Les gendarmes s'invitent au lycée
Albert Drandov
Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de
prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22
février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée
de Guadeloupe.
Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un
établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours
lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A
l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent.
« Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention
contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en
main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma
classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir,
rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une
palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a
reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects.
« Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur
propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers
les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une
cigarette de haschisch.
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la
drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs...
Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à
recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge
David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire)
en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de
la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette
"opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte
rien en termes de prévention ».
Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative.
«J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une
intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack
Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et
d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des
petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise
devait être totale ».
Le Journal du Dimanche
27 février 2005
Qu'en pensez vous ?
Est-ce légal ?
Peut-on refuser d'interrompre son cours pour permettre ce genre d'opération
coup de poing ?
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
Dudule
C'est là les conséquences des lois Sarkozy et Peyrben A propos heureusement que les chiens ne sont pas dressés à détecter certaines boissons anisées ;-))
"Glub" a écrit dans le message de news: 422cac02$0$3103$
Les gendarmes s'invitent au lycée Albert Drandov Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22 février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée de Guadeloupe. Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent. « Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir, rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects. « Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une cigarette de haschisch.
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs... Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire) en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette "opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte rien en termes de prévention ». Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative. «J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise devait être totale ».
Le Journal du Dimanche 27 février 2005
Qu'en pensez vous ? Est-ce légal ? Peut-on refuser d'interrompre son cours pour permettre ce genre d'opération coup de poing ?
Merci d'avance Glub
C'est là les conséquences des lois Sarkozy et Peyrben
A propos heureusement que les chiens ne sont pas dressés à détecter
certaines boissons anisées ;-))
"Glub" <Glub@wanadoudou.fr> a écrit dans le message de news:
422cac02$0$3103$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Les gendarmes s'invitent au lycée
Albert Drandov
Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale
de
prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le
22
février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée
de Guadeloupe.
Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne,
un
établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours
lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A
l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien,
patientent.
« Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention
contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en
main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma
classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir,
rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une
palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui
a
reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects.
« Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur
propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir
vers
les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une
cigarette de haschisch.
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de
la
drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs...
Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à
recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge
David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le
secondaire)
en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de
la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette
"opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte
rien en termes de prévention ».
Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative.
«J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener
une
intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack
Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et
d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec
des
petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise
devait être totale ».
Le Journal du Dimanche
27 février 2005
Qu'en pensez vous ?
Est-ce légal ?
Peut-on refuser d'interrompre son cours pour permettre ce genre
d'opération
coup de poing ?
C'est là les conséquences des lois Sarkozy et Peyrben A propos heureusement que les chiens ne sont pas dressés à détecter certaines boissons anisées ;-))
"Glub" a écrit dans le message de news: 422cac02$0$3103$
Les gendarmes s'invitent au lycée Albert Drandov Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22 février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée de Guadeloupe. Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent. « Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir, rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects. « Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une cigarette de haschisch.
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs... Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire) en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette "opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte rien en termes de prévention ». Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative. «J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise devait être totale ».
Le Journal du Dimanche 27 février 2005
Qu'en pensez vous ? Est-ce légal ? Peut-on refuser d'interrompre son cours pour permettre ce genre d'opération coup de poing ?
Merci d'avance Glub
Spyou
JustMe a écrit un gros troll poilu (chouette) :
Glub a formulé ce lundi :
Qu'en pensez vous ?
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
A ce moment la, ils auraient bien fait de chercher aussi les paquets de clope, les bouteilles contenant plus de 0.5% d'alcool ..
Et pis tant qu'a faire attraper les gens qui pensent mal et les coller au trou. C'est pas bien de penser mal.
JustMe a écrit un gros troll poilu (chouette) :
Glub a formulé ce lundi :
Qu'en pensez vous ?
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant
de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
A ce moment la, ils auraient bien fait de chercher aussi les paquets de
clope, les bouteilles contenant plus de 0.5% d'alcool ..
Et pis tant qu'a faire attraper les gens qui pensent mal et les coller
au trou. C'est pas bien de penser mal.
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
A ce moment la, ils auraient bien fait de chercher aussi les paquets de clope, les bouteilles contenant plus de 0.5% d'alcool ..
Et pis tant qu'a faire attraper les gens qui pensent mal et les coller au trou. C'est pas bien de penser mal.
Il y a une difference de gravité entre les problemes que tu évoques.
Emma
Glub a écrit :
Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22 février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée de Guadeloupe.
non ce n'est pas propre aux Antilles je l'ai vu aussi dans un lycée "très bien" d'une petite ville de province
Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent. « Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir, rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects. « Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une cigarette de haschisch.
idem, même résultat Les élèves ecoeurés car le peu de choses trouvées ont permis de punir 2 élèves mais les vrais dealers avaient eu le temps de jeter leur came aux tolettes. prévention = 0 sentiment d'injustice sentiment d'impuissance
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs... Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire) en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette "opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte rien en termes de prévention ». Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative. «J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise devait être totale ».
je doute de l'efficacité de telles méthodes je suis navrée que des parents ou des enseignants refusent la prévention en école primaire avant l'entrée au collège par contre. Il fut un temps ou des flics dans un établssement d'enseignement aurait soulever les foules. Nous avons changé d'époque
Sur la légalité : je suppose que les gendarmes agissent avec l'autorisation du procureur.
Emma
Glub a écrit :
Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de
prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22
février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée
de Guadeloupe.
non ce n'est pas propre aux Antilles
je l'ai vu aussi dans un lycée "très bien" d'une petite ville de province
Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un
établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours
lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A
l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent.
« Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention
contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en
main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma
classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir,
rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une
palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a
reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects.
« Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur
propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers
les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une
cigarette de haschisch.
idem, même résultat
Les élèves ecoeurés car le peu de choses trouvées ont permis de punir 2
élèves mais les vrais dealers avaient eu le temps de jeter leur came aux
tolettes.
prévention = 0
sentiment d'injustice
sentiment d'impuissance
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la
drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs...
Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à
recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge
David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire)
en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de
la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette
"opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte
rien en termes de prévention ».
Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative.
«J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une
intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack
Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et
d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des
petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise
devait être totale ».
je doute de l'efficacité de telles méthodes
je suis navrée que des parents ou des enseignants refusent la prévention
en école primaire avant l'entrée au collège par contre.
Il fut un temps ou des flics dans un établssement d'enseignement aurait
soulever les foules.
Nous avons changé d'époque
Sur la légalité : je suppose que les gendarmes agissent avec
l'autorisation du procureur.
Y AURAIT-IL une interprétation antillaise de la campagne gouvernementale de prévention contre le cannabis ? La question se pose après l'irruption, le 22 février dernier, de trente gendarmes et d'un chien renifleur dans un lycée de Guadeloupe.
non ce n'est pas propre aux Antilles je l'ai vu aussi dans un lycée "très bien" d'une petite ville de province
Ce matin-là, Madame X, professeur de maths dans le lycée de Sainte-Anne, un établissement de 900 élèves à la réputation tranquille, est en cours lorsqu'elle voit arriver dans sa classe le proviseur et deux gendarmes. A l'extérieur, une trentaine d'uniformes, accompagnés d'un chien, patientent. « Le proviseur a expliqué qu'ils étaient là pour faire de la prévention contre la drogue », raconte-t-elle. Aussitôt, un gradé prend la classe en main. « Deux de ses collègues se sont placés devant les deux portes de ma classe. Il a ordonné aux élèves de déposer leur sac au sol puis de sortir, rangée par rangée. A l'extérieur, les gendarmes les ont cueillis pour une palpation systématique, un par un. Puis ils ont fait rentrer le chien qui a reniflé tous les sacs des élèves. » Quatre d'entre eux ont paru suspects. « Des gendarmes ont procédé à la fouille des sacs en présence de leur propriétaire et du proviseur. » En vain. Et toute la troupe de repartir vers les classes suivantes. Résultat de l'intervention dans le lycée : une cigarette de haschisch.
idem, même résultat Les élèves ecoeurés car le peu de choses trouvées ont permis de punir 2 élèves mais les vrais dealers avaient eu le temps de jeter leur came aux tolettes. prévention = 0 sentiment d'injustice sentiment d'impuissance
En Guadeloupe, la maréchaussée débarque en plein cours pour rechercher de la drogue. Au programme : palpations, et fouille de sacs... Le lycée de Sainte-Anne serait le quatrième établissement de l'île à recevoir ce type de visite. «Ces méthodes sont inadmissibles », s'insurge David Dahomay, responsable du Snes (syndicat majoritaire dans le secondaire) en Guadeloupe. Même indignation chez les parents d'élèves. Le président de la FCPE, Georges Dupon-Lahitte, actuellement sur place, «condamne cette "opération coup de poing" absurde, qui stigmatise les jeunes et n'apporte rien en termes de prévention ». Mais le proviseur du lycée de Sainte-Anne assume l'initiative. «J'ai répondu positivement à une proposition de la gendarmerie de mener une intervention surprise de détection de produits illicites», raconte Jack Arron. Histoire de « rappeler la loi aux élèves, de façon préventive ». Et d'expliquer que, dans le plus grand secret, «ils ont tiré au sort, avec des petits papiers, les six classes qui allaient être visitées. La surprise devait être totale ».
je doute de l'efficacité de telles méthodes je suis navrée que des parents ou des enseignants refusent la prévention en école primaire avant l'entrée au collège par contre. Il fut un temps ou des flics dans un établssement d'enseignement aurait soulever les foules. Nous avons changé d'époque
Sur la légalité : je suppose que les gendarmes agissent avec l'autorisation du procureur.
Emma
jean michel Bonnard
Emma C'est sur requisition ecrite du Directeur de l'ecole que les forces de Police penetrent dans les locaux .
-- JMB oter le mot point et le remplacer par un point et ajouter le point manquant
Emma
C'est sur requisition ecrite du Directeur de l'ecole que les forces de
Police penetrent dans les locaux .
--
JMB
oter le mot point et le remplacer par un point
et ajouter le point manquant
C'est sur requisition ecrite du Directeur de l'ecole que les forces de Police penetrent dans les locaux .
Heu, t'es sûr ? Tu as la référence du texte qui le dit ?
-- Djeel
jean michel Bonnard
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a la region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de l'Education Nationale qui est chez lui.
-- JMB oter le mot point et le remplacer par un point et ajouter le point manquant
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a la
region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de l'Education
Nationale qui est chez lui.
--
JMB
oter le mot point et le remplacer par un point
et ajouter le point manquant
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a la region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de l'Education Nationale qui est chez lui.
-- JMB oter le mot point et le remplacer par un point et ajouter le point manquant
bus.error[nospam]
JustMe wrote:
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
Ben voyons,
Moi ça me fait mal car c'est tout simplement du cirque médiatique financé par mes impots et qui n'aura aucun effet.
30 gendarmes pour une cigarette de tabac de cirque ! mes félicitations au chef de brigade, ils toucherons une prime j'espère.
JustMe wrote:
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant
de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
Ben voyons,
Moi ça me fait mal car c'est tout simplement du cirque médiatique
financé par mes impots et qui n'aura aucun effet.
30 gendarmes pour une cigarette de tabac de cirque !
mes félicitations au chef de brigade, ils toucherons une prime j'espère.
Que ca ne fait pas de mal. La drogue est une saloperie. Faire semblant de ne rien voir signifie etre complice de cette merde.
Ben voyons,
Moi ça me fait mal car c'est tout simplement du cirque médiatique financé par mes impots et qui n'aura aucun effet.
30 gendarmes pour une cigarette de tabac de cirque ! mes félicitations au chef de brigade, ils toucherons une prime j'espère.
djeeheel
jean michel Bonnard wrote:
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a la region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de l'Education Nationale qui est chez lui.
Je te demande la référence d'un texte, pas un commentaire inexact ! As-tu remarqué qu'on est sur un forum de droit ?
-- Djeel
jean michel Bonnard wrote:
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a
la region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de
l'Education Nationale qui est chez lui.
Je te demande la référence d'un texte, pas un commentaire inexact ! As-tu
remarqué qu'on est sur un forum de droit ?
Pour sur , c'est une proprieté privée appartenant à la commune ,ou a la region ,ou a l'etat , la gestion en est confié au personnel de l'Education Nationale qui est chez lui.
Je te demande la référence d'un texte, pas un commentaire inexact ! As-tu remarqué qu'on est sur un forum de droit ?