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Leica - au fou!

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fotoralf
Leica vient de terminer tous les contrats avec les magasins photo à
Berlin, y compris le fameux KaDeWe. Immédiatement et sans aucun préavis.

Leur stratégie: Is veulent faire de Leica une vraie marque de luxe,
comme Gucci ou Marco Polo. Pour cela, un "Leica Shop" sera ouvert en
juin qui sera chargé de la vente exclusive de tous produits Leica dans
la capitale allemande.

Puis, dans un an, le respnsable du marketing chez Leica sera viré, le
Shop sera fermée pour manque de profitabilité et, espérons le, les
commerçants de Berlin auront le courage de leur dire merde et qu'ils
bradent leurs jouets de luxe chez Mediamarkt.

Ralf

--
Ralf R. Radermacher - DL9KCG - Köln/Cologne, Germany
private homepage: http://www.fotoralf.de
manual cameras and photo galleries - updated Jan. 10, 2005
Contarex - Kiev 60 - Horizon 202 - P6 mount lenses

10 réponses

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Jean-Claude Ghislain

Puis, dans un an, le respnsable du marketing chez Leica sera viré, le
Shop sera fermée pour manque de profitabilité et, espérons le, les
commerçants de Berlin auront le courage de leur dire merde et qu'ils
bradent leurs jouets de luxe chez Mediamarkt.


;-))

--
Jean-Claude Ghislain
www.grimart.com

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WEILL
Bonjour Ralph


Leica vient de terminer tous les contrats avec les magasins photo à
Berlin, y compris le fameux KaDeWe. Immédiatement et sans aucun préavis.

Leur stratégie: Is veulent faire de Leica une vraie marque de luxe,
comme Gucci ou Marco Polo. Pour cela, un "Leica Shop" sera ouvert en
juin qui sera chargé de la vente exclusive de tous produits Leica dans
la capitale allemande.

Puis, dans un an, le respnsable du marketing chez Leica sera viré, le
Shop sera fermée pour manque de profitabilité et, espérons le, les
commerçants de Berlin auront le courage de leur dire merde et qu'ils
bradent leurs jouets de luxe chez Mediamarkt.


En quoi est-ce si surprenant?

Ca fait combien d'années désormais qu'en dehors des optiques (sans doute
parce que le département optique de Leitz est engagé dans des projets
infiniment plus profitables et dispose d'un vrai service de R&D) que
Leica vend des produits bien faits, certes, mais technologiquement
totalement dépassés à des prix indécents qui ont transformé la marque en
vendeur de produits de luxe?

La gamme R, comme tous les reflex mono-objectifs de la marque depuis
1965 (Leicaflex) ne s'est jamais bien vendue parce que pour moins cher
on avait aussi bien et pour autant beaucoup mieux... Mais Lietz s'entête.

La gamme M qui aurait pu porter par sa spécificité le département photo
de la marque n'a pas su évoluer techniquement.

Un exemple: le M7 a beau être pourvu de l'automatisme à priorité à
l'ouverture, il utilise toujours le même obturateur (1s - 1/1000ème + B
synchro au 1/50ème) que le premier M3 de 1953 !... certains ont pu avoir
la faiblesse de croire que l'utilisation d'un rideau en tissu était
seule possible pour obtenir un obturateur silencieux... La sortie du
nouveau Zeiss Ikon (2 fois moins cher) fait litière de cette affirmation.

Le M n'a d'ailleurs dû sa survie qu'à l'absence de concurrence sur le
terrain des télémétrique à objectifs interchangeables... Et aujourd'hui
il n'est plus seul.

Alors sur quel argument Leitz qui n'a su que transformer un merveilleux
outil photographique en produit de prestige peut-il s'appuyer, sinon sur
la poudre aux yeux qui sert à faire croire à quelques snobs pleins au as
que la possession d'un M va faire d'eux des Cartier-Bresson?

Même dans le domaine de l'optique, si on excepte quelques objectifs
particulier de la gamme M on s'aperçoit qu'il est aujourd'hui possible
de faire aussi bien pour moins cher. Là encore, les récentes optiques
Zeiss le démontrent amplement (comparatif du planr de 50mm avec le
Summicron f/2 de 50mm jusque là considéré comme LA référence).

Le choix était entre l'abandon des reflex et une modernisation drastique
des techniques de fabrication pour abaisser les coûts et une alliance
technique permettant de rattraper le retard (obturateur, système de
détermination de l'exposition, mode de chargment du boîtier) pour faire
du M un appareil jusitifiant son prix et suffisamment abordable pour
redevenir intéressant ou une politique de vente d'objet de luxe rétro
poussée jusqu'à son terme... L'une exigeait des investissments, l'autre,
de la publicité... ils ont choisi.

L'ennui c'est que la clientèle de luxe est versatile et il est bien
possible qu'elle ne suffise pas à maintenir en vie la vieille dame de
Sölms...

François P. WEILL

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Stéphane Bourzeix
C'est sur qu'entre le panasonic L1 et le nouveau Epson r-D1s avec sa
monture M à 2000 euros ...

WEILL wrote:

Le M n'a d'ailleurs dû sa survie qu'à l'absence de concurrence sur le
terrain des télémétrique à objectifs interchangeables... Et aujourd'hui


--
Stéphane Bourzeix
============================== http://www.bourzeix.com/weblog/
===============================

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WEILL

C'est sur qu'entre le panasonic L1 et le nouveau Epson r-D1s avec sa
monture M à 2000 euros ...

WEILL wrote:

Le M n'a d'ailleurs dû sa survie qu'à l'absence de concurrence sur le
terrain des télémétrique à objectifs interchangeables... Et aujourd'hui




????????????

Tu es au courant qu'il y a eu un monde avant les deux ou trois dernières
années???

Entre la sortie du M5 en 1971 et la sortie du Bessa R et de l'Hexar RF à
la fin des années 90, Leica a eu le monopole total de ce genre de
télémétriques.

De nos jours rien qu'en monture M tu as le choix entre les Bessa R2A,
R3A (et en serie limitée R2M et R3M), le nouveau Zeiss Ikon (dont les
premiers boîtiers noirs commencent à être dispo aux USA) et - en
occasion récente l'Hexar RF en plus des Leica MP et M7?

Et toi tu nous parles de boîtiers numériques qui n'existe que depuis
très peu de temps.

Tu nous expliques le rapport avec la choucroute?

FPW


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Laurent Martin
Entre la sortie du M5 en 1971 et la sortie du Bessa R et de l'Hexar RF à
la fin des années 90, Leica a eu le monopole total de ce genre de
télémétriques.


Effectivement.
Leica a continué à faire du télémétrique quand tout le monde l'a abandonné
pour le reflex.
Le retour par l'Hexar, les Bessa et le nouveau ZI montre qu'il y a une niche
pour ce type de matériel, et que les grands ont eu tord de l'abandonner
complêtement pendant tant d'années.

C'est aussi la clientelle de Leica qui est responsable du peu d'évolution
dans les boitiers. Le M5 qui était très moderne à son époque a été un échec
cuisant qui a failli couler l'entreprise : Leica a du ressortir un M4-2.
Pour le M6, puis le M7 on ne peut pas leur reprocher de ne pas avoir été
très innovant. C'est un avantage aussi, en ce sens où jusqu'à récemment,
Leica a été le seul à continuer de faire des boitier classiques de qualité.

Le montage d'un M demande 10 heures de main d'oeuvre hautement qualifiée
dans une usine europeenne. Il ne peuvent avoir ni le prix de vente ni les
volumes de production d'une usine chinoise automatisée. Seulement
aujourd'hui si tu veux faire réparer de ton M3 de 1955 (et non pas 1953) ça
se fait sans problème à l'usine.
Alors que chez Canon, les objectifs pros agés de 15 ans : par exemple, le
1,2/85L, le 28-80L, le 2,8/300L ancienne version sont officiellement plus
réparables. Ces objectifs était vendus il y a 15 ans aussi cher (même
beaucoup plus cher pour le 300mm) qu'un M6 neuf.

De nos jours rien qu'en monture M tu as le choix entre les Bessa R2A,
R3A (et en serie limitée R2M et R3M), le nouveau Zeiss Ikon (dont les
premiers boîtiers noirs commencent à être dispo aux USA) et - en
occasion récente l'Hexar RF en plus des Leica MP et M7?


Autant je n'aime pas les Bessa avec leur bruit de casserole et leur base
télémétrique trop étroite, autant le Zeiss (que l'on trouve aussi en noir en
France) est un boitier très très séduisant. Zeiss sort en même temps aussi
des optiques très performantes en monture M.

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WEILL
Bonjour Laurent


Effectivement.
Leica a continué à faire du télémétrique quand tout le monde l'a abandonné
pour le reflex.
Le retour par l'Hexar, les Bessa et le nouveau ZI montre qu'il y a une niche
pour ce type de matériel, et que les grands ont eu tord de l'abandonner
complêtement pendant tant d'années.

C'est aussi la clientelle de Leica qui est responsable du peu d'évolution
dans les boitiers. Le M5 qui était très moderne à son époque a été un échec
cuisant qui a failli couler l'entreprise : Leica a du ressortir un M4-2.


Tout à fait! Le M5 est sorti en fait 5 ans trop tard pour qu'il puisse
rester dans la panoplie du reporter (le client N°1 de l'époque pour
Leitz) en complément du Nikon F... L'adoption par les reflex japonais du
miroir à retour instantanné et du diaphragme automatique (dans le sens
de l'époque, c-à-d. maintenant le diaph à pleine ouverture jusqu'au
moent de l'obturation) ont permis au reflex de s'imposer non seulement
par le plus grand choix de focales utilisables (et des possibilité
macro) mais aussi parce que dans bien des cas, avec les focales usuelles
que le télémétrique pouvait employer, les avantages spécifiques du
télémétrique: map très précise à pleine ouverture, compacité n'étaient
pas indispensables. l'arrivée de la mesure TTL a donné le coup de grâce.
Le M5 serait sortit en même temps que le Nikon F à prisme FTn, Leitz
n'aurait sans doute pas perdu autant de clientèle chez les vrais
utilisateurs pro pour ne conserver qu'une clientèle de "conservateurs
absolus".

Pour le M6, puis le M7 on ne peut pas leur reprocher de ne pas avoir été
très innovant. C'est un avantage aussi, en ce sens où jusqu'à récemment,
Leica a été le seul à continuer de faire des boitier classiques de qualité.


Là je te suis tout de suite moins... Si le M5 avait 5 ans de retard, le
M6 avait 15 ans de retard (sans compter le recul que constituait les
M4-2 et M4-P). Quant au M7, il semble qu'il ne soit que le résultat de
l'échec des négociations entre Konica et Leica dont le résultat fut la
sortie séparée d'une part du M7 et de l'autre de l'Hesar RF (Erwin Puts
mange le morceau sur son site)... Car les avantages de l'un sont les
inconvénients de l'autre et réciproquement.

Le montage d'un M demande 10 heures de main d'oeuvre hautement qualifiée
dans une usine europeenne. Il ne peuvent avoir ni le prix de vente ni les
volumes de production d'une usine chinoise automatisée.


Sans aller jusqu'à la délocalisation en Chine, déjà une usine européenne
automatisée permetrrait de sérieux gains de productivité. Ca aurait
d'ailleurs dû être fait lors de la constitution de Leica AG.

En effet, si dans les années 70-80 l'automatisation et les contrôles par
sondage ne permettaient pas de maintenir le niveau de qualité d'un
mopntage manuel, les techniques actuelles permettent en réalité plus de
précision et un contrôle continu que ne peut le faire un ouvrier
hautement qualifié à la main (le taux de rejet chez Leitz est d'aillerus
paraît-il très élevé, marque d'exigence certes, mais gaspillage en
regard des techniques actuelles d'usinage et de montage).

Seulement
aujourd'hui si tu veux faire réparer de ton M3 de 1955 (et non pas 1953) ça
se fait sans problème à l'usine.


J'ai "expérimenté" avec mon M5 et franchement investir le prix du même
en condition "mint" d'occasion pour le faire réparer m'y a fait
renoncer. la démarche peut être valable pour le collectionneur, elle
n'est pas économiquement jusifiée pour l'utilisateur pur.

Ce qui m'a conduit (avec beaucoup de prudence car il a fallu que le
vendeur accepte de me le laiusser essayer intensivement pendant une
semaine) à acquérir un Hexar RF neuf qui ne m'a jamais déçu depuis. Le
tout pour un peu plus de 1000 F de plus.

Alors que chez Canon, les objectifs pros agés de 15 ans : par exemple, le
1,2/85L, le 28-80L, le 2,8/300L ancienne version sont officiellement plus
réparables. Ces objectifs était vendus il y a 15 ans aussi cher (même
beaucoup plus cher pour le 300mm) qu'un M6 neuf.


Certes... Et si un de mes cailloux Leica avait besoin d'une réparation
je crois que je le ferais, mais pas si le coût de cette réparation
excèdait ou égalait le prix d'une optique de qualité équivalente neuve
comme ça pourrait-être le cas avec la sortie des Zeiss.

Autant je n'aime pas les Bessa avec leur bruit de casserole et leur base
télémétrique trop étroite,


La base télémtrique rop étroite (ce qui est à mop avis un "péché
originel" biabnt unb des avantages majeur du télémétrique) m'a toujours
fait écarter les Bessa, autant le bruit de casserole, certes moins
élégant que celui d'un Leica et plus bruyant ne m'aurait pas totalement
fait renoncer à leur achat parce qu'on est tout de mêm très en dessous
du niveau de bruit d'un reflex.

autant le Zeiss (que l'on trouve aussi en noir en
France) est un boitier très très séduisant. Zeiss sort en même temps aussi
des optiques très performantes en monture M.


Tout à fait... Il a en plus l'avantage sur l'Hexar RF d'une avance
manuelle et d'un grossissement 0.74 du viseur qui lui donne la
possibilité d'une map très précise, compatible avec le noctilux ou le
Summilux 75mm f/1.4 et le rend plus facile à utiliser avec un 90mm (ou 85).

Seul regret le choix du 85mm au lieu du 90mm et l'absence de cadre
intégré pour le 135mm.

Pour les optiques, le Voigtländer Color Skopar de 21mm que j'ai est une
véritable merveille et qui a vraiment besoin de f/2.8 avec une telle
focale? Le Nokton f/1,5 de 50mm est réputé meilleur que le Summilux non
asphérique... Pour un prix ultra-bas même par rapport à un tel Summilux
d'occase... Si les optiques Leica resent aujourd'hui souvent LA
référence, même Erwin Puts considère que leur utilisation à pleine
ouverture et sur un trépied lourd avec des films très lents permet
réellement de voir la différence. Leitz toujours en pointe sans doute
(et encore avec l'arrivée des Zeiss?) mais d'une courte tête et non plus
des kilomètres devant les autres.

Par contre, je déplore l'absence d'un télémétrique vraiment up to date
qui - il me semble - aurait dû être l'oeuvre de Leica dans une optique
d'irremplaçable instrument de reportage:

- un vrai obturateur moderne 30s au 1/8000ème vraiment synchro au 1/250ème

- Un mode AE avec mesure matricielle perfectionnée (idéale pour les
prise de vues discrètes et rapide) et un mode manuel avec mesure spot.

- un mode flash TTL avec (peut-être sur le flash dédié) un mode fill-in)

- un viseur (high point) à grossissement variable manuellement (0,6;
0,8, 1) pour l'adapter à la focale et dans certain cas à l'ouverture
maximale de l'optique utilisée.

- un mode de chargement rapide et fiable (reprise d'un dispositif du
genre du QL de Canon) avec une portière classique à l'arrière du boîtier

- la possibilité de motoriser et d'utiliser une avance rapide manuelle
(genre Leicavit)

- un module numérique optionnel (comme le R9 mais en full frame et hte.
définition) au moins en projet

- Et - pourquoi pas - une version moderne de la Visoflex permettant une
réelle transformation en reflex pour la macro et les longs télé (avec
AF) sans perdre aucun automatisme ni rapidité de mise en oeuvre.

Qui pourrait jusitifié un prix "Leica".

François P. WEILL

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Oodini

Le montage d'un M demande 10 heures de main d'oeuvre hautement qualifiée
dans une usine europeenne. Il ne peuvent avoir ni le prix de vente ni les
volumes de production d'une usine chinoise automatisée. Seulement
aujourd'hui si tu veux faire réparer de ton M3 de 1955 (et non pas 1953) ça
se fait sans problème à l'usine.
Alors que chez Canon, les objectifs pros agés de 15 ans : par exemple, le
1,2/85L, le 28-80L, le 2,8/300L ancienne version sont officiellement plus
réparables. Ces objectifs était vendus il y a 15 ans aussi cher (même
beaucoup plus cher pour le 300mm) qu'un M6 neuf.


Et combien coûte la réparation pour ton AP Leica, par rapport à un achat
neuf chez Canon ?

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Oodini
Leica vient de terminer tous les contrats avec les magasins photo à
Berlin, y compris le fameux KaDeWe. Immédiatement et sans aucun préavis.

Leur stratégie: Is veulent faire de Leica une vraie marque de luxe,
comme Gucci ou Marco Polo. Pour cela, un "Leica Shop" sera ouvert en
juin qui sera chargé de la vente exclusive de tous produits Leica dans
la capitale allemande.


Pas étonnant : l'actionnaire principal de Leica est LVMH.

Avatar
Nicolas C.
WEILL wrote:

Un exemple: le M7 a beau être pourvu de l'automatisme à priorité à
l'ouverture, il utilise toujours le même obturateur (1s - 1/1000ème + B
synchro au 1/50ème) que le premier M3 de 1953 !... certains ont pu avoir
la faiblesse de croire que l'utilisation d'un rideau en tissu était
seule possible pour obtenir un obturateur silencieux... La sortie du
nouveau Zeiss Ikon (2 fois moins cher) fait litière de cette affirmation.


Au fait, il en est où le Zeiss Ikon? On peut l'acheter en France ? Non,
parce que ça va bientôt faire deux ans qu'on nous dis qu'il sort
bientôt... :)

Nicolas C.
--
http://www.lecamembertmagique.net/

"Somehow, I think I saw this before somewhere (it's taken by some random
dude i never heard about nor will anyone else).. Well, I think it looks
cool anyways..."

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WEILL

Au fait, il en est où le Zeiss Ikon? On peut l'acheter en France ? Non,
parce que ça va bientôt faire deux ans qu'on nous dis qu'il sort
bientôt... :)



Dispo, en particulier chez Photo Suffren, à Paris...

http://www.photosuffren.com/zeissikon/zeissikonm.htm

(ça fait déjà quelques mois)...

Par contre la version noire vient de sortir (perso je la trouve bien
plus réussie).

Les optiques étaient pour au moisn 4 d'entre-elles disponibles avant.

Le 50mm f/2 Planar est à 800€ chez Photo Suffren ce qui signifie quand
on regarde les prix d'un Summicron 50mm f/2 Leica garanti chez une
certaine maison spécialisée de par sa raison sociale :) qu'on doit
mettre environ 50€ de plus pour un Zeiss neuf qu'un Leica d'occasion...

Au vu des tests visibles sur le net, autant dire que la logique voudrait
que les Summicron d'occasion baissent de prix et très vite.

François P. WEILL

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