On Sun, 21 Aug 2005 11:13:03 +0200, "Anard B" wrote:
Qu'est ce que le "mode Joint Stereo" ?
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Anard B
François Yves Le Gal a écrit :
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles. Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
:!!!!!!!!! C'est cool le hifi mp3.
François Yves Le Gal a écrit :
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression
destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille
humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles.
Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur
allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences
hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe
qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et
basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les
basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps
(sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106
avec Chorus).
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles. Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
:!!!!!!!!! C'est cool le hifi mp3.
Anard B
François Yves Le Gal a écrit :
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles. Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
:!!!!!!!!! C'est cool le hifi mp3.
François Yves Le Gal a écrit :
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression
destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille
humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles.
Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur
allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences
hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe
qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et
basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les
basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps
(sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106
avec Chorus).
C'est le mode avec du tabac qui fait rire bêtement.
Ouais ouais c'est drôle.
Le MP3 (Mpeg 2 layer 3) est un format audio qui utilise une compression destructive, c'est à dire qu'il utilise les propriétés de l'oreille humaine pour supprimer certaines parties du son quasi inaudibles. Ainsi, il peut réduire la quantité de données d'un son d'un facteur allant jusqu'à 10 fois avec une perte de qualité très faible.
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
:!!!!!!!!! C'est cool le hifi mp3.
François Yves Le Gal
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations (le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances, micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme - différence).
Mais bon, MP3 <> haute fidélité.
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" <<b@a.y> > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences
hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe
qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et
basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les
basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps
(sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106
avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par
leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système
est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes
consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits
disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un
vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations
(le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation
intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels
ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour
lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances,
micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont
stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux
canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces
informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme -
différence).
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations (le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances, micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme - différence).
Mais bon, MP3 <> haute fidélité.
François Yves Le Gal
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations (le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances, micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme - différence).
Mais bon, MP3 <> haute fidélité.
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" <<b@a.y> > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences
hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe
qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et
basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les
basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps
(sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106
avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par
leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système
est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes
consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits
disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un
vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations
(le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation
intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels
ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour
lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances,
micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont
stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux
canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces
informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme -
différence).
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, "Anard B" > wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes. Ainsi, pourquoi coder en stéréo les basses ? C'est ce principe qui est utlisé avec le Joint Stereo : le spectre est coupé en hautes et basses fréquences, les hautes fréquences sont codées en stéréo, et les basses en mono... Et on n'entend pas la différence la plupart du temps (sauf bien sûr si la basse est stéréophonique, par exemple un Juno 106 avec Chorus).
Meeep, perdu.
Les fréquences basses sont parfaitement localisables, ne serait-ce que par leurs harmoniques. Le "joint stereo" porte sur tout le spectre et ce système est particulièrement efficace sur les fréquences hautes, grandes consommatrices de bits en provenance du pool (l'ensemble bande passante/bits disponibles pour encoder).
On a deux approches :
Intensité, où les canaux sont effectivement mélangés avec création d'un vecteur d'intensité permettant de reconstituer sommairement les informations (le gain d'un canal est augmenté pour faire croire à une localisation intacte). En général utilisé à bas débit ou par des encodeurs perceptuels ancienne génération, genre AC3/Dolby Digital (une des raisons pour lesquelles le DTS CA est beaucoup plus performant sur les ambiances, micro-informations et spatialisations).
Somme/différence, où seules les informations de différence ((G-D)/2) sont stockées sur un canal, le second représentant la somme ((G+D)/2) des deux canaux initiaux. Le décodeur reconstitue les deux canaux à partir de ces informations (Canal gauche = somme + différence, droit = somme - différence).
Mais bon, MP3 <> haute fidélité.
Alain Brillant
"Anard B >" a écrit dans le message de news:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes.
J'ai toujours été sceptique à ce propos.
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Peut être est ce la diaphonie due aux réflexions d'une pièce qui empêche de localiser précisément les fréquences graves.
Une autre réflexion concernant les caissons. Est ce que la somme des 2 canaux ne risque pas de diminuer et augmenter certaines fréquences ou provoquer des battements car je pense qu'il y a forcément des rotations de phases qui doivent se produire ?
"Anard B >" <<b@a.y> a écrit dans le message de news:
mn.ab1f7d587e7aa632.36369@a.y...
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes.
J'ai toujours été sceptique à ce propos.
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à
l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui
descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2
canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une
seul canal.
Peut être est ce la diaphonie due aux réflexions d'une pièce qui empêche de
localiser précisément les fréquences graves.
Une autre réflexion concernant les caissons. Est ce que la somme des 2
canaux ne risque pas de diminuer et augmenter certaines fréquences ou
provoquer des battements car je pense qu'il y a forcément des rotations de
phases qui doivent se produire ?
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes.
J'ai toujours été sceptique à ce propos.
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Peut être est ce la diaphonie due aux réflexions d'une pièce qui empêche de localiser précisément les fréquences graves.
Une autre réflexion concernant les caissons. Est ce que la somme des 2 canaux ne risque pas de diminuer et augmenter certaines fréquences ou provoquer des battements car je pense qu'il y a forcément des rotations de phases qui doivent se produire ?
Jean-Pierre Roche
Alain Brillant a écrit :
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs... Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Alain Brillant a écrit :
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à
l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui
descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2
canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une
seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs...
Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir
de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la
fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs... Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Jean-Pierre Roche
Alain Brillant a écrit :
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs... Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Alain Brillant a écrit :
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à
l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui
descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2
canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une
seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs...
Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir
de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la
fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubchello.fr
enlever sanspub pour m'écrire...
Si j'enregistre ma Precision Bass sur 1 piste, on localise parfaitement à l'écoute si cette piste est gauche, droite ou mix des 2. Au casque, qui descend plus bas que mes enceintes et où il n'y pas diaphonie entre les 2 canaux c'est même franchement désagréable de n'avoir la basse que sur une seul canal.
Un instrument de musique ne produit pas des sons purs... Pour juger de la localisation des basses il faut soit partir de sons purs soit filtrer de façon radicale au dessus de la fréquence choisie. Sinon ça n'a aucun sens...
-- Jean-Pierre Roche
enlever sanspub pour m'écrire...
http://jpierreroche.free.fr/
Alexandre Garcia
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, Anard B wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences hautes.
Euh perdu, l'oreille est parfaitement capable de localiser les basses fréquences.
On Sun, 21 Aug 2005 13:19:42 +0200, Anard B wrote:
Un autre aspect de l'oreille humaine est son incapacité à localiser
spacialement les basses fréquences, contrairement aux fréquences
hautes.
Euh perdu, l'oreille est parfaitement capable de localiser les basses
fréquences.