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John Deuf
IGOT :
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire sont ridicule.
Les couts de droits de diffusion se calculent en fonction de l'audience potentielle. Donc ça coute proportionnellement le même prix pour la France que pour la Suisse.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien avant qu'en France.
Non, les programmes passent avant simplement parce que les chaines françaises sont largement diffusées là-bas. Si les chaines suisses diffusaient les programmes après, personne ne regarderait puisque les habitants les aurait déjà vu sur les chaines françaises.
-- John Deuf
IGOT :
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire
sont ridicule.
Les couts de droits de diffusion se calculent en fonction de l'audience
potentielle. Donc ça coute proportionnellement le même prix pour la France
que pour la Suisse.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien
avant qu'en France.
Non, les programmes passent avant simplement parce que les chaines
françaises sont largement diffusées là-bas. Si les chaines suisses
diffusaient les programmes après, personne ne regarderait puisque les
habitants les aurait déjà vu sur les chaines françaises.
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire sont ridicule.
Les couts de droits de diffusion se calculent en fonction de l'audience potentielle. Donc ça coute proportionnellement le même prix pour la France que pour la Suisse.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien avant qu'en France.
Non, les programmes passent avant simplement parce que les chaines françaises sont largement diffusées là-bas. Si les chaines suisses diffusaient les programmes après, personne ne regarderait puisque les habitants les aurait déjà vu sur les chaines françaises.
-- John Deuf
Alain Tillac
"IGOT" a écrit dans le message de news:cogcdv$mh8$
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire sont ridicule.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien avant
qu'en France).
Pas exactement.
C'est en raison d'une règle fort logique : la Suisse et la Belgique sont deux petits pays partiellement francophones qui, grâce à la distribution câblée quasi généralisée, reçoivent très largement les programmes français : en Belgique, par exemple tous les téléspectateurs câblés en région francophone reçoivent TF1, France 2, France 3 et ARTE. Le situation inverse n'est pas vraie : relativement peu de télespectateurs français reçoivent les chaînes suisses et belges sur le câble ou l'ADSL. Le préjudice est donc "asymétrique" (plus important dans un sens que dans l'autre). Si ces chaînes diffusaient leurs productions (téléfilms) d'abord en France, elles n'auraient aucune chance de pouvoir les vendre ensuite aux chaînes suisses et belges et elles n'auraient plus aucune possibilité d'obtenir des accords de co-production avec ces pays. Pour la Belgique, (je ne connais pas la Suisse), il y a de très nombreuses co-productions françaises dont les partenaires belges sont les chaînes RTBF, RTL-TVI et BeTV ; l'Association des télédistributeurs (=câblodistributeurs) wallons, et des sociétés de production privées. La situation doit être assez similaire en Suisse.
Les producteurs cinématographiques suivent le même principe : elles donnent une priorité de diffusion (qui se résume souvent à quelques jours) aux chaînes suisses et belges, par rapport aux chaînes françaises. (le premier épisode du Seigneur des Anneaux est passé lundi en Belgique et Harry Potter en Suisse : ils seront diffusés en France dans quelques jours.
"IGOT" <SDFSF@FF.COM> a écrit dans le message de
news:cogcdv$mh8$1@news.hispeed.ch...
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire sont
ridicule.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien avant
qu'en France).
Pas exactement.
C'est en raison d'une règle fort logique : la Suisse et la Belgique sont
deux petits pays partiellement francophones qui, grâce à la distribution
câblée quasi généralisée, reçoivent très largement les programmes français :
en Belgique, par exemple tous les téléspectateurs câblés en région
francophone reçoivent TF1, France 2, France 3 et ARTE. Le situation inverse
n'est pas vraie : relativement peu de télespectateurs français reçoivent les
chaînes suisses et belges sur le câble ou l'ADSL. Le préjudice est donc
"asymétrique" (plus important dans un sens que dans l'autre). Si ces chaînes
diffusaient leurs productions (téléfilms) d'abord en France, elles
n'auraient aucune chance de pouvoir les vendre ensuite aux chaînes suisses
et belges et elles n'auraient plus aucune possibilité d'obtenir des accords
de co-production avec ces pays. Pour la Belgique, (je ne connais pas la
Suisse), il y a de très nombreuses co-productions françaises dont les
partenaires belges sont les chaînes RTBF, RTL-TVI et BeTV ; l'Association
des télédistributeurs (=câblodistributeurs) wallons, et des sociétés de
production privées. La situation doit être assez similaire en Suisse.
Les producteurs cinématographiques suivent le même principe : elles donnent
une priorité de diffusion (qui se résume souvent à quelques jours) aux
chaînes suisses et belges, par rapport aux chaînes françaises. (le premier
épisode du Seigneur des Anneaux est passé lundi en Belgique et Harry Potter
en Suisse : ils seront diffusés en France dans quelques jours.
"IGOT" a écrit dans le message de news:cogcdv$mh8$
C'est pourquoi les couts de droits des diffusion sur sont territoire sont ridicule.
Donc le films et téléfilms (aussi production Française passe bien avant
qu'en France).
Pas exactement.
C'est en raison d'une règle fort logique : la Suisse et la Belgique sont deux petits pays partiellement francophones qui, grâce à la distribution câblée quasi généralisée, reçoivent très largement les programmes français : en Belgique, par exemple tous les téléspectateurs câblés en région francophone reçoivent TF1, France 2, France 3 et ARTE. Le situation inverse n'est pas vraie : relativement peu de télespectateurs français reçoivent les chaînes suisses et belges sur le câble ou l'ADSL. Le préjudice est donc "asymétrique" (plus important dans un sens que dans l'autre). Si ces chaînes diffusaient leurs productions (téléfilms) d'abord en France, elles n'auraient aucune chance de pouvoir les vendre ensuite aux chaînes suisses et belges et elles n'auraient plus aucune possibilité d'obtenir des accords de co-production avec ces pays. Pour la Belgique, (je ne connais pas la Suisse), il y a de très nombreuses co-productions françaises dont les partenaires belges sont les chaînes RTBF, RTL-TVI et BeTV ; l'Association des télédistributeurs (=câblodistributeurs) wallons, et des sociétés de production privées. La situation doit être assez similaire en Suisse.
Les producteurs cinématographiques suivent le même principe : elles donnent une priorité de diffusion (qui se résume souvent à quelques jours) aux chaînes suisses et belges, par rapport aux chaînes françaises. (le premier épisode du Seigneur des Anneaux est passé lundi en Belgique et Harry Potter en Suisse : ils seront diffusés en France dans quelques jours.
