Juden Hasst dénonce fermement l'article sur les bénéficiaires du bouclier fiscal publié aujourd’hui par le Figaro
2 réponses
karlmaria.willygut
L'article du quotidien des coiffeurs semble avoir =E9t=E9 directement
command=E9 par Alberich "Kurzman" le Sarkojuif et toute sa clique de
circoncis (les Woerth, Cop=E9, Karoutchi, Lellouche, et tant d=92autres
repr=E9sentants encore de cette si d=E9testable minorit=E9, si bien
repr=E9sent=E9e actuellement jusqu=92au sommet de l=92=C9tat). En mati=E8re=
de
provocation gratuite, c=92est une v=E9ritable honte que de faire publier
de telles lignes, parfaitement m=E9prisantes =E0 l=92=E9gard des vrais
Europ=E9ens qui peinent d=E9j=E0 =E0 joindre les deux bouts, et qui n=92ont=
pas
encore fini de souffrir, sp=E9culation internationale d=E9cha=EEn=E9e, et
priorit=E9 =E0 la r=E9duction du d=E9ficit budg=E9taire obligent !
Que les services fiscaux osent au moins rendre publics les vrais
chiffres que le peuple attend ! Parmi tous ces b=E9n=E9ficiaires,
pourcentage de commer=E7ants et d=92anciens commer=E7ants ? de propri=E9tai=
res
de biens immobiliers ? et acquis dans quelles conditions ? professions
exerc=E9es ? titulaires ou non de capitaux plac=E9s =E0 l=92=E9tranger ? da=
ns
quelle proportion ? et parmi eux, dans quels pays ? (je sugg=E8re :
Luxembourg, Monaco, Liechtenstein, Belgique, Espagne, Grande-Bretagne,
Irlande, =EEle de Man, =EEles anglo-normandes, etc., sans oublier Isra=EBl,
bien s=FBr ! Et quel pourcentage de tricheurs, d=E9j=E0 ant=E9rieurement
redress=E9s ? Voil=E0 ce que le peuple exigerait de conna=EEtre !
Remarquez bien que l=92endoctrinement et le formatage des esprits les
plus serviles sont bien en marche depuis quelques temps. Ainsi,
lorsque les m=E9diats annonc=E8rent derni=E8rement qu=92Alain Ducasse avait
finalement obtenu cette nationalit=E9 mon=E9gasque qu=92il convoitait tant
depuis des ann=E9es, on entendit m=EAme des non privil=E9gi=E9s s=92exprime=
r
ainsi : "en France, on a vraiment un complexe vis-=E0-vis de la
richesse !" (qu'Alberich au moins, lui, a manifestement d=E9pass=E9 depuis
longtemps !) ; "c'est normal qu'il parte, vu le montant des imp=F4ts que
les gens honn=EAtes (sic !) doivent toujours plus payer !" (on ne peut
s'emp=EAcher de songer depuis =E0 ce sp=E9cimen de m=E8re juive typique, qu=
i
proclamait tout r=E9cemment de la mani=E8re la plus mensong=E8re qui soit :
non, mon fils Rudy n'est pas un d=E9linquant, il n'est pas du B=E9tar,
etc.) ; "mais tout le monde triche avec le fisc!" (non, seulement les
non salari=E9s !) ; etc.
Juden Hasst, quant =E0 lui vrai socialiste, et sans le moindre complexe
national-socialiste.
Enfin vous vous avz le courage de vous attaquer aux coiffeurs !
www.juristprudence.c.la
a écrit dans le message de news:
Au château de la duchesse prêchait un adepte, le chartreux dom Gerle, collègue de Robespierre à la Constituante, celui qui étonna l'Assemblée en demandant, comme chose simple, qu'elle déclarât le catholicisme religion d'État. Dom Gerle, à la même époque, voulait aussi que l'Assemblée proclamât la vérité des prophéties d'une folle, la jeune Suzanne Labrousse. Dom Gerle était toujours lié avec son ancien collègue ; il allait souvent le voir, l'honorait comme son patron : et, sans doute pour lui plaire, demeurait aussi chez un menuisier. Il avait obtenu de lui un certificat de civisme. Bon républicain, le chartreux n'en était pas moins un prophète. Dans un grenier du pays latin, l'esprit lui était soufflé par une vieille femme, idiote, qu'on appelait la Mère de Dieu. Catherine Théot (c'était son nom) était assistée dans ses mystères de deux jeunes et charmantes femmes, brune et blonde, qu'on appelait la Chanteuse et la Colombe. Elles achalandaient le grenier. Des royalistes y allaient, des magnétiseurs, des simples, des fripons, des sots. Jusqu'à quel point un homme aussi grave que Robespierre pouvait-il être mêlé à ces mômeries on l'ignore. Seulement on savait que la vieille avait trois fauteuils, blanc, rouge et bleu ; elle siégeait sur le premier, son fils dom Gerle sur le second à gauche ; pour qui était l'autre, le fauteuil d'honneur à la droite de la Mère de Dieu ?
pour karlmaria peut être ? ;o}
karlmaria.willygut@yahoo.com> a écrit dans le message de news:
5a0dba44-c0ff-4996-9d55-608d6702c38b@8g2000hse.googlegroups.com...
Au château de la duchesse prêchait un adepte, le chartreux dom Gerle,
collègue de Robespierre à la Constituante, celui qui étonna l'Assemblée
en demandant, comme chose simple, qu'elle déclarât le catholicisme
religion d'État. Dom Gerle, à la même époque, voulait aussi que
l'Assemblée proclamât la vérité des prophéties d'une folle, la jeune
Suzanne Labrousse. Dom Gerle était toujours lié avec son ancien collègue
; il allait souvent le voir, l'honorait comme son patron : et, sans
doute pour lui plaire, demeurait aussi chez un menuisier. Il avait
obtenu de lui un certificat de civisme.
Bon républicain, le chartreux n'en était pas moins un prophète. Dans un
grenier du pays latin, l'esprit lui était soufflé par une vieille femme,
idiote, qu'on appelait la Mère de Dieu. Catherine Théot (c'était son
nom) était assistée dans ses mystères de deux jeunes et charmantes
femmes, brune et blonde, qu'on appelait la Chanteuse et la Colombe.
Elles achalandaient le grenier. Des royalistes y allaient, des
magnétiseurs, des simples, des fripons, des sots. Jusqu'à quel point un
homme aussi grave que Robespierre pouvait-il être mêlé à ces mômeries on
l'ignore. Seulement on savait que la vieille avait trois fauteuils,
blanc, rouge et bleu ; elle siégeait sur le premier, son fils dom Gerle
sur le second à gauche ; pour qui était l'autre, le fauteuil d'honneur à
la droite de la Mère de Dieu ?
Au château de la duchesse prêchait un adepte, le chartreux dom Gerle, collègue de Robespierre à la Constituante, celui qui étonna l'Assemblée en demandant, comme chose simple, qu'elle déclarât le catholicisme religion d'État. Dom Gerle, à la même époque, voulait aussi que l'Assemblée proclamât la vérité des prophéties d'une folle, la jeune Suzanne Labrousse. Dom Gerle était toujours lié avec son ancien collègue ; il allait souvent le voir, l'honorait comme son patron : et, sans doute pour lui plaire, demeurait aussi chez un menuisier. Il avait obtenu de lui un certificat de civisme. Bon républicain, le chartreux n'en était pas moins un prophète. Dans un grenier du pays latin, l'esprit lui était soufflé par une vieille femme, idiote, qu'on appelait la Mère de Dieu. Catherine Théot (c'était son nom) était assistée dans ses mystères de deux jeunes et charmantes femmes, brune et blonde, qu'on appelait la Chanteuse et la Colombe. Elles achalandaient le grenier. Des royalistes y allaient, des magnétiseurs, des simples, des fripons, des sots. Jusqu'à quel point un homme aussi grave que Robespierre pouvait-il être mêlé à ces mômeries on l'ignore. Seulement on savait que la vieille avait trois fauteuils, blanc, rouge et bleu ; elle siégeait sur le premier, son fils dom Gerle sur le second à gauche ; pour qui était l'autre, le fauteuil d'honneur à la droite de la Mère de Dieu ?
