Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de
presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir
l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte
concerné.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit
est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la
photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou
l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de
leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la
communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre
de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la
publication d'une photographie les représentant dans un lieu public,
dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison
d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de
groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient
rendus non identifiables.
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Alf92
coelacanthe :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
MDR ! d'où tu sors ça ?
coelacanthe :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de
presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir
l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte
concerné.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit
est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la
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dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison
d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de
groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient
rendus non identifiables.
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
MDR ! d'où tu sors ça ?
coelacanthe
Alf92 a formulé :
coelacanthe :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
MDR ! d'où tu sors ça ?
voyons voir si d'autres s'y font prendre...:-)))
Alf92 <alf921@gmail.com> a formulé :
coelacanthe :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de
presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir
l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte
concerné.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit
est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la
photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou
l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de
leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la
communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre
de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la
publication d'une photographie les représentant dans un lieu public,
dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison
d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de
groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient
rendus non identifiables.
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
MDR ! d'où tu sors ça ?
voyons voir si d'autres s'y font prendre...:-)))
GhostRaider
Le 16/02/2015 18:33, coelacanthe a écrit :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
Ben, tout ça semble évident. Ça fait bien longtemps que je recueille l'accord de mes mésanges et de mes papillons. Cet accord se pré-suppose simplement par le fait que l'animal ne s'enfuit pas à mon approche, ce qui vaut consentement. S'il s'enfuit, je comprends qu'il tient à garder son droit à l'image. S'il reste et même, dans le cas des rouges-gorges, s'il prend la pose, il est manifeste qu'il consent à être photographié. Tout cela ne souffre d'aucune difficulté réelle d'application.
Le 16/02/2015 18:33, coelacanthe a écrit :
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de
presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir
l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte
concerné.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est
assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la
photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou
l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de
leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la
communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre
de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la
publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès
lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un
cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe,
lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non
identifiables.
Ben, tout ça semble évident.
Ça fait bien longtemps que je recueille l'accord de mes mésanges et de
mes papillons.
Cet accord se pré-suppose simplement par le fait que l'animal ne
s'enfuit pas à mon approche, ce qui vaut consentement.
S'il s'enfuit, je comprends qu'il tient à garder son droit à l'image.
S'il reste et même, dans le cas des rouges-gorges, s'il prend la pose,
il est manifeste qu'il consent à être photographié.
Tout cela ne souffre d'aucune difficulté réelle d'application.
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
Ben, tout ça semble évident. Ça fait bien longtemps que je recueille l'accord de mes mésanges et de mes papillons. Cet accord se pré-suppose simplement par le fait que l'animal ne s'enfuit pas à mon approche, ce qui vaut consentement. S'il s'enfuit, je comprends qu'il tient à garder son droit à l'image. S'il reste et même, dans le cas des rouges-gorges, s'il prend la pose, il est manifeste qu'il consent à être photographié. Tout cela ne souffre d'aucune difficulté réelle d'application.
Une Bévue
Le 16/02/15 18:33, coelacanthe a écrit :
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image.
gare aux puces )))
Le 16/02/15 18:33, coelacanthe a écrit :
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image.
gare aux puces )))
Laszlo Lebrun
On Mon, 16 Feb 2015 18:33:12 +0100, coelacanthe wrote:
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
Ca c'est une loi qu'elle serait [*]onne! Les propriétaires d'élevages de cochons, de poules ou de dindes pourraient s'en faire les choux gras...
Dommage que ce ne soit pas (encore) sérieux, les avocats pourraient se faire du fric.
*remplacer par [b] ou [c] selon... -- Tomorrow, i'll enter a signature...
On Mon, 16 Feb 2015 18:33:12 +0100, coelacanthe wrote:
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de
presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir
l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte
concerné.
Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu,
possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est
assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la
photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou
l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de
leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la
communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre
de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la
publication d'une photographie les représentant dans un lieu public,
dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison
d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de
groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus
non identifiables.
Ca c'est une loi qu'elle serait [*]onne!
Les propriétaires d'élevages de cochons, de poules ou de dindes pourraient
s'en faire les choux gras...
Dommage que ce ne soit pas (encore) sérieux, les avocats pourraient se
faire du fric.
*remplacer par [b] ou [c] selon...
--
Tomorrow, i'll enter a signature...
On Mon, 16 Feb 2015 18:33:12 +0100, coelacanthe wrote:
Avant toute diffusion publique ou privée d'une photographie par voie de presse ou autre (site Web, télévision, etc.), le diffuseur doit obtenir l'autorisation de diffusion del’animal, de l’oiseau ou de l’insecte concerné. Si le sujet de la photographie est un animal, celui-ci, fût-il inconnu, possède un droit de s'opposer à l'utilisation de son image. Ce droit est assimilé à la notion de vie privée. Avant de pouvoir utiliser la photographie concernée, il faut s'assurer que l'animal, l'insecte ou l’oiseau photographiés ne se trouvent pas atteints dans le respect de leur vie privée et de leur image et qu'ils ne s'opposent pas à la communication de cette image. Ce droit à l'image déborde le seul cadre de la sphère privée. Des propriétaires d’animaux se sont opposés à la publication d'une photographie les représentant dans un lieu public, dès lors qu'ils apparaissent comme étant le sujet de l'œuvre, en raison d'un cadrage ou d'un recadrage. D'autres, dans une photographie de groupe, lors de manifestations, ont exigé que leurs traits soient rendus non identifiables.
Ca c'est une loi qu'elle serait [*]onne! Les propriétaires d'élevages de cochons, de poules ou de dindes pourraient s'en faire les choux gras...
Dommage que ce ne soit pas (encore) sérieux, les avocats pourraient se faire du fric.
*remplacer par [b] ou [c] selon... -- Tomorrow, i'll enter a signature...