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*** INHUMAIN DES HOMMES, FEMMES ET ENFANTS PALESTINIENS DETENUS DANS LES PRISONS ISRAELIENNES ***

7 réponses
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john
Le Club des prisonniers, Nadi al-asir, nous fait parvenir les informations
suivantes concernant la situation des prisonniers palestiniens, qui est
contrastée selon les prisons, seuls les prisonniers de Ashkelan ayant
apparamment obtenu satisfaction sur un nombre significatif de points, alors
que pour la plupart des autres les conditions de détention restent
catastrophiques ou même empirent.


FIN DE LA GREVE A KFAR YOUNA

Les 4 prisonniers de Kfar Youna, qui étaient encore en grève de la faim au
début de cette semaine et qui sont en "détention administrative" (sans aucun
chef d'inculpation") ont suspendu leur grève de la faim au bout de 25 jours,
après avoir obtenu leur transfert vers d'autres prisons (des "centrales"),
car ils ne voulaient pas continuer à être mélangés à des droits communs.
Ils ont également obtenu l'autorisation des visites parentales,
l'autorisation de contacter les parents par téléphone, l'autorisation de
faire la prière et l'appel à la prière, ainsi que la suppression du
plastique du parloir (un plastique isolant faisant office de vitre de
séparation), et une amélioration de la nourriture (introduction de légumes),
avec notamment la possibilité pour les parents de faire entrer des produits
alimentaires et affaires personnelles.

LA DIRECTION DE LA PRISON DU NAKAB CONSTRUIT DES MURS DE 9M DE HAUT POUR
SEPARER LES DETENUS

Par ailleurs, les prisonniers du Naqab (1250 prisonniers) protestent contre
la construction de murs à l'intérieur de la prison.
Ils ont entamé une grève de la faim mardi et refusent de se rendre aux
tribunaux, à l'infirmerie et de travailler (pour ceux qui travaillent).
La direction de la prison du Naqab a commencé la construction de murs
internes dans la prison, suite à l'ordre donné par le chef des armées Moshé
Yaalon, qui a visité la prison le jeudi 9 septembre. Ce mur est en ciment,
il est haut de 9 mètres, entoure les sections, les séparant les unes des
autres, empêchant les prisonniers de communiquer entre eux. Il empêche les
rayons du soleil de pénétrer dans les sections et le vent de circuler
normalement. Il étouffe les prisonniers.
La prison du Naqab (Ansar III) est une prison militaire, les prisonniers
vivent sous des tentes, réparties en sections.

A BEER SABA' LA DIRECTION REVIENT SUR SES PROMESSES

En ce qui concerne la situation dans la prison de Beer Saba' (500
prisonniers), elle empire selon Nadi Al-Asir, puisque le directeur de la
prison a annoncé le 13 septembre aux prisonniers que la direction des
prisons est revenue sur son accord relatif aux revendications des
prisonniers, qu'ils avaient annoncées lors de la grève de la faim.
Les prisonniers considèrent ces paroles extrêmement graves car elles
témoignent de la duperie de la direction des prisons et ils sont en train
d'étudier les derniers développements, d'une part pour empêcher la direction
de la prison de prendre des mesures punitives contre les grévistes et
d'autre part, pour envisager le mouvement qu'ils peuvent entreprendre pour
faire valoir leurs droits.

Considérant les amendes imposées aux prisonniers, pour des raisons les plus
futiles, comme le fait de ne pas se lever lors du décompte, ou la présence
avec lui d'un poste de radio, etc., les prisonniers annoncent que 50.000
shekels leur ont été dérobés de cette manière par la direction des prisons.

SITUATION DESASTREUSE ET TORTURES POUR LES MALADES A RAMLEH

Dans la prison de Ramleh, l'avocat Hanane al-Khatib a rencontré plusieurs
malades à l'hôpital, qui ont témoigné de leurs conditions de détention :

1 - Le prisonnier Ibrahim Jalal Ahmad Jayyousi, 25 ans, de Tulkarm, qui est
blessé par balles aux jambes, et qui ne peut marcher. Il a raconté que dès
son arrestation, il a été attaché par les mains, et il a eu les yeux bandés.
Il a été transporté sur une chaise roulante, tout en étant insulté par les
soldats et ensuite par les officiers enquêteurs. A l'hôpital, il ne reçoit
aucun soin alors qu'il a besoin de voir des spécialistes et de recevoir des
soins en physiothérapie. Il a déclaré que la direction de l'hôpital procède
à des fouilles constantes des chambres et des armoires des prisonniers, et
que la nourriture est très mauvaise. Il a indiqué qu'il y a 27 prisonniers
gravement blessés, comme Ahmad Tamimi, Muhammad Abu Hadwan, Muhammad
Hashash, Shadi Ghawadra.

2 - Murad Ahmad Sulayman Abu Sakut, 27 ans, d'al-Khalil, condamné à 25 ans
de prison. Il a été arrêté le 9 décembre 2001, il est atteint d'un cancer et
avait été hospitalisé avant son arrestation. Pendant son interrogatoire à la
prison de Ascalan, qui a duré un mois et demi, il a été torturé, malgré son
état de santé. Il a été insulté grossièrement, il a été humilié par des
gifles et des coups sur ses oreilles, il a subi le shabeh pendant de longues
périodes, assis sur une chaise, les pieds et les mains liés par des menottes
en fer, lui causant des douleurs atroces.

Il a parlé des cellules de Ascalan, disant qu'elles étaient très étroites,
sans aération, sombres. A l'intérieur, un ventilateur envoyait de l'air
glacial. Un matelas et des couvertures humides puaient, les murs des
cellules sont gris, avec des protubérances pour empêcher les prisonniers de
s'y adosser.
Il a indiqué ne pas avoir reçu de soins après son transfert de Ascalan, la
maladie a alors empiré, il souffre d'inflammations aux poumons, et il ne
reçoit pour remèdes que des pilules anti-douleurs.
Ce prisonnier a été mis dans la section n°4 d'isolement à Ascalan, durant
quatre mois, au cours desquels sa santé s'est détériorée; il a ensuite été
transféré à Beer Saba', où il est resté un an, et les médecins ont pris la
décision de lui faire une intervention chirurgicale. Il a été emmené à
l'hôpital Soroka, à Beer Saba', où il est resté 8 jours. Il a été ensuite
transféré à l'hôpital de Ramleh, mais il ne reçoit aucun soin pour son
cancer, il a seulement été opéré pour ses poumons, dont un ne fonctionne
qu'à 6%. Il n'a reçu de visite familiale qu'une fois pendant toute cette
période.

LES FEMMES ET LES ENFANTS TRAITES COMME DES CHIENS DANS LA PRISON DE RAMLEH
L'avocat Hanane al-Khatib a d'autre part rencontré plusieurs femmes
prisonnières se trouvant dans la prison de Ramleh : Amah Muhammad Jumaa
Allan, de Bethlehem, Irina Sarahna, de Bethlehem et Lina Jarbouni,
d'al-Jalil (Galilée).
Lina Jarbouni, représentante des prisonnières dans la prison de Ramleh, a
déclaré en leur nom qu'elles ont l'intention de revenir à la grève de la
faim si les promesses faites par la direction des prisons ne sont pas
satisfaites, comme la suppression du plastique isolant dans le parloir,
l'autorisation des visites dans les pièces, l'amélioration de la nourriture,
en qualité et quantité, la permission de faire entrer de la nourriture par
les parents, l'autorisation aux prisonnières de sortir en groupe à la
promenade.
Elle déclare que depuis la suspension de la grève de la faim, les conditions
de détention ne se sont pas améliorées, sauf en ce qui concerne les fouilles
à nu qui ont été stoppées et l'autorisation de visite pour quelques
prisonnières.
Quant à Irina Sarahna, interdite de visite depuis deux ans et demi, elle ne
peut toucher sa fille Ghazale, lors des visites, et elle ne peut voir son
mari prisonnier, qui se trouve dans la prison de Nafha, ni lui envoyer des
lettres.
Elle a des problèmes de santé et aucun soin approprié ne lui est donné.
Elle raconte que des prisonnières de droit commun gênent les prisonnières
par des cris, et surtout lors de l'appel à la prière, elles se mettent à
insulter et à lancer des grossièretés.
Les prisonnières ne peuvent communiquer les unes avec les autres dans la
cour, et elles n'ont pas le droit de s'occuper avec la couture ou la
broderie.
Il y a en outre trois mineures dans la prison, Hiba Jarad, Aya Uways et
Rasha Azza, qui est la plus jeune.

Concernant Wael, âgé d'un an et de sept mois, et qui est le fils de Mirvet
Taha, il est privé de tous ses droits. Il n'a pas droit à des aliments
spécifiques pour son âge, il vit dans une cellule avec sa mère et six
prisonnières, il ne reçoit pas de lait spécifique, ni pour lui ni pour sa
mère qui continue à l'allaiter, la nourriture ne suffit pas à la mère. Wael
est maigre. Il pleure tout le temps, il souffre de son emprisonnement. Il a
besoin de sortir, mais la direction refuse, sauf pendant le temps de
récréation, et il est traité comme un prisonnier.

7 réponses

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Tetechris
Ecoutez John,dans cette "sale guerre",aucun des 2 camps n'est plus propre
que l'autre.Certe le gouvernement et l'armée israelienne commettent des
actes odieux et illégaux mais les "combattants" palestiniens en font tout
autant.Je ne vois donc pas la nécessité d'une mobilisation pour des actes
qui sont devenus (malheuresement) courants dans cette région et surtout en
prenant position pour l'un des deux camps comme vous le faite.Si vous voulez
être objectif,donnez aussi les coordonnées de l'autoritée
palestinienne.Votre demande relève plus de la politique que de
l'humanitaire,à mon sens.

"john" a écrit dans le message de
news:cijsep$1ol$
Le Club des prisonniers, Nadi al-asir, nous fait parvenir les informations
suivantes concernant la situation des prisonniers palestiniens, qui est
contrastée selon les prisons, seuls les prisonniers de Ashkelan ayant
apparamment obtenu satisfaction sur un nombre significatif de points,


alors
que pour la plupart des autres les conditions de détention restent
catastrophiques ou même empirent.


FIN DE LA GREVE A KFAR YOUNA

Les 4 prisonniers de Kfar Youna, qui étaient encore en grève de la faim au
début de cette semaine et qui sont en "détention administrative" (sans


aucun
chef d'inculpation") ont suspendu leur grève de la faim au bout de 25


jours,
après avoir obtenu leur transfert vers d'autres prisons (des "centrales"),
car ils ne voulaient pas continuer à être mélangés à des droits communs.
Ils ont également obtenu l'autorisation des visites parentales,
l'autorisation de contacter les parents par téléphone, l'autorisation de
faire la prière et l'appel à la prière, ainsi que la suppression du
plastique du parloir (un plastique isolant faisant office de vitre de
séparation), et une amélioration de la nourriture (introduction de


légumes),
avec notamment la possibilité pour les parents de faire entrer des


produits
alimentaires et affaires personnelles.

LA DIRECTION DE LA PRISON DU NAKAB CONSTRUIT DES MURS DE 9M DE HAUT POUR
SEPARER LES DETENUS

Par ailleurs, les prisonniers du Naqab (1250 prisonniers) protestent


contre
la construction de murs à l'intérieur de la prison.
Ils ont entamé une grève de la faim mardi et refusent de se rendre aux
tribunaux, à l'infirmerie et de travailler (pour ceux qui travaillent).
La direction de la prison du Naqab a commencé la construction de murs
internes dans la prison, suite à l'ordre donné par le chef des armées


Moshé
Yaalon, qui a visité la prison le jeudi 9 septembre. Ce mur est en ciment,
il est haut de 9 mètres, entoure les sections, les séparant les unes des
autres, empêchant les prisonniers de communiquer entre eux. Il empêche les
rayons du soleil de pénétrer dans les sections et le vent de circuler
normalement. Il étouffe les prisonniers.
La prison du Naqab (Ansar III) est une prison militaire, les prisonniers
vivent sous des tentes, réparties en sections.

A BEER SABA' LA DIRECTION REVIENT SUR SES PROMESSES

En ce qui concerne la situation dans la prison de Beer Saba' (500
prisonniers), elle empire selon Nadi Al-Asir, puisque le directeur de la
prison a annoncé le 13 septembre aux prisonniers que la direction des
prisons est revenue sur son accord relatif aux revendications des
prisonniers, qu'ils avaient annoncées lors de la grève de la faim.
Les prisonniers considèrent ces paroles extrêmement graves car elles
témoignent de la duperie de la direction des prisons et ils sont en train
d'étudier les derniers développements, d'une part pour empêcher la


direction
de la prison de prendre des mesures punitives contre les grévistes et
d'autre part, pour envisager le mouvement qu'ils peuvent entreprendre pour
faire valoir leurs droits.

Considérant les amendes imposées aux prisonniers, pour des raisons les


plus
futiles, comme le fait de ne pas se lever lors du décompte, ou la présence
avec lui d'un poste de radio, etc., les prisonniers annoncent que 50.000
shekels leur ont été dérobés de cette manière par la direction des


prisons.

SITUATION DESASTREUSE ET TORTURES POUR LES MALADES A RAMLEH

Dans la prison de Ramleh, l'avocat Hanane al-Khatib a rencontré plusieurs
malades à l'hôpital, qui ont témoigné de leurs conditions de détention :

1 - Le prisonnier Ibrahim Jalal Ahmad Jayyousi, 25 ans, de Tulkarm, qui


est
blessé par balles aux jambes, et qui ne peut marcher. Il a raconté que dès
son arrestation, il a été attaché par les mains, et il a eu les yeux


bandés.
Il a été transporté sur une chaise roulante, tout en étant insulté par les
soldats et ensuite par les officiers enquêteurs. A l'hôpital, il ne reçoit
aucun soin alors qu'il a besoin de voir des spécialistes et de recevoir


des
soins en physiothérapie. Il a déclaré que la direction de l'hôpital


procède
à des fouilles constantes des chambres et des armoires des prisonniers, et
que la nourriture est très mauvaise. Il a indiqué qu'il y a 27 prisonniers
gravement blessés, comme Ahmad Tamimi, Muhammad Abu Hadwan, Muhammad
Hashash, Shadi Ghawadra.

2 - Murad Ahmad Sulayman Abu Sakut, 27 ans, d'al-Khalil, condamné à 25 ans
de prison. Il a été arrêté le 9 décembre 2001, il est atteint d'un cancer


et
avait été hospitalisé avant son arrestation. Pendant son interrogatoire à


la
prison de Ascalan, qui a duré un mois et demi, il a été torturé, malgré


son
état de santé. Il a été insulté grossièrement, il a été humilié par des
gifles et des coups sur ses oreilles, il a subi le shabeh pendant de


longues
périodes, assis sur une chaise, les pieds et les mains liés par des


menottes
en fer, lui causant des douleurs atroces.

Il a parlé des cellules de Ascalan, disant qu'elles étaient très étroites,
sans aération, sombres. A l'intérieur, un ventilateur envoyait de l'air
glacial. Un matelas et des couvertures humides puaient, les murs des
cellules sont gris, avec des protubérances pour empêcher les prisonniers


de
s'y adosser.
Il a indiqué ne pas avoir reçu de soins après son transfert de Ascalan, la
maladie a alors empiré, il souffre d'inflammations aux poumons, et il ne
reçoit pour remèdes que des pilules anti-douleurs.
Ce prisonnier a été mis dans la section n°4 d'isolement à Ascalan, durant
quatre mois, au cours desquels sa santé s'est détériorée; il a ensuite été
transféré à Beer Saba', où il est resté un an, et les médecins ont pris la
décision de lui faire une intervention chirurgicale. Il a été emmené à
l'hôpital Soroka, à Beer Saba', où il est resté 8 jours. Il a été ensuite
transféré à l'hôpital de Ramleh, mais il ne reçoit aucun soin pour son
cancer, il a seulement été opéré pour ses poumons, dont un ne fonctionne
qu'à 6%. Il n'a reçu de visite familiale qu'une fois pendant toute cette
période.

LES FEMMES ET LES ENFANTS TRAITES COMME DES CHIENS DANS LA PRISON DE


RAMLEH
L'avocat Hanane al-Khatib a d'autre part rencontré plusieurs femmes
prisonnières se trouvant dans la prison de Ramleh : Amah Muhammad Jumaa
Allan, de Bethlehem, Irina Sarahna, de Bethlehem et Lina Jarbouni,
d'al-Jalil (Galilée).
Lina Jarbouni, représentante des prisonnières dans la prison de Ramleh, a
déclaré en leur nom qu'elles ont l'intention de revenir à la grève de la
faim si les promesses faites par la direction des prisons ne sont pas
satisfaites, comme la suppression du plastique isolant dans le parloir,
l'autorisation des visites dans les pièces, l'amélioration de la


nourriture,
en qualité et quantité, la permission de faire entrer de la nourriture par
les parents, l'autorisation aux prisonnières de sortir en groupe à la
promenade.
Elle déclare que depuis la suspension de la grève de la faim, les


conditions
de détention ne se sont pas améliorées, sauf en ce qui concerne les


fouilles
à nu qui ont été stoppées et l'autorisation de visite pour quelques
prisonnières.
Quant à Irina Sarahna, interdite de visite depuis deux ans et demi, elle


ne
peut toucher sa fille Ghazale, lors des visites, et elle ne peut voir son
mari prisonnier, qui se trouve dans la prison de Nafha, ni lui envoyer des
lettres.
Elle a des problèmes de santé et aucun soin approprié ne lui est donné.
Elle raconte que des prisonnières de droit commun gênent les prisonnières
par des cris, et surtout lors de l'appel à la prière, elles se mettent à
insulter et à lancer des grossièretés.
Les prisonnières ne peuvent communiquer les unes avec les autres dans la
cour, et elles n'ont pas le droit de s'occuper avec la couture ou la
broderie.
Il y a en outre trois mineures dans la prison, Hiba Jarad, Aya Uways et
Rasha Azza, qui est la plus jeune.

Concernant Wael, âgé d'un an et de sept mois, et qui est le fils de Mirvet
Taha, il est privé de tous ses droits. Il n'a pas droit à des aliments
spécifiques pour son âge, il vit dans une cellule avec sa mère et six
prisonnières, il ne reçoit pas de lait spécifique, ni pour lui ni pour sa
mère qui continue à l'allaiter, la nourriture ne suffit pas à la mère.


Wael
est maigre. Il pleure tout le temps, il souffre de son emprisonnement. Il


a
besoin de sortir, mais la direction refuse, sauf pendant le temps de
récréation, et il est traité comme un prisonnier.





Avatar
john
Tetechris a écrit:
Ecoutez John,dans cette "sale guerre",aucun des 2 camps n'est plus propre
que l'autre.Certe le gouvernement et l'armée israelienne commettent des
actes odieux et illégaux mais les "combattants" palestiniens en font tout
autant.Je ne vois donc pas la nécessité d'une mobilisation pour des actes
qui sont devenus (malheuresement) courants dans cette région et surtout en
prenant position pour l'un des deux camps comme vous le faite.Si vous
voulez
être objectif,donnez aussi les coordonnées de l'autoritée
palestinienne.Votre demande relève plus de la politique que de
l'humanitaire,à mon sens.






Sauf que d'un coté il y a l'agresseur qui a fait le choix volontaire et
conscient d'agresser et d'occuper et qui pourrait mettre fin à toutes ces
horreurs et aux victimes des deux camps en prenant la simple décision de
mettre fin à l'occupation et de simplement respecter les résolutions votées
par la communauté internationale à l'ONU.

De l'autre coté il y a l'agressé et l'occupé qui n'a jamais demandé à être
agressé et occupé, qui n'a aucun pouvoir de mettre fin à l'occupation
qu'elle n'a pas choisi et qui se retrouve dans une situation qui lui a été
imposée et qui n'a d'autre choix que de se défendre en utilisant les maigres
moyens à sa disposition. Comme par exemple, de petites bombes de quelques
kilos portés par des résistants qui se sacrifient pour la liberté de leur
peuple face à des missiles de plusieurs tonnes tirés dans la foule par des
hélicoptères qui tirent depuis des distances de plusieurs kilomètres où
elles sont totalement en sécurité pour satisfaire la soif de sang de
certains dirigeants israéliens.

En fait la véritable grosse différence c'est que quand un résistant
palestinien tue 4 occupants israéliens, les TV du monde entier montrent les
corps et les familles en deuil qui pleure et qui ne comprennent pas pourquoi
on leur reproche d'avoir volé des terres qui ne leur appartiennent pas (la
propagande israélienne exploitant à fond tout cela) alors que quand un
hélicoptère israélien tire dans une foule tuant des dizaines de femmes et
d'enfants, on en parle rapidement en quelques secondes dans les journaux
télévisés parce qu'il n'y a absolument aucune image à montrer à cause du
blocus médiatique imposé à la Palestine par Israël.

Conclusions. Les Palestiniens sont des monstres parce qu'on a vu diffuser en
boucle dans les JT la souffrance de quelques occupants israéliens. Et le
gouvernement israélien est angélique parce que personne n'a pu voir la
souffrance des Palestiniens qui voient leurs femmes et leurs enfants
massacrés par dizaines à chaque attaque.
Avatar
kemom
"john" a écrit dans le message de
news:cikg7h$p6a$

Tetechris a écrit:
> Ecoutez John,dans cette "sale guerre",aucun des 2 camps n'est plus


propre
> que l'autre.Certe le gouvernement et l'armée israelienne commettent des
> actes odieux et illégaux mais les "combattants" palestiniens en font


tout
> autant.Je ne vois donc pas la nécessité d'une mobilisation pour des


actes
> qui sont devenus (malheuresement) courants dans cette région et surtout


en
> prenant position pour l'un des deux camps comme vous le faite.Si vous
> voulez
> être objectif,donnez aussi les coordonnées de l'autoritée
> palestinienne.Votre demande relève plus de la politique que de
> l'humanitaire,à mon sens.
>



Conclusions. Les Palestiniens sont des monstres parce qu'on a vu diffuser


en
boucle dans les JT la souffrance de quelques occupants israéliens. Et le
gouvernement israélien est angélique parce que personne n'a pu voir la
souffrance des Palestiniens qui voient leurs femmes et leurs enfants
massacrés par dizaines à chaque attaque.




Tetechris rappelle simplement qu'il n'y a pas un camp pour rattraper
l'autre, et je partage cet avis.
On est pas là pour compter les morts, si ?
Avatar
jpw
"john" a écrit

Comme par exemple, de petites bombes de quelques
kilos portés par des résistants qui se sacrifient pour la liberté de leur
peuple face à des missiles de plusieurs tonnes tirés dans la foule par des
hélicoptères qui tirent depuis des distances de plusieurs kilomètres où
elles sont totalement en sécurité pour satisfaire la soif de sang de
certains dirigeants israéliens.



tu parles...

des salopards qui ne porteront jamais de bombes
profitent de la crédulité de quelques pauvres types
pour atiser leur fanatisme et les faire se suicider
au nom de dieu en tuant civils, femmes enfants

et vous cautionnez ces ordures ??

En fait la véritable grosse différence c'est que quand un résistant



un fanatique de merde, pas un résistant

jpw
Avatar
Laurent Jumet
Hello !

"john" wrote:

j> De l'autre coté il y a l'agressé et l'occupé qui n'a jamais demandé à
j> être agressé et occupé, qui n'a aucun pouvoir de mettre fin à
j> l'occupation qu'elle n'a pas choisi et qui se retrouve dans une
j> situation qui lui a été imposée et qui n'a d'autre choix que de se
j> défendre en utilisant les maigres moyens à sa disposition. Comme par
j> exemple, de petites bombes de quelques kilos portés par des résistants
j> qui se sacrifient pour la liberté de leur peuple

...donnez l'adresse de l'école de vos enfants, et un représentant du
Hamas ira leur faire une démonstration des dernières technologies de
"petites bombes".



--
Laurent Jumet - Point de Chat, Liège, BELGIUM
KeyID: 0xCFAF704C
[Restore address to laurent.jumet for e-mail reply.]
Avatar
pat
--


"john" a écrit dans le message de news:
cikg7h$p6a$

Tetechris a écrit:
> Ecoutez John,dans cette "sale guerre",aucun des 2 camps n'est plus


propre
> que l'autre.Certe le gouvernement et l'armée israelienne commettent des
> actes odieux et illégaux mais les "combattants" palestiniens en font


tout
> autant.Je ne vois donc pas la nécessité d'une mobilisation pour des


actes
> qui sont devenus (malheuresement) courants dans cette région et surtout


en
> prenant position pour l'un des deux camps comme vous le faite.Si vous
> voulez
> être objectif,donnez aussi les coordonnées de l'autoritée
> palestinienne.Votre demande relève plus de la politique que de
> l'humanitaire,à mon sens.
>



Sauf que d'un coté il y a l'agresseur qui a fait le choix volontaire et
conscient d'agresser et d'occuper et qui pourrait mettre fin à toutes ces
horreurs et aux victimes des deux camps en prenant la simple décision de
mettre fin à l'occupation et de simplement respecter les résolutions


votées
par la communauté internationale à l'ONU.

De l'autre coté il y a l'agressé et l'occupé qui n'a jamais demandé à être
agressé et occupé, qui n'a aucun pouvoir de mettre fin à l'occupation
qu'elle n'a pas choisi et qui se retrouve dans une situation qui lui a été
imposée et qui n'a d'autre choix que de se défendre en utilisant les


maigres
moyens à sa disposition. Comme par exemple, de petites bombes de quelques
kilos portés par des résistants qui se sacrifient pour la liberté de leur
peuple face à des missiles de plusieurs tonnes tirés dans la foule par des
hélicoptères qui tirent depuis des distances de plusieurs kilomètres où
elles sont totalement en sécurité pour satisfaire la soif de sang de
certains dirigeants israéliens.

En fait la véritable grosse différence c'est que quand un résistant
palestinien tue 4 occupants israéliens, les TV du monde entier montrent


les
corps et les familles en deuil qui pleure et qui ne comprennent pas


pourquoi
on leur reproche d'avoir volé des terres qui ne leur appartiennent pas (la
propagande israélienne exploitant à fond tout cela) alors que quand un
hélicoptère israélien tire dans une foule tuant des dizaines de femmes et
d'enfants, on en parle rapidement en quelques secondes dans les journaux
télévisés parce qu'il n'y a absolument aucune image à montrer à cause du
blocus médiatique imposé à la Palestine par Israël.

Conclusions. Les Palestiniens sont des monstres parce qu'on a vu diffuser


en
boucle dans les JT la souffrance de quelques occupants israéliens. Et le
gouvernement israélien est angélique parce que personne n'a pu voir la
souffrance des Palestiniens qui voient leurs femmes et leurs enfants
massacrés par dizaines à chaque attaque.



quoi qu'il en soit par vos postes l ont peut y déceler une incitation a la
haine contre une communauté. je pense sincèrement que cela est très subtil
car vous comme les autres vous faite la comparaison du nombre de vies, comme
si l ont jouaient au bouling.

une vie est une vie, et le respect de la vie vient par le respect des mots.
et la non incitation a la violence.

le christ a dit ceux qui prennent l'épée périront par l'épée. le cheval
blême des quatre cavaliers de l apocalypse, est a l oeuvre, il sème la mort,
parmi les nations.
une prophétie biblique.
Le christ a dit aux croyant de rester neutres dans les affaires humaines de
peurs de n être coupable d'une dette de sang.

Ne pas oublier que la vengeance appartient a Dieu, et le moment venu il
interviendra pour remettre l ordre dans les affaires humaines.

tous ce qu'un croyant a à faire c'est de porter un message d espoir par l
intervention de Dieu. Chose que l'humain ne peut faire cela.

et tout hommes sincères peut en bénéficier. mais ce n est pas en portant des
postes comme vous le faite que cela arrangera les choses.

un fait vécu en Israël et en Palestine. un israélien qui faisait parti du
maussade, a connu Jéhovah, et sa parole. pareillement de l autre coter un
kamikaze palestiniens a connu lui aussi la vérité, le nom de Dieu.

d'ennemis qu'ils étaient ils se sont appeler frère. parce que la vrai
religion n apporte pas un message de haine mais d amour entre les hommes.
ils ont éliminer leurs différences sachant très bien que l homme ne peut
apporter la paix. pour réunir deux hommes autrefois ennemis, il ne peut y
avoir que la force de Dieu a l oeuvre.

c'est le cas chez les tjs.
Avatar
alain
pat wrote:

> Conclusions. Les Palestiniens sont des monstres parce qu'on a vu diffuser
en
> boucle dans les JT la souffrance de quelques occupants israéliens. Et le
> gouvernement israélien est angélique parce que personne n'a pu voir la
> souffrance des Palestiniens qui voient leurs femmes et leurs enfants
> massacrés par dizaines à chaque attaque.
>
quoi qu'il en soit par vos postes l ont peut y déceler une incitation a la
haine contre une communauté.



?

une vie est une vie, et le respect de la vie vient par le respect des mots.
et la non incitation a la violence.



Bla, bla, bla,

le christ a dit (...)
Le christ a dit (...)
Ne pas oublier que la vengeance appartient a Dieu, (...)
tous ce qu'un croyant a à faire c'est de porter un message d espoir par l
intervention de Dieu. (...)
et tout hommes sincères peut en bénéficier. (...)
un fait vécu en Israël et en Palestine. un israélien qui faisait parti du
maussade, a connu Jéhovah, (...)
kamikaze palestiniens a connu lui aussi la vérité, le nom de Dieu.
(...) que la force de Dieu (...)



Quelle belle béquille, ce ou ces dieux, si elle n'existait pas, faudrait
vraiment l'inventer !

Pendant ce temps, on étudie, on améliore, on fabrique et on utilise le
matériel assassin en toute liberté.

Alain