Le 05/08/2015 21:23, Benoit a écrit : > VizantOr* wrote: > >> ...j'aime tes cuisses!... > > -1 > > Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou > plus en-dessous mais pas comme ça. > L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 05/08/2015 21:23, Benoit a écrit :
> VizantOr* <poetrytown@gmail.com> wrote:
>
>> ...j'aime tes cuisses!...
>
> -1
>
> Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou
> plus en-dessous mais pas comme ça.
>
L'herbe est secondaire.
Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je
c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien
foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de
conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as
acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et
René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de
thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de
pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent :
c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire.
Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus,
et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est
celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au
secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire
attraper.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Le 05/08/2015 21:23, Benoit a écrit : > VizantOr* wrote: > >> ...j'aime tes cuisses!... > > -1 > > Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou > plus en-dessous mais pas comme ça. > L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
GhostRaider
Le 06/08/2015 09:31, Benoit a écrit :
GhostRaider wrote:
L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Une femme anonyme n'est pas nécessairement sans visage.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XIXe début XXe siècle.
Chez Mme Verdurin on avait des conversations plus relevées.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Mais les tâches ménagères sont justement une des essences des conversations féminines. Voir Télé-Achat pour s'en persuader. Les femmes ne laissent en général pas les hommes s'occuper de leur intérieur. L'homme ne sert qu'à conduire la voiture et à changer les plombs.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
Surtout parce qu'elle est seule, ce qui élimine la perspective désagréable d'un combat de coqs pour la conquérir.
Bon, une autre photo pour illustrer tout ça ?
Le 06/08/2015 09:31, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
L'herbe est secondaire.
Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je
c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien
foutre.
Une femme anonyme n'est pas nécessairement sans visage.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de
conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as
acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et
René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de
thé façon fin XIXe début XXe siècle.
Chez Mme Verdurin on avait des conversations plus relevées.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de
pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent :
c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire.
Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus,
et ça coûte beaucoup moins cher.
Mais les tâches ménagères sont justement une des essences des
conversations féminines. Voir Télé-Achat pour s'en persuader. Les femmes
ne laissent en général pas les hommes s'occuper de leur intérieur.
L'homme ne sert qu'à conduire la voiture et à changer les plombs.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est
celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au
secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire
attraper.
Surtout parce qu'elle est seule, ce qui élimine la perspective
désagréable d'un combat de coqs pour la conquérir.
L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Une femme anonyme n'est pas nécessairement sans visage.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XIXe début XXe siècle.
Chez Mme Verdurin on avait des conversations plus relevées.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Mais les tâches ménagères sont justement une des essences des conversations féminines. Voir Télé-Achat pour s'en persuader. Les femmes ne laissent en général pas les hommes s'occuper de leur intérieur. L'homme ne sert qu'à conduire la voiture et à changer les plombs.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
Surtout parce qu'elle est seule, ce qui élimine la perspective désagréable d'un combat de coqs pour la conquérir.
Bon, une autre photo pour illustrer tout ça ?
Markorki
(Benoit) a écrit :
GhostRaider wrote:
Le 05/08/2015 21:23, Benoit a écrit :
VizantOr* wrote:
...j'aime tes cuisses!...
-1
Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou plus en-dessous mais pas comme ça.
L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
ça sent le vécu... condoléances, hein !
-- Lachons Chomsky, son cas est désespéré, et continuons à shitandfucker des masses la NSA. Intéressons nous au vrai talent : "Coeur transi reste sourd Au cri du marchand de glace... Non mais t'as vu c'qui passe J'veux l'feuilleton à la place !"
benoit@com.invalid (Benoit) a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 05/08/2015 21:23, Benoit a écrit :
VizantOr* <poetrytown@gmail.com> wrote:
...j'aime tes cuisses!...
-1
Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou
plus en-dessous mais pas comme ça.
L'herbe est secondaire.
Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je
c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien
foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de
conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as
acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et
René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de
thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de
pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent :
c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire.
Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus,
et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est
celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au
secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire
attraper.
ça sent le vécu...
condoléances, hein !
--
Lachons Chomsky, son cas est désespéré, et continuons à shitandfucker des masses la NSA.
Intéressons nous au vrai talent :
"Coeur transi reste sourd
Au cri du marchand de glace...
Non mais t'as vu c'qui passe
J'veux l'feuilleton à la place !"
Pas le cadrage qui est raté de chez raté. Ou plus d'herbe au-dessus ou plus en-dessous mais pas comme ça.
L'herbe est secondaire. Il aurait fallu que la personne montre son visage.
Non, ce n'est pas Marie-Sophie ou Germaine, c'est une femme. Que dis-je c'est une représentation de LA femme de nos jours : elle sait rien foutre.
Le travail est une occupation qui procure une source de sujet de conversation grâce aux autres femmes qu'elles y rencontrent (tu l'as acheté où ton chemisier, t'as vu ses pompes, y paraît que Josephine et René-Pierre après le dîner de Noël vendredi soir...). C'est le salon de thé façon fin XXe début XXIe siècle.
Cette « vie sociale » prenant beaucoup de temps, cela leur interdit de pouvoir s'occuper de la maison et des tâches ingrates qui en découlent : c'est pour cela qu'elles recherchent un homme ; un homme à tout faire. Ça fait aussi bien qu'une femme de ménage avec des petits trucs en plus, et ça coûte beaucoup moins cher.
Et quelle est la meilleure façon d'y arriver ? Une des techniques est celle ici présentée où un corps lascif, presque sans vie appelle au secours... elle va se noyer dans sa solitude. Et un couillon va se faire attraper.
ça sent le vécu... condoléances, hein !
-- Lachons Chomsky, son cas est désespéré, et continuons à shitandfucker des masses la NSA. Intéressons nous au vrai talent : "Coeur transi reste sourd Au cri du marchand de glace... Non mais t'as vu c'qui passe J'veux l'feuilleton à la place !"
