Ca y est c'est reparti avec la canicule, au moins 20 minutes du journal
consacré à ce sujet, appelle aux assos, et toutes les bonnes volontées....
Vont quand même pas nous faire chi.... Maintenant qu'on à payé avec le
lundi de Pentecote ; qu'ils se démerdent
--
Hugues Foucault
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Je l'ai vu construire en 76. Et il faisait chaud !
Jac.
Jac
"Jac" :
"Sirius" :
> Y'a le métro à Lyon ? > Ah oui.
Je l'ai vu construire en 76. Et il faisait chaud !
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever. J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment dire, pour une bêtise. Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie. C'est con, hein ! Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si beau qu'on n'osait pas se le dire. Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage, des éclairs, une pluie diluviennne. Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde s'est sauvé pour s'abriter. On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi, morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais elle n'y prêtait pas attention. Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que l'orage ne s'arrêtât jamais. Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le courant avait sauté. On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur mais on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90. On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire. Mais le charme était rompu.
Ca fait des beaux souvenirs, quand même... .
"Jac" :
"Sirius" :
> Y'a le métro à Lyon ?
> Ah oui.
Je l'ai vu construire en 76.
Et il faisait chaud !
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever.
J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et
puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux
souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être
piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment
dire, pour une bêtise.
Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie.
C'est con, hein !
Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si
beau qu'on n'osait pas se le dire.
Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il
y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et
tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage,
des éclairs, une pluie diluviennne.
Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde
s'est sauvé pour s'abriter.
On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du
Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi,
morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais
elle n'y prêtait pas attention.
Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que
l'orage ne s'arrêtât jamais.
Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le
courant avait sauté.
On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur
mais
on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90.
On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire.
Mais le charme était rompu.
Je l'ai vu construire en 76. Et il faisait chaud !
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever. J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment dire, pour une bêtise. Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie. C'est con, hein ! Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si beau qu'on n'osait pas se le dire. Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage, des éclairs, une pluie diluviennne. Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde s'est sauvé pour s'abriter. On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi, morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais elle n'y prêtait pas attention. Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que l'orage ne s'arrêtât jamais. Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le courant avait sauté. On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur mais on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90. On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire. Mais le charme était rompu.
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever. J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment dire, pour une bêtise. Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie. C'est con, hein ! Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si beau qu'on n'osait pas se le dire. Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage, des éclairs, une pluie diluviennne. Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde s'est sauvé pour s'abriter. On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi, morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais elle n'y prêtait pas attention. Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que l'orage ne s'arrêtât jamais. Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le courant avait sauté. On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur mais on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90. On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire. Mais le charme était rompu.
Ca fait des beaux souvenirs, quand même...
C'est très beau. Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès (c'est pas une blague). De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même, sans savoir ce qui se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en septembre 1976.
(sinon, tu as des photos du chemisier mouillé ?)
Au sommet de son art, Jac a pondu :
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever.
J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et
puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux
souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être
piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment
dire, pour une bêtise.
Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie.
C'est con, hein !
Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si
beau qu'on n'osait pas se le dire.
Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il
y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et
tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage,
des éclairs, une pluie diluviennne.
Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde
s'est sauvé pour s'abriter.
On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du
Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi,
morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais
elle n'y prêtait pas attention.
Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que
l'orage ne s'arrêtât jamais.
Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le
courant avait sauté.
On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur
mais
on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90.
On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire.
Mais le charme était rompu.
Ca fait des beaux souvenirs, quand même...
C'est très beau.
Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès (c'est pas une
blague).
De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même, sans savoir ce qui
se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en septembre 1976.
Ah, et puis, puisque tu es là, je vais te raconter une histoire.
C'était donc en septembre 1976. Il faisait chaud à en crever. J'étais avec Garance (je peux le dire, il y a prescription maintenant et puis, si elle lit cette histoire, ça lui rappellera de beaux souvenirs...) à une terrasse de bistrot, rue de la Ré qui venait d'être piétonnisée en partie. Elle était jolie et j'avais craqué pour, comment dire, pour une bêtise. Garance est son vrai prénom et ça me rappelait mes cours de chimie. C'est con, hein ! Bien sûr qu'on était amoureux l'un de l'autre mais on trouvait ça si beau qu'on n'osait pas se le dire. Puis tout à coup, vers 9 heures, alors qu'il commençait à faire nuit, il y a eu un coup de vent terrible qui a balayé les verres, les chaises et tout ce qui se trouvait dans la rue. Aussitôt après, c'était l'orage, des éclairs, une pluie diluviennne. Les cafetiers n'ont pas dû faire des affaires ce soir-là, tout le monde s'est sauvé pour s'abriter. On s'est réfugiés dans une poste ouverte toute la nuit, pas loin du Progrès. Les éclairs redoublaient et Garance se serrait contre moi, morte de peur. Son chemisier était devenu transparent sous la pluie mais elle n'y prêtait pas attention. Je la rassurais en caressant ses cheveux mouillés en priant pour que l'orage ne s'arrêtât jamais. Puis le temps s'est calmé, les trolleybus étaient en panne car le courant avait sauté. On a fini la nuit à l'hôtel Azur. Il y avait une grande glace au mur mais on ne l'a remarquée que le lendemain.
J'y suis retourné en 90. On a fait un pélerinage : le parc de la Tête d'Or, l'Azur, la patinoire. Mais le charme était rompu.
Ca fait des beaux souvenirs, quand même...
C'est très beau. Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès (c'est pas une blague). De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même, sans savoir ce qui se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en septembre 1976.
(sinon, tu as des photos du chemisier mouillé ?)
Jac
"Sirius" :
Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès (c'est pas une blague).
Ah ? Et elle est toujours ouverte la nuit ?
De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même, sans savoir ce qui se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en septembre 1976.
Ben t'as qu'à mettre une plaque !
(sinon, tu as des photos du chemisier mouillé ?)
Oh toi alors ! NON. Les photos, elles sont dans ma tête. Et je la sens encore frissonner contre moi. C'était sûrement parce qu'elle avait peur des éclairs...
Jac. La nuit de l'orage, à l'hôtel, on n'a rien fait.
"Sirius" :
Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès
(c'est pas une blague).
Ah ? Et elle est toujours ouverte la nuit ?
De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même,
sans savoir ce qui se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en
septembre 1976.
Ben t'as qu'à mettre une plaque !
(sinon, tu as des photos du chemisier mouillé ?)
Oh toi alors !
NON.
Les photos, elles sont dans ma tête.
Et je la sens encore frissonner contre moi. C'était sûrement parce
qu'elle avait peur des éclairs...
Jac.
La nuit de l'orage, à l'hôtel, on n'a rien fait.
Je viens justement de passer devant la Poste, près du Progrès (c'est pas une blague).
Ah ? Et elle est toujours ouverte la nuit ?
De jeunes boutonneux y chantent l'amour en ce moment même, sans savoir ce qui se trama, pile à l'emplacement où ils jouent, en septembre 1976.
Ben t'as qu'à mettre une plaque !
(sinon, tu as des photos du chemisier mouillé ?)
Oh toi alors ! NON. Les photos, elles sont dans ma tête. Et je la sens encore frissonner contre moi. C'était sûrement parce qu'elle avait peur des éclairs...
Jac. La nuit de l'orage, à l'hôtel, on n'a rien fait.
Guy Hubert Bourdelle
Jac wrote:
Et je la sens encore frissonner contre moi. C'était sûrement parce qu'elle avait peur des éclairs...
La nuit de l'orage, à l'hôtel, on n'a rien fait.
Elle va bien ta petite chienne?
Jac wrote:
Et je la sens encore frissonner contre moi. C'était sûrement parce
qu'elle avait peur des éclairs...