Manuel Leclerc wrote:
[....]
Quelles sont tes sources ?
google actualité , et zdnet
http://www.mandrakesoft.com/company/investors/newsletter/sn040123
(*) Chiffres consolidés non audités
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
GP
-----= Posted via Newsfeeds.Com, Uncensored Usenet News =-----
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Manuel Leclerc wrote:
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(*) Chiffres consolidés non audités
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
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Manuel Leclerc wrote:
[....]
Quelles sont tes sources ?
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(*) Chiffres consolidés non audités
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(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
GP
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(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
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(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
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(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
tu crois que quand les chiffres sortent tout chaud il sont audités ?
et quand-bien même il serait audité , d'ailleurs par qui ?
mandrake est en redressement judiciaire donc il y a un type qui vérifie
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
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(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
tu crois que quand les chiffres sortent tout chaud il sont audités ?
et quand-bien même il serait audité , d'ailleurs par qui ?
mandrake est en redressement judiciaire donc il y a un type qui vérifie
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
http://www.mandrakesoft.com/company/investors/newsletter/sn040123
(*) Chiffres consolidés non audités
et ?
tu crois que quand les chiffres sortent tout chaud il sont audités ?
et quand-bien même il serait audité , d'ailleurs par qui ?
mandrake est en redressement judiciaire donc il y a un type qui vérifie
Quand à «ses» bureaux au Canada... Oh boy! Faut voir ce que c'est.
un cabanne ?
Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
philippe wrote:Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
Oui, c'est bien de réduire le personnel. Aussitôt qu'on parle de réduire
le personnel d'une compagnie, l'action flambe. C'est à ce point ridicule
qu'on dirait parfois que si une compagnie de 3000 employés était réduite
à trois employés, ce serait considéré comme un excellent signe de reprise.
Seulement, en bout de ligne, il faut savoir si le travail se fait
toujours ou s'il reste seulement les grosses nouilles confortablement
installées dans leur fauteuil.
Voici l'évaluation subjective de Ladislav Bodnar:
On the other end of the spectrum, the level of dissatisfaction, as well
as uncertainty with the state of the Fedora Project, quality of the
recent releases of Mandrake Linux seem to indicate that users of those
two distributions are more likely to consider a new one.
http://distrowatch.serve-you.net/weekly.php?issue 040126#1
Donc, si, à court terme, la réduction de personnel peut s'avérer
rentable, à long terme, ce peut être le désastre.
Il faut comprendre que Mandrake n'est pas dans la position de Slackware
ou Knoppix, par exemple. Grâce au génie inventif de ses promoteurs pour
s'endetter jusqu'au cou, Mandrake a maintenant des comptes à rendre à
une flopée d'investisseurs. Il ne s'agit pas que de payer les salaires
d'une poignée de développeurs, il faut rendre des comptes aux
investisseurs.
Or, jusqu'à présent, les investisseurs, ils ont perdu et, même sans
parler de faire des sous, ils aimeraient bien revoir la couleur de leur
argent. Il faut donc que non seulement l'entreprise réduise ses frais,
dont son personnel, mais qu'elle devienne plus productive qu'avant.
C'est donc un revirement complet qui est demandé. «Gérer» une
entreprise, quand on jette l'argent par les fenêtres en prétendant se
faire une place sur le marché comme Mandrake l'a fait jusqu'à ce qu'elle
se mette sous la protection de la loi sur les faillites, c'est très
facile. Quand vient le temps de faire des profits pour, d'abord, payer
les dettes, puis, payer des dividendes, surtout alors que les
distributions qui n'ont pas de dette peuvent maintenant offrir une
distribution aussi conviviale à un prix plus intéressant, c'est un peu
comme tâcher d'opérer la quadrature du cercle.
C'est exactement ce que je disais à Gaël Duval il y a quelques années.
Mais je ne comprenais apparemment rien à la gestion des entreprises en
ces temps modernes. J'espère qu'il s'amuse toujours autant à gérer sa
toujours relativement grosse entreprise que Volkerding ou Knopper
s'amusent à gérer la leur. Parce que sans plaisir, on n'a pas l'esprit à
la tâche, on se lasse vite et on prend les mauvaises décisions.
Personnellement, je ne voudrais pas être à sa place. Je regrette qu'il
ait tellement su ce qu'il fallait faire qu'il n'écoutait pas un seul mot
de ce qu'on lui disait et qu'argumenter à n'en plus finir ne semblait
que mieux le conforter dans ses idées de petit poisson dans la grosse
bulle.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
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Bonsoir,
philippe wrote:
Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
Oui, c'est bien de réduire le personnel. Aussitôt qu'on parle de réduire
le personnel d'une compagnie, l'action flambe. C'est à ce point ridicule
qu'on dirait parfois que si une compagnie de 3000 employés était réduite
à trois employés, ce serait considéré comme un excellent signe de reprise.
Seulement, en bout de ligne, il faut savoir si le travail se fait
toujours ou s'il reste seulement les grosses nouilles confortablement
installées dans leur fauteuil.
Voici l'évaluation subjective de Ladislav Bodnar:
On the other end of the spectrum, the level of dissatisfaction, as well
as uncertainty with the state of the Fedora Project, quality of the
recent releases of Mandrake Linux seem to indicate that users of those
two distributions are more likely to consider a new one.
http://distrowatch.serve-you.net/weekly.php?issue 040126#1
Donc, si, à court terme, la réduction de personnel peut s'avérer
rentable, à long terme, ce peut être le désastre.
Il faut comprendre que Mandrake n'est pas dans la position de Slackware
ou Knoppix, par exemple. Grâce au génie inventif de ses promoteurs pour
s'endetter jusqu'au cou, Mandrake a maintenant des comptes à rendre à
une flopée d'investisseurs. Il ne s'agit pas que de payer les salaires
d'une poignée de développeurs, il faut rendre des comptes aux
investisseurs.
Or, jusqu'à présent, les investisseurs, ils ont perdu et, même sans
parler de faire des sous, ils aimeraient bien revoir la couleur de leur
argent. Il faut donc que non seulement l'entreprise réduise ses frais,
dont son personnel, mais qu'elle devienne plus productive qu'avant.
C'est donc un revirement complet qui est demandé. «Gérer» une
entreprise, quand on jette l'argent par les fenêtres en prétendant se
faire une place sur le marché comme Mandrake l'a fait jusqu'à ce qu'elle
se mette sous la protection de la loi sur les faillites, c'est très
facile. Quand vient le temps de faire des profits pour, d'abord, payer
les dettes, puis, payer des dividendes, surtout alors que les
distributions qui n'ont pas de dette peuvent maintenant offrir une
distribution aussi conviviale à un prix plus intéressant, c'est un peu
comme tâcher d'opérer la quadrature du cercle.
C'est exactement ce que je disais à Gaël Duval il y a quelques années.
Mais je ne comprenais apparemment rien à la gestion des entreprises en
ces temps modernes. J'espère qu'il s'amuse toujours autant à gérer sa
toujours relativement grosse entreprise que Volkerding ou Knopper
s'amusent à gérer la leur. Parce que sans plaisir, on n'a pas l'esprit à
la tâche, on se lasse vite et on prend les mauvaises décisions.
Personnellement, je ne voudrais pas être à sa place. Je regrette qu'il
ait tellement su ce qu'il fallait faire qu'il n'écoutait pas un seul mot
de ce qu'on lui disait et qu'argumenter à n'en plus finir ne semblait
que mieux le conforter dans ses idées de petit poisson dans la grosse
bulle.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
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Bonsoir,
philippe wrote:Bonjour ,
J'aurais pu l'intitulé MDK c'est gagné des dollard $$$
Aprés avoir virée 160 personnes , reduit ces charges d'exploitation a
300000 /mois
Y a des sous dans la tirelire ! plus de 200000 uro !
Oui, c'est bien de réduire le personnel. Aussitôt qu'on parle de réduire
le personnel d'une compagnie, l'action flambe. C'est à ce point ridicule
qu'on dirait parfois que si une compagnie de 3000 employés était réduite
à trois employés, ce serait considéré comme un excellent signe de reprise.
Seulement, en bout de ligne, il faut savoir si le travail se fait
toujours ou s'il reste seulement les grosses nouilles confortablement
installées dans leur fauteuil.
Voici l'évaluation subjective de Ladislav Bodnar:
On the other end of the spectrum, the level of dissatisfaction, as well
as uncertainty with the state of the Fedora Project, quality of the
recent releases of Mandrake Linux seem to indicate that users of those
two distributions are more likely to consider a new one.
http://distrowatch.serve-you.net/weekly.php?issue 040126#1
Donc, si, à court terme, la réduction de personnel peut s'avérer
rentable, à long terme, ce peut être le désastre.
Il faut comprendre que Mandrake n'est pas dans la position de Slackware
ou Knoppix, par exemple. Grâce au génie inventif de ses promoteurs pour
s'endetter jusqu'au cou, Mandrake a maintenant des comptes à rendre à
une flopée d'investisseurs. Il ne s'agit pas que de payer les salaires
d'une poignée de développeurs, il faut rendre des comptes aux
investisseurs.
Or, jusqu'à présent, les investisseurs, ils ont perdu et, même sans
parler de faire des sous, ils aimeraient bien revoir la couleur de leur
argent. Il faut donc que non seulement l'entreprise réduise ses frais,
dont son personnel, mais qu'elle devienne plus productive qu'avant.
C'est donc un revirement complet qui est demandé. «Gérer» une
entreprise, quand on jette l'argent par les fenêtres en prétendant se
faire une place sur le marché comme Mandrake l'a fait jusqu'à ce qu'elle
se mette sous la protection de la loi sur les faillites, c'est très
facile. Quand vient le temps de faire des profits pour, d'abord, payer
les dettes, puis, payer des dividendes, surtout alors que les
distributions qui n'ont pas de dette peuvent maintenant offrir une
distribution aussi conviviale à un prix plus intéressant, c'est un peu
comme tâcher d'opérer la quadrature du cercle.
C'est exactement ce que je disais à Gaël Duval il y a quelques années.
Mais je ne comprenais apparemment rien à la gestion des entreprises en
ces temps modernes. J'espère qu'il s'amuse toujours autant à gérer sa
toujours relativement grosse entreprise que Volkerding ou Knopper
s'amusent à gérer la leur. Parce que sans plaisir, on n'a pas l'esprit à
la tâche, on se lasse vite et on prend les mauvaises décisions.
Personnellement, je ne voudrais pas être à sa place. Je regrette qu'il
ait tellement su ce qu'il fallait faire qu'il n'écoutait pas un seul mot
de ce qu'on lui disait et qu'argumenter à n'en plus finir ne semblait
que mieux le conforter dans ses idées de petit poisson dans la grosse
bulle.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
-----= Posted via Newsfeeds.Com, Uncensored Usenet News =-----
http://www.newsfeeds.com - The #1 Newsgroup Service in the World!
-----== Over 100,000 Newsgroups - 19 Different Servers! =-----
Bonsoir,
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition.
Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale,
se désintéressent complètement du sujet.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition.
Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale,
se désintéressent complètement du sujet.
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition.
Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale,
se désintéressent complètement du sujet.
[...]De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
"@()" <""albator"@()"> wrote:Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
Pourquoi un OS "libre" devrait "conquerir le monde"? Cela me parait un
peu antinomique. Il est vrai qu'actuellement dans notre société
(mondiale), les mots sont le contraire des actes (plan
social=licenciement massif; guerre=libération...). Quant aux femmes,
elles ne s'intéressent pas à l'informatique parce que cela ne les
attirent pas. Mais d'un autre côté, les hommes sont peu à faire
infirmier, encore moins "sage-femme", parce que cela ne les attirent
pas non plus. A titre d'information, en filière informatique (j'ai
fait bac+5 dans cette filière), j'ai constaté que l'effectif féminin
oscillait entre 10% et 20%.
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Pour info, j'utilise Linux depuis 1993 (si, si) à titre personnel et
depuis 1997 à titre professionnel (depuis que je "travaille", les
études étant culturellement considérées comme de l'amusement).
Je suis ingénieur Système & Réseaux (avec une formation de Génie
Logiciel).Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
l'informatique, c'est que dans les métiers, des diplômes sont "exigés"
et reflète un vrai niveau de droit.
L'E.N.M recrute au niveau "maitrise", il me semble.
Je n'ai jamais vu une offre d'emplois de juriste avec le choix entre
un niveau DEUG ou DEA/DESS. Alors qu'en informatique, même un
"autodidacte" peut y arriver sans diplômes pour prouver ses
compétences.
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
IBM était en "abus de position dominante" pour les gros systèmes. Et
tout le monde avait encore en tête la "dissolution" d'ATT. IBM n'a
donc pas essayé de conquérir le marché de la micro. C'est ce qui a
permis à M$ d'émerger facilement.
Et puis historiquement, dans les PME, l'informatique était rattaché au
DAF (Directeur Administratif et Financier) qui n'avait *aucune*
compétence informatique (c'est encore le cas dans certaine PME
aujourd'hui qui n'ont toujours pas de DSI ou RSI). C'était comme cela
parce que l'informatique (les gros systèmes) était une ligne
budgetaire importante. Ce DAF achetait (investissait) dans ce qu'il
connaissait: donc dans M$ pour pouvoir récupérer ses fichiers Word2
sur son PC personnel.
Ensuite reprendre le point (1). pour comprendre pourquoi cela n'a pas
évolué.
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
JRD.
juriste "autodidacte" ;-)
[...]
De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
"@(none.h.champailler@free.fr)" <""albator"@(none.h.champailler@free.fr)"> wrote:
Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
Pourquoi un OS "libre" devrait "conquerir le monde"? Cela me parait un
peu antinomique. Il est vrai qu'actuellement dans notre société
(mondiale), les mots sont le contraire des actes (plan
social=licenciement massif; guerre=libération...). Quant aux femmes,
elles ne s'intéressent pas à l'informatique parce que cela ne les
attirent pas. Mais d'un autre côté, les hommes sont peu à faire
infirmier, encore moins "sage-femme", parce que cela ne les attirent
pas non plus. A titre d'information, en filière informatique (j'ai
fait bac+5 dans cette filière), j'ai constaté que l'effectif féminin
oscillait entre 10% et 20%.
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Pour info, j'utilise Linux depuis 1993 (si, si) à titre personnel et
depuis 1997 à titre professionnel (depuis que je "travaille", les
études étant culturellement considérées comme de l'amusement).
Je suis ingénieur Système & Réseaux (avec une formation de Génie
Logiciel).
Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
l'informatique, c'est que dans les métiers, des diplômes sont "exigés"
et reflète un vrai niveau de droit.
L'E.N.M recrute au niveau "maitrise", il me semble.
Je n'ai jamais vu une offre d'emplois de juriste avec le choix entre
un niveau DEUG ou DEA/DESS. Alors qu'en informatique, même un
"autodidacte" peut y arriver sans diplômes pour prouver ses
compétences.
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
IBM était en "abus de position dominante" pour les gros systèmes. Et
tout le monde avait encore en tête la "dissolution" d'ATT. IBM n'a
donc pas essayé de conquérir le marché de la micro. C'est ce qui a
permis à M$ d'émerger facilement.
Et puis historiquement, dans les PME, l'informatique était rattaché au
DAF (Directeur Administratif et Financier) qui n'avait *aucune*
compétence informatique (c'est encore le cas dans certaine PME
aujourd'hui qui n'ont toujours pas de DSI ou RSI). C'était comme cela
parce que l'informatique (les gros systèmes) était une ligne
budgetaire importante. Ce DAF achetait (investissait) dans ce qu'il
connaissait: donc dans M$ pour pouvoir récupérer ses fichiers Word2
sur son PC personnel.
Ensuite reprendre le point (1). pour comprendre pourquoi cela n'a pas
évolué.
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
JRD.
juriste "autodidacte" ;-)
[...]De même, je dis aujourd'hui que si la communauté Linux continue à
prétendre que tout ce qui compte, c'est de discuter quincaillerie sans
s'occuper de la «clientèle», Linux est voué à la disparition. Qu'on
médite sur ce seul point: comment peut-on songer à conquérir le monde
rapidement alors que les femmes, la moitié de la population mondiale, se
désintéressent complètement du sujet.
(Il ne sert à rien de m'en citer une poignée qui sont fort compétentes
en la matière. J'ai entendu parler de Evi Nemeth moi aussi. L'exception
ne fait que confirmer la règle.)
GP
"@()" <""albator"@()"> wrote:Bonsoir,
Bonjour.
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
Pourquoi un OS "libre" devrait "conquerir le monde"? Cela me parait un
peu antinomique. Il est vrai qu'actuellement dans notre société
(mondiale), les mots sont le contraire des actes (plan
social=licenciement massif; guerre=libération...). Quant aux femmes,
elles ne s'intéressent pas à l'informatique parce que cela ne les
attirent pas. Mais d'un autre côté, les hommes sont peu à faire
infirmier, encore moins "sage-femme", parce que cela ne les attirent
pas non plus. A titre d'information, en filière informatique (j'ai
fait bac+5 dans cette filière), j'ai constaté que l'effectif féminin
oscillait entre 10% et 20%.
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
Même si personnellement je considère Linux comme un très bon OS qui
répond à toutes mes demandes et satisfait tous mes besoins en
informatique, il n'en demeure pas moins que socialement,
professionnellement et ludiquement parlant ce dernier ne jouis pas
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Si en plus on rajoute les déboirs financiers d'entreprise comme Mandrake
alors là, pour le grand public, Linux s'apparente en plus à des
incompétents notoirs quant à la gestion financière et comptable.
Un cas partuculier n'est pas le cas général.
Pour info, j'utilise Linux depuis 1998, ce à titre personnel.
Professionnellement parlant, je suis juriste, je
suis actuellement au service d'un des plus important éditeur
français de logiciels de gestion ; (responsable de produit et
responsable qualité sur soft juridique).
Pour info, j'utilise Linux depuis 1993 (si, si) à titre personnel et
depuis 1997 à titre professionnel (depuis que je "travaille", les
études étant culturellement considérées comme de l'amusement).
Je suis ingénieur Système & Réseaux (avec une formation de Génie
Logiciel).Environ 1600 salariés, 600 dévellopeurs et quotidiennement je
reste confronté à une complète hostilité vis-à-vis de Linux
de la part des mes collègues. Les mêmes qui portant utilisent
et supporte sans rétiscence aucune les disfonctionnement des
applis microsoft et compatibles.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
L'informatique, comme le droit, ça peut très vite de venir la science
des ânes, la science de ceux qui ne se posent et ne cherchent pas à se
poser de questions sur ce qu'ils font.
Oui, mais à la différence entre les métiers du droit et les métiers de
l'informatique, c'est que dans les métiers, des diplômes sont "exigés"
et reflète un vrai niveau de droit.
L'E.N.M recrute au niveau "maitrise", il me semble.
Je n'ai jamais vu une offre d'emplois de juriste avec le choix entre
un niveau DEUG ou DEA/DESS. Alors qu'en informatique, même un
"autodidacte" peut y arriver sans diplômes pour prouver ses
compétences.
Linux pour moi c'est la certitude d'utiliser l'informatique comme un
véritable support de communication respectueux de mes libertés
individuelles, en parfait accord avec mon idéologie sociale, politique,
économique et surtout intellectuelle. Avec LINUX, j'apprends tout le
temps. Quand je ne sais pas car je n'ai pas trouvé ce que je cherchai
sur des supports d'information divers et variés je me retourne vers la
communauté, mais toujours sans en abuser. Linux c'est la liberté.
Je suis personnellement libre de faire avec mon ordinateur ce que bon
me semble, les mises à jour et la sécurité de mon système relèvent
de ma seule et unique responsabilité. Nul besoin de devoir lier
inexorablement la survie de mon ordinateur à la firme de REDMON. De cet
dépendance là je ne peux me satisfaire, par contre celle que me procure
linux j'en redemande.
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
IBM était en "abus de position dominante" pour les gros systèmes. Et
tout le monde avait encore en tête la "dissolution" d'ATT. IBM n'a
donc pas essayé de conquérir le marché de la micro. C'est ce qui a
permis à M$ d'émerger facilement.
Et puis historiquement, dans les PME, l'informatique était rattaché au
DAF (Directeur Administratif et Financier) qui n'avait *aucune*
compétence informatique (c'est encore le cas dans certaine PME
aujourd'hui qui n'ont toujours pas de DSI ou RSI). C'était comme cela
parce que l'informatique (les gros systèmes) était une ligne
budgetaire importante. Ce DAF achetait (investissait) dans ce qu'il
connaissait: donc dans M$ pour pouvoir récupérer ses fichiers Word2
sur son PC personnel.
Ensuite reprendre le point (1). pour comprendre pourquoi cela n'a pas
évolué.
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
JRD.
juriste "autodidacte" ;-)
Bonsoir,Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
C'est la confrontation constructive des idées qui fait évoluer la
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
"conquérir le monde", pour ma part cela signifie seulement
mettre à la portée du plus grand nombre possible des individus
cet OS qu'est Linux avec bien entendu toutes les valeurs et
l'état d'esprit que cela véhicule.
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Je ne pense pas que cela puisse s'apparenter à une image,
car malheureusement il s'agit véritablement d'un état de
fait réel. Suffit simplement de lancer une recherche sur
le net pour constater cela. De plus, interrogez les gens
autour de vous, puis on reparlera de ce point.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
Votre déduction se positionne à l'antithèse de la réalité puisque la
moyenne d'âge au niveau du dev se situe plutot
vers la treintaine, mais la culture est fortement orinté
microsoft.
Je trouve votre analyse très réductrice quant à la vision
que vous dressé des classes d'âges. Pour ma part les personnes
les plus favorables à l'utilisation de linux dans l'entreprise
sont celles que vous classez dans les quincas. Je dirai même
qu'ils ont certainement plus l'envie de prendre des risques
en terme d'inovation technologique que les autres.
Il faut donc voir avec le/la DRH de votre entreprise.
Alors là je partage, il est vrai qu'à l'issue de certain
recrutement la surprise est grande quant aux capacités du pseudo
développeur, autant dire que il y a dol sur les qualités
profesionnelles initialement présentées.
Je ne le sais que trop bien... malheureusement... :-(((
Mais ne tombons pas non plus dans cette culture française qui
consiste à placer les diplômes avant tout.
Le prôbleme ne vient pas des diplômes mais de l'accession à ces
Ce que j'ai appris de Linux, je le tiens principalement
d'autodidactes qui m'ont dispensés leurs connaissances.
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
la seule opposition que je m'autorise consiste à dire que je suis
certain de garder ma liberté avec linux, chose que ne me
garantit pas microsoft, c'est tout. Ce qui m'interesse c'est
uniquement et seulement lapréservation des mes libertés
individuelles, être certain de ne pas être dépendant d'un
grand éditeur, c'est tout.
L'informatique reste pour moi un outil, je ne lui accorde que
cette seule et unique, c'est un outil de communication, de
travail,de jeux, de détente, et en aucune façon on ne doit
devenir prisonnier de cette machine et surtout de son O.S.
Linux me facilite la préservation de mon indépendance.
De plus, je suis obligé pour que mon système fonctionne correctement
de connaître à la fois le "hard" et le "soft".
Donc par la force des choses, je me dois de m'informer sur
l'ensemble des sujets, de me tenir à jour et enfin de mettre
les mains dans le cambuis pour assurer le maintient de mon O.S.
La liberté et l'indépendance sont des espèces encore plus rares que le
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Là aussi je partage, et bien évidemment, si nous continuons à nous
impliquer, quand je dis nous, ce sont les utilisateurs lambda, Linux
à de beaux jours devant lui.Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
Finalement, on en revient quand même à la même conclusion,
Linux n'est pas prêt de disparaître.
Ouf. Tant mieux.
Hervé CHAMPAILLER
Utilisateur "autodidacte" d'un ordinateur fonctionnant sous Linux ;-))
Bonsoir,
Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
C'est la confrontation constructive des idées qui fait évoluer la
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
"conquérir le monde", pour ma part cela signifie seulement
mettre à la portée du plus grand nombre possible des individus
cet OS qu'est Linux avec bien entendu toutes les valeurs et
l'état d'esprit que cela véhicule.
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Je ne pense pas que cela puisse s'apparenter à une image,
car malheureusement il s'agit véritablement d'un état de
fait réel. Suffit simplement de lancer une recherche sur
le net pour constater cela. De plus, interrogez les gens
autour de vous, puis on reparlera de ce point.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
Votre déduction se positionne à l'antithèse de la réalité puisque la
moyenne d'âge au niveau du dev se situe plutot
vers la treintaine, mais la culture est fortement orinté
microsoft.
Je trouve votre analyse très réductrice quant à la vision
que vous dressé des classes d'âges. Pour ma part les personnes
les plus favorables à l'utilisation de linux dans l'entreprise
sont celles que vous classez dans les quincas. Je dirai même
qu'ils ont certainement plus l'envie de prendre des risques
en terme d'inovation technologique que les autres.
Il faut donc voir avec le/la DRH de votre entreprise.
Alors là je partage, il est vrai qu'à l'issue de certain
recrutement la surprise est grande quant aux capacités du pseudo
développeur, autant dire que il y a dol sur les qualités
profesionnelles initialement présentées.
Je ne le sais que trop bien... malheureusement... :-(((
Mais ne tombons pas non plus dans cette culture française qui
consiste à placer les diplômes avant tout.
Le prôbleme ne vient pas des diplômes mais de l'accession à ces
Ce que j'ai appris de Linux, je le tiens principalement
d'autodidactes qui m'ont dispensés leurs connaissances.
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
la seule opposition que je m'autorise consiste à dire que je suis
certain de garder ma liberté avec linux, chose que ne me
garantit pas microsoft, c'est tout. Ce qui m'interesse c'est
uniquement et seulement lapréservation des mes libertés
individuelles, être certain de ne pas être dépendant d'un
grand éditeur, c'est tout.
L'informatique reste pour moi un outil, je ne lui accorde que
cette seule et unique, c'est un outil de communication, de
travail,de jeux, de détente, et en aucune façon on ne doit
devenir prisonnier de cette machine et surtout de son O.S.
Linux me facilite la préservation de mon indépendance.
De plus, je suis obligé pour que mon système fonctionne correctement
de connaître à la fois le "hard" et le "soft".
Donc par la force des choses, je me dois de m'informer sur
l'ensemble des sujets, de me tenir à jour et enfin de mettre
les mains dans le cambuis pour assurer le maintient de mon O.S.
La liberté et l'indépendance sont des espèces encore plus rares que le
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Là aussi je partage, et bien évidemment, si nous continuons à nous
impliquer, quand je dis nous, ce sont les utilisateurs lambda, Linux
à de beaux jours devant lui.
Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
Finalement, on en revient quand même à la même conclusion,
Linux n'est pas prêt de disparaître.
Ouf. Tant mieux.
Hervé CHAMPAILLER
Utilisateur "autodidacte" d'un ordinateur fonctionnant sous Linux ;-))
Bonsoir,Que dire de plus, je partage complètement ce point de vue, très réaliste
comme analyse surtout sur les deux derniers paragraphes.
Je ne partage pas du tout l'analyse.
C'est la confrontation constructive des idées qui fait évoluer la
Je ne pense pas qu'il faille prendre à la lettre les mots
"conquérir le monde", pour ma part cela signifie seulement
mettre à la portée du plus grand nombre possible des individus
cet OS qu'est Linux avec bien entendu toutes les valeurs et
l'état d'esprit que cela véhicule.
d'une très bonne image. La communication entreprise sur le créneau de
Linux s'articule principalement sur l'image d'une informatique plutôt
"underground" réservée à une caste de spécialistes aux cheveux long dont
la principale activité consiste à défacer et pénétrer des réseaux.
Belle image d'Epinal.
Je ne pense pas que cela puisse s'apparenter à une image,
car malheureusement il s'agit véritablement d'un état de
fait réel. Suffit simplement de lancer une recherche sur
le net pour constater cela. De plus, interrogez les gens
autour de vous, puis on reparlera de ce point.
Les "informaticiens" (et développeurs) se classent d'abord en niveau
de formation (Bac, Technicien, ingénieur, docteur). Tous n'ont
évidemment pas le même niveau de connaissance technique et le même
potentiel. Entre parenthèse, cela m'agace profondement quand je vois
des offres d'emplois en informatiques pour des postes d'"ingénieur
informatique" dans lesquelles il est demandé une formation BTS, DUT ou
Ecole d'ingénieur...
(1).
Ensuite, les "informaticiens" se regroupent par classe d'âge:
- moins de 30 ans: affectés à des tâches rébarbatives quelle que soit
leur niveau de formation.
- les trentenaires: veullent du changement vers linux, mais pas tous.
- les quadras: veulent surtout ne pas faire de vagues par des idées
trop novatrices qui pourraient freiner leur carrière.
- les quincas: veulent pas prendre de risque en attendant une retraite
bien méritée.
J'en déduis donc que les développeurs "maison" sont majoritairement
quadras et quincas.
Votre déduction se positionne à l'antithèse de la réalité puisque la
moyenne d'âge au niveau du dev se situe plutot
vers la treintaine, mais la culture est fortement orinté
microsoft.
Je trouve votre analyse très réductrice quant à la vision
que vous dressé des classes d'âges. Pour ma part les personnes
les plus favorables à l'utilisation de linux dans l'entreprise
sont celles que vous classez dans les quincas. Je dirai même
qu'ils ont certainement plus l'envie de prendre des risques
en terme d'inovation technologique que les autres.
Il faut donc voir avec le/la DRH de votre entreprise.
Alors là je partage, il est vrai qu'à l'issue de certain
recrutement la surprise est grande quant aux capacités du pseudo
développeur, autant dire que il y a dol sur les qualités
profesionnelles initialement présentées.
Je ne le sais que trop bien... malheureusement... :-(((
Mais ne tombons pas non plus dans cette culture française qui
consiste à placer les diplômes avant tout.
Le prôbleme ne vient pas des diplômes mais de l'accession à ces
Ce que j'ai appris de Linux, je le tiens principalement
d'autodidactes qui m'ont dispensés leurs connaissances.
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)
Il ne sert à rien d'opposer Linux et M$ puisque il ne sont pas issus
des mêmes conséquences historiques.
Pour M$, il faut se remettre dans le contexte historique.
la seule opposition que je m'autorise consiste à dire que je suis
certain de garder ma liberté avec linux, chose que ne me
garantit pas microsoft, c'est tout. Ce qui m'interesse c'est
uniquement et seulement lapréservation des mes libertés
individuelles, être certain de ne pas être dépendant d'un
grand éditeur, c'est tout.
L'informatique reste pour moi un outil, je ne lui accorde que
cette seule et unique, c'est un outil de communication, de
travail,de jeux, de détente, et en aucune façon on ne doit
devenir prisonnier de cette machine et surtout de son O.S.
Linux me facilite la préservation de mon indépendance.
De plus, je suis obligé pour que mon système fonctionne correctement
de connaître à la fois le "hard" et le "soft".
Donc par la force des choses, je me dois de m'informer sur
l'ensemble des sujets, de me tenir à jour et enfin de mettre
les mains dans le cambuis pour assurer le maintient de mon O.S.
La liberté et l'indépendance sont des espèces encore plus rares que le
Ma conclusion est:
Linux a déjà fait un parcours incroyable en une dizaine d'années et il
est encore très loin de son apogée.
Là aussi je partage, et bien évidemment, si nous continuons à nous
impliquer, quand je dis nous, ce sont les utilisateurs lambda, Linux
à de beaux jours devant lui.Il ne risque pas de disparaitre du jour au lendemain... comme peut le
faire de grandes entreprises "institutionnelles" très bien implantées:
Barings, Enron, Parmalat, Air Lib... M$?
Finalement, on en revient quand même à la même conclusion,
Linux n'est pas prêt de disparaître.
Ouf. Tant mieux.
Hervé CHAMPAILLER
Utilisateur "autodidacte" d'un ordinateur fonctionnant sous Linux ;-))
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)
D'ailleurs, c'est je crois aussi la force de linux que ce
projet soit soutenu par des autodidactes qui s'investissent
en fonction de leut savoir.
Linus Torvald étant simplement docteur en informatique... ;-)