Voici une tentative, malheureusement infructueuse, pour remplir une
image vide :
http://perso.orange.fr/albert.lemoine/panoramique/fontaine_darcy_01.htm
Commentaire et explication :
Moins spectaculaire et plus compliquée qu'une image précédente du même
lieu :
http://perso.orange.fr/albert.lemoine/panoramique/fontaine_darcy.htm
Je voulais pour une fois essayer de remplir cette image vide avec
moi-même, c'est à dire en me photographiant en train de me photographier et
sans l'aide d'un miroir. J'ai ainsi pris deux points de vue opposés
du même lieu ; c'est à dire que dans cette image, l'arrière plan de la vue
du haut qui est en contre jour, devient le premier plan de la vue du bas, et
inversement. Situation ou dimension totalement absurde car il aurait fallu
que je sois doué d'ubiquité afin que ma position au premier plan, me fasse
me photographier moi même à l'arrière plan, sic !
D'ailleurs, par acquis de conscience, je me suis cherché plus tard dans
l'image (l'originale est très détaillée et fait plus de 18.000 pixels de
large). Au premier plan il n'y a que mon ombre, ce qui est normal,
quoique... Mais dans les deux arrières plans, là où j'aurais dû être aussi,
je ne me suis pas trouvé :
http://cjoint.com/?knrYKzrkaJ
http://cjoint.com/?knrZP7RThc
Cela confirme pour l'instant la fameuse théorie des images vides.
Excusez-moi pour ce développement un peu compliqué et dénotant un ego
totalement surdimensionné. En effet, peut-être qu'une image vide pourrait se
remplir avec autre chose que soi-même, qui sait ?
Qu'à cela ne tienne, il ne faut jamais désespérer, je ferais bien
d'autres essais demain...
Amitiés,
Albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------
J'ai fait les même yeux que le lapin. À croire que Bour Brown avait photographié à l'avance et à distance ma réactoin. Quel talent.
Bour brown : Et un lapin vide, un !
http://cjoint.com/?kovUvLRgMO (800 x 800, 420 ko)
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
J'ai fait les même yeux que le lapin. À croire que Bour Brown avait
photographié à l'avance et à distance ma réactoin. Quel talent.
Bour brown :
Et un lapin vide, un !
http://cjoint.com/?kovUvLRgMO
(800 x 800, 420 ko)
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
J'ai fait les même yeux que le lapin. À croire que Bour Brown avait photographié à l'avance et à distance ma réactoin. Quel talent.
Bour brown : Et un lapin vide, un !
http://cjoint.com/?kovUvLRgMO (800 x 800, 420 ko)
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
dom78 wrote:
Voici une tentative, malheureusement infructueuse, pour remplir une image vide : http://perso.orange.fr/albert.lemoine/panoramique/fontaine_darcy_01.htm
Personnellement, ça me retourne l'estomac (au sens propre) ces images trafiquées, j'y pers trop mes points de reperd,
Toi tu ferais avoir des orgasmes spontanés à un collège de Lacaniens.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
dom78 <d.o.m.7.8.@.f.r.e.e...f.r> wrote:
Voici une tentative, malheureusement infructueuse, pour remplir une
image vide :
http://perso.orange.fr/albert.lemoine/panoramique/fontaine_darcy_01.htm
Personnellement, ça me retourne l'estomac (au sens propre) ces images
trafiquées, j'y pers trop mes points de reperd,
Toi tu ferais avoir des orgasmes spontanés à un collège de Lacaniens.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Voici une tentative, malheureusement infructueuse, pour remplir une image vide : http://perso.orange.fr/albert.lemoine/panoramique/fontaine_darcy_01.htm
Personnellement, ça me retourne l'estomac (au sens propre) ces images trafiquées, j'y pers trop mes points de reperd,
Toi tu ferais avoir des orgasmes spontanés à un collège de Lacaniens.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown
albert a écrit ( 453182f7$0$27392$ )
Et mais je voudrais savoir, tu gardes toujours un lapin qui miaule dans un coin, pour tes expérimentations et qui gueule : Non ! Non ! Pas sous les projos ! Pitié, rend moi ma peau ?
Attends, les miens ce sont des lapins exhibitionnistes, ils adorent se montrer en pleine lumière, montrer de quoi ils sont fait, montrer ce qui se cache sous une fourrure douce que de toute façon ils n'aiment pas. Des artistes, quoi. Bon, d'accord, ils y laissent leur peau - leur vie aussi, un peu - mais faut savoir ce qu'on veut.
Ou bien c'en est un que tu sors du congel et que tu peins avec de la gélatine, pour qu'il brille sous les spots ?
Un lapin raide, mais quelle horreur.
Les miens, c'est certes du lapin froid, c'est aussi du lapin qui brille parce qu'ils sont de la race qui préfère faire dans le reflet que dans le clair-obscur, mais ça reste quand même du lapin mou, du lapin capable de se tordre sur les chemins de la création, ça.
Depuis quelques années il te livre des images de lapin, il ne contient que des images de lapin.
Ah non, chez moi y en a partout. Des morceaux sur le disque dur, c'est vrai, mais aussi dans le tube cathodique, dans la tablette graphique, dans l'imprimante. Quand ça se met à vouloir sortir, y a d'abord une sorte de frémissement, puis ça se met à bouillonner jour et nuit - il m'arrive d'en avoir des suées nocturnes - jusqu'à ce que je les délivre. Ils veulent sortir, mais ils ne savent pas toujours comment faire, pour eux c'est toujours une première fois, hein. Alors des fois ils m'aident, ils viennent tout seul, et des fois c'est un vrai pensum avec les cliquetis d'ordinateur qui rame et des heures de travail pour les accoucher.
On sait jamais lesquels seront viables, d'ailleurs.
Mais dans l'ensemble ils sont contents.
http://cjoint.com/?kplXwyNSTB (800 x 800, 130 ko)
albert a écrit
( 453182f7$0$27392$ba4acef3@news.orange.fr )
Et mais je voudrais savoir, tu gardes toujours un lapin qui miaule dans un
coin, pour tes expérimentations et qui gueule : Non ! Non ! Pas sous les
projos ! Pitié, rend moi ma peau ?
Attends, les miens ce sont des lapins exhibitionnistes, ils adorent se
montrer en pleine lumière, montrer de quoi ils sont fait, montrer ce qui se
cache sous une fourrure douce que de toute façon ils n'aiment pas. Des
artistes, quoi. Bon, d'accord, ils y laissent leur peau - leur vie aussi, un
peu - mais faut savoir ce qu'on veut.
Ou bien c'en est un que tu sors du congel et que tu peins avec de la
gélatine, pour qu'il brille sous les spots ?
Un lapin raide, mais quelle horreur.
Les miens, c'est certes du lapin froid, c'est aussi du lapin qui brille
parce qu'ils sont de la race qui préfère faire dans le reflet que dans le
clair-obscur, mais ça reste quand même du lapin mou, du lapin capable de se
tordre sur les chemins de la création, ça.
Depuis quelques années il te livre des images de lapin, il ne contient que
des images de lapin.
Ah non, chez moi y en a partout. Des morceaux sur le disque dur, c'est vrai,
mais aussi dans le tube cathodique, dans la tablette graphique, dans
l'imprimante. Quand ça se met à vouloir sortir, y a d'abord une sorte de
frémissement, puis ça se met à bouillonner jour et nuit - il m'arrive d'en
avoir des suées nocturnes - jusqu'à ce que je les délivre. Ils veulent
sortir, mais ils ne savent pas toujours comment faire, pour eux c'est
toujours une première fois, hein. Alors des fois ils m'aident, ils viennent
tout seul, et des fois c'est un vrai pensum avec les cliquetis d'ordinateur
qui rame et des heures de travail pour les accoucher.
On sait jamais lesquels seront viables, d'ailleurs.
Et mais je voudrais savoir, tu gardes toujours un lapin qui miaule dans un coin, pour tes expérimentations et qui gueule : Non ! Non ! Pas sous les projos ! Pitié, rend moi ma peau ?
Attends, les miens ce sont des lapins exhibitionnistes, ils adorent se montrer en pleine lumière, montrer de quoi ils sont fait, montrer ce qui se cache sous une fourrure douce que de toute façon ils n'aiment pas. Des artistes, quoi. Bon, d'accord, ils y laissent leur peau - leur vie aussi, un peu - mais faut savoir ce qu'on veut.
Ou bien c'en est un que tu sors du congel et que tu peins avec de la gélatine, pour qu'il brille sous les spots ?
Un lapin raide, mais quelle horreur.
Les miens, c'est certes du lapin froid, c'est aussi du lapin qui brille parce qu'ils sont de la race qui préfère faire dans le reflet que dans le clair-obscur, mais ça reste quand même du lapin mou, du lapin capable de se tordre sur les chemins de la création, ça.
Depuis quelques années il te livre des images de lapin, il ne contient que des images de lapin.
Ah non, chez moi y en a partout. Des morceaux sur le disque dur, c'est vrai, mais aussi dans le tube cathodique, dans la tablette graphique, dans l'imprimante. Quand ça se met à vouloir sortir, y a d'abord une sorte de frémissement, puis ça se met à bouillonner jour et nuit - il m'arrive d'en avoir des suées nocturnes - jusqu'à ce que je les délivre. Ils veulent sortir, mais ils ne savent pas toujours comment faire, pour eux c'est toujours une première fois, hein. Alors des fois ils m'aident, ils viennent tout seul, et des fois c'est un vrai pensum avec les cliquetis d'ordinateur qui rame et des heures de travail pour les accoucher.
On sait jamais lesquels seront viables, d'ailleurs.