Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en ce qui concerne la stabiité de la tension.
Oui, mais une tireuse ça pompe quelques milliers de watts et quand il y en a plusieurs à alimenter, je te dis pas la taille du transfo...
-- JCG
"Ralf R. Radermacher" a écrit :
Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait
bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en
ce qui concerne la stabiité de la tension.
Oui, mais une tireuse ça pompe quelques milliers de watts et quand il y
en a plusieurs à alimenter, je te dis pas la taille du transfo...
Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en ce qui concerne la stabiité de la tension.
Oui, mais une tireuse ça pompe quelques milliers de watts et quand il y en a plusieurs à alimenter, je te dis pas la taille du transfo...
-- JCG
Jean-Claude Ghislain
"Claudio Bonavolta" a écrit :
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain- marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau courante depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80. Avant la généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec l'anti-bougé), ça consommait vraiment des tonnes d'eau...
-- JCG
"Claudio Bonavolta" a écrit :
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain-
marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau courante
depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80. Avant la
généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec l'anti-bougé), ça
consommait vraiment des tonnes d'eau...
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain- marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau courante depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80. Avant la généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec l'anti-bougé), ça consommait vraiment des tonnes d'eau...
-- JCG
delestaque
Ralf R. Radermacher wrote:
delestaque wrote:
Le pb étant que ces machines chauffent mais ne refroidissent pas, en été ça devient vite un pb.
Mais si. Etant donné, bien sur, que l'eau du robinet n'est pas trop chaude. Toutes les ATL peuvent règler leur température en chauffant ou en prenant de l'eau fraiche depuis le réseau.
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les 20 à 23 degrés. Et pour le n/b à 23 degrés, il n'y a pas de problème. Donc, faire de n/b à une température ambiante de 30 degrés est tout à fait possible avec les ATL. Je l'ai fait pendant de longues années.
quand on a la chance d'avoir l'eau du réseau pas trop chaude, ça va, mais ici en région parisienne, moi en été, impossible, hélas.
J'ai d'ailleurs même connu de gens qui habitaient dans le sud et qui mettaient des glaçons dans leurs ATL. Sans blague. :-)
Oui, c'est connu, on allait parfois en chercher au café du coin ! On a eu mois de pb quand le traitement papier couleur est passé à 38 ° l E6, on s'en foutait, mais le n&b restait un pb, enfin, ça ne concernait pas grand monde quand même, vu le soin apporté au traitement par les labos industriels. -- -- Ricco
Ralf R. Radermacher wrote:
delestaque <rd@fresbee.be> wrote:
Le pb étant que ces machines chauffent mais ne refroidissent pas, en
été ça devient vite un pb.
Mais si. Etant donné, bien sur, que l'eau du robinet n'est pas trop
chaude. Toutes les ATL peuvent règler leur température en chauffant ou
en prenant de l'eau fraiche depuis le réseau.
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les
20 à 23 degrés. Et pour le n/b à 23 degrés, il n'y a pas de problème.
Donc, faire de n/b à une température ambiante de 30 degrés est tout à
fait possible avec les ATL. Je l'ai fait pendant de longues années.
quand on a la chance d'avoir l'eau du réseau pas trop chaude, ça va, mais
ici en région parisienne, moi en été, impossible, hélas.
J'ai d'ailleurs même connu de gens qui habitaient dans le sud et qui
mettaient des glaçons dans leurs ATL. Sans blague. :-)
Oui, c'est connu, on allait parfois en chercher au café du coin !
On a eu mois de pb quand le traitement papier couleur est passé à 38 °
l E6, on s'en foutait, mais le n&b restait un pb, enfin, ça ne concernait
pas grand monde quand même, vu le soin apporté au traitement par les labos
industriels.
--
--
Ricco
Le pb étant que ces machines chauffent mais ne refroidissent pas, en été ça devient vite un pb.
Mais si. Etant donné, bien sur, que l'eau du robinet n'est pas trop chaude. Toutes les ATL peuvent règler leur température en chauffant ou en prenant de l'eau fraiche depuis le réseau.
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les 20 à 23 degrés. Et pour le n/b à 23 degrés, il n'y a pas de problème. Donc, faire de n/b à une température ambiante de 30 degrés est tout à fait possible avec les ATL. Je l'ai fait pendant de longues années.
quand on a la chance d'avoir l'eau du réseau pas trop chaude, ça va, mais ici en région parisienne, moi en été, impossible, hélas.
J'ai d'ailleurs même connu de gens qui habitaient dans le sud et qui mettaient des glaçons dans leurs ATL. Sans blague. :-)
Oui, c'est connu, on allait parfois en chercher au café du coin ! On a eu mois de pb quand le traitement papier couleur est passé à 38 ° l E6, on s'en foutait, mais le n&b restait un pb, enfin, ça ne concernait pas grand monde quand même, vu le soin apporté au traitement par les labos industriels. -- -- Ricco
delestaque
Ralf R. Radermacher wrote:
Jean-Claude Ghislain wrote:
Là tu me rappelles un truc que j'avais un peu beaucoup oublié, les Noritsu d'une époque étaient effectivement en 110 volts et je revois l'énôôrme convertisseur...
Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en ce qui concerne la stabiité de la tension.
Tu as du mal lire, pas d'électronique sur une tireuse développeuse élactronique, les minilabs bien connus, les précurseurs ? -- -- Ricco
Ralf R. Radermacher wrote:
Jean-Claude Ghislain <jcg@grimart.invalid> wrote:
Là tu me rappelles un truc que j'avais un peu beaucoup oublié, les
Noritsu d'une époque étaient effectivement en 110 volts et je revois
l'énôôrme convertisseur...
Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait
bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en
ce qui concerne la stabiité de la tension.
Tu as du mal lire, pas d'électronique sur une tireuse développeuse
élactronique, les minilabs bien connus, les précurseurs ?
--
--
Ricco
Là tu me rappelles un truc que j'avais un peu beaucoup oublié, les Noritsu d'une époque étaient effectivement en 110 volts et je revois l'énôôrme convertisseur...
Convertisseur? Pour un truc pareil, un autotransfo ordinaire devrait bien suffir. Il n'y a aucune électronique, donc pas trop d'exigence en ce qui concerne la stabiité de la tension.
Tu as du mal lire, pas d'électronique sur une tireuse développeuse élactronique, les minilabs bien connus, les précurseurs ? -- -- Ricco
delestaque
Jean-Claude Ghislain wrote:
"Claudio Bonavolta" a écrit :
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain- marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau courante depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80. Avant la généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec l'anti-bougé), ça consommait vraiment des tonnes d'eau...
Des tonnes d'eau et des quantités de courant pour la chauffer, comme les chauffe eau instantanés genre " Bristol " la ruine assurée, sinon, les cumulus étaient vides rapidement, on lavait à l'eau froide, était ce pire que les procédés à stabilisation, va savoir ?
-- -- Ricco
Jean-Claude Ghislain wrote:
"Claudio Bonavolta" a écrit :
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain-
marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau
courante depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80.
Avant la généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec
l'anti-bougé), ça consommait vraiment des tonnes d'eau...
Des tonnes d'eau et des quantités de courant pour la chauffer, comme les
chauffe eau instantanés genre " Bristol " la ruine assurée, sinon, les
cumulus étaient vides rapidement, on lavait à l'eau froide, était ce pire
que les procédés à stabilisation, va savoir ?
Sur les CPP-2, il y a une arrivée d'eau qui sert à refroidir le bain- marie.
Oui, mais les tireuses de labo ne sont plus raccordées à l'eau courante depuis la prise de pouvoir du "Stab" dans les années 80. Avant la généralisation du Stabilisateur (rien à voir avec l'anti-bougé), ça consommait vraiment des tonnes d'eau...
Des tonnes d'eau et des quantités de courant pour la chauffer, comme les chauffe eau instantanés genre " Bristol " la ruine assurée, sinon, les cumulus étaient vides rapidement, on lavait à l'eau froide, était ce pire que les procédés à stabilisation, va savoir ?
-- -- Ricco
Bindarret
Le 31/07/10 00:05, Ralf R. Radermacher a écrit :
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les 20 à 23 degrés.
Excellent ! C'est grâce à Jean Marie Farina ? ;-)
-- Bindarret
Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage qui ne vous ressemble pas. [Pierre Dac]
Le 31/07/10 00:05, Ralf R. Radermacher a écrit :
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les
20 à 23 degrés.
Excellent ! C'est grâce à Jean Marie Farina ? ;-)
--
Bindarret
Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage
qui ne vous ressemble pas.
[Pierre Dac]
Ici à Cologne, même en été, l'eau de robinet dépasse très rarement les 20 à 23 degrés.
Excellent ! C'est grâce à Jean Marie Farina ? ;-)
Et sans oublier qu'on peut utiliser un accélérateur de sèchage à l'alccol, genre Eau de Cologne .
-- -- Ricco
delestaque
Ralf R. Radermacher wrote:
Bindarret wrote:
Excellent ! C'est grâce à Jean Marie Farina ? ;-)
C'est plutôt grâce à notre climat et le fait que nos caves sont profondes. :-)
Ralf
Oui, mais le traitement stictement puriste du N&B se fait à 20° En revanche pour certains traitements haute sensibilité, ça prend des proportions impressionnantes et les risque de créer des zones devient critique, je parle quand je traitais à la main, en ATL, c'est encore autre chose, ne pas traiter en tournant trop vite, je dis tout ça pour la personne qui parle de l'ATL, mais il a dû me plonker, vu que ça ne semble pas vraiment le passionner ce que j'en dis.
-- -- Ricco
Ralf R. Radermacher wrote:
Bindarret <bindarretNospam@free.fr> wrote:
Excellent ! C'est grâce à Jean Marie Farina ? ;-)
C'est plutôt grâce à notre climat et le fait que nos caves sont
profondes. :-)
Ralf
Oui, mais le traitement stictement puriste du N&B se fait à 20°
En revanche pour certains traitements haute sensibilité, ça prend des
proportions impressionnantes et les risque de créer des zones devient
critique, je parle quand je traitais à la main, en ATL, c'est encore autre
chose, ne pas traiter en tournant trop vite, je dis tout ça pour la
personne qui parle de l'ATL, mais il a dû me plonker, vu que ça ne semble
pas vraiment le passionner ce que j'en dis.
C'est plutôt grâce à notre climat et le fait que nos caves sont profondes. :-)
Ralf
Oui, mais le traitement stictement puriste du N&B se fait à 20° En revanche pour certains traitements haute sensibilité, ça prend des proportions impressionnantes et les risque de créer des zones devient critique, je parle quand je traitais à la main, en ATL, c'est encore autre chose, ne pas traiter en tournant trop vite, je dis tout ça pour la personne qui parle de l'ATL, mais il a dû me plonker, vu que ça ne semble pas vraiment le passionner ce que j'en dis.