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L'impartialité de la chaine "Histoire" mise en cause

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john
Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité de la chaine Histoire.

Histoire est une filiale de TF1 depuis 2004. Son PDG est Laurent Solly l'ancien
directeur de campagne de Sarkozy, l'un directeur est Patrick Buisson, un ex de Minute,
du Crapouillot, et de Valeurs actuelles.

Quant au grand débat de la chaîne Histoire, récemment consacré à la Guerre d'Algérie,
il a été présenté par le très à droite Éric Zemmour du Figaro Magazine.

http://www.ouest-france.fr/Chaine-Histoire-des-changements-qui-inquietent-/re/actuDet/actu_3639-650334------_actu.html

Pour une chaîne à droite, combien sont à gauche ?

Le collectif d'historiens qui a lancé cette contreverse devrait répondre à cette question.

5 réponses

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ZULU
john wrote:

Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité de la
chaine Histoire.

Histoire est une filiale de TF1 depuis 2004. Son PDG est Laurent Solly
l'ancien
directeur de campagne de Sarkozy, l'un directeur est Patrick Buisson, un
ex de Minute,
du Crapouillot, et de Valeurs actuelles.

Quant au grand débat de la chaîne Histoire, récemment consacré à la
Guerre d'Algérie,
il a été présenté par le très à droite Éric Zemmour du Figaro Magazine.

http://www.ouest-france.fr/Chaine-Histoire-des-changements-qui-inquietent-/re/actuDet/actu_3639-650334------_actu.html

Pour une chaîne à droite, combien sont à gauche ?

Le collectif d'historiens qui a lancé cette contreverse devrait répondre
à cette question.



Ou encore: *l'histoire qui n'est pas de gôche, c'est pas l'histoire*

Il serait bon, de temps en temps, d'avoir une autre vision que celle qui nous est imposée
depuis belle lurette par la bien-pensance de gôche.

Le mieux, évidemment, serait qu'il y ait débat et confrontation sur les sujets polémiques
entre les *visions* opposées.

J'ai relevé une perle dans l'article d'Ouest-France:

"Des historiens ont noté un ton nouveau dans les commentaires, notamment dans une émission
récente consacrée à la Guerre d'Espagne, où la loi mémorielle du Premier ministre espagnol
Zapatero a été critiquée."

Sacrilège! Une loi mémorielle imposée par un gouvernement de gôche a été "critiquée"!!

Savent-ils au moins ce qu'elle décrète, cette loi?

En fait, outre l'effacement tout à fait louable des symboles franquistes ostensibles, elle
fait la part belle à une mémoire univoque des martyrs de gôche, cocos inclus, et fait
l'impasse sur les crimes des cocos et/ou républicains comme l'assassinat en vrac de
prêtres et bonnes sœurs ou les massacres tels celui de Paracuelleos (14 000 victimes) que
l'on ne veut toujours pas charger officiellement sur le cul de Santiago Carrillo, coco en
chef et criminel de guerre.
Belle loi de mémoire sélective, en effet. Mais, semble-t-il, déclarée absolument non
criticable par les thuriféraires de la pensée bien pensante, ancrée fermement à gôche,
comme il se doit...

Santiago Carrillo, ancien chef communiste espagnol a passé les 93 ans.
Il a publié une réédition de ses "Mémoires" avec de légères
retouches.

Tout le monde s'est précipité sur le chapitre "Paracuellos" afin d'y
vérifier si "finalement" notre ponte stalinien y admettait sa part de
responsabilité. Que dalle, motus et bouche cousue, c'est pas moi
répète-t-il.

"La longue et très stalinienne vie de Santiago Carrillo contient un
chapitre des plus sanglants....

En 1936, Santiago Carrillo était chargé de faire respecter l'ordre
public et la sécurité à Madrid. La Guerre civile venait de commencer.

La capitale espagnole, livrée au bon vouloir du "peuple" en armes va
connaître une Terreur dont le point culminant est le massacre de
Paracuellos: 14 000 personnes (prêtres, religieuses, patrons, adhérents
de partis de droite, infortunés victimes de règlements de comptes...)
seront fusillées sans jugement au petit matin après des semaines
d'internement par des miliciens républicains aux ordres de Carrillo.

De nos jours, des historiens comme Pio Moa ou encore César Vidal
soulignent la responsabilité de Carrillo dans les crimes de Paracuellos
en se basant sur des rapports des indicateurs du Komintern informant
leurs responsables du massacre et citant le nom de Carillo comme
principal ordonnateur "

http://voxgalliae.blogspot.com/2006/08/du-pass-la-gauche-espagnole-fait-table.html
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Lys
"ZULU"


Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité de la
chaine Histoire.





(...)

Ou encore: *l'histoire qui n'est pas de gôche, c'est pas l'histoire*



(...)

Le mieux, évidemment, serait qu'il y ait débat et confrontation sur les
sujets polémiques entre les *visions* opposées.



J'ai relevé une perle dans l'article d'Ouest-France:



(...)


En 1936, Santiago Carrillo était chargé de faire respecter l'ordrepublic
et la sécurité à Madrid. La Guerre civile venait de commencer.



(...)


Euh... oui... bien sûr...

Remarquez, c'est bien gentil... Les historiens... L'Espagne... Sûrement très
intéressant aussi...

Mais ici... C'est plutôt Ruquier, Drucker, PPDA et sa "tueuse" toussa
quoi... Moi perso, j'aime bien Dr House mais il paraît que l'on a pas le
droit d'en parler...

Enfin bon... je dis ça... je dis rien hein ;-)
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Pierre Maurette
john, le 20/06/2008 a écrit :
Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité



Y'a pas comme un hiatus, là ?

--
Pierre Maurette
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jerrykan
On 20 juin, 10:38, ZULU wrote:
john wrote:
> Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité de la
> chaine Histoire.

> Histoire est une filiale de TF1 depuis 2004. Son PDG est Laurent Solly
> l'ancien
> directeur de campagne de Sarkozy, l'un directeur est Patrick Buisson, un
> ex de Minute,
> du Crapouillot, et de Valeurs actuelles.

> Quant au grand débat de la chaîne Histoire, récemment consacré à la
> Guerre d'Algérie,
> il a été présenté par le très à droite Éric Zemmour du Fig aro Magazine.

>http://www.ouest-france.fr/Chaine-Histoire-des-changements-qui-inquie...

> Pour une chaîne à droite, combien sont à gauche ?

> Le collectif d'historiens qui a lancé cette contreverse devrait répo ndre
> à cette question.

Ou encore: *l'histoire qui n'est pas de gôche, c'est pas l'histoire*

Il serait bon, de temps en temps, d'avoir une autre vision que celle qui n ous est imposée
depuis belle lurette par la bien-pensance de gôche.

Le mieux, évidemment, serait qu'il y ait débat et confrontation sur le s sujets polémiques
entre les *visions* opposées.

J'ai relevé une perle dans l'article d'Ouest-France:

"Des historiens ont noté un ton nouveau dans les commentaires, notamment dans une émission
récente consacrée à la Guerre d'Espagne, où la loi mémorielle du Premier ministre espagnol
Zapatero a été critiquée."

Sacrilège! Une loi mémorielle imposée par un gouvernement de gôche a été "critiquée"!!

Savent-ils au moins ce qu'elle décrète, cette loi?

En fait, outre l'effacement tout à fait louable des symboles franquistes ostensibles, elle
fait la part belle à une mémoire univoque des martyrs de gôche, coco s inclus, et fait
l'impasse sur les crimes des cocos et/ou républicains comme l'assassinat en vrac de
prêtres et bonnes sœurs ou les massacres tels celui de Paracuelleos (1 4 000 victimes) que
l'on ne veut toujours pas charger officiellement sur le cul de Santiago Ca rrillo, coco en
chef et criminel de guerre.
Belle loi de mémoire sélective, en effet. Mais, semble-t-il, déclar ée absolument non
criticable par les thuriféraires de la pensée bien pensante, ancrée fermement à gôche,
comme il se doit...

Santiago Carrillo, ancien chef communiste espagnol a passé les 93 ans.
Il a publié une réédition de ses "Mémoires" avec de légères
retouches.

Tout le monde s'est précipité sur le chapitre "Paracuellos" afin d'y
vérifier si "finalement" notre ponte stalinien y admettait sa part de
responsabilité. Que dalle, motus et bouche cousue, c'est pas moi
répète-t-il.

"La longue et très stalinienne vie de Santiago Carrillo contient un
chapitre des plus sanglants....

En 1936, Santiago Carrillo était chargé de faire respecter l'ordre
public et la sécurité à Madrid. La Guerre civile venait de commencer .

La capitale espagnole, livrée au bon vouloir du "peuple" en armes va
connaître une Terreur dont le point culminant est le massacre de
Paracuellos: 14 000 personnes (prêtres, religieuses, patrons, adhérent s
de partis de droite, infortunés victimes de règlements de comptes...)
seront fusillées sans jugement au petit matin après des semaines
d'internement par des miliciens républicains aux ordres de Carrillo.



Carrillo n' a pas tort car ces massacres ne sont pas l' oeuvre des
"Républicains" au sens large, mais spécialemnt des anarchos et anarcho-
syndicalistes. Ce qui finalement leur a valu de se faire nettoyer à
Barcelone: ils ont desservis ;le combat mené par les Républicains ,
ces ordures criminels que sont les anarchos sont des extrêmistes
atteint d'une psychose qui les fait vite tomber dans la psychopathie,
il suffit d' analyser les posts de l' anarcho de service sur fsp:
riri. Ses "raisonnements" illustrent parfaitement le déséquilibre
nihiliste qui accable ce pauvre type qui aurait tôt fait de devenir un
criminel si l' occasion (une guerre civile par exemple) se présentait
à lui.

Le reproche que l' on peut faire aux communistes espagnoles est d'
avoir attendu Barcelone pour régler définitivement le compte des
anarchos dont les exactions ont énorméments contribué à discrédite r
les Républicains ils ont sans doute indirectement et en partie,apporté
de l'e au au moulin de la victoire des phalangistes.

Encore une fois lisez attentivement les réactions epistolaires de ce
sinistre troll de riri.

j.




j.
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Roaringriton
a écrit :
On 20 juin, 10:38, ZULU wrote:
john wrote:
Un collectif d'historiens de gauche met en cause l'impartialité de la
chaine Histoire.
Histoire est une filiale de TF1 depuis 2004. Son PDG est Laurent Solly
l'ancien
directeur de campagne de Sarkozy, l'un directeur est Patrick Buisson, un
ex de Minute,
du Crapouillot, et de Valeurs actuelles.
Quant au grand débat de la chaîne Histoire, récemment consacré à la
Guerre d'Algérie,
il a été présenté par le très à droite Éric Zemmour du Figaro Magazine.
http://www.ouest-france.fr/Chaine-Histoire-des-changements-qui-inquie...
Pour une chaîne à droite, combien sont à gauche ?
Le collectif d'historiens qui a lancé cette contreverse devrait répondre
à cette question.


Ou encore: *l'histoire qui n'est pas de gôche, c'est pas l'histoire*

Il serait bon, de temps en temps, d'avoir une autre vision que celle qui nous est imposée
depuis belle lurette par la bien-pensance de gôche.

Le mieux, évidemment, serait qu'il y ait débat et confrontation sur les sujets polémiques
entre les *visions* opposées.

J'ai relevé une perle dans l'article d'Ouest-France:

"Des historiens ont noté un ton nouveau dans les commentaires, notamment dans une émission
récente consacrée à la Guerre d'Espagne, où la loi mémorielle du Premier ministre espagnol
Zapatero a été critiquée."

Sacrilège! Une loi mémorielle imposée par un gouvernement de gôche a été "critiquée"!!

Savent-ils au moins ce qu'elle décrète, cette loi?

En fait, outre l'effacement tout à fait louable des symboles franquistes ostensibles, elle
fait la part belle à une mémoire univoque des martyrs de gôche, cocos inclus, et fait
l'impasse sur les crimes des cocos et/ou républicains comme l'assassinat en vrac de
prêtres et bonnes sœurs ou les massacres tels celui de Paracuelleos (14 000 victimes) que
l'on ne veut toujours pas charger officiellement sur le cul de Santiago Carrillo, coco en
chef et criminel de guerre.
Belle loi de mémoire sélective, en effet. Mais, semble-t-il, déclarée absolument non
criticable par les thuriféraires de la pensée bien pensante, ancrée fermement à gôche,
comme il se doit...

Santiago Carrillo, ancien chef communiste espagnol a passé les 93 ans.
Il a publié une réédition de ses "Mémoires" avec de légères
retouches.

Tout le monde s'est précipité sur le chapitre "Paracuellos" afin d'y
vérifier si "finalement" notre ponte stalinien y admettait sa part de
responsabilité. Que dalle, motus et bouche cousue, c'est pas moi
répète-t-il.

"La longue et très stalinienne vie de Santiago Carrillo contient un
chapitre des plus sanglants....

En 1936, Santiago Carrillo était chargé de faire respecter l'ordre
public et la sécurité à Madrid. La Guerre civile venait de commencer.

La capitale espagnole, livrée au bon vouloir du "peuple" en armes va
connaître une Terreur dont le point culminant est le massacre de
Paracuellos: 14 000 personnes (prêtres, religieuses, patrons, adhérents
de partis de droite, infortunés victimes de règlements de comptes...)
seront fusillées sans jugement au petit matin après des semaines
d'internement par des miliciens républicains aux ordres de Carrillo.



Carrillo n' a pas tort car ces massacres ne sont pas l' oeuvre des
"Républicains" au sens large, mais spécialemnt des anarchos et anarcho-
syndicalistes. Ce qui finalement leur a valu de se faire nettoyer à
Barcelone: ils ont desservis ;le combat mené par les Républicains ,
ces ordures criminels que sont les anarchos sont des extrêmistes
atteint d'une psychose qui les fait vite tomber dans la psychopathie,
il suffit d' analyser les posts de l' anarcho de service sur fsp:
riri. Ses "raisonnements" illustrent parfaitement le déséquilibre
nihiliste qui accable ce pauvre type qui aurait tôt fait de devenir un
criminel si l' occasion (une guerre civile par exemple) se présentait
à lui.

Le reproche que l' on peut faire aux communistes espagnoles est d'
avoir attendu Barcelone pour régler définitivement le compte des
anarchos dont les exactions ont énorméments contribué à discréditer
les Républicains ils ont sans doute indirectement et en partie,apporté
de l'e au au moulin de la victoire des phalangistes.

Encore une fois lisez attentivement les réactions epistolaires de ce
sinistre troll de riri.

j.




j.



La perte d'efficacité progressive des neuroleptiques est un vrai drame.