- analyse du geste musical = domaine de la pédagogie
- traitement-démultiplication = domaine de la création
. lui-même subdivisé : simples utilitaires (insérables dans une chaîne
MIDI entre d'autres applis) ou environnements complets...
> > - une des directions de recherche à la mode est de créations musicales
- analyse du geste musical = domaine de la pédagogie
- traitement-démultiplication = domaine de la création
. lui-même subdivisé : simples utilitaires (insérables dans une chaîne
MIDI entre d'autres applis) ou environnements complets...
> > - une des directions de recherche à la mode est de créations musicales
- analyse du geste musical = domaine de la pédagogie
- traitement-démultiplication = domaine de la création
. lui-même subdivisé : simples utilitaires (insérables dans une chaîne
MIDI entre d'autres applis) ou environnements complets...
> > - une des directions de recherche à la mode est de créations musicales
J'ai utilisé MAX, qui à l'époque n'était pas MSP, à l'époque de ma formation
musicale. Depuis certaines contraintes m'ont éloigné de ces "logiciels de
luxe" que sont entre autres MAX, Pro-Tools...
La solution forum que propose
l'Ircam me faisait craindre, à tort ou à raison, (une crainte doit-elle
toujours être justifiée) l'uniformité d'une pensée musicale transitant par
les mêmes solutions logicielles.
Donc repartant du principe du détournement
de solution pas prévue pour à la base, je me demandais s'il serait possible
d'élaborer un suiveur de partition à partir de Reaktor qui est aussi à base
de modules.
J'ai utilisé MAX, qui à l'époque n'était pas MSP, à l'époque de ma formation
musicale. Depuis certaines contraintes m'ont éloigné de ces "logiciels de
luxe" que sont entre autres MAX, Pro-Tools...
La solution forum que propose
l'Ircam me faisait craindre, à tort ou à raison, (une crainte doit-elle
toujours être justifiée) l'uniformité d'une pensée musicale transitant par
les mêmes solutions logicielles.
Donc repartant du principe du détournement
de solution pas prévue pour à la base, je me demandais s'il serait possible
d'élaborer un suiveur de partition à partir de Reaktor qui est aussi à base
de modules.
J'ai utilisé MAX, qui à l'époque n'était pas MSP, à l'époque de ma formation
musicale. Depuis certaines contraintes m'ont éloigné de ces "logiciels de
luxe" que sont entre autres MAX, Pro-Tools...
La solution forum que propose
l'Ircam me faisait craindre, à tort ou à raison, (une crainte doit-elle
toujours être justifiée) l'uniformité d'une pensée musicale transitant par
les mêmes solutions logicielles.
Donc repartant du principe du détournement
de solution pas prévue pour à la base, je me demandais s'il serait possible
d'élaborer un suiveur de partition à partir de Reaktor qui est aussi à base
de modules.
qu'il suppose d'avoir pour s'en servir efficacement) : distribué d'abord
en béta gratuite, puis en opensource (jMax) puis encore en opensource
(Pure Data), pas un kopeck à débourser depuis 20 ans ! Bonjour les
radins ! (et merci Miller Puckette !).
La version commerciale de Zicarelli vaut vraiment l'argent qui en est
demandé : support, manuel, esthétique, *possibilité de commercialiser*
ses créations grâce à l'encapsulation et au runtime... Il est à peine
plus cher qu'une version complète de Windows ou d'Office ! C'est dire !
Bien sûr que c'est possible, mais il faudrait préciser le propos, car
l'objet "follow" de Max ou PureData n'a été nommé en français "suiveur
de partition" que par une traduction un peu hâtive de "score follower".
On aurait plutôt dû choisir "suivi d'évènements de notes MIDI" dont les
applications sont très ouvertes dans Max mais devraient être plus
dédiées dans d'autres logiciels faute des "outils" nécessaires en aval
pour le traitement (sauf à recréer Max).
Une chose importante aussi en ce qui concerne Max et Pure Data et qu'on
ne serait pas sûr de retrouver dans des usines à gaz audio est
l'immédiateté, la très grande rapidité. Dès qu'on utilise Max et qu'on
voit ce qui se passe en "trace" ou simplement en réactivité on est
bluffé. Et c'était déjà vrai sur un Mac SE à 8 MHz en 1986 ! Or la
musique a-doo-re l'immédiateté (et déteste la latence).
- ne pas oublier que Max/MSP est bien sûr MIDI mais aussi ReWire :
l'utilisation conjointe avec d'autres logiciels compatibles est
parfaitement possible, surtout qu'un module Max encapsulé peut
parfaitement se comporter comme une sorte de plug-in...
- ne pas oublier *l'immense* quantité de savoir et d'expérience
disponibles sur Max et Pure Data, soit carrément gratuitement,
qu'il suppose d'avoir pour s'en servir efficacement) : distribué d'abord
en béta gratuite, puis en opensource (jMax) puis encore en opensource
(Pure Data), pas un kopeck à débourser depuis 20 ans ! Bonjour les
radins ! (et merci Miller Puckette !).
La version commerciale de Zicarelli vaut vraiment l'argent qui en est
demandé : support, manuel, esthétique, *possibilité de commercialiser*
ses créations grâce à l'encapsulation et au runtime... Il est à peine
plus cher qu'une version complète de Windows ou d'Office ! C'est dire !
Bien sûr que c'est possible, mais il faudrait préciser le propos, car
l'objet "follow" de Max ou PureData n'a été nommé en français "suiveur
de partition" que par une traduction un peu hâtive de "score follower".
On aurait plutôt dû choisir "suivi d'évènements de notes MIDI" dont les
applications sont très ouvertes dans Max mais devraient être plus
dédiées dans d'autres logiciels faute des "outils" nécessaires en aval
pour le traitement (sauf à recréer Max).
Une chose importante aussi en ce qui concerne Max et Pure Data et qu'on
ne serait pas sûr de retrouver dans des usines à gaz audio est
l'immédiateté, la très grande rapidité. Dès qu'on utilise Max et qu'on
voit ce qui se passe en "trace" ou simplement en réactivité on est
bluffé. Et c'était déjà vrai sur un Mac SE à 8 MHz en 1986 ! Or la
musique a-doo-re l'immédiateté (et déteste la latence).
- ne pas oublier que Max/MSP est bien sûr MIDI mais aussi ReWire :
l'utilisation conjointe avec d'autres logiciels compatibles est
parfaitement possible, surtout qu'un module Max encapsulé peut
parfaitement se comporter comme une sorte de plug-in...
- ne pas oublier *l'immense* quantité de savoir et d'expérience
disponibles sur Max et Pure Data, soit carrément gratuitement,
qu'il suppose d'avoir pour s'en servir efficacement) : distribué d'abord
en béta gratuite, puis en opensource (jMax) puis encore en opensource
(Pure Data), pas un kopeck à débourser depuis 20 ans ! Bonjour les
radins ! (et merci Miller Puckette !).
La version commerciale de Zicarelli vaut vraiment l'argent qui en est
demandé : support, manuel, esthétique, *possibilité de commercialiser*
ses créations grâce à l'encapsulation et au runtime... Il est à peine
plus cher qu'une version complète de Windows ou d'Office ! C'est dire !
Bien sûr que c'est possible, mais il faudrait préciser le propos, car
l'objet "follow" de Max ou PureData n'a été nommé en français "suiveur
de partition" que par une traduction un peu hâtive de "score follower".
On aurait plutôt dû choisir "suivi d'évènements de notes MIDI" dont les
applications sont très ouvertes dans Max mais devraient être plus
dédiées dans d'autres logiciels faute des "outils" nécessaires en aval
pour le traitement (sauf à recréer Max).
Une chose importante aussi en ce qui concerne Max et Pure Data et qu'on
ne serait pas sûr de retrouver dans des usines à gaz audio est
l'immédiateté, la très grande rapidité. Dès qu'on utilise Max et qu'on
voit ce qui se passe en "trace" ou simplement en réactivité on est
bluffé. Et c'était déjà vrai sur un Mac SE à 8 MHz en 1986 ! Or la
musique a-doo-re l'immédiateté (et déteste la latence).
- ne pas oublier que Max/MSP est bien sûr MIDI mais aussi ReWire :
l'utilisation conjointe avec d'autres logiciels compatibles est
parfaitement possible, surtout qu'un module Max encapsulé peut
parfaitement se comporter comme une sorte de plug-in...
- ne pas oublier *l'immense* quantité de savoir et d'expérience
disponibles sur Max et Pure Data, soit carrément gratuitement,
Suivant ton conseil, je viens de télécharger la version démo de max/msp sur
cycling'74.
En fait, j'ai en cours l'écriture d'une pièce pour voix de soprano, piano et
sons fixés (pour reprendre la terminologie de M. Chion). J'ajoute que le
piano et la voix sont traités en direct. J'avais envisagé la solution "suivi
de partition" pour libérer les interprètes, de la contrainte du jeu avec la
partie électroacoustique figée dans une mémoire de masse, ou sur un support
de diffusion quelconque. Après réflexion je pense assurer en direct la
spatialisation du son et le déclenchement des patches, rendant ainsi caduque
la solution "score follower" et indispensable ;^) ma présence physique.
> l'immédiateté, la très grande rapidité.
Ca c'est réellement intéressant et c'est vraiment ce qui peut me décider à
me pencher sur le sujet.
Que veux-tu dire par "module encapsulé" ?
Malheureusement on en revient au problème de temps disponible, et je préfère
consacrer l'essentiel du mien au travail purement compositionnel plutôt qu'
à l'acquisition de connaissances logicielles. Même si j'admets, bien
évidemment, que la connaissance et la maîtrise des outils est un sérieux
atout, pour ne pas dire une condition sine qua non. Finalement il vaut mieux
bien posséder une quantité limitée d'outils, que survoler un nombre
incalculable de solutions, et surtout faire preuve d'imagination pour
surmonter les obstacles.
Suivant ton conseil, je viens de télécharger la version démo de max/msp sur
cycling'74.
En fait, j'ai en cours l'écriture d'une pièce pour voix de soprano, piano et
sons fixés (pour reprendre la terminologie de M. Chion). J'ajoute que le
piano et la voix sont traités en direct. J'avais envisagé la solution "suivi
de partition" pour libérer les interprètes, de la contrainte du jeu avec la
partie électroacoustique figée dans une mémoire de masse, ou sur un support
de diffusion quelconque. Après réflexion je pense assurer en direct la
spatialisation du son et le déclenchement des patches, rendant ainsi caduque
la solution "score follower" et indispensable ;^) ma présence physique.
> l'immédiateté, la très grande rapidité.
Ca c'est réellement intéressant et c'est vraiment ce qui peut me décider à
me pencher sur le sujet.
Que veux-tu dire par "module encapsulé" ?
Malheureusement on en revient au problème de temps disponible, et je préfère
consacrer l'essentiel du mien au travail purement compositionnel plutôt qu'
à l'acquisition de connaissances logicielles. Même si j'admets, bien
évidemment, que la connaissance et la maîtrise des outils est un sérieux
atout, pour ne pas dire une condition sine qua non. Finalement il vaut mieux
bien posséder une quantité limitée d'outils, que survoler un nombre
incalculable de solutions, et surtout faire preuve d'imagination pour
surmonter les obstacles.
Suivant ton conseil, je viens de télécharger la version démo de max/msp sur
cycling'74.
En fait, j'ai en cours l'écriture d'une pièce pour voix de soprano, piano et
sons fixés (pour reprendre la terminologie de M. Chion). J'ajoute que le
piano et la voix sont traités en direct. J'avais envisagé la solution "suivi
de partition" pour libérer les interprètes, de la contrainte du jeu avec la
partie électroacoustique figée dans une mémoire de masse, ou sur un support
de diffusion quelconque. Après réflexion je pense assurer en direct la
spatialisation du son et le déclenchement des patches, rendant ainsi caduque
la solution "score follower" et indispensable ;^) ma présence physique.
> l'immédiateté, la très grande rapidité.
Ca c'est réellement intéressant et c'est vraiment ce qui peut me décider à
me pencher sur le sujet.
Que veux-tu dire par "module encapsulé" ?
Malheureusement on en revient au problème de temps disponible, et je préfère
consacrer l'essentiel du mien au travail purement compositionnel plutôt qu'
à l'acquisition de connaissances logicielles. Même si j'admets, bien
évidemment, que la connaissance et la maîtrise des outils est un sérieux
atout, pour ne pas dire une condition sine qua non. Finalement il vaut mieux
bien posséder une quantité limitée d'outils, que survoler un nombre
incalculable de solutions, et surtout faire preuve d'imagination pour
surmonter les obstacles.