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Injures de la part de mineurs

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nospam4fred
Bonjour,

Il n'est pas dans mon intention de prendre le rôle du méchant adulte de
service, mais voici ma question :

- dans le cas d'injures répétées proférées par un groupe de mineurs,
quelle attitude prendre ?

Pourraient-ils recevoir un averstissment officiel (par les gendarmes,
par exemple, ou par leurs parents après signalement par les autorités),
histoire de les amener à plus de discernement ?

Merci pour vos réponses.

--
I do it so it feels like hell
I do it so it feels real

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Tartofrez
Bonjour,

dans le cas d'injures répétées proférées par un groupe de mineurs,
quelle attitude prendre ?



/* MODE provoc ON */

Une bonne tarte dans la gueule !
Et surtout, distribuée par quelqu'un d'autre que les parents, ce qui va
permettre à l'enfant de nettement mieux retenir les limites de ce qui est
bien ou non dans la vie au contact d'un univers extérieur à sa cellule
familiale où il se croit si bien protégé. Croyez-moi, pédagogiquement c'est
excellent !
Vous êtes couvert : un ministre en exercice en a distribué une en public,
sous les caméras, à un gamin qui lui faisait les poches, alors allez-y
gaiement. :-)

Les mentalités changent, on va y revenir aux taloches... vous verrez !
Même si c'est interdit par la loi de cogner les enfants, il est parfaitement
admis par les adultes sensés, qu'il faut absolument les corriger quand ils
dépassent les bornes. Vous imaginez si demain on mettait en prison toutes
les mères de famille qui donnent occasionnellement une taloche à leur gamin
?

Une bonne claque de temps en temps dans la gueule de ces mouflets, ça ne
donnerait pas des délinquants par la suite, qui volent des bagnoles,
conduisent à 16 ans sans permis, et emboutissent des écoliers à Sannois ou
des mères de famille enceintes à Strasbourg ! Des innocents meurent aussi
parce que des gens faibles refusent de distribuer une claque aux gamins
quand il le faudrait, vous trouvez ça normal vous ???
Moi non et ça me révolte !

Pourraient-ils recevoir un averstissment officiel (par les gendarmes,
par exemple, ou par leurs parents après signalement par les autorités),
histoire de les amener à plus de discernement ?



Ils ne vous respectent pas en tant qu'adulte, vous pensez que les gendarmes
ça va leur faire peur ?
Dans leur univers mental, rien ne leur fait peur à part prendre un pruneau
ou une cacahuète dans la tronche, par le grand chef de la bande adverse.
Alors vos gendarmes avec leur flashballs, pfffrrtt !!! Ca les fait mourir de
rire !

Les gendarmes s'en foutent, ils n'ont pas le temps de s'occuper de ça.
Ils ont déjà trop à faire avec des cas plus graves.
Vous pouvez toujours aller voir un flic ou un gendarme pour leur en parler
mais honnêtement ils vont probablement vous dire qu'avec les meutres, vols,
escroqueries et autres délits plus graves avec ou sans effusion de sang, ils
n'ont déjà pas le temps de tout traiter comme il faudrait, alors des
injures....ils vont vous rire au nez, hélas. Ils ne se déplacent même plus
tant qu'il n'y a pas de sang qui coule !

Non, honnêtement je crois qu'à notre époque il faut cesser de faire appel au
droit pour les incivilités de ce genre, et réagir comme un adulte qui se
fait respecter et qui n'attend pas toujours tout de l'administration. Vous
en prenez trois ou quatre, vous leur mettez une taloche (sans témoins et
sans que ça ne laisse de traces corporelles), vous ne vous faites pas
remarquer, et après ils comprendront.

Surtout, pas de passage à tabac !
Je parle bien d'une simple taloche, juste pour les effrayer.
Il faut revenir aux méthodes anciennes qui ont fait leurs preuves : avant
mai 1968, et même encore jusque sous Giscard, la taloche était courante et
les petits merdeux ne faisaient pas chier le monde. Et on ne se plaignait
pas toujours auprès du gouvernement pour la montée de l'insécurité et de
l'incivisme !

Si vous êtes taillé comme une allumette et si ce sont des jeunes déjà bien
constitués (15, 16 ans ?), musclés, et qu'ils ripostent, c'est pas mal non
plus...
Laissez-les vous taper et surtout que ça fasse des marques !
Puis tirez-vous, présentez-vous au commissariat le plus proche avec vos
bleus et vous déposerez immédiatement plainte pour coups et blessures, si
possible essayez d'obtenir une ITT de quelques jours (le médecin se déplace
jusqu'au commissariat), et voilà, vous aurez perdu la bataille mais pas la
guerre. Et là, vos merdeux risquent une peine de travaux d'intérêt général
ou de la prison avec sursis (c'est toujours ça)

/* MODE provoc OFF */

Sinon j'ai aussi ça en stock :

/* MODE bouddhiste ON */

Je vous suggère d'éviter ce groupe de mineurs et de les ignorer :
l'ignorance est la meilleure façon de leur montrer que vous les méprisez et
qu'ils ne vous touchent pas.

/* MODE bouddhiste OFF */

Voilà, vous prenez la réponse que vous voulez.
Il est évident que sur un plan de droit pur, ma première réponse n'est
vraiment pas en accord avec la charte de ce forum. :-D
De plus, j'ai toujours pensé qu'il fallait d'abord bien élever les enfants,
et ne les gifler qu'en dernier recours.
Les fautifs dans votre problème, ce sont les parents... Et ce sont eux qui
sont légalement responsables de ces gosses.
A mon avis il faudrait couper les vivres aux familles qui élèvent votre
bande de malappris...

Tartofrez
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Tartofrez
A nouveau moi :

Pourraient-ils recevoir un averstissment officiel (par les gendarmes,
par exemple, ou par leurs parents après signalement par les autorités),
histoire de les amener à plus de discernement ?



Tenez, voici quelques liens pour vous faire une opinion. :-)

Source : http://www.defenseurdesenfants.fr/actus/index1.htm
" Pour la première fois en France, deux tribunaux pour enfants ont mené une
étude statistique sur le parcours des mineurs délinquants et sur leur
devenir pendant les 4 premières années de leur majorité ". Cette étude porte
sur 395 mineurs, dont 90% de garçons, soit la totalité des mineurs ayant eu
affaire avec les tribunaux de Caen et de Pau depuis 1992 et ayant eu 18 ans
en 1997. Elle confirme les propos des professionnels, à savoir que 7 à 8
mineurs sur 10 comparaissant devant un tribunal pour enfants ne font plus
parler d'eux ensuite. "

===> Si vous arrivez à faire arriver ces gamins devant un tribunal pour
enfants, vous avez donc 2 à 3 chances sur 10 qu'ils vous foutent la paix
ensuite :-) Et bien moi je crois qu'avec les taloches, savamment distribuées
au bon moment et comme il faut, on arrive beaucoup plus vite à un meilleur
résultat, mais c'est mon avis.

Autres liens :
http://www.lien-social.com/archives/dossiers1999/491a500/493-2.htm
" La France fait partie des trois ou quatre pays au monde où la violence
institutionnelle est la plus rare, loin devant l'Angleterre et les
Etats-Unis où le recours au châtiment corporel à des fins éducatives est
encore inscrit dans les mours. Malgré cela, la France est plus « laxiste »
que la Suède ou la Hollande en matière de violence. Dans ces pays, une gifle
donnée à un gamin est un acte illicite, qui encourt la réprobation publique
dès l'instant où l'enfant se plaint à un « médiateur ». (....) Cette
position est reprise en France par les articles 312 et 331 du code pénal,
qui interdisent toute violence physique en institution et aggravent les
faits de maltraitance lorsqu'ils sont commis par une personne ayant autorité
sur l'enfant. À ce stade, les choses sont tout à fait claires. Mais, et le
mais » est de taille, les ambiguïtés surgissent dès lors qu'il s'agit de
définir de façon légale ce qui est considéré comme une violence physique
faite à autrui, et surtout à partir de quel seuil elle doit être considérée
comme préjudiciable à la personne. De façon générale, le code pénal est très
clair : l'acte de violence est caractérisé lorsqu'il entraîne une incapacité
de travail temporaire (ITT) au moins égale à huit jours. Or, les faits ont
montré que tout acte de violence, et en l'occurrence une gifle, même donnée
violemment, n'entraîne pas forcément ce niveau d'incapacité. Dès lors, l'
article R 40 réglemente les violences légères, n'entraînant pas une ITT de
huit jours, quand elles sont commises dans le domaine public ; a contrario,
dans l'éducation la violence n'existe pas formellement en dessous du seuil d
'incapacité prévue par la loi"

http://www.travail-social.com/oasismag/article.php3?id_article‡
" En France, un sondage réalisé en janvier 1999, révélait que 85% des
enfants étaient frappés par leurs parents. Oh, bien sûr, il ne s'agit que de
claques ou de fessées, qui comme chacun le sait « n'ont jamais fait de mal à
personne ». Et pourtant qu'elle soit légère ou sérieuse, la violence ainsi
exercée n'est pas sans conséquences. Physiques d'abord : on ne compte plus
les perforations de tympan ou les traumatismes oculaires occasionnés par les
claques, les atteintes au nerf sciatique, au coccyx ou aux organes sexuels
liés aux fessées." => évidemment, si au bout de 50 claques le gamin ne
comprend toujours pas, il faut arrêter et changer de méthode ! moi, au bout
d'une seule claque je comprenais , quand j'étais gosse ...

http://parentinginjesusfootsteps.org/RFI-Interview-French.html

http://perso.wanadoo.fr/kinesio-web/violence.html

http://www.casediscute.com/2001/71_violence_a_ecole/invites/specialiste_02.s
html
" Les insultes sont pénalement punissables lorsqu'elles sont dites dans un
lieu public. Et l'école en est un. On peut encourir jusqu'à deux ans de
prison pour les avoir proférées mais, dans les faits, le gamin se retrouve
dans le bureau du juge pour enfants pour une admonestation et un rappel de
la loi."

http://www.infos-dieppoises.fr/Archives2002/OutrageEnseignant.htm
" Quelle sanction pour avoir insulté une enseignante ? C'est toute la
question. Le papa de Paul, 12 ans, trouve démesurée la lettre qu'il vient de
recevoir du collège Claude-Monet de Saint-Nicolas qui fait à l'enfant un
rappel à la loi et prévient qu'un tel acte, en cas de dépôt de plainte,
pourrait lui valoir jusqu'à 7500 euros d'amende et six mois... de prison ""
Le lundi 9 septembre, l'enfant pourtant sans histoire a insulté une
enseignante qui lui demandait de sortir d'un couloir. «Mon fils a reconnu
avoir tenu les propos qu'on lui reproche et à partir de là, j'estime qu'il
devait être sanctionné, prendre un coup de pied aux fesses, voire être exclu
pendant deux jours» poursuit le père de l'enfant. « Mais là, j'estime que
les menaces que vient de nous envoyer le collège, en courrier recommandé
avec accusé de réception, sont pour le moins démesurées : on nous rappelle
en effet, photocopie du code civil à l'appui, que le délit d'outrage est
passible d'une amende de 7500 euros et d'une peine de 6 mois d'
emprisonnement...» "

==> Vous voyez, même les parents préfèrent une simple fessée à une telle
peine, étonnant non ? :-)

Tartofrez
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Fanfan
"Frederic Kerbrat" a écrit dans le message de
news:1g7rkrz.1px5h3t196ctq2N%
Bonjour,

Il n'est pas dans mon intention de prendre le rôle du méchant adulte de
service, mais voici ma question :

- dans le cas d'injures répétées proférées par un groupe de mineurs,
quelle attitude prendre ?



Une bonne claque dans la gueule à ces morveux !