inaccessible.org (Michele) wrote:
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive.
Je crains d'avoir raté dans le résultat.
In article <1mpbtlo.1hs60521dznok4N%, (Michele) wrote:
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat.
Non, du tout. -- Jean-Pierre
Jean-Pierre Kuypers
In article (Dans l'article) <1mpbtlo.1hs60521dznok4N%, Michele wrote (écrivait) :
... l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent les moments où je suis très pointue, très affutée, avec les moments où je perds des bouts.
Le tout est de rester droit dans l'enfilade, non ? -- Jean-Pierre Kuypers Veuillez affuter les phrases dans leur con- texte avant de pointer sciemment.
In article (Dans l'article)
<1mpbtlo.1hs60521dznok4N%michele@inaccessible.org>, Michele
<michele@inaccessible.org> wrote (écrivait) :
... l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent les moments où
je suis très pointue, très affutée, avec les moments où je perds des
bouts.
Le tout est de rester droit dans l'enfilade, non ?
--
Jean-Pierre Kuypers
Veuillez affuter les phrases dans leur con-
texte avant de pointer sciemment.
In article (Dans l'article) <1mpbtlo.1hs60521dznok4N%, Michele wrote (écrivait) :
... l'impatience de mes interlocuteurs qui confondent les moments où je suis très pointue, très affutée, avec les moments où je perds des bouts.
Le tout est de rester droit dans l'enfilade, non ? -- Jean-Pierre Kuypers Veuillez affuter les phrases dans leur con- texte avant de pointer sciemment.
freedom
Michele wrote:
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat.
C'est tout le contraire. Tu nous donne l'occasion de voir le beau et chaleureux côté de l'humanité. Bien à toi Pedro
Michele <michele@inaccessible.org> wrote:
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive.
Je crains d'avoir raté dans le résultat.
C'est tout le contraire. Tu nous donne l'occasion de voir le beau et
chaleureux côté de l'humanité.
Je ne voulais pas être chiante mais positive, instructive. Je crains d'avoir raté dans le résultat.
C'est tout le contraire. Tu nous donne l'occasion de voir le beau et chaleureux côté de l'humanité. Bien à toi Pedro
francois.jacquemin
Michele wrote:
La seule chose que je sache, c'est que si j'ai un jour des épisodes où je ne suis pas capable de me servir d'un objet du quotidien, là, je ferai un dossier et j'irai en suisse, je garde de l'argent de côté pour ça. Il n'est pas question que je subisse ce que j'ai vu autour de moi dans la phase terminale du grand A.
D'abord, merci d'avoir répondu, et veuille m'excuser de ne pas t'avoir; à mon tour, répondu tout de suite. C'est dourageux et sympa, de ta part; et ça permet de pouvoir dialoguer en connaissance de cause. Mais je voudrais insister : il n'y a pas que le "grand A", pour reprendre ton expression, il y a eu des tas de progèrs dans ce domaine, les connaissances se sont affinées parce qu'il y a maintenant des moyens de parer à certains troubles de la mémoir, ou, plutôt, des mémoires, car on sait maintenant qu'il n'y a pas qu'une mémoire, mais plein de mémoires différentesconcernant des structures cérébrales différentes et des pathologies différentes. Il existe également des traitements efficaces, inhibiyeurs de la choliestérase, mémantine par exemple, dans certaines indications. Le mieux est, avant d'envisager de s'envoyer définitivement hors charte, de voir un neurologue, de se faire poser le bon diagnostic, le bon traitement, et de réserver toute solution radicale seulement aux situation radicales. En attendant, à nous de te répondre de notre mieux, et sache que, quel que soit l'état de ta mémoire, ça n'altère en effet en rien la qualité des échanges avec toi. -- F. J.
Michele <michele@inaccessible.org> wrote:
La seule chose que je sache, c'est que si j'ai un jour des épisodes où
je ne suis pas capable de me servir d'un objet du quotidien, là, je
ferai un dossier et j'irai en suisse, je garde de l'argent de côté pour
ça. Il n'est pas question que je subisse ce que j'ai vu autour de moi
dans la phase terminale du grand A.
D'abord, merci d'avoir répondu, et veuille m'excuser de ne pas t'avoir;
à mon tour, répondu tout de suite. C'est dourageux et sympa, de ta part;
et ça permet de pouvoir dialoguer en connaissance de cause.
Mais je voudrais insister : il n'y a pas que le "grand A", pour
reprendre ton expression, il y a eu des tas de progèrs dans ce domaine,
les connaissances se sont affinées parce qu'il y a maintenant des moyens
de parer à certains troubles de la mémoir, ou, plutôt, des mémoires, car
on sait maintenant qu'il n'y a pas qu'une mémoire, mais plein de
mémoires différentesconcernant des structures cérébrales différentes et
des pathologies différentes. Il existe également des traitements
efficaces, inhibiyeurs de la choliestérase, mémantine par exemple, dans
certaines indications. Le mieux est, avant d'envisager de s'envoyer
définitivement hors charte, de voir un neurologue, de se faire poser le
bon diagnostic, le bon traitement, et de réserver toute solution
radicale seulement aux situation radicales.
En attendant, à nous de te répondre de notre mieux, et sache que, quel
que soit l'état de ta mémoire, ça n'altère en effet en rien la qualité
des échanges avec toi.
--
F. J.
La seule chose que je sache, c'est que si j'ai un jour des épisodes où je ne suis pas capable de me servir d'un objet du quotidien, là, je ferai un dossier et j'irai en suisse, je garde de l'argent de côté pour ça. Il n'est pas question que je subisse ce que j'ai vu autour de moi dans la phase terminale du grand A.
D'abord, merci d'avoir répondu, et veuille m'excuser de ne pas t'avoir; à mon tour, répondu tout de suite. C'est dourageux et sympa, de ta part; et ça permet de pouvoir dialoguer en connaissance de cause. Mais je voudrais insister : il n'y a pas que le "grand A", pour reprendre ton expression, il y a eu des tas de progèrs dans ce domaine, les connaissances se sont affinées parce qu'il y a maintenant des moyens de parer à certains troubles de la mémoir, ou, plutôt, des mémoires, car on sait maintenant qu'il n'y a pas qu'une mémoire, mais plein de mémoires différentesconcernant des structures cérébrales différentes et des pathologies différentes. Il existe également des traitements efficaces, inhibiyeurs de la choliestérase, mémantine par exemple, dans certaines indications. Le mieux est, avant d'envisager de s'envoyer définitivement hors charte, de voir un neurologue, de se faire poser le bon diagnostic, le bon traitement, et de réserver toute solution radicale seulement aux situation radicales. En attendant, à nous de te répondre de notre mieux, et sache que, quel que soit l'état de ta mémoire, ça n'altère en effet en rien la qualité des échanges avec toi. -- F. J.
