En dehors de la confusion entre les cartes à puces & du SSL executé
dans le processeur d'un ordinateur, j'ai un doute. C'est vraiment une
attaque efficace sur un ordinateur dans des conditions réels d'usage ?
Avec plusieurs tâches simultanées & pleins d'autres choses en même
temps ?
les processeurs modernes sont très intelligents, et notamment ils détectent quand un résultat n'est pas utilisé...
Ah, et ils font quoi avec une instruction NOP alors ?
il y a quelques années je sais que certains travaillaient ...
Mais quel processeur moderne très intelligent _fait_ ca ?
d'autre part si le compilo détecte que e[i]=0 ou 1,
Le compilateur ne peut pas detecter ca puisqu'il ne connait pas e[] au moment de la compilation.
il y a des compilo vraiement efficace... surtout s'il tiennent compte justement de l'exécution spéculative pour optimiser en utilisant des branch...
Quel compilateur optimise pour l'exécution spéculative en utilisant des branches ?
--spath
Emile
J'ai relu l'article du journal Le Monde.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-835944,0.html?xtor=RS S-651865 et j'en ai extrait le texte suivant
Jean-Jacques Quisquater (Université catholique de Louvain, Belgique) ra ppelle que les normes militaires américaines mettent en garde depuis longtemps contre les attaques fondées sur l'analyse des temps de calcul. Pour lui, l'avenir est aux processeurs spécialisés dans les fonctions de sécurité. "Mais on n'y viendra pas avant plusieurs années", remarque-t-il.
Il va de soi que les processeurs spécialisés ne sont pas attaquables suivant le processus d' "analyse de prédiction de branche" (BPA). Mais de quels processeurs spécialisés s'agit-il ? Je ne pense pas que le programme RSA mis dans un circuit intégré puisse avoir un avenir commercial pour la grande masse des internautes. Depuis le temps que le RSA a été inventé et que rien n'a bougé à ce point de vue, tout porte à croire que les chiffrements effectués avec le RSA se feront toujours en software.
La situation se présente tout différemment avec l'algorithme SED. Le cryptosystème expérimental Classicsys démontre la faisabilité du projet offrant toutes les garanties de confidentialité, d'intégrité, d'authentification des correspondants, et de non répudiation. Voir le message ci-après.
Je ne crois pas qu'il faille des années pour mener à bien la réalisation d'un tel circuit intégré. Vu mon âge, je me ne sens plus en mesure d'entreprendre un tel projet, mais je suis tout disposé à céder mon savoir faire à toute personne qui serait intéressée à la réalisation de ce projet. Vous pouvez me contacter à (supprimer ".nospam.")
Emile
J'ai relu l'article du journal Le Monde.
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-651865,36-835944,0.html?xtor=RS S-651865
et j'en ai extrait le texte suivant
Jean-Jacques Quisquater (Université catholique de Louvain, Belgique) ra ppelle que les
normes militaires américaines mettent en garde depuis longtemps contre les
attaques fondées sur l'analyse des temps de calcul. Pour lui, l'avenir est aux
processeurs spécialisés dans les fonctions de sécurité. "Mais on n'y viendra pas avant
plusieurs années", remarque-t-il.
Il va de soi que les processeurs spécialisés ne sont pas
attaquables suivant le processus d' "analyse de prédiction de branche"
(BPA). Mais de quels processeurs spécialisés s'agit-il ? Je ne pense
pas que le programme RSA mis dans un circuit intégré puisse avoir un
avenir commercial pour la grande masse des internautes. Depuis le temps
que le RSA a été inventé et que rien n'a bougé à ce point de vue,
tout porte à croire que les chiffrements effectués avec le RSA se
feront toujours en software.
La situation se présente tout différemment avec l'algorithme SED.
Le cryptosystème expérimental Classicsys démontre la faisabilité du
projet offrant toutes les garanties de confidentialité, d'intégrité,
d'authentification des correspondants, et de non répudiation. Voir le
message ci-après.
Je ne crois pas qu'il faille des années pour mener à bien la
réalisation d'un tel circuit intégré. Vu mon âge, je me ne sens
plus en mesure d'entreprendre un tel projet, mais je suis tout disposé
à céder mon savoir faire à toute personne qui serait intéressée à
la réalisation de ce projet. Vous pouvez me contacter à
emile.nospam.musyck@happymany.net (supprimer ".nospam.")
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,36-835944,0.html?xtor=RS S-651865 et j'en ai extrait le texte suivant
Jean-Jacques Quisquater (Université catholique de Louvain, Belgique) ra ppelle que les normes militaires américaines mettent en garde depuis longtemps contre les attaques fondées sur l'analyse des temps de calcul. Pour lui, l'avenir est aux processeurs spécialisés dans les fonctions de sécurité. "Mais on n'y viendra pas avant plusieurs années", remarque-t-il.
Il va de soi que les processeurs spécialisés ne sont pas attaquables suivant le processus d' "analyse de prédiction de branche" (BPA). Mais de quels processeurs spécialisés s'agit-il ? Je ne pense pas que le programme RSA mis dans un circuit intégré puisse avoir un avenir commercial pour la grande masse des internautes. Depuis le temps que le RSA a été inventé et que rien n'a bougé à ce point de vue, tout porte à croire que les chiffrements effectués avec le RSA se feront toujours en software.
La situation se présente tout différemment avec l'algorithme SED. Le cryptosystème expérimental Classicsys démontre la faisabilité du projet offrant toutes les garanties de confidentialité, d'intégrité, d'authentification des correspondants, et de non répudiation. Voir le message ci-après.
Je ne crois pas qu'il faille des années pour mener à bien la réalisation d'un tel circuit intégré. Vu mon âge, je me ne sens plus en mesure d'entreprendre un tel projet, mais je suis tout disposé à céder mon savoir faire à toute personne qui serait intéressée à la réalisation de ce projet. Vous pouvez me contacter à (supprimer ".nospam.")
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant :
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20 novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant :
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne
garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20
novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des
puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui
disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant :
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20 novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
On va dire que c'est mieux que rien...
Francois Grieu
Dans l'article <45728dcc$0$22007$, Romnulphe a écrit:
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant:
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20 novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf, est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées. Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème auquel fait référence l'article.
On va dire que c'est mieux que rien...
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.
François Grieu
Dans l'article <45728dcc$0$22007$426a74cc@news.free.fr>,
Romnulphe <romnulphe@yahou.fr.invalid> a écrit:
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant:
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne
garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20
novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des
puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui
disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf,
est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées.
Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème
auquel fait référence l'article.
On va dire que c'est mieux que rien...
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.
En guise de rectificatif, Le Monde a publié le communiqué tardif suivant:
« Puces. La photo illustrant l'article intitulé "Les puces ne garantissent pas la sécurité des échanges en ligne" (Le Monde daté 19-20 novembre) était celle d'une puce de carte SIM. Or l'article traitait des puces d'ordinateur, et non pas de celles des cartes à puce, qui disposent au contraire de contre-mesures contre ce type d'attaque. »
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf, est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées. Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème auquel fait référence l'article.
On va dire que c'est mieux que rien...
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.
François Grieu
Romnulphe
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf, est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées. Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème auquel fait référence l'article.
Très édifiant.
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.
Oui. Vous devriez leur écrire pour le leur dire.
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf,
est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées.
Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème
auquel fait référence l'article.
Très édifiant.
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.
La photo page 7 de l'édition électronique du monde 20061119_QUO.pdf, est celle d'un chip destinée à un boitier DIP 24 pattes, toutes connectées. Ce n'est donc ni une carte SIM, ni un processeur affecté par le problème auquel fait référence l'article.
Très édifiant.
Heureusement pour Le Monde et Hervé Morin que le ridicule ne tue pas.