Allez donc voir ce que la police française est capable de faire
http://www.lequipe.fr/Athletisme/280306_BARBER_VIDEO.html
Putain on n'a plus rien a envier au américains avec ces cons
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de
news:mn.eacd7d63ab35a1cd.21395@wana-doudounes.fr...
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire
investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ?
Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en
sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes,
ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus
est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte
dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ...
Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je
ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant
pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Papy
"trallala" a écrit dans le message de news:442a5f18$0$18272$
dire qu'ils sanctionnent les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas dire aux macaques d'arrêter de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu ton nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
"trallala" <no_mail@wrong.com> a écrit dans le message de
news:442a5f18$0$18272$636a55ce@news.free.fr...
dire qu'ils sanctionnent
les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas
dire aux macaques d'arrêter
de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous
que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été
bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu ton
nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
"trallala" a écrit dans le message de news:442a5f18$0$18272$
dire qu'ils sanctionnent les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas dire aux macaques d'arrêter de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu ton nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
HeavyMetal
Papy wrote:
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Pfff!!!
Papy wrote:
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de
news:mn.eacd7d63ab35a1cd.21395@wana-doudounes.fr...
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire
investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ?
Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en
sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes,
ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus
est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte
dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ...
Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je
ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant
pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résistes, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'empreinte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisant pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Pfff!!!
trallala
ceux qui savent lire jugerons :
http://www.liberation.com/page.php?Article69786
L'amère patrie pour Eunice Barber Très choquée, l'athlète française a raconté, vendredi, à la presse, son interpellation musclée à Saint-Denis et sa garde à vue.
par Cédric MATHIOT QUOTIDIEN : samedi 25 mars 2006
Il y a cette «claque dans la gueule», ces insultes racistes («tu crois qu'on fait ça en Afrique»). Mais, de tout ce qu'Eunice Barber a raconté, vendredi à la presse, de son interpellation samedi dernier, le plus choquant, c'est cette phrase d'excuses d'explications ? qu'une policière aurait prononcée après que Barber a mis un terme au traitement musclé en dévoilant son identité : «Vous savez, une Black dans le 93 qui se fait interpeller, c'est une gifle.» Le tarif habituel en quelque sorte. Quelques scènes qu'elle aurait vécues dans les commissariats (Saint-Denis, puis Bobigny), après son identification, sont aussi gratinées : un des «flics» «qui l'avait violentée» essaie de taper la discussion avec elle ; d'autres s'enquièrent de la date de sa prochaine compétition. «D'un coup, tout le monde a voulu être très gentil, s'est indignée Barber, mais moi, je veux vivre normalement, je veux être traitée en tant qu'être humain, pas en tant qu'Eunice Barber.»
Premiers mots. Pour ce qui est de l'interpellation elle-même, la championne, qui n'a pu contenir ses larmes avant de glisser ses premiers mots («je vous remercie d'être là»), a confirmé la version que son avocat a diffusée depuis les faits. Le récit d'un banal incident qui dégénère en interpellation violente et occasionnera, pour l'athlète, une notification de sept jours d'interruption temporaire de travail. «Ils étaient six, ils étaient dix. Ils ont marché sur mes cheveux, sur mes mains. Il y avait deux femmes policières qui étaient particulièrement méchantes dans le fourgon.» Un récit qui diffère toujours autant de la version policière des événements. Ce qui est sûr, c'est que Barber se rendait à La Plaine (Seine-Saint-Denis), samedi vers 16 heures, pour conduire chez une amie sa mère qui voulait «se faire belle» pour la venue de son mari. Les deux femmes étaient accompagnées du neveu de l'athlète. Arrivée à une déviation, à proximité du Stade de France, la voiture s'est engagée dans une voie barrée. C'est là que tout diverge. A-t-elle mal compris les indications de l'agent (ce qu'elle dit) ? A-t-elle refusé d'obéir et de s'arrêter, entraînant avec elle un agent qui n'avait pas retiré son bras du véhicule (ce que dit la police) ? A-t-elle mordu deux d'entre eux avant d'être maîtrisée ? Ou un seul pour se dégager ? A-t-elle été victime d'insultes racistes ? Ou auteure elle-même d'insultes (elle le nie) ? Selon son avocat, Me Daoud, les charges retenues contre Barber sont triples : refus d'obtempérer, mise en danger de la vie d'autrui, violences volontaires. Les photos publiées par l'Equipe vendredi (cinq policiers arc-boutés sur Barber et quatre autres qui regardent) confirment que l'interpellation a été musclée. Mais sans qu'on sache à quel moment la scène se situe, ni ce qui l'a précédée. Le quotidien sportif assure que le pourvoyeur des images réserve son témoignage pour l'enquête. L'athlète a déposé une plainte auprès de l'Inspection générale des services de police, qui pourrait être suivie d'une autre contre les agents concernés «si le ministère public ne jugeait pas utile d'ouvrir une procédure d'enquête».
Bras droit. Au-delà du fait divers, il y a l'aspect sportif : Bernard Amsalem, président de la Fédération française d'athlétisme, décrit une athlète «démolie» et s'inquiète d'une éventuelle «saison blanche». Barber explique que son bras meurtri (le droit) est celui avec lequel elle lance le poids et le javelot, ce qui pose la question des conséquences immédiates sur sa carrière. Il y a enfin le symbole, fâcheux, qui vient cochonner la jolie histoire de l'adoption par la France d'une athlète originaire de Sierra Leone, qui offrira en retour à son pays hôte une moisson de médailles. Un côté «A Eunice, la patrie reconnaissante à coups de claques dans la gueule» du plus mauvais effet.
Barber, c'est l'enfant de Freetown, élevée à l'athlétisme par un attaché linguistique de l'ambassade de France fondu de sport. C'est une installation à Reims en 1992 au moment où son pays plonge dans la guerre civile. C'est un attachement à son pays d'accueil qui lui fait préférer elle, l'anglophone le bleu-blanc-rouge, en février 1999, aux autres propositions de naturalisation (américaine, anglaise) qui lui arrivent alors qu'elle se révèle comme une gagneuse de médailles en devenir. Elle fête sa nouvelle nationalité par un titre de championne du monde de l'heptathlon en 1999 à Séville. Elle y a ajouté depuis quatre médailles, dont deux «à la maison», lors des mondiaux de Saint-Denis en 2003 (argent à l'heptathlon, or à la longueur). Elle avait raconté, dans une interview, comment ses parents lui avaient conseillé d'opter pour la France. Hier, elle a fondu en larmes en disant : «Et je n'ai même pas pu aller accueillir mon père à l'aéroport.»
"Papy" a écrit dans le message de news: 442a622c$0$20152$
"trallala" a écrit dans le message de news:442a5f18$0$18272$
dire qu'ils sanctionnent les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas dire aux macaques d'arrêter de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu ton nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
ceux qui savent lire jugerons :
http://www.liberation.com/page.php?Article69786
L'amère patrie pour Eunice Barber
Très choquée, l'athlète française a raconté, vendredi, à la presse, son
interpellation musclée à Saint-Denis et sa garde à vue.
par Cédric MATHIOT
QUOTIDIEN : samedi 25 mars 2006
Il y a cette «claque dans la gueule», ces insultes racistes («tu crois qu'on
fait ça en Afrique»). Mais, de tout ce qu'Eunice Barber a raconté, vendredi
à la presse, de son interpellation samedi dernier, le plus choquant, c'est
cette phrase d'excuses d'explications ? qu'une policière aurait
prononcée après que Barber a mis un terme au traitement musclé en dévoilant
son identité : «Vous savez, une Black dans le 93 qui se fait interpeller,
c'est une gifle.» Le tarif habituel en quelque sorte. Quelques scènes
qu'elle aurait vécues dans les commissariats (Saint-Denis, puis Bobigny),
après son identification, sont aussi gratinées : un des «flics» «qui l'avait
violentée» essaie de taper la discussion avec elle ; d'autres s'enquièrent
de la date de sa prochaine compétition. «D'un coup, tout le monde a voulu
être très gentil, s'est indignée Barber, mais moi, je veux vivre
normalement, je veux être traitée en tant qu'être humain, pas en tant
qu'Eunice Barber.»
Premiers mots. Pour ce qui est de l'interpellation elle-même, la championne,
qui n'a pu contenir ses larmes avant de glisser ses premiers mots («je vous
remercie d'être là»), a confirmé la version que son avocat a diffusée depuis
les faits. Le récit d'un banal incident qui dégénère en interpellation
violente et occasionnera, pour l'athlète, une notification de sept jours
d'interruption temporaire de travail. «Ils étaient six, ils étaient dix. Ils
ont marché sur mes cheveux, sur mes mains. Il y avait deux femmes policières
qui étaient particulièrement méchantes dans le fourgon.» Un récit qui
diffère toujours autant de la version policière des événements. Ce qui est
sûr, c'est que Barber se rendait à La Plaine (Seine-Saint-Denis), samedi
vers 16 heures, pour conduire chez une amie sa mère qui voulait «se faire
belle» pour la venue de son mari. Les deux femmes étaient accompagnées du
neveu de l'athlète. Arrivée à une déviation, à proximité du Stade de France,
la voiture s'est engagée dans une voie barrée. C'est là que tout diverge.
A-t-elle mal compris les indications de l'agent (ce qu'elle dit) ? A-t-elle
refusé d'obéir et de s'arrêter, entraînant avec elle un agent qui n'avait
pas retiré son bras du véhicule (ce que dit la police) ? A-t-elle mordu deux
d'entre eux avant d'être maîtrisée ? Ou un seul pour se dégager ? A-t-elle
été victime d'insultes racistes ? Ou auteure elle-même d'insultes (elle le
nie) ? Selon son avocat, Me Daoud, les charges retenues contre Barber sont
triples : refus d'obtempérer, mise en danger de la vie d'autrui, violences
volontaires. Les photos publiées par l'Equipe vendredi (cinq policiers
arc-boutés sur Barber et quatre autres qui regardent) confirment que
l'interpellation a été musclée. Mais sans qu'on sache à quel moment la scène
se situe, ni ce qui l'a précédée. Le quotidien sportif assure que le
pourvoyeur des images réserve son témoignage pour l'enquête. L'athlète a
déposé une plainte auprès de l'Inspection générale des services de police,
qui pourrait être suivie d'une autre contre les agents concernés «si le
ministère public ne jugeait pas utile d'ouvrir une procédure d'enquête».
Bras droit. Au-delà du fait divers, il y a l'aspect sportif : Bernard
Amsalem, président de la Fédération française d'athlétisme, décrit une
athlète «démolie» et s'inquiète d'une éventuelle «saison blanche». Barber
explique que son bras meurtri (le droit) est celui avec lequel elle lance le
poids et le javelot, ce qui pose la question des conséquences immédiates sur
sa carrière. Il y a enfin le symbole, fâcheux, qui vient cochonner la jolie
histoire de l'adoption par la France d'une athlète originaire de Sierra
Leone, qui offrira en retour à son pays hôte une moisson de médailles. Un
côté «A Eunice, la patrie reconnaissante à coups de claques dans la gueule»
du plus mauvais effet.
Barber, c'est l'enfant de Freetown, élevée à l'athlétisme par un attaché
linguistique de l'ambassade de France fondu de sport. C'est une installation
à Reims en 1992 au moment où son pays plonge dans la guerre civile. C'est un
attachement à son pays d'accueil qui lui fait préférer elle,
l'anglophone le bleu-blanc-rouge, en février 1999, aux autres propositions
de naturalisation (américaine, anglaise) qui lui arrivent alors qu'elle se
révèle comme une gagneuse de médailles en devenir. Elle fête sa nouvelle
nationalité par un titre de championne du monde de l'heptathlon en 1999 à
Séville. Elle y a ajouté depuis quatre médailles, dont deux «à la maison»,
lors des mondiaux de Saint-Denis en 2003 (argent à l'heptathlon, or à la
longueur). Elle avait raconté, dans une interview, comment ses parents lui
avaient conseillé d'opter pour la France. Hier, elle a fondu en larmes en
disant : «Et je n'ai même pas pu aller accueillir mon père à l'aéroport.»
"Papy" <Encore@jeune.fr> a écrit dans le message de news:
442a622c$0$20152$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"trallala" <no_mail@wrong.com> a écrit dans le message de
news:442a5f18$0$18272$636a55ce@news.free.fr...
dire qu'ils sanctionnent
les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas
dire aux macaques d'arrêter
de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous
que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été
bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu
ton
nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
L'amère patrie pour Eunice Barber Très choquée, l'athlète française a raconté, vendredi, à la presse, son interpellation musclée à Saint-Denis et sa garde à vue.
par Cédric MATHIOT QUOTIDIEN : samedi 25 mars 2006
Il y a cette «claque dans la gueule», ces insultes racistes («tu crois qu'on fait ça en Afrique»). Mais, de tout ce qu'Eunice Barber a raconté, vendredi à la presse, de son interpellation samedi dernier, le plus choquant, c'est cette phrase d'excuses d'explications ? qu'une policière aurait prononcée après que Barber a mis un terme au traitement musclé en dévoilant son identité : «Vous savez, une Black dans le 93 qui se fait interpeller, c'est une gifle.» Le tarif habituel en quelque sorte. Quelques scènes qu'elle aurait vécues dans les commissariats (Saint-Denis, puis Bobigny), après son identification, sont aussi gratinées : un des «flics» «qui l'avait violentée» essaie de taper la discussion avec elle ; d'autres s'enquièrent de la date de sa prochaine compétition. «D'un coup, tout le monde a voulu être très gentil, s'est indignée Barber, mais moi, je veux vivre normalement, je veux être traitée en tant qu'être humain, pas en tant qu'Eunice Barber.»
Premiers mots. Pour ce qui est de l'interpellation elle-même, la championne, qui n'a pu contenir ses larmes avant de glisser ses premiers mots («je vous remercie d'être là»), a confirmé la version que son avocat a diffusée depuis les faits. Le récit d'un banal incident qui dégénère en interpellation violente et occasionnera, pour l'athlète, une notification de sept jours d'interruption temporaire de travail. «Ils étaient six, ils étaient dix. Ils ont marché sur mes cheveux, sur mes mains. Il y avait deux femmes policières qui étaient particulièrement méchantes dans le fourgon.» Un récit qui diffère toujours autant de la version policière des événements. Ce qui est sûr, c'est que Barber se rendait à La Plaine (Seine-Saint-Denis), samedi vers 16 heures, pour conduire chez une amie sa mère qui voulait «se faire belle» pour la venue de son mari. Les deux femmes étaient accompagnées du neveu de l'athlète. Arrivée à une déviation, à proximité du Stade de France, la voiture s'est engagée dans une voie barrée. C'est là que tout diverge. A-t-elle mal compris les indications de l'agent (ce qu'elle dit) ? A-t-elle refusé d'obéir et de s'arrêter, entraînant avec elle un agent qui n'avait pas retiré son bras du véhicule (ce que dit la police) ? A-t-elle mordu deux d'entre eux avant d'être maîtrisée ? Ou un seul pour se dégager ? A-t-elle été victime d'insultes racistes ? Ou auteure elle-même d'insultes (elle le nie) ? Selon son avocat, Me Daoud, les charges retenues contre Barber sont triples : refus d'obtempérer, mise en danger de la vie d'autrui, violences volontaires. Les photos publiées par l'Equipe vendredi (cinq policiers arc-boutés sur Barber et quatre autres qui regardent) confirment que l'interpellation a été musclée. Mais sans qu'on sache à quel moment la scène se situe, ni ce qui l'a précédée. Le quotidien sportif assure que le pourvoyeur des images réserve son témoignage pour l'enquête. L'athlète a déposé une plainte auprès de l'Inspection générale des services de police, qui pourrait être suivie d'une autre contre les agents concernés «si le ministère public ne jugeait pas utile d'ouvrir une procédure d'enquête».
Bras droit. Au-delà du fait divers, il y a l'aspect sportif : Bernard Amsalem, président de la Fédération française d'athlétisme, décrit une athlète «démolie» et s'inquiète d'une éventuelle «saison blanche». Barber explique que son bras meurtri (le droit) est celui avec lequel elle lance le poids et le javelot, ce qui pose la question des conséquences immédiates sur sa carrière. Il y a enfin le symbole, fâcheux, qui vient cochonner la jolie histoire de l'adoption par la France d'une athlète originaire de Sierra Leone, qui offrira en retour à son pays hôte une moisson de médailles. Un côté «A Eunice, la patrie reconnaissante à coups de claques dans la gueule» du plus mauvais effet.
Barber, c'est l'enfant de Freetown, élevée à l'athlétisme par un attaché linguistique de l'ambassade de France fondu de sport. C'est une installation à Reims en 1992 au moment où son pays plonge dans la guerre civile. C'est un attachement à son pays d'accueil qui lui fait préférer elle, l'anglophone le bleu-blanc-rouge, en février 1999, aux autres propositions de naturalisation (américaine, anglaise) qui lui arrivent alors qu'elle se révèle comme une gagneuse de médailles en devenir. Elle fête sa nouvelle nationalité par un titre de championne du monde de l'heptathlon en 1999 à Séville. Elle y a ajouté depuis quatre médailles, dont deux «à la maison», lors des mondiaux de Saint-Denis en 2003 (argent à l'heptathlon, or à la longueur). Elle avait raconté, dans une interview, comment ses parents lui avaient conseillé d'opter pour la France. Hier, elle a fondu en larmes en disant : «Et je n'ai même pas pu aller accueillir mon père à l'aéroport.»
"Papy" a écrit dans le message de news: 442a622c$0$20152$
"trallala" a écrit dans le message de news:442a5f18$0$18272$
dire qu'ils sanctionnent les cris de gorilles dans les stades
il faudrait aussi dans ce cas dire aux macaques d'arrêter de mordre la police......
Elle a essayé de forcer le passage avec sa voiture
évidemment, l'arbre à palabres marche moins bien chez nous que dans son Afrique corrompue
hé oui, on vit pas comme là-bas ici, été on a été bien trop lâches sur plein de sujets
un juste retour de balancier
C'est bon le facho raciste derrière un pseudo anonyme? Mets donc un peu ton nom et ton adresse pour voir si tu as les mêmes réactions connard.
Stephane Legras-Decussy
"Papy" a écrit dans le message de news: 442a6194$0$20162$
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
explique nous ta methode pour interpeller quelqu'un qu'a pas envie de dire ok je vous suis ?
"Papy" <Encore@jeune.fr> a écrit dans le message de news:
442a6194$0$20162$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
explique nous ta methode pour interpeller
quelqu'un qu'a pas envie de dire ok je vous suis ?
"Papy" a écrit dans le message de news: 442a6194$0$20162$
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
explique nous ta methode pour interpeller quelqu'un qu'a pas envie de dire ok je vous suis ?
PafLaGirafe
Papy a écrit :
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résiste s, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'emprei nte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisan t pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Tout à fait d'accord. Ne pas obtempérer, se rebeller et mordre un blanc ce sont des méthode s de fachos racistes.
Papy a écrit :
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de
news:mn.eacd7d63ab35a1cd.21395@wana-doudounes.fr...
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire
investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ?
Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en
sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résiste s,
ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus
est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'emprei nte
dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ...
Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je
ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisan t
pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Tout à fait d'accord.
Ne pas obtempérer, se rebeller et mordre un blanc ce sont des méthode s de
fachos racistes.
"Jeffbie" <kitussé@wana-doudounes.fr> a écrit dans le message de news:
Hello *Papy* ! Tu disais ???
Et toi, ça te plaît, un pays où il suffit d'être connu pour se croire investie de super-pouvoirs et au-dessus des lois ? Les flics avaient peut-être tort de l'interpeller, mais personne n'en sait rien pour le moment. Ce qui est certain, c'est que si tu résiste s, ça finit comme ça. Elle a reconnu elle-même les avoir mordus, qui plus est, ce qui aurait été facile à prouver avec un relevé d'emprei nte dentaire ; Eunice Barber a un bon avocat ... Les flics n'ont certainement pas tous les droits, mais dans ce film, je ne vois RIEN d'anormal ni d'illégal et il est parfaitement insuffisan t pour crier à la bavure.
N'empêche que ce sont des méthodes de fachos racistes.
Tout à fait d'accord. Ne pas obtempérer, se rebeller et mordre un blanc ce sont des méthode s de fachos racistes.
Elephant Man
PafLaGirafe le 29.03.06 à 15h22 du côté de fr.rec.tv.programmes :
mordre un blanc
En quoi est-ce plus grave que de mordre une autre couleur ?
PafLaGirafe le 29.03.06 à 15h22 du côté de fr.rec.tv.programmes :
mordre un blanc
En quoi est-ce plus grave que de mordre une autre couleur ?