Une question qui n'est pas technique, pour ça que je mets ça là, comme
dirait Ben Hur.
Où on en est avec l'IPv6?
Je viens de lire que certains sont à court d'IPv4. Est-ce que ça marche?
Sinon un jour on risque d'être bloqué. Ca se trouve c'est mal conçu tout ça.
Une question qui n'est pas technique, pour ça que je mets ça là, comme dirait Ben Hur.
Où on en est avec l'IPv6? Je viens de lire que certains sont à court d'IPv4. Est-ce que ça marche? Sinon un jour on risque d'être bloqué. Ca se trouve c'est mal conçu tout ça.
quel rapport avec Linux ?
Le 15/06/14 11:35, Leger a écrit :
Bonjour,
Une question qui n'est pas technique, pour ça que je mets ça là, comme
dirait Ben Hur.
Où on en est avec l'IPv6?
Je viens de lire que certains sont à court d'IPv4. Est-ce que ça marche?
Sinon un jour on risque d'être bloqué. Ca se trouve c'est mal conçu tout ça.
Une question qui n'est pas technique, pour ça que je mets ça là, comme dirait Ben Hur.
Où on en est avec l'IPv6? Je viens de lire que certains sont à court d'IPv4. Est-ce que ça marche? Sinon un jour on risque d'être bloqué. Ca se trouve c'est mal conçu tout ça.
Le Thu, 19 Jun 2014 22:32:20 +0200, Toxico Nimbus écrivait :
Le 19/06/2014 19:50, Leger a écrit :
Tonton Th wrote:
On 2014-06-15, Leger wrote:
Où on en est avec l'IPv6?
Jusqu'à présent, ça marche.
C'est discret alors.
C'est parce que tu es chez Orange.
Même sans être chez Orange, l'intérêt d'IPv6 me semble très discutable. Si je veux bien entendre parler de la pénurie d'adresses IPv4, je trouve que IPv6 est tortueusement compliqué. Par endroit, c'est même assez délirant et j'en arrive même à me demander comment ce truc peut fonctionner. Et ce n'est pas faute de m'être tapé les specs en long, en large et en travers.
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Le Thu, 19 Jun 2014 22:32:20 +0200,
Toxico Nimbus <toxn@free.fr> écrivait :
Le 19/06/2014 19:50, Leger a écrit :
Tonton Th wrote:
On 2014-06-15, Leger <le.ger@orange.fr> wrote:
Où on en est avec l'IPv6?
Jusqu'à présent, ça marche.
C'est discret alors.
C'est parce que tu es chez Orange.
Même sans être chez Orange, l'intérêt d'IPv6 me semble très
discutable. Si je veux bien entendre parler de la pénurie d'adresses
IPv4, je trouve que IPv6 est tortueusement compliqué. Par endroit,
c'est même assez délirant et j'en arrive même à me demander comment
ce truc peut fonctionner. Et ce n'est pas faute de m'être tapé les
specs en long, en large et en travers.
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les
contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4
par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense
même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau,
c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du
bénéfice qu'il pourrait apporter.
JKB
--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
=> http://loubardes.de-charybde-en-scylla.fr
Le Thu, 19 Jun 2014 22:32:20 +0200, Toxico Nimbus écrivait :
Le 19/06/2014 19:50, Leger a écrit :
Tonton Th wrote:
On 2014-06-15, Leger wrote:
Où on en est avec l'IPv6?
Jusqu'à présent, ça marche.
C'est discret alors.
C'est parce que tu es chez Orange.
Même sans être chez Orange, l'intérêt d'IPv6 me semble très discutable. Si je veux bien entendre parler de la pénurie d'adresses IPv4, je trouve que IPv6 est tortueusement compliqué. Par endroit, c'est même assez délirant et j'en arrive même à me demander comment ce truc peut fonctionner. Et ce n'est pas faute de m'être tapé les specs en long, en large et en travers.
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC) JKB a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Des exemples particuliers ?
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC)
JKB <jkb@koenigsberg.invalid> a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les
contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer
IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ?
Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup
de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué
vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC) JKB a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Des exemples particuliers ?
JKB
Le Thu, 19 Jun 2014 23:43:07 +0200, Yliur écrivait :
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC) JKB a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Des exemples particuliers ?
L'affectation des adresses en fonction du scope. Le principe des adresses dynamiques et multiples par interface. L'absence de notion de réseau et de broadcast remplacée par un multicast un peu particulier. Les techniques de routages qui peuvent devenir assez rapidement folkloriques... Une pile IPv6 conforme aux specs est horriblement compliquée et tortueuse.
Le Thu, 19 Jun 2014 23:43:07 +0200,
Yliur <yliur@free.fr> écrivait :
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC)
JKB <jkb@koenigsberg.invalid> a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les
contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer
IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ?
Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup
de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué
vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Des exemples particuliers ?
L'affectation des adresses en fonction du scope. Le principe des
adresses dynamiques et multiples par interface. L'absence de notion
de réseau et de broadcast remplacée par un multicast un peu
particulier. Les techniques de routages qui peuvent devenir assez
rapidement folkloriques... Une pile IPv6 conforme aux specs est
horriblement compliquée et tortueuse.
JKB
--
Si votre demande me parvient sur carte perforée, je titiouaillerai très
volontiers une réponse...
=> http://grincheux.de-charybde-en-scylla.fr
=> http://loubardes.de-charybde-en-scylla.fr
Le Thu, 19 Jun 2014 23:43:07 +0200, Yliur écrivait :
Le Thu, 19 Jun 2014 21:03:21 +0000 (UTC) JKB a écrit :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Des exemples particuliers ?
L'affectation des adresses en fonction du scope. Le principe des adresses dynamiques et multiples par interface. L'absence de notion de réseau et de broadcast remplacée par un multicast un peu particulier. Les techniques de routages qui peuvent devenir assez rapidement folkloriques... Une pile IPv6 conforme aux specs est horriblement compliquée et tortueuse.
Le Thu, 19 Jun 2014 22:32:20 +0200, Toxico Nimbus a écrit :
Le 19/06/2014 19:50, Leger a écrit :
Tonton Th wrote:
On 2014-06-15, Leger wrote:
Où on en est avec l'IPv6?
Jusqu'à présent, ça marche.
C'est discret alors.
C'est parce que tu es chez Orange.
:-)
-- @+ Leger
Patrick Lamaizière
JKB :
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Et surtout quel bénéfice ? Au taf on a encore assez d'IP pour deux siecles alors tu parles qu'on se presse pas.
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les
contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4
par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense
même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau,
c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du
bénéfice qu'il pourrait apporter.
Et surtout quel bénéfice ? Au taf on a encore assez d'IP pour deux
siecles alors tu parles qu'on se presse pas.
Je pense que c'est un échec dans la conception d'avoir deux piles
séparées et suis assez d'accord avec
ça http://cr.yp.to/djbdns/ipv6mess.html
IPv4 avait certes des limitations et d'affreux hacks pour les contourner (comme le NAT). Mais avait-on besoin de remplacer IPv4 par l'espèce d'usine à gaz avec des fuites qu'est IPv6 ? Je pense même que si IPv6 n'a pas supplanté IPv4 dans beaucoup de réseau, c'est peut-être parce qu'il est inutilement compliqué vis à vis du bénéfice qu'il pourrait apporter.
Et surtout quel bénéfice ? Au taf on a encore assez d'IP pour deux siecles alors tu parles qu'on se presse pas.