Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
(on rappelle aux nouveaux de passage que dans fr.comp.musique, comp veut
dire "computer" et non "compositeur" ! La charte indique clairement
qu'il est dédié aux discussions sur les applications musicales de
l'informatique !)
Je m'étais fait pourrir, jadis, quand j'avais voulu donner "ma"
définition de la MAO : Musique Assistée par Ordinateur, en gros liée
pour moi Í l'émergence du système MIDI et de la synthèse numérique, en
1983, dont les logiciels du forum Ircam et Max/MSP constitueraient les
vestiges actuels les plus naturels (je dis bien : "selon moi", ce qui
n'oblige personne !).
<https://www.ircam.fr/innovations/abonnements-et-logiciels/>
<https://cycling74.com/products/max-features>
À cela j'ajouterais la partie créative "hardware" que pourraient
constituer les contrÍ´leurs, capteurs et actionneurs de Interface-Z, et
les choses qu'on peut bricoler avec un Arduino, voire avec un
Raspberry-Pi ou autre machine Linux en utilisant Pure Data, dit Pd
(version open-source de Max, réalisée par le même auteur, Miller
Puckette), ou les divers logiciels proposés dans la page Planet CCRMA de
l'université de Stanford.
<https://www.interface-z.com>
<https://www.arduino.cc>
<http://raspberrypi.fr>
<https://puredata.info>
<http://ccrma.stanford.edu/planetccrma/software/>
Bien qu'on y trouve quelques bricolos-bricolettes redécouvrant la roue
avec quarante ans de retard Í partir d'arduinos mal masqués sous des
apparences de novation, les SALONS consacrés aux synthés et Í ce thème
de la musique ou du son informatisés sont bien plus centrés sur une
activité liée au business des constructeurs de matériels et des éditeurs
de logiciels ...principalement de séquence , et principalement
d'assemblages de "boucles". Bon.
Dans informatique musicale, il y a aussi "musicale", qui représente pour
moi plus de deux mille ans d'histoire et une géographie s'étendant Í
l'ensemble de la planète, au sein de laquelle le music-business qu'on
nous sert ici dans les médias, ne représente que quelques pouillèmes en
pourcentages, et au sein de laquelle la partie dite "techno" ne
constitue que les pouillèmes des pouillèmes, n'en déplaise ! Cela sans
même parler de l'utilité ou de l'importance que cela représentera un
jour dans l'histoire de la musique, proche du zéro absolu selon moi, au
simple motif de l'ignorance crasse de ses auteurs envers quelque
antériorité que ce soit.
Il y a de toutes façons un divorce complet entre ceux qui montent sur
une scène ou se présentent face Í un public en disant "aimez-moi, voyez
comme je suis beau", et ceux qui offrent, de manière anonyme, leur art Í
des auditeurs pour leur faire plaisir. Mettre en perspective, sur ce
sujet, l'inanité d'un technicien enchaÍ®nant des morceaux et voulant
faire reconnaÍ®tre cela comme un art, méritant que son nom soit affiché
en lettre géantes et lumineuses derrière lui, et un musicien d'orchestre
symphonique, y ayant consacré dix ans d'études et autant d'expérience,
n'espérant pas que son nom soit jamais cité et n'en étant pas aigri pour
autant.
------
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
(on rappelle aux nouveaux de passage que dans fr.comp.musique, comp veut
dire "computer" et non "compositeur" ! La charte indique clairement
qu'il est dédié aux discussions sur les applications musicales de
l'informatique !)
Je m'étais fait pourrir, jadis, quand j'avais voulu donner "ma"
définition de la MAO : Musique Assistée par Ordinateur, en gros liée
pour moi Í l'émergence du système MIDI et de la synthèse numérique, en
1983, dont les logiciels du forum Ircam et Max/MSP constitueraient les
vestiges actuels les plus naturels (je dis bien : "selon moi", ce qui
n'oblige personne !).
<https://www.ircam.fr/innovations/abonnements-et-logiciels/>
<https://cycling74.com/products/max-features>
À cela j'ajouterais la partie créative "hardware" que pourraient
constituer les contrÍ´leurs, capteurs et actionneurs de Interface-Z, et
les choses qu'on peut bricoler avec un Arduino, voire avec un
Raspberry-Pi ou autre machine Linux en utilisant Pure Data, dit Pd
(version open-source de Max, réalisée par le même auteur, Miller
Puckette), ou les divers logiciels proposés dans la page Planet CCRMA de
l'université de Stanford.
<https://www.interface-z.com>
<https://www.arduino.cc>
<http://raspberrypi.fr>
<https://puredata.info>
<http://ccrma.stanford.edu/planetccrma/software/>
Bien qu'on y trouve quelques bricolos-bricolettes redécouvrant la roue
avec quarante ans de retard Í partir d'arduinos mal masqués sous des
apparences de novation, les SALONS consacrés aux synthés et Í ce thème
de la musique ou du son informatisés sont bien plus centrés sur une
activité liée au business des constructeurs de matériels et des éditeurs
de logiciels ...principalement de séquence , et principalement
d'assemblages de "boucles". Bon.
Dans informatique musicale, il y a aussi "musicale", qui représente pour
moi plus de deux mille ans d'histoire et une géographie s'étendant Í
l'ensemble de la planète, au sein de laquelle le music-business qu'on
nous sert ici dans les médias, ne représente que quelques pouillèmes en
pourcentages, et au sein de laquelle la partie dite "techno" ne
constitue que les pouillèmes des pouillèmes, n'en déplaise ! Cela sans
même parler de l'utilité ou de l'importance que cela représentera un
jour dans l'histoire de la musique, proche du zéro absolu selon moi, au
simple motif de l'ignorance crasse de ses auteurs envers quelque
antériorité que ce soit.
Il y a de toutes façons un divorce complet entre ceux qui montent sur
une scène ou se présentent face Í un public en disant "aimez-moi, voyez
comme je suis beau", et ceux qui offrent, de manière anonyme, leur art Í
des auditeurs pour leur faire plaisir. Mettre en perspective, sur ce
sujet, l'inanité d'un technicien enchaÍ®nant des morceaux et voulant
faire reconnaÍ®tre cela comme un art, méritant que son nom soit affiché
en lettre géantes et lumineuses derrière lui, et un musicien d'orchestre
symphonique, y ayant consacré dix ans d'études et autant d'expérience,
n'espérant pas que son nom soit jamais cité et n'en étant pas aigri pour
autant.
------
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
(on rappelle aux nouveaux de passage que dans fr.comp.musique, comp veut
dire "computer" et non "compositeur" ! La charte indique clairement
qu'il est dédié aux discussions sur les applications musicales de
l'informatique !)
Je m'étais fait pourrir, jadis, quand j'avais voulu donner "ma"
définition de la MAO : Musique Assistée par Ordinateur, en gros liée
pour moi Í l'émergence du système MIDI et de la synthèse numérique, en
1983, dont les logiciels du forum Ircam et Max/MSP constitueraient les
vestiges actuels les plus naturels (je dis bien : "selon moi", ce qui
n'oblige personne !).
<https://www.ircam.fr/innovations/abonnements-et-logiciels/>
<https://cycling74.com/products/max-features>
À cela j'ajouterais la partie créative "hardware" que pourraient
constituer les contrÍ´leurs, capteurs et actionneurs de Interface-Z, et
les choses qu'on peut bricoler avec un Arduino, voire avec un
Raspberry-Pi ou autre machine Linux en utilisant Pure Data, dit Pd
(version open-source de Max, réalisée par le même auteur, Miller
Puckette), ou les divers logiciels proposés dans la page Planet CCRMA de
l'université de Stanford.
<https://www.interface-z.com>
<https://www.arduino.cc>
<http://raspberrypi.fr>
<https://puredata.info>
<http://ccrma.stanford.edu/planetccrma/software/>
Bien qu'on y trouve quelques bricolos-bricolettes redécouvrant la roue
avec quarante ans de retard Í partir d'arduinos mal masqués sous des
apparences de novation, les SALONS consacrés aux synthés et Í ce thème
de la musique ou du son informatisés sont bien plus centrés sur une
activité liée au business des constructeurs de matériels et des éditeurs
de logiciels ...principalement de séquence , et principalement
d'assemblages de "boucles". Bon.
Dans informatique musicale, il y a aussi "musicale", qui représente pour
moi plus de deux mille ans d'histoire et une géographie s'étendant Í
l'ensemble de la planète, au sein de laquelle le music-business qu'on
nous sert ici dans les médias, ne représente que quelques pouillèmes en
pourcentages, et au sein de laquelle la partie dite "techno" ne
constitue que les pouillèmes des pouillèmes, n'en déplaise ! Cela sans
même parler de l'utilité ou de l'importance que cela représentera un
jour dans l'histoire de la musique, proche du zéro absolu selon moi, au
simple motif de l'ignorance crasse de ses auteurs envers quelque
antériorité que ce soit.
Il y a de toutes façons un divorce complet entre ceux qui montent sur
une scène ou se présentent face Í un public en disant "aimez-moi, voyez
comme je suis beau", et ceux qui offrent, de manière anonyme, leur art Í
des auditeurs pour leur faire plaisir. Mettre en perspective, sur ce
sujet, l'inanité d'un technicien enchaÍ®nant des morceaux et voulant
faire reconnaÍ®tre cela comme un art, méritant que son nom soit affiché
en lettre géantes et lumineuses derrière lui, et un musicien d'orchestre
symphonique, y ayant consacré dix ans d'études et autant d'expérience,
n'espérant pas que son nom soit jamais cité et n'en étant pas aigri pour
autant.
------
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Les moutons sont partis vers les réseaux (de cas) sociaux, style reddit,
discord ou autres.
D'accord avec toi. Utiliser cette technologie que sont les synthétiseurs
pour faire du disco par exemple, c'est la sous-employer.
[...] De toute façon, de nos jours,
un PC avec un logiciels gratuit comme LMMS fait parfaitment l'affaire
pour créer sa propre musique.
Les moutons sont partis vers les réseaux (de cas) sociaux, style reddit,
discord ou autres.
D'accord avec toi. Utiliser cette technologie que sont les synthétiseurs
pour faire du disco par exemple, c'est la sous-employer.
[...] De toute façon, de nos jours,
un PC avec un logiciels gratuit comme LMMS fait parfaitment l'affaire
pour créer sa propre musique.
Les moutons sont partis vers les réseaux (de cas) sociaux, style reddit,
discord ou autres.
D'accord avec toi. Utiliser cette technologie que sont les synthétiseurs
pour faire du disco par exemple, c'est la sous-employer.
[...] De toute façon, de nos jours,
un PC avec un logiciels gratuit comme LMMS fait parfaitment l'affaire
pour créer sa propre musique.
Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Face au désert quasi définitif de ce forum, probablement en lien avec la
déshérence de usenet, mais pas "que", je m'interroge sur l'actualité de
l'informatique musicale qui en avait été Í l'origine.
Jeté comme une bouteille Í la mer, juste pour voir !
Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
Le 24 octobre 2021 Í 15:33, tth a écrit :Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
"musiciens dogmatiques" ! Que voilÍ un beau concept ! N'aurais-tu pas pu
te passer d'un adjectif inutile et dont le but n'est que de mépris et
d'injure ? Musiciens tout court n'aurait-il pas pu suffire ? Après tout,
tu déclares "ne jamais l'avoir été"...
...tout en ayant pratiqué "l'informatique musicale" d'ailleurs, ce qui
reste étrange. Peut-être sous l'angle "business" que je décrivais ? Ou
autre ? (je ne préjuge pas).
Je ne connais pas Chuck et n'ai rien trouvé dessus (sauf un système de
contrÍ´le). Des précisions ? Je serais curieux de connaÍ®tre aussi
l'intérêt de midish par rapport aux outils seq et multiseq de Max et
Pd... libre Í toi de choisir d'apporter de l'info utile ici, ou pas.
Pour OSC : je comprends tout Í fait la démarche théorique et le besoin
de dépasser les limites du standard MIDI, qui sont "d'un autre temps".
Malheureusement, pour avoir suivi l'histoire de très près, je peux
confirmer qu'il n'y a *aucune chance* que les constructeurs de hardware
musical informatisé puissent jamais se mettre d'accord Í nouveau sur un
standard d'interconnexion entre appareils de marques différentes. Ça
restera cantonné au niveau software.
En première approximation (selon moi), si la liaison hardware-software
reste limitée Í la vitesse et aux caractéristiques du MIDI, ça ne sert
pas Í grand chose, derrière, de disposer de vitesses et possibilités
supérieures...
Le 24 octobre 2021 Í 15:33, tth a écrit :
Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
"musiciens dogmatiques" ! Que voilÍ un beau concept ! N'aurais-tu pas pu
te passer d'un adjectif inutile et dont le but n'est que de mépris et
d'injure ? Musiciens tout court n'aurait-il pas pu suffire ? Après tout,
tu déclares "ne jamais l'avoir été"...
...tout en ayant pratiqué "l'informatique musicale" d'ailleurs, ce qui
reste étrange. Peut-être sous l'angle "business" que je décrivais ? Ou
autre ? (je ne préjuge pas).
Je ne connais pas Chuck et n'ai rien trouvé dessus (sauf un système de
contrÍ´le). Des précisions ? Je serais curieux de connaÍ®tre aussi
l'intérêt de midish par rapport aux outils seq et multiseq de Max et
Pd... libre Í toi de choisir d'apporter de l'info utile ici, ou pas.
Pour OSC : je comprends tout Í fait la démarche théorique et le besoin
de dépasser les limites du standard MIDI, qui sont "d'un autre temps".
Malheureusement, pour avoir suivi l'histoire de très près, je peux
confirmer qu'il n'y a *aucune chance* que les constructeurs de hardware
musical informatisé puissent jamais se mettre d'accord Í nouveau sur un
standard d'interconnexion entre appareils de marques différentes. Ça
restera cantonné au niveau software.
En première approximation (selon moi), si la liaison hardware-software
reste limitée Í la vitesse et aux caractéristiques du MIDI, ça ne sert
pas Í grand chose, derrière, de disposer de vitesses et possibilités
supérieures...
Le 24 octobre 2021 Í 15:33, tth a écrit :Donc, "informatique musicale" est un sujet trop vaste
pour le laisser aux musiciens dogmatiques.
"musiciens dogmatiques" ! Que voilÍ un beau concept ! N'aurais-tu pas pu
te passer d'un adjectif inutile et dont le but n'est que de mépris et
d'injure ? Musiciens tout court n'aurait-il pas pu suffire ? Après tout,
tu déclares "ne jamais l'avoir été"...
...tout en ayant pratiqué "l'informatique musicale" d'ailleurs, ce qui
reste étrange. Peut-être sous l'angle "business" que je décrivais ? Ou
autre ? (je ne préjuge pas).
Je ne connais pas Chuck et n'ai rien trouvé dessus (sauf un système de
contrÍ´le). Des précisions ? Je serais curieux de connaÍ®tre aussi
l'intérêt de midish par rapport aux outils seq et multiseq de Max et
Pd... libre Í toi de choisir d'apporter de l'info utile ici, ou pas.
Pour OSC : je comprends tout Í fait la démarche théorique et le besoin
de dépasser les limites du standard MIDI, qui sont "d'un autre temps".
Malheureusement, pour avoir suivi l'histoire de très près, je peux
confirmer qu'il n'y a *aucune chance* que les constructeurs de hardware
musical informatisé puissent jamais se mettre d'accord Í nouveau sur un
standard d'interconnexion entre appareils de marques différentes. Ça
restera cantonné au niveau software.
En première approximation (selon moi), si la liaison hardware-software
reste limitée Í la vitesse et aux caractéristiques du MIDI, ça ne sert
pas Í grand chose, derrière, de disposer de vitesses et possibilités
supérieures...
Si la nécessité s'imposait, il me semble que les constructeurs
pourraient facilement faire évoluer les interfaces...
Enfin, en ce qui concerne des outils comme PD ou autres
je constate, non sans déception, que leur logique est très éloignée
d'une démarche compositionnelle "de base" et me semble plus proche
du travail d'un "ingénieur/programmateur"...
Si la nécessité s'imposait, il me semble que les constructeurs
pourraient facilement faire évoluer les interfaces...
Enfin, en ce qui concerne des outils comme PD ou autres
je constate, non sans déception, que leur logique est très éloignée
d'une démarche compositionnelle "de base" et me semble plus proche
du travail d'un "ingénieur/programmateur"...
Si la nécessité s'imposait, il me semble que les constructeurs
pourraient facilement faire évoluer les interfaces...
Enfin, en ce qui concerne des outils comme PD ou autres
je constate, non sans déception, que leur logique est très éloignée
d'une démarche compositionnelle "de base" et me semble plus proche
du travail d'un "ingénieur/programmateur"...