Comment Jean-Marie Grasset est devenu photographe et peintre d'art paysan.
Très jeune, il avait le goût du dessin, puis c'est la révélation. Pendant
son service militaire, il fit de nombreuses diapos. Ensuite, la passion le
gagna et il devint photographe paysan
Toutes sortes de clichés l'intéressaient, mais un jour il rencontra des gens
près d'un lavoir qui venaient faire la lessive. Il se spécialisa alors dans
la photo de lavoirs et de «bughées».
Trente ans de photos tout en précisant que les scènes sont avec des
personnages choisis. Ce sont des personnes qui savent laver le linge au
lavoir, car ce n'est pas permis à tout le monde de connaître ce
savoir-faire.
M.Grasset s'entoure actuellement de professionnels, notamment de
l'historienne Judith Rapert, pour réaliser en commun un livre.
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Terrorisme
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Bour-Brown
D. & J.P. Dubarry a écrit ( 4803dc52$0$25766$ )
Comment Jean-Marie Grasset est devenu photographe et peintre d'art paysan. Très jeune, il avait le goût du dessin, puis c'est la révélation. Pendant son service militaire, il fit de nombreuses diapos. Ensuite, la passion le gagna et il devint photographe paysan
Fou.
Toutes sortes de clichés l'intéressaient, mais un jour il rencontra des gens près d'un lavoir qui venaient faire la lessive. Il se spécialisa alors dans la photo de lavoirs et de «bughées».
Incroyable.
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ? Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ? Pour cela, pour que cela soit possible, il faut accepter de se laisser emporter par la puissance de l'oubli. En tout cas, il ne faut pas être confronté à quoique ce soit qui relève d'un autre instant que celui, abstrait et absolu, qui fait que l'on se dit que c'est là, précisément là, ce que l'on cherche, traque, attend, espère, ce qui en cet instant vivant de l'image divisée, dialectique, nous fait face. Un tel satori ne peut naître qu'entre deux mondes, entre deux yeux, entre deux états de la matière. Sa puissance est telle qu'il nous fait découvrir l'existence de deux registres de la perception, de deux types de conscience ou du moins de pensée. De les montrer dans leur constante confrontation est ce qui fait la puissance des photographies de François Sagnes.»
http://lacritique.decenturl.com/super-fumeux
(allez, au suivant)
D. & J.P. Dubarry a écrit
( 4803dc52$0$25766$426a74cc@news.free.fr )
Comment Jean-Marie Grasset est devenu photographe et peintre d'art paysan.
Très jeune, il avait le goût du dessin, puis c'est la révélation. Pendant
son service militaire, il fit de nombreuses diapos. Ensuite, la passion le
gagna et il devint photographe paysan
Fou.
Toutes sortes de clichés l'intéressaient, mais un jour il rencontra des
gens près d'un lavoir qui venaient faire la lessive. Il se spécialisa
alors dans la photo de lavoirs et de «bughées».
Incroyable.
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut
exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le
rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un
rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ?
Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour
nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la
fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ? Pour
cela, pour que cela soit possible, il faut accepter de se laisser emporter
par la puissance de l'oubli. En tout cas, il ne faut pas être confronté à
quoique ce soit qui relève d'un autre instant que celui, abstrait et absolu,
qui fait que l'on se dit que c'est là, précisément là, ce que l'on cherche,
traque, attend, espère, ce qui en cet instant vivant de l'image divisée,
dialectique, nous fait face. Un tel satori ne peut naître qu'entre deux
mondes, entre deux yeux, entre deux états de la matière. Sa puissance est
telle qu'il nous fait découvrir l'existence de deux registres de la
perception, de deux types de conscience ou du moins de pensée. De les
montrer dans leur constante confrontation est ce qui fait la puissance des
photographies de François Sagnes.»
Comment Jean-Marie Grasset est devenu photographe et peintre d'art paysan. Très jeune, il avait le goût du dessin, puis c'est la révélation. Pendant son service militaire, il fit de nombreuses diapos. Ensuite, la passion le gagna et il devint photographe paysan
Fou.
Toutes sortes de clichés l'intéressaient, mais un jour il rencontra des gens près d'un lavoir qui venaient faire la lessive. Il se spécialisa alors dans la photo de lavoirs et de «bughées».
Incroyable.
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ? Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ? Pour cela, pour que cela soit possible, il faut accepter de se laisser emporter par la puissance de l'oubli. En tout cas, il ne faut pas être confronté à quoique ce soit qui relève d'un autre instant que celui, abstrait et absolu, qui fait que l'on se dit que c'est là, précisément là, ce que l'on cherche, traque, attend, espère, ce qui en cet instant vivant de l'image divisée, dialectique, nous fait face. Un tel satori ne peut naître qu'entre deux mondes, entre deux yeux, entre deux états de la matière. Sa puissance est telle qu'il nous fait découvrir l'existence de deux registres de la perception, de deux types de conscience ou du moins de pensée. De les montrer dans leur constante confrontation est ce qui fait la puissance des photographies de François Sagnes.»
http://lacritique.decenturl.com/super-fumeux
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Jean-Claude
... ...Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher....
8h49, j'ai soudain envie de retourner au lit...
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
...
...Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le
rocher est le rocher....
...Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher....
8h49, j'ai soudain envie de retourner au lit...
Hé hé, faut admettre qu'en prétentieux fumeux je n'ai pas encore trouvé beaucoup mieux que ce site, un vrai bonheur...
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ? Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ? [Bon, ça suffit comme ça :-) ]
http://lacritique.decenturl.com/super-fumeux
(allez, au suivant)
Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne l'article.
Charles
Bour-Brown wrote:
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut
exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le
rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un
rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ?
Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour
nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la
fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ?
[Bon, ça suffit comme ça :-) ]
http://lacritique.decenturl.com/super-fumeux
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Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais
peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne
l'article.
Bon, moi j'en ai trouvé un spécialisé dans la photo de caillou :
« La question est donc bien de savoir si un regard matérialiste peut exister. Pour cela il faudrait accepter qu'une image soit une image comme le rocher est le rocher. Mais sommes-nous capables de voir le rocher comme un rocher ? Et l'image comme une tentative de dire l'indicible du visible ? Pouvons-nous accepter de penser que le réel est là devant nous mais pas pour nous, qu'il est là pour rien et que c'est ce pour rien qui constitue à la fois l'horizon de nos attentes et sur lequel nous fondons nos espoirs ? [Bon, ça suffit comme ça :-) ]
http://lacritique.decenturl.com/super-fumeux
(allez, au suivant)
Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne l'article.
Charles
Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit ( 48047039$0$902$ )
Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne l'article.
J'avais remarqué la même chose et je m'étais demandé si c'était son fond de commerce, à ce photographe, la photo charbonneuse. Apparemment non, c'est assez varié dans le genre.
De plus (coïncidence n'est-ce pas) il exposerait actuellement à Bordeaux : http://www.photographie.com/?evtid5922&secid=4
Peut-être que cela intéressera D. & J.P. Dubarry ?
Charles VASSALLO a écrit
( 48047039$0$902$ba4acef3@news.orange.fr )
Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais
peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne
l'article.
J'avais remarqué la même chose et je m'étais demandé si c'était son fond de
commerce, à ce photographe, la photo charbonneuse. Apparemment non, c'est
assez varié dans le genre.
De plus (coïncidence n'est-ce pas) il exposerait actuellement à Bordeaux :
http://www.photographie.com/?evtid5922&secid=4
Peut-être que cela intéressera D. & J.P. Dubarry ?
Euh... sans cette critique particulièrement lumineuse, je n'aurais peut-être pas vu grand chose dans l'image quasi-noire qui accompagne l'article.
J'avais remarqué la même chose et je m'étais demandé si c'était son fond de commerce, à ce photographe, la photo charbonneuse. Apparemment non, c'est assez varié dans le genre.
De plus (coïncidence n'est-ce pas) il exposerait actuellement à Bordeaux : http://www.photographie.com/?evtid5922&secid=4
Peut-être que cela intéressera D. & J.P. Dubarry ?