Le nuage de Tchernobyl ne s'est pas arrêté aux frontières de l'hexagone
30 réponses
Captain Sensible
Je me rappelle bien des experts invités au JT de FR2 et de la carte
de France, on voyait bien que le "nuage" avait longé la frontiere
de Dunkerque à Nice en passant par la Belgique, l'Allemangne, etc...
On nous aurait mentis? Non, c'est pas possible :o)
--
Dix-neuf ans après l'explosion de la centrale de Tchernobyl, deux
experts indépendants ont rendu la semaine dernière les conclusions
préliminaires d'un rapport sur la gestion de la catastrophe par les
autorités françaises. D'après eux, les autorités n'ont pas transmis tous
les éléments dont elles disposaient. Et quand elles les ont transmis,
elles les ont d'abord maquillés. Par exemple, le Service central de
protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI) a eu connaissance
de valeurs de radioactivité parfois très élevées après le passage du
nuage radioactif sur le pays en avril et mai 1986, et les cartes de
relevés qu'il a fournies étaient inexactes.
Impact. S'il est accablant, le rapport ne fait pas vraiment office de
scoop, car on sait depuis longtemps que les autorités françaises ont
minimisé la catastrophe et son impact pour ne pas effrayer la population
d'un pays extrêmement nucléarisé. «Même si nous n'avons pas encore les
conclusions finales du rapport, l'expertise démontre l'ampleur de la
dissimulation, du maquillage d'informations fait par le gouvernement de
l'époque afin de dissimuler à la population la dangerosité de la
radioactivité et les conséquences sur la santé publique», affirme Me
Ludot, avocat de certains malades de la thyroïde. Il demande dès à
présent la mise en place d'un fonds d'indemnisation pour les victimes,
estimant que la responsabilité politique est établie. «On n'attend ni un
sursaut de morale, ni un aveu des politiques et de ceux qui ont géré
l'après-catastrophe.»
Le rapport s'inscrit dans une instruction judiciaire entamée en mars
2001, quand l'Association française des malades de la thyroïde, 51
malades et la Commission de recherches et d'informations indépendantes
sur la radio- activité (Criirad), au total près de 500 plaignants, ont
déposé une plainte contre X pour défaut de protection des populations
contre les retombées radioactives de l'accident. Pour ces parties
civiles, les services officiels français ont menti et sous-évalué les
contaminations des sols, de l'air et des aliments. En dissimulant des
mesures capitales, ils ont failli à protéger la santé de la population
française.
Les deux experts, Paul Genty et Gilbert Mouthon, ont épluché un à un les
documents saisis en novembre 2001 dans différents ministères et
organismes impliqués dans la prévention du risque nucléaire par la juge
en charge du dossier, Marie-Odile Bertella-Geffroy. «Dans ces documents,
il y a tout et n'importe quoi», signale Roland Desbordes, directeur de
la Criirad. «En tout cas beaucoup de choses sans intérêt si l'expertise
doit répondre aux questions suivantes : les services de l'Etat
disposaient-ils des bonnes informations ? Et ont-ils transmis ces
informations aux populations ?» A l'époque, beaucoup de mesures ont été
effectuées. Par les centrales d'EDF, mais aussi par les industriels
inquiets pour leurs installations.
Valeurs. Malgré tout, il existe peu de valeurs sur la contamination des
sols, de la végétation et des aliments. Cette lacune est à l'origine de
la naissance de la Criirad qui organise, dès 1986, un réseau de mesures
radiologiques indépendant. Dès le début, elle relève des valeurs de
radioactivité nettement supérieures à celles des autorités de contrôle.
Et, en 2001, elle publie ses propres cartes. Aujourd'hui, l'association
attend de recevoir les conclusions des experts pour se prononcer sur le
fond. «Contrairement à Me Ludot qui s'agite dans tous les sens, nous ne
pouvons pas faire de commentaires car nous souhaitons faire une étude
critique de ce rapport que nous n'avons toujours pas reçu. Les arguments
des experts doivent être inattaquables.» Aucun doute que des
contre-expertises seront exigées.
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424d7493$0$19322$
"abourick" a écrit
Tu nies les contaminations localement très élevées (particulièrement dans le Mercantour ou dans les Vosges et le Jura) ayant entraîné des problèmes de santé chez des consommateurs de champignons provenant de ces zones ?
====== > Je ne nie rien du tout , L'activité maximum mesurée dans certains terrains (à cause des retombées par les pluies d'essentiellement césium 137 ) à été de 20 000 Bq/Kg (effets biologiques estimés à 3 mSv), à diminué en quelques semaines par dilution La radioactivité d'un sol granitique est de 8000 Bq/kg, les gens qui vivent dans ces régions y sont soumis toute l'année.On ne peut donc pas dire "contamination localement [très élevée]" et donc sans conséquence grave du fait de sa brièveté ( la dose maximum acceptable pour un ouvrier du nucléaire est de 20 mSv par an ) "problèmes de santé" ne veux rien dire non plus. certaine personnes ont eu ailleurs également des "problèmes de santé".
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news:
424d7493$0$19322$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Tu nies les contaminations localement très élevées (particulièrement
dans le Mercantour ou dans les Vosges et le Jura) ayant entraîné des
problèmes de santé chez des consommateurs de champignons provenant de ces
zones ?
====== > Je ne nie rien du tout ,
L'activité maximum mesurée dans certains terrains (à cause des retombées
par les pluies d'essentiellement césium 137 ) à été de 20 000 Bq/Kg
(effets biologiques estimés à 3 mSv), à diminué en quelques semaines par
dilution
La radioactivité d'un sol granitique est de 8000 Bq/kg, les gens qui
vivent dans ces régions y sont soumis toute l'année.On ne peut donc pas
dire "contamination localement [très élevée]" et donc sans conséquence
grave du fait de sa brièveté ( la dose maximum acceptable pour un ouvrier
du nucléaire est de 20 mSv par an )
"problèmes de santé" ne veux rien dire non plus. certaine personnes ont eu
ailleurs également des "problèmes de santé".
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des
champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état
d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure
à la normale chez ces consommateurs.
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424d7493$0$19322$
"abourick" a écrit
Tu nies les contaminations localement très élevées (particulièrement dans le Mercantour ou dans les Vosges et le Jura) ayant entraîné des problèmes de santé chez des consommateurs de champignons provenant de ces zones ?
====== > Je ne nie rien du tout , L'activité maximum mesurée dans certains terrains (à cause des retombées par les pluies d'essentiellement césium 137 ) à été de 20 000 Bq/Kg (effets biologiques estimés à 3 mSv), à diminué en quelques semaines par dilution La radioactivité d'un sol granitique est de 8000 Bq/kg, les gens qui vivent dans ces régions y sont soumis toute l'année.On ne peut donc pas dire "contamination localement [très élevée]" et donc sans conséquence grave du fait de sa brièveté ( la dose maximum acceptable pour un ouvrier du nucléaire est de 20 mSv par an ) "problèmes de santé" ne veux rien dire non plus. certaine personnes ont eu ailleurs également des "problèmes de santé".
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
abourick
Maioré
"abourick" a écrit
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance. Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se diluer et de perdre de l'activité . Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il n'en est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve que la contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les Vosges mais ne nécessitait pas de mesure particulières.
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé
des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles
faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de
fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance.
Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements
cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits
radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se diluer
et de perdre de l'activité .
Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans
les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne
puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il n'en
est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve que la
contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les Vosges mais ne
nécessitait pas de mesure particulières.
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance. Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se diluer et de perdre de l'activité . Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il n'en est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve que la contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les Vosges mais ne nécessitait pas de mesure particulières.
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424d8d9c$0$19339$
"abourick" a écrit
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= > "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance. Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se diluer et de perdre de l'activité . Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il n'en est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve que la contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les Vosges mais ne nécessitait pas de mesure particulières.
On en a parlé dans tous les journaux. Le modèle retenu n'était pas la continuité (gradient) mais la discontinuité (taches de léopard). Peut-être l'arc montagneux qui borde l'est de la France a-t-il été plus exposé (sorte de précipitations de particules radioactives semblables aux précipitations d'eau). Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news:
424d8d9c$0$19339$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé
des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles
faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de
fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= > "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance.
Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements
cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits
radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se
diluer et de perdre de l'activité .
Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans
les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne
puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il
n'en est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve
que la contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les
Vosges mais ne nécessitait pas de mesure particulières.
On en a parlé dans tous les journaux. Le modèle retenu n'était pas la
continuité (gradient) mais la discontinuité (taches de léopard). Peut-être
l'arc montagneux qui borde l'est de la France a-t-il été plus exposé (sorte
de précipitations de particules radioactives semblables aux précipitations
d'eau). Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des
"précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424d8d9c$0$19339$
"abourick" a écrit
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
======= > "articles " ? encore faut-il qu'ils citent des sources de confiance. Bref "le nuage de Tchernobyl" ne s'est pas arrêté dans les 3 départements cités, ni concentré. Le flux chargé de se qui restait de produits radioactifs à poursuivi sa route vers l'ouest en continuant de se diluer et de perdre de l'activité . Si la contamination avait réellement été " localement très élevées" dans les Vosges , elles auraient du être "localement élevée" sur la champagne puis "modérément élevée" dans le centre de la France, etc. .... or il n'en est rien puisque les "articles" ne le dénonce pas , ce qui prouve que la contamination était certes au-dessus de la moyenne dans les Vosges mais ne nécessitait pas de mesure particulières.
On en a parlé dans tous les journaux. Le modèle retenu n'était pas la continuité (gradient) mais la discontinuité (taches de léopard). Peut-être l'arc montagneux qui borde l'est de la France a-t-il été plus exposé (sorte de précipitations de particules radioactives semblables aux précipitations d'eau). Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
abourick
Maioré
"abourick" a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des
"précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la
pluie).
======= L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés
dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou
explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très
bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires,
mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les
logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits
contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de
retombées ) ne sont pas "free" sur le web )
Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une
heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure
avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située
entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou
naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" )
Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui
ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté
(raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par
les médias.
A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le
matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations
météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des
gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance
politique.
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424dc01a$0$25059$
"abourick" a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= > L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news:
424dc01a$0$25059$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des
"précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la
pluie).
======= > L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés
dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl
ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école
très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les
militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois
puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité
des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur
prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web )
Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe
une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une
heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région
située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir
nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" )
Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce
qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté
(raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par
les médias.
A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le
matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les
stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la
météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit
leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il
pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules
radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des
petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424dc01a$0$25059$
"abourick" a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= > L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
abourick
Yvon Nedonchelle
abourick wrote:
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424dc01a$0$25059$
"abourick" a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= >> L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
Bonjour.
Il y a eu concentration de la pollution par taches, non pas par ce qu'il est plus tombé plus de pollution en ces endroits, mais parce que la pollution y a été concentrés par le ruissellement des eaux. En moyenne montagne il y a plein de replats et de petites cuvettes où ce qui tombe sur quelques hectares se concentre dans une zone humide de quelques dizaines de mètres.
-- Yvon Nedonchelle
abourick wrote:
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news:
424dc01a$0$25059$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des
"précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la
pluie).
======= >> L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs
dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou
artificiellement(Tchernobyl
ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas
d'école
très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les
militaires, mais étant classés "secret défense" les documents
autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" (
évolution et activité
des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et
leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web )
Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui
tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est
tombé une
heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la
région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera
moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de
léopard" )
Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal .
Ce
qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe
présenté
(raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et
déformé par les médias.
A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le
matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les
stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la
météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que
soit leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne
peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les
particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se
comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
Bonjour.
Il y a eu concentration de la pollution par taches, non pas par ce qu'il
est plus tombé plus de pollution en ces endroits, mais parce que la
pollution y a été concentrés par le ruissellement des eaux.
En moyenne montagne il y a plein de replats et de petites cuvettes où ce
qui tombe sur quelques hectares se concentre dans une zone humide de
quelques dizaines de mètres.
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424dc01a$0$25059$
"abourick" a écrit
Il semble que c'est là que l'on a relevé les concentrations les plus
élevées (sous forme de taches de léopard d'où l'hypothèse des "précipitations" locales de particules comme cela se produit pour la pluie).
======= >> L'entraînement par les précipitations des éléments radioactifs dispersés dans l'atmosphère (naturellement (volcans) ou artificiellement(Tchernobyl ou explosions nucléaires)) n'est pas une hypothèse c'est un cas d'école très bien étudié et maîtrisé.( Surtout et originellement par les militaires, mais étant classés "secret défense" les documents autrefois puis les logiciels de développement des "plumes" ( évolution et activité des produits contaminant selon les vents aux diverses altitudes et leur prévision de retombées ) ne sont pas "free" sur le web ) Mais en aucun cas il n'y aura il n'y aura concentration , ce qui tombe une heure après est forcement moins radio-actif que ce qui est tombé une heure avant ou x km avant. Par contre s'il n'a pas plus sur la région située entre les deux, avidement au sol la radioactivité sera moindre voir nulle ou naturelle (ce dont tu parles , "taches de léopard" ) Que la radioactivité mesurée au sol soit variable est donc normal . Ce qui ne l'est pas , je le dis encore, est le scénario catastrophe présenté (raison politique) par des irresponsables, repris, exagéré et déformé par les médias. A l'époque de l'accident de Tchernobyl l' OPRI s'appelait SCPRI, le matériel de mesure était surtout mis en oeuvre entretenu dans les stations météorologiques et donc géré par des fonctionnaires de la météorologie des gens donc "fiables" et sans parti pris quelle que soit leur appartenance politique.
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
Bonjour.
Il y a eu concentration de la pollution par taches, non pas par ce qu'il est plus tombé plus de pollution en ces endroits, mais parce que la pollution y a été concentrés par le ruissellement des eaux. En moyenne montagne il y a plein de replats et de petites cuvettes où ce qui tombe sur quelques hectares se concentre dans une zone humide de quelques dizaines de mètres.
-- Yvon Nedonchelle
Maioré
"abourick" a écrit dans le message de news: 424dd12e$
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols qui peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement et depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela dependant du mouvement des masses d'air. Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité, au-delà la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km la dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de radioactivité La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire, leur activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit dans le message de news:
424dd12e$1_1@127.0.0.1...
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il
pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules
radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des
petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols qui
peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement et
depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela
dependant
du mouvement des masses d'air.
Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité, au-delà
la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut
prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km la
dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de radioactivité
La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire, leur
activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration
supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne
serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
"abourick" a écrit dans le message de news: 424dd12e$
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols qui peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement et depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela dependant du mouvement des masses d'air. Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité, au-delà la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km la dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de radioactivité La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire, leur activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424e7548$0$19332$
"abourick" a écrit dans le message de news: 424dd12e$
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= > Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols qui peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement et depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela dependant du mouvement des masses d'air. Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité, au-delà la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km la dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de radioactivité La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire, leur activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires. Allez expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les dangers du nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande écologiste car elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire la panique irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur racontant des bobards sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin n'est vraiment pas la meilleure manière de réveiller leur raison.
abourick
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news:
424e7548$0$19332$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit dans le message de news:
424dd12e$1_1@127.0.0.1...
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il
pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules
radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des
petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= > Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols
qui
peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement
et
depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela
dependant
du mouvement des masses d'air.
Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité,
au-delà
la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut
prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km
la dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de
radioactivité
La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire,
leur activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration
supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne
serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi
l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus
qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires. Allez
expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les dangers du
nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande écologiste car
elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire la panique
irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur racontant des bobards
sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin n'est vraiment pas la
meilleure manière de réveiller leur raison.
"Maioré" <---.---> a écrit dans le message de news: 424e7548$0$19332$
"abourick" a écrit dans le message de news: 424dd12e$
En dehors des "pluies radioactives" car chargées de particules ne peut-il pas y avoir des pluies de particules (sans eau) ? Les particules radioactives en suspension ne pourraient-elles pas se comporter comme des petits paquets de vapeur d'eau en condensation ?
========= > Oui , ce sont les dépots secs , depot turbulent pour les gaz et aerosols qui peuvent aussi etre remis en suspension provisoirement ou definitivement et depot gravitaire qui sont fonction de leur densite, donc tout cela dependant du mouvement des masses d'air. Jusqu'a 1km il n'y pas d'affaiblissement de la dose de radiactivité, au-delà la concentration et de puissance 3 c'est pour cette raison que l'on peut prévoir par expérience et mesures au moment opportun , qu'après 2000 km la dose devient équivalente ou en-dessous des niveau naturels de radioactivité La concentration dans les végétaux consommables est une autre affaire, leur activité n'est pas égale à l'activité du sol et une concentration supérieure (le cas surtout de la Norvège) au seuil admis (300 Bq/kg ) ne serait nocive qu'en cas d'ingestion de quantité anormale.
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires. Allez expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les dangers du nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande écologiste car elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire la panique irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur racontant des bobards sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin n'est vraiment pas la meilleure manière de réveiller leur raison.
abourick
Maioré
"abourick" a écrit
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires. Allez expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les dangers du nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande écologiste car elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire la panique irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur racontant des bobards sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin n'est vraiment pas la meilleure manière de réveiller leur raison.
======== Cette histoire de champignons est une rumeur, sans fondement sérieux ( En t'informant sur la contamination des Vosges et du Mercantour tu as du lire ceci ) [ Par exemple, les champignons concentrent fortement le césium et sont, de ce fait, particulièrement surveillés, mais il faudrait en manger des kilos pour encourir le moindre risque sanitaire. ] ("fortement"est même un peu trop superlatif)
Quand à la mise en cause (de quoi) du gouvernement du président J. Chirac, c'est une autre histoire , les querelles entre politiciens ne m'intéressent pas Bonne nuit
"abourick" <abourick@usenet.com> a écrit
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi
l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus
qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires.
Allez expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les
dangers du nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande
écologiste car elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire
la panique irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur
racontant des bobards sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin
n'est vraiment pas la meilleure manière de réveiller leur raison.
======== Cette histoire de champignons est une rumeur, sans fondement sérieux
( En t'informant sur la contamination des Vosges et du Mercantour tu as du
lire ceci )
[ Par exemple, les champignons concentrent fortement le césium et sont, de
ce fait, particulièrement surveillés, mais il faudrait en manger des kilos
pour encourir le moindre risque sanitaire. ]
("fortement"est même un peu trop superlatif)
Quand à la mise en cause (de quoi) du gouvernement du président J. Chirac,
c'est une autre histoire , les querelles entre politiciens ne m'intéressent
pas
Bonne nuit
Cela a été le cas d'amateurs de champignons sylvestres. C'est pourquoi l'attitude du gouvernement Chirac en 96 a été irresponsable. D'autant plus qu'elle n'a fait que renforcer le camp des écologistes antinucléaires. Allez expliquer après ça qu'il n'y a pas un complot du silence sur les dangers du nucléaire. Il est très difficile de combattre la propagande écologiste car elle ne se fonde pas sur la raison mais sur la peur voire la panique irraisonnée. Et prendre les gens pour des cons en leur racontant des bobards sur le nuage radioactif qui s'est arrêté sur le Rhin n'est vraiment pas la meilleure manière de réveiller leur raison.
======== Cette histoire de champignons est une rumeur, sans fondement sérieux ( En t'informant sur la contamination des Vosges et du Mercantour tu as du lire ceci ) [ Par exemple, les champignons concentrent fortement le césium et sont, de ce fait, particulièrement surveillés, mais il faudrait en manger des kilos pour encourir le moindre risque sanitaire. ] ("fortement"est même un peu trop superlatif)
Quand à la mise en cause (de quoi) du gouvernement du président J. Chirac, c'est une autre histoire , les querelles entre politiciens ne m'intéressent pas Bonne nuit
simple d'esprit
abourick wrote:
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
Ils auront un cancer, ca fera moins de retraite a payer. Vive le nuclaire.
abourick wrote:
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des
champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état
d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure
à la normale chez ces consommateurs.
Ils auront un cancer, ca fera moins de retraite a payer. Vive le nuclaire.
Mais quid alors de la contamination de familles entières ayant consommé des champignons cueillis en ces endroits. Je me souviens d'articles faisant état d'une concentration en radio-éléments plusieurs centaines de fois supérieure à la normale chez ces consommateurs.
Ils auront un cancer, ca fera moins de retraite a payer. Vive le nuclaire.