"Jean-Marc Desperrier" <jmdesp@alussinan.org> a écrit dans le message de
news:hjp19i$2eq$1@writer.imaginet.fr...
(...)
> Le fait est que la très grande majorité des lignes dégroupées chez Free
> atteignent au moins 780 Kbit en montant. L'exemple donné par Channels le
> montre, même sur une ligne en Re-ADSL2 de 7km, le montant est encore à
> 550 Kb.
Ce qui me fait (re-)penser* à cette "modite" offre Orange "8MegaMax-2Mb",
que FT propose aux abonnés sur ses NRA non fibrés :
[ Rappel, celle-ci limite en dure les débits IP en du 2048 / 256 kbs. ]
=> En quoi limiter ici, le débit montant servirait à "décharger" les liens de
collecte... Ces derniers sont non-pas assymetriques, mais symmetriques, et
sont (seront) surchargés BieN avant leur débit d'Upload...
J'espère qu'on arrive à me suivre, et alors à entrevoir l'illogisme des "birdes"
des "techniciens" de France Telecom / Orange. ;-)
Mais j'espère surtout que des experts/pros du NG puissent éclairer ma lantenerne. =)
* : bien qu'ici, dans le thread initial on parlait de bride physique du signal. Mais
que dans tous les cas, les lignes même éloignée et/ou ayant un NRA non fibré,
pouraient (enfin!) avoir une config DLSAM en 2048 / 1024 kbs ...
Merci encore
Thom, galérant pour envoyer/publier ses photos/vidéos à ses amis/famille.
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6dddf3$0$17484$
Il n'y a pas forcément alarme, quand les liens 2Mbit/s du DSLAM sont pleins, il n'y a pas d'anomalie technique au sens réseau. La saturation du lien est gérée par une baisse de débit côté abonnés.
Certes, mais n'est ce pas justement une anomalie dans la gestion de la charge des liens réseaux ?
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
De plus, quand je lis mon contrat j'observe dans l'article 17 intitulé "Qualité de service" : Par ailleurs france telecom s'engage a mettre a disposition du client une capacité de débit minimum sur le mois calendaire. Cette capacité varie selon le debit technique du client, determiné a partir des caracteristiques techniques de la ligne : Pour un débit technique de 1 mégamax (...) Pour un débit technique de 2 mégamax, la capacité de débit minimum descendant est de 512 kilobits selon la norme IP (...).
Il arrive que certains de mes DSLtest ressorte un débit descendant de 300kbs ... De plus cela peut logiquement sous entendre qu'il existe un cahier des charges technique en interne pour dimensioner les liens de collecte. Bref, j'aurais ici un moyen de faire pression/levier sur FT pour faire avancer les choses de façon plus...brutale. ;-)
Libellé ainsi, c'est opposable, en effet.
(Je ne pense pas non plus que la région, qui a passé un appel d'offre* et a retenu FT, soit tres heureuse d'apprendre que son "client" ne respecte pas pleinement ses engagements).
Le reste est une question de finances, notamment de rentabilité. Et là, ça nous dépasse l'un et l'autre.
J'en conviens parfaitement. Bien qu'il me reste en travers de la gorge le fait que mes collectivités (Région Auvergne, conseils général...) aient du verser d'importantes sommes pour faire installer ces TPST et qu'au final certains des CN2 soient sous-dimensionés (étude technique!..) .
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son client, mais son fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de contrat. Je pense donc que tu as voulu dire fournisseur. Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale fait son affaire du terrain, du local, de son alimentation électrique, et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut débit de raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI achètent des DSLAM et les implantent dans le local, contre rémunération versé à la collectivité. Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont donc le résultat d'un achat passé par la collectivité locale auprès d'un opérateur. Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet d'ailleurs cette conversation dépassionnée, ce qui change agréablement de certains fils de discussion sur frta.
Bone soirée.
Didier.
thoms a écrit :
"Didier" <nospamdidier@invalid.fr> a écrit dans le message de news:
4b6dddf3$0$17484$ba4acef3@news.orange.fr...
Il n'y a pas forcément alarme, quand les liens 2Mbit/s du DSLAM sont pleins, il n'y a pas
d'anomalie technique au sens réseau.
La saturation du lien est gérée par une baisse de débit côté abonnés.
Certes, mais n'est ce pas justement une anomalie dans la gestion de
la charge des liens réseaux ?
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire.
Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées
d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne
(défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
De plus, quand je lis mon contrat j'observe dans l'article 17 intitulé
"Qualité de service" :
Par ailleurs france telecom s'engage a mettre a disposition du client une
capacité de débit minimum sur le mois calendaire. Cette capacité varie
selon le debit technique du client, determiné a partir des caracteristiques
techniques de la ligne :
Pour un débit technique de 1 mégamax (...)
Pour un débit technique de 2 mégamax, la capacité de débit minimum
descendant est de 512 kilobits selon la norme IP (...).
Il arrive que certains de mes DSLtest ressorte un débit descendant de
300kbs ... De plus cela peut logiquement sous entendre qu'il existe un
cahier des charges technique en interne pour dimensioner les liens de
collecte.
Bref, j'aurais ici un moyen de faire pression/levier sur FT pour faire
avancer les choses de façon plus...brutale. ;-)
Libellé ainsi, c'est opposable, en effet.
(Je ne pense pas non plus que la région, qui a passé un appel d'offre*
et a retenu FT, soit tres heureuse d'apprendre que son "client" ne
respecte pas pleinement ses engagements).
Le reste est une question de finances, notamment de rentabilité.
Et là, ça nous dépasse l'un et l'autre.
J'en conviens parfaitement. Bien qu'il me reste en travers de la gorge
le fait que mes collectivités (Région Auvergne, conseils général...) aient
du verser d'importantes sommes pour faire installer ces TPST et qu'au
final certains des CN2 soient sous-dimensionés (étude technique!..) .
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son
client, mais son fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de
contrat. Je pense donc que tu as voulu dire fournisseur.
Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale
fait son affaire du terrain, du local, de son alimentation électrique,
et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut débit de
raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI
achètent des DSLAM et les implantent dans le local, contre rémunération
versé à la collectivité.
Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont
donc le résultat d'un achat passé par la collectivité locale auprès d'un
opérateur.
Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet
d'ailleurs cette conversation dépassionnée, ce qui change agréablement
de certains fils de discussion sur frta.
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6dddf3$0$17484$
Il n'y a pas forcément alarme, quand les liens 2Mbit/s du DSLAM sont pleins, il n'y a pas d'anomalie technique au sens réseau. La saturation du lien est gérée par une baisse de débit côté abonnés.
Certes, mais n'est ce pas justement une anomalie dans la gestion de la charge des liens réseaux ?
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
De plus, quand je lis mon contrat j'observe dans l'article 17 intitulé "Qualité de service" : Par ailleurs france telecom s'engage a mettre a disposition du client une capacité de débit minimum sur le mois calendaire. Cette capacité varie selon le debit technique du client, determiné a partir des caracteristiques techniques de la ligne : Pour un débit technique de 1 mégamax (...) Pour un débit technique de 2 mégamax, la capacité de débit minimum descendant est de 512 kilobits selon la norme IP (...).
Il arrive que certains de mes DSLtest ressorte un débit descendant de 300kbs ... De plus cela peut logiquement sous entendre qu'il existe un cahier des charges technique en interne pour dimensioner les liens de collecte. Bref, j'aurais ici un moyen de faire pression/levier sur FT pour faire avancer les choses de façon plus...brutale. ;-)
Libellé ainsi, c'est opposable, en effet.
(Je ne pense pas non plus que la région, qui a passé un appel d'offre* et a retenu FT, soit tres heureuse d'apprendre que son "client" ne respecte pas pleinement ses engagements).
Le reste est une question de finances, notamment de rentabilité. Et là, ça nous dépasse l'un et l'autre.
J'en conviens parfaitement. Bien qu'il me reste en travers de la gorge le fait que mes collectivités (Région Auvergne, conseils général...) aient du verser d'importantes sommes pour faire installer ces TPST et qu'au final certains des CN2 soient sous-dimensionés (étude technique!..) .
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son client, mais son fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de contrat. Je pense donc que tu as voulu dire fournisseur. Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale fait son affaire du terrain, du local, de son alimentation électrique, et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut débit de raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI achètent des DSLAM et les implantent dans le local, contre rémunération versé à la collectivité. Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont donc le résultat d'un achat passé par la collectivité locale auprès d'un opérateur. Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet d'ailleurs cette conversation dépassionnée, ce qui change agréablement de certains fils de discussion sur frta.
Bone soirée.
Didier.
thoms
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6defa0$0$968$
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...). Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son client, mais son fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de contrat. Je pense donc que tu as voulu dire fournisseur. Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale fait son affaire du terrain, du local, de son alimentation électrique, et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut débit de raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI achètent des DSLAM et les implantent dans le local, contre rémunération versé à la collectivité. Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont donc le résultat d'un achat passé par la collectivité locale auprès d'un opérateur. Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
D'apres ce que j'ai compris, la région souhaitait obtenir une "résorption des zones blanches, non encore desservies en haut debit". Elle a l'ancée une consultation publique, et a finalement choisi FTdans le cadre donc d'un "partenariat publique privé". En effet, il semblerait que dans ce cadre là, on parle non pas de client, mais de "partenaire". L'étude technique sur le dimensionement/instalation (etc.) n'a pas été réalisé, à ma connaissance, par le service des TIC de la région. Mais a du être réalisé par FT, qui a fourni alors une solution complète à la région. Cette dernière était à l'origine ouverte à toute proposition technique, NRA-ZO, WIMAX, SAT+WIFI etc. Au mieux la région aurait été maitre d'oeuvre ?
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet d'ailleurs cette conversation dépassionnée, ce qui change agréablement de certains fils de discussion sur frta.
Je pense aussi ! ;-) Je n'interviens pas souvent sur le NG mais j'apprecie toujours autant d'apprendre et de comprendre. Je pense que la curiosité n'est justement pas (du tout!) un vilain défaut !
@+
"Didier" <nospamdidier@invalid.fr> a écrit dans le message de news:
4b6defa0$0$968$ba4acef3@news.orange.fr...
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire.
Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point
que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames,
etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que
la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...).
Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait
une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son client, mais son
fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de contrat. Je pense donc que tu as voulu dire
fournisseur.
Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale fait son affaire du terrain,
du local, de son alimentation électrique, et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut
débit de raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI achètent des DSLAM et les
implantent dans le local, contre rémunération versé à la collectivité.
Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont donc le résultat d'un achat
passé par la collectivité locale auprès d'un opérateur.
Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
D'apres ce que j'ai compris, la région souhaitait obtenir une "résorption des
zones blanches, non encore desservies en haut debit". Elle a l'ancée une
consultation publique, et a finalement choisi FTdans le cadre donc d'un
"partenariat publique privé".
En effet, il semblerait que dans ce cadre là, on parle non pas de client,
mais de "partenaire".
L'étude technique sur le dimensionement/instalation (etc.) n'a pas été
réalisé, à ma connaissance, par le service des TIC de la région. Mais
a du être réalisé par FT, qui a fourni alors une solution complète à la région.
Cette dernière était à l'origine ouverte à toute proposition technique,
NRA-ZO, WIMAX, SAT+WIFI etc. Au mieux la région aurait été
maitre d'oeuvre ?
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet d'ailleurs cette conversation
dépassionnée, ce qui change agréablement de certains fils de discussion sur frta.
Je pense aussi ! ;-) Je n'interviens pas souvent sur le NG mais j'apprecie
toujours autant d'apprendre et de comprendre. Je pense que la curiosité
n'est justement pas (du tout!) un vilain défaut !
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6defa0$0$968$
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...). Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Si FT doit quelque chose à la collectivité locale, il n'est donc pas son client, mais son fournisseur, ce qui est plus contraignant en terme de contrat. Je pense donc que tu as voulu dire fournisseur. Mais si c'est le cas, du moins pour les NRAZO, la collectivité locale fait son affaire du terrain, du local, de son alimentation électrique, et se fournit auprès d'un opérateur pour les liens haut débit de raccordement du local au coeur de réseau de l'opérateur. Les FAI achètent des DSLAM et les implantent dans le local, contre rémunération versé à la collectivité. Le dimensionnement des liens entre le local et le coeur de réseau sont donc le résultat d'un achat passé par la collectivité locale auprès d'un opérateur. Par exemple, en Mayennne, les liens (achetés à FT) sont à environ 50 Mbit/s.
D'apres ce que j'ai compris, la région souhaitait obtenir une "résorption des zones blanches, non encore desservies en haut debit". Elle a l'ancée une consultation publique, et a finalement choisi FTdans le cadre donc d'un "partenariat publique privé". En effet, il semblerait que dans ce cadre là, on parle non pas de client, mais de "partenaire". L'étude technique sur le dimensionement/instalation (etc.) n'a pas été réalisé, à ma connaissance, par le service des TIC de la région. Mais a du être réalisé par FT, qui a fourni alors une solution complète à la région. Cette dernière était à l'origine ouverte à toute proposition technique, NRA-ZO, WIMAX, SAT+WIFI etc. Au mieux la région aurait été maitre d'oeuvre ?
Je crois qu'on est bien sur la même longueur d'onde, ce qui permet d'ailleurs cette conversation dépassionnée, ce qui change agréablement de certains fils de discussion sur frta.
Je pense aussi ! ;-) Je n'interviens pas souvent sur le NG mais j'apprecie toujours autant d'apprendre et de comprendre. Je pense que la curiosité n'est justement pas (du tout!) un vilain défaut !
@+
Didier
thoms a écrit :
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6defa0$0$968$
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...). Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Sur une transmission à 2Mbit/s "traditionnelle" (je veux dire pas en xDSL), on a une trame à 2Mbit/s, avec une en-tête, qui contient un mot de verrouillage de trame, qui est un fanion permettant de détecter un début de trame. En cas de non reconnaissance de ce mot, le récepteur tente de le reconnaître pendant un certain temps, avant de déclencher une alarme "PVT : perte de verrouillage de trame". De même, on a une notion de multitrame (de DSL n'a rien inventé de côté là finalement), composée d'un certain nombre de trames (là je n'ai pas le nombre en tête), avec un mor de verrouillage de multitrame. On aura donc, en cas de non reconnaissance, une alarme "PVMT perte de verrouillage de multitrame". Ce sont deux des cas d'alarmes qualifiées chez nous d'"immédiates", déclenchant une intervention immédiate de l'astreinte 24/24 7/7. Au contraire d'autres alarmes "non immédiates", car le système a basculé sur un secours, et l'intervention peut-être différée au jour ouvrable suivant. Pour compléter, le système propage l'alarme vers l'avant comme une alarme sur un équipement amont, afin qu'on ne recherche pas la panne sur les équipements aval, qui vont inévitable alarmer, puisqu'ils auront aussi perdu leur réception.
Didier.
thoms a écrit :
"Didier" <nospamdidier@invalid.fr> a écrit dans le message de news:
4b6defa0$0$968$ba4acef3@news.orange.fr...
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire.
Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point
que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames,
etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que
la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...).
Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait
une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Sur une transmission à 2Mbit/s "traditionnelle" (je veux dire pas en
xDSL), on a une trame à 2Mbit/s, avec une en-tête, qui contient un mot
de verrouillage de trame, qui est un fanion permettant de détecter un
début de trame.
En cas de non reconnaissance de ce mot, le récepteur tente de le
reconnaître pendant un certain temps, avant de déclencher une alarme
"PVT : perte de verrouillage de trame".
De même, on a une notion de multitrame (de DSL n'a rien inventé de côté
là finalement), composée d'un certain nombre de trames (là je n'ai pas
le nombre en tête), avec un mor de verrouillage de multitrame. On aura
donc, en cas de non reconnaissance, une alarme "PVMT perte de
verrouillage de multitrame".
Ce sont deux des cas d'alarmes qualifiées chez nous d'"immédiates",
déclenchant une intervention immédiate de l'astreinte 24/24 7/7.
Au contraire d'autres alarmes "non immédiates", car le système a basculé
sur un secours, et l'intervention peut-être différée au jour ouvrable
suivant.
Pour compléter, le système propage l'alarme vers l'avant comme une
alarme sur un équipement amont, afin qu'on ne recherche pas la panne sur
les équipements aval, qui vont inévitable alarmer, puisqu'ils auront
aussi perdu leur réception.
"Didier" a écrit dans le message de news: 4b6defa0$0$968$
Anomalie dans la gestion certes, si FT est le gestionnaire. Mais une anomalie technique (celle qui déclenche les remontées d'alarmes, c'est juste sur ce point que je répondais), c'est une panne (défaut physique, perte de trames ou de verrouillage de trames, etc ...).
Ah, d'accord, en fait ces "alarmes" remontent sur d'autres critères que la simple (sur)charge des liens (j'imagine que ca dépend des "liens"...). Pour ma "culture", le verouillage de trames dont vous faites part serait une sorte de "synchronisation" des équipements aux extremité d'un lien?
Sur une transmission à 2Mbit/s "traditionnelle" (je veux dire pas en xDSL), on a une trame à 2Mbit/s, avec une en-tête, qui contient un mot de verrouillage de trame, qui est un fanion permettant de détecter un début de trame. En cas de non reconnaissance de ce mot, le récepteur tente de le reconnaître pendant un certain temps, avant de déclencher une alarme "PVT : perte de verrouillage de trame". De même, on a une notion de multitrame (de DSL n'a rien inventé de côté là finalement), composée d'un certain nombre de trames (là je n'ai pas le nombre en tête), avec un mor de verrouillage de multitrame. On aura donc, en cas de non reconnaissance, une alarme "PVMT perte de verrouillage de multitrame". Ce sont deux des cas d'alarmes qualifiées chez nous d'"immédiates", déclenchant une intervention immédiate de l'astreinte 24/24 7/7. Au contraire d'autres alarmes "non immédiates", car le système a basculé sur un secours, et l'intervention peut-être différée au jour ouvrable suivant. Pour compléter, le système propage l'alarme vers l'avant comme une alarme sur un équipement amont, afin qu'on ne recherche pas la panne sur les équipements aval, qui vont inévitable alarmer, puisqu'ils auront aussi perdu leur réception.
Didier.
Guénol
Le 2010-02-05, Didier nous racontait :
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL. Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ? Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau. Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait problème ?
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du
genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL.
Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un
NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des
liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ?
Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les
ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau.
Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait
problème ?
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL. Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ? Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau. Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait problème ?
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL. Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ? Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau. Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait problème ?
C'est sans doute limité, mais je n'ai pas d'info technique là-dessus. Actuellement, à FT, je crois qu'on ne fait pas plus que 4x2Mbit/s. La saturation des transports, c'est plutôt en paires "micables". Didier.
Guénol a écrit :
Le 2010-02-05, Didier nous racontait :
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du
genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL.
Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un
NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des
liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ?
Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les
ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau.
Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait
problème ?
C'est sans doute limité, mais je n'ai pas d'info technique là-dessus.
Actuellement, à FT, je crois qu'on ne fait pas plus que 4x2Mbit/s.
La saturation des transports, c'est plutôt en paires "micables".
Didier.
Entre le NRA et le NRAHD, on a soit de la fibre, soit du cuivre (du genre 2 paires pour un 2 Mbit/s), mais pas une paire par abonné ADSL. Je vouslais dire que l'abandon du RTC pour des abonnés reliés sur un NRAHD libérerait autant de paires de cuivre, qui pourraient servir à des liens 2 Mbit/s.
Tu penses vraiment qu'il y a des saturations de ressources à ce niveau ? Les nra HD étant de plus récents, ca me parrait assez improbable que les ressources en paires de cuivres soient saturés à ce niveau. Ce ne serait pas plutôt l'agrégation des n* liens 2M qui poserait problème ?
C'est sans doute limité, mais je n'ai pas d'info technique là-dessus. Actuellement, à FT, je crois qu'on ne fait pas plus que 4x2Mbit/s. La saturation des transports, c'est plutôt en paires "micables". Didier.