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Olivier @ a exposé le 03/04/2005 :f
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Le capitalisme international
semble avoir un besoin urgent de Moncks
et de Dray, d'ailleurs que vote Seillère ?
Ce traité n'est donc pas lafin de l'Histoire que vous dénoncez. Il sera dépassé, comme tous les
autres.
dépassons le tout de suite
Vous dites aussi, que c'est justement dans cet objectif d'obtenir une
Europe sociale que vous préconisez le non au motif qu'il lancerait
une négociation pour un meilleur traité.
mais non, il sufffit de constater qu'il avalise des reculs
Etsur quelle base politique ? Car il n'y a qu'en France où certains
évoquent un « non de gauche ». Ailleurs, le non est avant tout un non
souverainiste, antifédéraliste et conservateur.
Et bien, soyons originaux.
Dès lors j'ai du mal à entrevoir le caractère salvateur de la crise
que vous préconisez.
On en préconise pas de crise, on préconise de se passser de ce monstre
juridique dans lequel nous ne pouvons que laisser des plumes
Le non n'offre aucun autre débouché concret que celuid'un retour au traité de Nice, c'est-à-dire, un surplace.
Reste le chemin nouveau qu'ouvrirait un non venu de France, ralliant
tous les autres pays et peuples à son cheval blanc, au seul motif
qu'il vient de France. De la même façon que j'ai toujours pensé qu'il
était impossible de faire le socialisme dans un seul pays, il est
impensable d'imaginer faire l'Europe qu'avec la France.
Il est surtout impossible de faire du socialisme avec les socialistes
français, on l'avait déjà compris.
Notre continent n'avancerajamais à coup d'oukases : renverser la table, parce que nous sommes
la France, n'est pas de nature à convaincre.
On ne veut pas qu'il recule, c'est tout.
Tout se passe comme si vous compreniez ce référendum comme une sorte
de « match retour » du tournant de 1983 ! Mais c'était il y a 22 ans,
au temps où certains pensaient encore, à gauche, que la « protection
» aux frontières nationales était de nature à dominer la
mondialisation...
Comme si l'Europe que tu propose étaiut une protection : demande à 10
millions de chômeurs, aux précaires, aux exclus, aux délocalisés, si
l'europe que tu soutien a été un seul jour un semblant de protection .
Comme si nous étions sommés de choisir entre le socialisme et
l'Europe ! Et je suis même convaincu que si 1997 n'avait pas été si
proche du passage à l'euro, jamais nous n'aurions pu assurer le
passage aux 35 heures. Dans la mondialisation, être de gauche, c'est
être européen.
Ton passage aix 35 heures, l'europe est en train de le transformer en
passage à 60 heures, et à quel salaire !
Dans ces conditions, pourquoi tant d'obstination à diaboliser ce
traité, et avec lui, la construction européenne, pourtant forcément
ambivalente, puisque faite de compromis par nature ? Pourquoi épouser
cette tradition si souverainiste de nationaliser les succès et
d'européaniser les problèmes ? Pourquoi cette morgue à l'égards des
autres gauches en Europe ? Pourquoi cette rhétorique douteuse sur les
nouveaux entrants, uniquement perçus comme des concurrents déloyaux ?
Chacun est libre de ses actes. Mais je me permets de donner un
conseil :
« plumer la volaille socialiste » ou dénoncer des prétendus « sociaux-
libéraux » qui seraient une sorte de « sociaux traîtres »
d'aujourd'hui n'a provoqué qu'échecs et catastrophes en chaînes à
gauche.
Vousconnaissez autant que moi la longue liste des défaites produites par
la division et la surenchère. D'autant que finalement, on trouve
toujours plus radical que soi. Souvenez-vous par exemple de ce qui
vous est arrivé il y a peu au forum social de Londres...
On trouve toujours aussi plus à droite que soi. Tu peux mieux faire
en ce sens.
par Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste
tirer de ton site :
"Les Français ne souhaitent pas que, par élargissements successifs,
le centre de gravité de la construction européenne se perde dans les
lointains. "
Voila ca nous donne l'ambiance...On joue sur nos peurs !
Dans l'article <42668966$0$21142$,Vous n'avez toujours pas compris que l'essentiel des intentions de
vote pour le NON vient de l'électorat de la gauche traditionnelle?
En ce moment, je t'avoue trouver un peu difficile de savoir exactement
quelle est cette « gauche traditionnelle », qui dit pis que pendre de
gens comme Mitterrand, Jospin et Hollande.
Quelqu'un qui écoute les arguments, se moque des tendances médiatiques et
possède une forte indépendance d'esprit ?
mais ce chevènement qui a fait perdre jospin et qui a eu tellement
d'incohérences n'est pas crédible. L'indépendance d'esprit c'est de
reconnaître cela.
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Le capitalisme international
semble avoir un besoin urgent de Moncks
et de Dray, d'ailleurs que vote Seillère ?
Ce traité n'est donc pas la
fin de l'Histoire que vous dénoncez. Il sera dépassé, comme tous les
autres.
dépassons le tout de suite
Vous dites aussi, que c'est justement dans cet objectif d'obtenir une
Europe sociale que vous préconisez le non au motif qu'il lancerait
une négociation pour un meilleur traité.
mais non, il sufffit de constater qu'il avalise des reculs
Et
sur quelle base politique ? Car il n'y a qu'en France où certains
évoquent un « non de gauche ». Ailleurs, le non est avant tout un non
souverainiste, antifédéraliste et conservateur.
Et bien, soyons originaux.
Dès lors j'ai du mal à entrevoir le caractère salvateur de la crise
que vous préconisez.
On en préconise pas de crise, on préconise de se passser de ce monstre
juridique dans lequel nous ne pouvons que laisser des plumes
Le non n'offre aucun autre débouché concret que celui
d'un retour au traité de Nice, c'est-à-dire, un surplace.
Reste le chemin nouveau qu'ouvrirait un non venu de France, ralliant
tous les autres pays et peuples à son cheval blanc, au seul motif
qu'il vient de France. De la même façon que j'ai toujours pensé qu'il
était impossible de faire le socialisme dans un seul pays, il est
impensable d'imaginer faire l'Europe qu'avec la France.
Il est surtout impossible de faire du socialisme avec les socialistes
français, on l'avait déjà compris.
Notre continent n'avancera
jamais à coup d'oukases : renverser la table, parce que nous sommes
la France, n'est pas de nature à convaincre.
On ne veut pas qu'il recule, c'est tout.
Tout se passe comme si vous compreniez ce référendum comme une sorte
de « match retour » du tournant de 1983 ! Mais c'était il y a 22 ans,
au temps où certains pensaient encore, à gauche, que la « protection
» aux frontières nationales était de nature à dominer la
mondialisation...
Comme si l'Europe que tu propose étaiut une protection : demande à 10
millions de chômeurs, aux précaires, aux exclus, aux délocalisés, si
l'europe que tu soutien a été un seul jour un semblant de protection .
Comme si nous étions sommés de choisir entre le socialisme et
l'Europe ! Et je suis même convaincu que si 1997 n'avait pas été si
proche du passage à l'euro, jamais nous n'aurions pu assurer le
passage aux 35 heures. Dans la mondialisation, être de gauche, c'est
être européen.
Ton passage aix 35 heures, l'europe est en train de le transformer en
passage à 60 heures, et à quel salaire !
Dans ces conditions, pourquoi tant d'obstination à diaboliser ce
traité, et avec lui, la construction européenne, pourtant forcément
ambivalente, puisque faite de compromis par nature ? Pourquoi épouser
cette tradition si souverainiste de nationaliser les succès et
d'européaniser les problèmes ? Pourquoi cette morgue à l'égards des
autres gauches en Europe ? Pourquoi cette rhétorique douteuse sur les
nouveaux entrants, uniquement perçus comme des concurrents déloyaux ?
Chacun est libre de ses actes. Mais je me permets de donner un
conseil :
« plumer la volaille socialiste » ou dénoncer des prétendus « sociaux-
libéraux » qui seraient une sorte de « sociaux traîtres »
d'aujourd'hui n'a provoqué qu'échecs et catastrophes en chaînes à
gauche.
Vous
connaissez autant que moi la longue liste des défaites produites par
la division et la surenchère. D'autant que finalement, on trouve
toujours plus radical que soi. Souvenez-vous par exemple de ce qui
vous est arrivé il y a peu au forum social de Londres...
On trouve toujours aussi plus à droite que soi. Tu peux mieux faire
en ce sens.
par Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste
tirer de ton site :
"Les Français ne souhaitent pas que, par élargissements successifs,
le centre de gravité de la construction européenne se perde dans les
lointains. "
Voila ca nous donne l'ambiance...On joue sur nos peurs !
Dans l'article <42668966$0$21142$7a628cd7@news.club-internet.fr>,
Vous n'avez toujours pas compris que l'essentiel des intentions de
vote pour le NON vient de l'électorat de la gauche traditionnelle?
En ce moment, je t'avoue trouver un peu difficile de savoir exactement
quelle est cette « gauche traditionnelle », qui dit pis que pendre de
gens comme Mitterrand, Jospin et Hollande.
Quelqu'un qui écoute les arguments, se moque des tendances médiatiques et
possède une forte indépendance d'esprit ?
mais ce chevènement qui a fait perdre jospin et qui a eu tellement
d'incohérences n'est pas crédible. L'indépendance d'esprit c'est de
reconnaître cela.
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Le capitalisme international
semble avoir un besoin urgent de Moncks
et de Dray, d'ailleurs que vote Seillère ?
Ce traité n'est donc pas lafin de l'Histoire que vous dénoncez. Il sera dépassé, comme tous les
autres.
dépassons le tout de suite
Vous dites aussi, que c'est justement dans cet objectif d'obtenir une
Europe sociale que vous préconisez le non au motif qu'il lancerait
une négociation pour un meilleur traité.
mais non, il sufffit de constater qu'il avalise des reculs
Etsur quelle base politique ? Car il n'y a qu'en France où certains
évoquent un « non de gauche ». Ailleurs, le non est avant tout un non
souverainiste, antifédéraliste et conservateur.
Et bien, soyons originaux.
Dès lors j'ai du mal à entrevoir le caractère salvateur de la crise
que vous préconisez.
On en préconise pas de crise, on préconise de se passser de ce monstre
juridique dans lequel nous ne pouvons que laisser des plumes
Le non n'offre aucun autre débouché concret que celuid'un retour au traité de Nice, c'est-à-dire, un surplace.
Reste le chemin nouveau qu'ouvrirait un non venu de France, ralliant
tous les autres pays et peuples à son cheval blanc, au seul motif
qu'il vient de France. De la même façon que j'ai toujours pensé qu'il
était impossible de faire le socialisme dans un seul pays, il est
impensable d'imaginer faire l'Europe qu'avec la France.
Il est surtout impossible de faire du socialisme avec les socialistes
français, on l'avait déjà compris.
Notre continent n'avancerajamais à coup d'oukases : renverser la table, parce que nous sommes
la France, n'est pas de nature à convaincre.
On ne veut pas qu'il recule, c'est tout.
Tout se passe comme si vous compreniez ce référendum comme une sorte
de « match retour » du tournant de 1983 ! Mais c'était il y a 22 ans,
au temps où certains pensaient encore, à gauche, que la « protection
» aux frontières nationales était de nature à dominer la
mondialisation...
Comme si l'Europe que tu propose étaiut une protection : demande à 10
millions de chômeurs, aux précaires, aux exclus, aux délocalisés, si
l'europe que tu soutien a été un seul jour un semblant de protection .
Comme si nous étions sommés de choisir entre le socialisme et
l'Europe ! Et je suis même convaincu que si 1997 n'avait pas été si
proche du passage à l'euro, jamais nous n'aurions pu assurer le
passage aux 35 heures. Dans la mondialisation, être de gauche, c'est
être européen.
Ton passage aix 35 heures, l'europe est en train de le transformer en
passage à 60 heures, et à quel salaire !
Dans ces conditions, pourquoi tant d'obstination à diaboliser ce
traité, et avec lui, la construction européenne, pourtant forcément
ambivalente, puisque faite de compromis par nature ? Pourquoi épouser
cette tradition si souverainiste de nationaliser les succès et
d'européaniser les problèmes ? Pourquoi cette morgue à l'égards des
autres gauches en Europe ? Pourquoi cette rhétorique douteuse sur les
nouveaux entrants, uniquement perçus comme des concurrents déloyaux ?
Chacun est libre de ses actes. Mais je me permets de donner un
conseil :
« plumer la volaille socialiste » ou dénoncer des prétendus « sociaux-
libéraux » qui seraient une sorte de « sociaux traîtres »
d'aujourd'hui n'a provoqué qu'échecs et catastrophes en chaînes à
gauche.
Vousconnaissez autant que moi la longue liste des défaites produites par
la division et la surenchère. D'autant que finalement, on trouve
toujours plus radical que soi. Souvenez-vous par exemple de ce qui
vous est arrivé il y a peu au forum social de Londres...
On trouve toujours aussi plus à droite que soi. Tu peux mieux faire
en ce sens.
par Julien Dray, porte-parole du Parti socialiste
tirer de ton site :
"Les Français ne souhaitent pas que, par élargissements successifs,
le centre de gravité de la construction européenne se perde dans les
lointains. "
Voila ca nous donne l'ambiance...On joue sur nos peurs !
Dans l'article <42668966$0$21142$,Vous n'avez toujours pas compris que l'essentiel des intentions de
vote pour le NON vient de l'électorat de la gauche traditionnelle?
En ce moment, je t'avoue trouver un peu difficile de savoir exactement
quelle est cette « gauche traditionnelle », qui dit pis que pendre de
gens comme Mitterrand, Jospin et Hollande.
Quelqu'un qui écoute les arguments, se moque des tendances médiatiques et
possède une forte indépendance d'esprit ?
mais ce chevènement qui a fait perdre jospin et qui a eu tellement
d'incohérences n'est pas crédible. L'indépendance d'esprit c'est de
reconnaître cela.