Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du fait de
cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :
Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du fait de
cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du fait de
cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Benoit vient de nous annoncer :
> Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
>
>> Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
>> généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
>> vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
>> ¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
>
> Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
> l'heure un pilote ?
>
> Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
> d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
> envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
> et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
> à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
> partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
> sceaux couverts de chiffons. ;)
>
>> Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
>> qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
>> d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
>
> La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du
fait de cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :
Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du
fait de cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Le 30/11/2018 06:22, Jacques DASSIÉ a écrit :Le gars qui n'est absolument pas dans le coup...
Mon pauvre ami, tu crois que l'on part en prospections comme ça, d'un
claquement de doigts, en lisant Sud-Ouest...
vu l'inertie de la hauteur d'une nappe phréatique, oui lire sud-ouest
suffit... sauf preuve du contraire, tu ne montres pas l'utilité
de ce déluge de chiffres et de mesures quotidiennes.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je lèverais la
main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
question subsidiaire, cette photo n'a pas pu être refaite, est-ce du
fait de cette methodologie ou simplement le fait qu'il n'y a jamais eu
plus sec en charente que 1976 ?
Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Benoit vient de nous annoncer :
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)
Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Mais je n'ai rien à te le montrer, vu ton incompétence crasse sur ce
sujet !
Quand à l'inertie de la nappe phréatique, saches qu'ici, elle peut
varier de plusieurs centimètres par jour. Cela se lit directement sur
les courbes proposées (quand on sait). Et qu'elle présente des micro-
variations de quelques dixièmes de mm, synchrones avec les marées
locales. Il a bien sûr fallu affiner les moyens de mesure pour être en
capacité de détecter cela.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je
lèverais la main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
Oui, être dans le public, c'est tout ce que tu sais faire.
Saches également que l'IGN et l'Institut du pétrole m'ont demandé de
leur faire un topo sur ce sujet. C'est un autre public que toi...
De même, j'ai donné une conférence, avenue Rapp, à la Météorologie
Nationale. Après, on a fait du labo et ils ont fait jouer ma formule à
l'envers sur un ordi. En remontant le temps de trois mois, j'indiquais
encore des valeurs comparables avec les leurs. Ils ont aussitôt admis la
validité du BHI, l'indice que je proposais.
A ma connaissance, on n'a jamais retrouvé un niveau de nappe phréatique
aussi bas qu'en 1976, tout au moins dans les mois critiques qui
précèdent la maturation des céréales. Mes relevés bi-journaliers du
niveau de la nappe phréatique ont cessé dans les années 2000.
Mais je n'ai rien à te le montrer, vu ton incompétence crasse sur ce
sujet !
Quand à l'inertie de la nappe phréatique, saches qu'ici, elle peut
varier de plusieurs centimètres par jour. Cela se lit directement sur
les courbes proposées (quand on sait). Et qu'elle présente des micro-
variations de quelques dixièmes de mm, synchrones avec les marées
locales. Il a bien sûr fallu affiner les moyens de mesure pour être en
capacité de détecter cela.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je
lèverais la main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
Oui, être dans le public, c'est tout ce que tu sais faire.
Saches également que l'IGN et l'Institut du pétrole m'ont demandé de
leur faire un topo sur ce sujet. C'est un autre public que toi...
De même, j'ai donné une conférence, avenue Rapp, à la Météorologie
Nationale. Après, on a fait du labo et ils ont fait jouer ma formule à
l'envers sur un ordi. En remontant le temps de trois mois, j'indiquais
encore des valeurs comparables avec les leurs. Ils ont aussitôt admis la
validité du BHI, l'indice que je proposais.
A ma connaissance, on n'a jamais retrouvé un niveau de nappe phréatique
aussi bas qu'en 1976, tout au moins dans les mois critiques qui
précèdent la maturation des céréales. Mes relevés bi-journaliers du
niveau de la nappe phréatique ont cessé dans les années 2000.
Mais je n'ai rien à te le montrer, vu ton incompétence crasse sur ce
sujet !
Quand à l'inertie de la nappe phréatique, saches qu'ici, elle peut
varier de plusieurs centimètres par jour. Cela se lit directement sur
les courbes proposées (quand on sait). Et qu'elle présente des micro-
variations de quelques dixièmes de mm, synchrones avec les marées
locales. Il a bien sûr fallu affiner les moyens de mesure pour être en
capacité de détecter cela.
si j'étais dans le public de la présentation de cette thèse, je
lèverais la main pour poser cette question et tu devrais y répondre...
Oui, être dans le public, c'est tout ce que tu sais faire.
Saches également que l'IGN et l'Institut du pétrole m'ont demandé de
leur faire un topo sur ce sujet. C'est un autre public que toi...
De même, j'ai donné une conférence, avenue Rapp, à la Météorologie
Nationale. Après, on a fait du labo et ils ont fait jouer ma formule à
l'envers sur un ordi. En remontant le temps de trois mois, j'indiquais
encore des valeurs comparables avec les leurs. Ils ont aussitôt admis la
validité du BHI, l'indice que je proposais.
A ma connaissance, on n'a jamais retrouvé un niveau de nappe phréatique
aussi bas qu'en 1976, tout au moins dans les mois critiques qui
précèdent la maturation des céréales. Mes relevés bi-journaliers du
niveau de la nappe phréatique ont cessé dans les années 2000.
Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Benoit vient de nous annoncer :
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)
Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
Benoit a utilisé son clavier pour écrire :Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
D'où sors-tu cela ? C'est un simple problème de pilotage et de
résistance de ton estomac.
Mais pour l'observation, l'oblique à 45° me paraît la mieux adaptée :
elle ne déroute pas l'observateur, comme le fait une verticale.
Benoit a utilisé son clavier pour écrire :
> Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
>
>> Benoit vient de nous annoncer :
>>> Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
>>>
>>>> Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
>>>> généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
>>>> vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
>>>> ¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
>>>
>>> Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
>>> l'heure un pilote ?
>>>
>>> Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
>>> d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
>>> envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
>>> et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
>>> à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
>>> partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
>>> sceaux couverts de chiffons. ;)
>>>
>>>> Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
>>>> qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
>>>> d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
>>>
>>> La base est à Lannion donc 10km du litotal.
>>
>> Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
>> pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
>> l'aubaine.
>>
>> Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
>> sur mon site, là :
>>
>> http://archaero.com/archeo04.htm
>
> Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
> protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
> faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
D'où sors-tu cela ? C'est un simple problème de pilotage et de
résistance de ton estomac.
Mais pour l'observation, l'oblique à 45° me paraît la mieux adaptée :
elle ne déroute pas l'observateur, comme le fait une verticale.
Benoit a utilisé son clavier pour écrire :Jacques DASSIÉ wrote:Benoit vient de nous annoncer :Jacques DASSIÉ wrote:Hélas non ! Un prospecteur aérien utilise un avion et décolle
généralement de son terrain coutumier. Un avion se paie à l'heure de
vol (on décompte en minutes). Actuellement, c'est de l'ordre de 2 à 2,5
¤ /minute pour un coucou qui déboule à 50 m/S.
Ok, dans mon budget, mais là il n'y a pas de pilote. C'est combien de
l'heure un pilote ?
Je pose la question parce que j'aimerai photographier le litoral à côté
d'ici un jour de très grande marée (coefficient supérieur à 110). J'ai
envie de bien voir les zones de sables, rochers, algues... pour la pêche
et les casiers. En plus il y a à ce moment-là des endroits atteignables
à pied pour ramasser les homards et les ormeaux. Mais ceux qui savent ne
partagent pas l'info, mais alors pas du tout. Ils rentrent avec des
sceaux couverts de chiffons. ;)Donc plus tu t'éloignes de ta base de départ et plus ça te coûte. Ce
qui, en pratique, limite tes pérégrinations prospectives à un rayon
d'une centaine de kilomètres. Donc, la Bretagne, hors de portée !
La base est à Lannion donc 10km du litotal.
Je suis persuadé qu'à l'aéroclub de Lannion il y aura toujours un
pilote pour t'emmener gracieusement, trop heureux de profiter de
l'aubaine.
Respecte quand même les principes de base. Tu peux en trouver un résumé
sur mon site, là :
http://archaero.com/archeo04.htm
Excellents conseils et je vais m'assurer de mettre le filtre UV pour
protéger la lentille frontale. Le seul « défaut » est qu'on ne peut
faire des prises de vues verticales. On ne peut pas tout avoir :)
D'où sors-tu cela ? C'est un simple problème de pilotage et de
résistance de ton estomac.
Mais pour l'observation, l'oblique à 45° me paraît la mieux adaptée :
elle ne déroute pas l'observateur, comme le fait une verticale.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Ce qu'il y a c'est que l'idéal serait de faire une carte graphique. Je
suis sûr que les données existent quelque part avec ce que savent faire
les satelittes, mais je n'ai pas les clefs de leurs bureaux.
Le 29/11/2018 à 20:36, Jacques DASSIÉ a écrit :http://archaero.com/archeo08.htm
http://archaero.com/Tampon/Vienne-Naintre-Le_Vieux_Poitiers.jpg
Très intéressant.
Le 29/11/2018 à 20:36, Jacques DASSIÉ a écrit :
http://archaero.com/archeo08.htm
http://archaero.com/Tampon/Vienne-Naintre-Le_Vieux_Poitiers.jpg
Très intéressant.
Le 29/11/2018 à 20:36, Jacques DASSIÉ a écrit :http://archaero.com/archeo08.htm
http://archaero.com/Tampon/Vienne-Naintre-Le_Vieux_Poitiers.jpg
Très intéressant.