Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

L'immonde Pascale Clark (Canal+ encore !)

1 réponse
Avatar
Individu
http://www.fdesouche.com/index.php?2007/04/09/1883-l-immonde-pascale-clark&cos=1&cos=1

Écoutez le tribunal Canalien...avec l'inquistrice Clark :

http://www.dailymotion.com/video/x1ny6w_inquisitrice

Comparez avec une autre candidate (par souci d'équité comme dit Pascale
Clark dès le début) :

http://www.dailymotion.com/video/x1kelb_segolene-royal-en-aparte-12

(le ton est tout de suite différent, même le ton de la voix)


Pour souvenir, l'article de Patrick Besson sur Pascale Clark dans le Point.
-------------
"Mauvaises ondes. Patrick Besson

Pascale Clark interroge. Mais dans sa question, il y a déjà votre
réponse. Telle qu'elle devrait être. Gare à vous si vous en donnez une
autre. Vous finirez, comme Elisabeth Lévy, à la porte de RTL. Pour ne
pas trouver ridicule d'avoir huit enfants, ainsi que le couple Gaymard.
Ou bien plus jamais invité à « En aparté » sur Canal +, où ne vont pas «
ceux dont » Pascale « ne partage pas les choix ou à l'égard desquels »
elle ne nourrit pas « de curiosité humaine » (VSD, 4 mai 2005). La
phrase est un peu atroce, comme la fille. Il faudrait partager les choix
de Pascale Clark pour qu'elle ait de la curiosité humaine envers vous :
je savais bien que la journaliste ne s'intéressait qu'à elle. Son
attention est fausse et sa douceur inventée : Pascale ne se sert de ses
lunettes que pour se regarder dans la glace et elle est mauvaise comme
son air. Dans une autre interview de VSD, à la question de Fabien
Teillard : « Etes-vous rancunière ? » elle a cette jolie phrase bien
stalinienne, comme elle dirait : « Oui, j'ai ma petite liste dans ma
tête. » A laquelle il va lui falloir ajouter mon nom. Mais sans doute
s'y trouvait-il déjà. N'ai-je pas asticoté naguère son idole Jean-Luc
Hees dans Le Figaro-Magazine ? Avoir Hees comme idole, ça vous classe le
personnage. Pourquoi dit-on l'auteure et pas la personnage ? Il y a des
gens qui ont pour idole Jésus, Che Guevara, Bill Gates ou William
Shakespeare. Pascale, elle, c'est Jean-Luc Hees. Ça fait de la peine.
Pour elle. Et pour lui aussi, un peu.

Un jour, le comédien Michel Serrault, à la fin de l'enregistrement d'«
En aparté », a traité Pascale Clark de « sale conne ». La journaliste
n'a pas aimé. D'habitude, c'est elle qui porte les jugements de valeur.
L'avantage de poser des questions : on n'est pas jugé sur ses réponses.
Cette hantise du jugement chez les interviewers, qui les a mis à l’écart
de la vie et de l’art, avec un micro pour unique compagnie. Dans lequel
ils ne parlent ni ne chantent, mais interrogent. Il ne peut y avoir de
bonnes questions alors qu’il y a de bonnes réponses : c’est même pour ça
que, ayant voulu échapper à la critique, les interviewers sont
condamnés. Au ridicule, d’abord et puis à l’oubli.

Sur Canal +, Pascale interroge les artistes ; sur RTL (« On refait le
monde », 19h15 - 20 heures), quelques chroniqueurs. N’ayant pas
d’automobile, je ne fais pas partie des autditeurs captifs, de plus en
plus nombreux à Paris pour cause d’embouteillages. A propos
d’embouteillages, le maire de Paris a encore raté des Jeux olympiques :
les Gay Games 2006. Il s’était beaucoup moins impliqué dans la campagne,
pensant peut-être que ça aiderait la ville. Même pas. Il nous reste à
postuler aux Jeux pour handicapés, mais ça risque d’être difficile, car
on ne circule pas bien en fauteuil roulant sur des trottoirs défoncés.
Une autre invention de Bertrand : l’embouteillage de piétons. Revenons à
Mlle Clark. J'ai écouté par hasard quelques « On refait le monde ».
C'est un feu d'artifice d'évidences aux semelles de plomb. Les
chroniqueurs abondent dans le sens de l'animatrice, qui leur distribue
la parole comme autant de bons points qu'il leur faudra mériter par leur
obéissance citoyenne. Ils filent doux la laine des poncifs politiques et
culturels.

Cette icône de la pensée unique a toujours l'air d'avoir été mise au
coin, même quand elle est au centre. L'un de ses romans s'appelle : «
Tout le monde fait l'amour » (Albin Michel). Ça m'étonnerait..."

1 réponse

Avatar
Manu
Canal+ est dédié depuis longtemps à tous les mouvements de Gauche. Créé par
la gauche caviar, en passant par les guignols, les infos , I-tele, Karl
zero, etc...Canal+ est une énorme machine qui fait de la propagande
gauchiste. Notez le contraste avec la richesse de la boîte...C'est ça la
gauche !


"Individu" a écrit dans le message de
news:evd07n$qdv$
http://www.fdesouche.com/index.php?2007/04/09/1883-l-immonde-pascale-clark&cos=1&cos=1

Écoutez le tribunal Canalien...avec l'inquistrice Clark :

http://www.dailymotion.com/video/x1ny6w_inquisitrice

Comparez avec une autre candidate (par souci d'équité comme dit Pascale
Clark dès le début) :

http://www.dailymotion.com/video/x1kelb_segolene-royal-en-aparte-12

(le ton est tout de suite différent, même le ton de la voix)


Pour souvenir, l'article de Patrick Besson sur Pascale Clark dans le
Point.
-------------
"Mauvaises ondes. Patrick Besson

Pascale Clark interroge. Mais dans sa question, il y a déjà votre réponse.
Telle qu'elle devrait être. Gare à vous si vous en donnez une autre. Vous
finirez, comme Elisabeth Lévy, à la porte de RTL. Pour ne pas trouver
ridicule d'avoir huit enfants, ainsi que le couple Gaymard. Ou bien plus
jamais invité à « En aparté » sur Canal +, où ne vont pas « ceux dont »
Pascale « ne partage pas les choix ou à l'égard desquels » elle ne nourrit
pas « de curiosité humaine » (VSD, 4 mai 2005). La phrase est un peu
atroce, comme la fille. Il faudrait partager les choix de Pascale Clark
pour qu'elle ait de la curiosité humaine envers vous : je savais bien que
la journaliste ne s'intéressait qu'à elle. Son attention est fausse et sa
douceur inventée : Pascale ne se sert de ses lunettes que pour se regarder
dans la glace et elle est mauvaise comme son air. Dans une autre interview
de VSD, à la question de Fabien Teillard : « Etes-vous rancunière ? » elle
a cette jolie phrase bien stalinienne, comme elle dirait : « Oui, j'ai ma
petite liste dans ma tête. » A laquelle il va lui falloir ajouter mon nom.
Mais sans doute s'y trouvait-il déjà. N'ai-je pas asticoté naguère son
idole Jean-Luc Hees dans Le Figaro-Magazine ? Avoir Hees comme idole, ça
vous classe le personnage. Pourquoi dit-on l'auteure et pas la personnage
? Il y a des gens qui ont pour idole Jésus, Che Guevara, Bill Gates ou
William Shakespeare. Pascale, elle, c'est Jean-Luc Hees. Ça fait de la
peine. Pour elle. Et pour lui aussi, un peu.

Un jour, le comédien Michel Serrault, à la fin de l'enregistrement d'« En
aparté », a traité Pascale Clark de « sale conne ». La journaliste n'a pas
aimé. D'habitude, c'est elle qui porte les jugements de valeur. L'avantage
de poser des questions : on n'est pas jugé sur ses réponses. Cette hantise
du jugement chez les interviewers, qui les a mis à l’écart de la vie et de
l’art, avec un micro pour unique compagnie. Dans lequel ils ne parlent ni
ne chantent, mais interrogent. Il ne peut y avoir de bonnes questions
alors qu’il y a de bonnes réponses : c’est même pour ça que, ayant voulu
échapper à la critique, les interviewers sont condamnés. Au ridicule, d’abord
et puis à l’oubli.

Sur Canal +, Pascale interroge les artistes ; sur RTL (« On refait le
monde », 19h15 - 20 heures), quelques chroniqueurs. N’ayant pas d’automobile,
je ne fais pas partie des autditeurs captifs, de plus en plus nombreux à
Paris pour cause d’embouteillages. A propos d’embouteillages, le maire de
Paris a encore raté des Jeux olympiques : les Gay Games 2006. Il s’était
beaucoup moins impliqué dans la campagne, pensant peut-être que ça
aiderait la ville. Même pas. Il nous reste à postuler aux Jeux pour
handicapés, mais ça risque d’être difficile, car on ne circule pas bien en
fauteuil roulant sur des trottoirs défoncés. Une autre invention de
Bertrand : l’embouteillage de piétons. Revenons à Mlle Clark. J'ai écouté
par hasard quelques « On refait le monde ». C'est un feu d'artifice
d'évidences aux semelles de plomb. Les chroniqueurs abondent dans le sens
de l'animatrice, qui leur distribue la parole comme autant de bons points
qu'il leur faudra mériter par leur obéissance citoyenne. Ils filent doux
la laine des poncifs politiques et culturels.

Cette icône de la pensée unique a toujours l'air d'avoir été mise au coin,
même quand elle est au centre. L'un de ses romans s'appelle : « Tout le
monde fait l'amour » (Albin Michel). Ça m'étonnerait..."