Lettre ouverte au directeur de France 3
Le
philo.ra

Monsieur le Directeur général,
En balade dans la braderie d'Hénin Beaumont le samedi 22 septembre 2007
avec Marine Le Pen, nous avons été pris à partie par deux individus
d'une extrême violence. L'un d'entre eux a sorti au milieu de la foule
un pistolet. Selon certains témoins, un coup de feu aurait même été
tiré.
Quelques jours après les faits, une équipe de France 3 NPC est restée
postée une après midi durant devant le commissariat de Lens pour
attendre la venue de nos agresseurs et recueillir les déclarations de
ceux que leur avocat voulait présenter comme les malheureuses victimes
d'une machination. Ce coup, bien peu spontané -vous en conviendrez- et
qui ressemble davantage à une mise en scène préparée qu'au recueil
objectif d'informations, a fait long feu avec la désertion de
protagonistes.
Ce fut donc dans le bureau de leur avocat que votre journaliste Corine
Péhau couru interviewer ces agresseurs quasiment devenus victimes,
présentés visages floutés et sans identité malgré leur âge adulte.
Il est vrai que la détestable et unanime notoriété de ces individus dans
la région d'Hénin Beaumont aurait d'elle-même invalidé la thèse de la
machination complaisamment développée par votre journaliste, Mme Péhau,
qui fut, par le passé, mise en cause pour son comportement odieux
pendant l'affaire d'Outreau.
A n'en pas douter, son reportage constitue un cas d'école de violation
de toutes les règles déontologiques de la profession de journaliste :
- Absence de vérification : la moindre vérification -y compris auprès de
ses confrères qui ont recueilli et publié les premiers témoignages ou de
la police-, aurait permis à Mme Péhau d'infirmer immédiatement les
allégations de ses prétendus témoins
- Absence de doit de réponse des personnes mises en cause : un élu
régional et un parlementaire se sont vus accusés sur une chaîne
publique, par des personnes anonymes et floutées, d'être des
falsificateurs sans avoir la possibilité de répondre à ces accusations
totalement diffamatoires
- Absence de question à charge sur la subornation de témoins alors
qu'ils étaient recherchés pour ce chef.
- Atteinte à l'honneur de victimes : la complaisance des commentaires et
l'absence de toute distance de la journaliste avec les allégations
présentées comme une hypothèse crédible revenaient à mettre en
accusation des personnes qui avaient été victimes. Le tristes précédents
d'Outreau où des citoyens honnêtes ont été salis par des voyous avec la
complicité d'une presse déontologiquement peu scrupuleuse aura échappé à
Mme Péhau
Depuis l'un des jeunes protégés de Mme Péhaut, mis en examen pour
violence avec arme et subornation de témoin - entendez menaces de mort
sur les témoins- mais laissé en liberté, a enlevé un soir de la semaine
dernière, avec une violence digne du film Orange Mécanique, une jeune
fille. Au petit matin, il l'a jetée blessée et traumatisée au bord de la
route..
Que Mme Péhau exerce son métier en privilégiant ses partis pris
personnels au mépris de toute règle éthique professionnelle et humaine
ou qu'elle se croit autorisée de se faire le porte voix d'avocats locaux
en mal de publicité pour des causes pour le moins contestables au plan
moral, c'est apparemment son choix. Aujourd'hui, autant qu'à blâmer,
elle est à plaindre.
Si, toutefois, elle est capable d'un brin de lucidité, elle détient en
effet le terrible poids moral d'avoir, par son action médiatique, incité
à décider du maintien en liberté d'un individu particulièrement
dangereux et, par voie de conséquence, d'avoir contribué
intellectuellement à rendre possible l'épouvantable calvaire et le
traumatisme de cette jeune fille toute une nuit et peut-être toute une
vie durant.
J'avoue qu'il m'apparait injustifiable que des dirigeants d'une chaîne
de service public tolèrent ces errements indignes et la relégation de
leur antenne au rang d'organe de manipulation au service de délinquants
avec des conséquences humaines aussi dramatiques. Je crois que la
liberté des journalistes est trop nécessaire pour la voir ainsi dévoyée
dans une minable manipulation qui a, en outre, injustement jeté le
discrédit sur une rédaction généralement très professionnelle.
Connaissant votre sens des responsabilités et votre attachement à
l'exercice impartial de votre métier, je suis sûr que vous aurez à c½ur
de prendre toute les mesures appropriées pour que ce triste épisode,
épouvantablement préjudiciable, ne se reproduise plus.
J'attends quant à moi les excuses de Mme Péhau. Tant que votre chaine ne
se sera pas expliqué, vous comprendrez que je n'accepterai plus que
France 3 Nord/Pas-de-Calais nous suive, même au cours de la campagne
municipale d'Hénin-Beaumont qui sera pourtant l'une des plus médiatisée.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Directeur général, l'expression, de
mes sentiments distingués.
Steeve Briois
Secrétaire départemental du FN 62
Conseiller régional du Nord Pas-de-Calais
Conseiller municipal d'Hénin-Beaumont
En balade dans la braderie d'Hénin Beaumont le samedi 22 septembre 2007
avec Marine Le Pen, nous avons été pris à partie par deux individus
d'une extrême violence. L'un d'entre eux a sorti au milieu de la foule
un pistolet. Selon certains témoins, un coup de feu aurait même été
tiré.
Quelques jours après les faits, une équipe de France 3 NPC est restée
postée une après midi durant devant le commissariat de Lens pour
attendre la venue de nos agresseurs et recueillir les déclarations de
ceux que leur avocat voulait présenter comme les malheureuses victimes
d'une machination. Ce coup, bien peu spontané -vous en conviendrez- et
qui ressemble davantage à une mise en scène préparée qu'au recueil
objectif d'informations, a fait long feu avec la désertion de
protagonistes.
Ce fut donc dans le bureau de leur avocat que votre journaliste Corine
Péhau couru interviewer ces agresseurs quasiment devenus victimes,
présentés visages floutés et sans identité malgré leur âge adulte.
Il est vrai que la détestable et unanime notoriété de ces individus dans
la région d'Hénin Beaumont aurait d'elle-même invalidé la thèse de la
machination complaisamment développée par votre journaliste, Mme Péhau,
qui fut, par le passé, mise en cause pour son comportement odieux
pendant l'affaire d'Outreau.
A n'en pas douter, son reportage constitue un cas d'école de violation
de toutes les règles déontologiques de la profession de journaliste :
- Absence de vérification : la moindre vérification -y compris auprès de
ses confrères qui ont recueilli et publié les premiers témoignages ou de
la police-, aurait permis à Mme Péhau d'infirmer immédiatement les
allégations de ses prétendus témoins
- Absence de doit de réponse des personnes mises en cause : un élu
régional et un parlementaire se sont vus accusés sur une chaîne
publique, par des personnes anonymes et floutées, d'être des
falsificateurs sans avoir la possibilité de répondre à ces accusations
totalement diffamatoires
- Absence de question à charge sur la subornation de témoins alors
qu'ils étaient recherchés pour ce chef.
- Atteinte à l'honneur de victimes : la complaisance des commentaires et
l'absence de toute distance de la journaliste avec les allégations
présentées comme une hypothèse crédible revenaient à mettre en
accusation des personnes qui avaient été victimes. Le tristes précédents
d'Outreau où des citoyens honnêtes ont été salis par des voyous avec la
complicité d'une presse déontologiquement peu scrupuleuse aura échappé à
Mme Péhau
Depuis l'un des jeunes protégés de Mme Péhaut, mis en examen pour
violence avec arme et subornation de témoin - entendez menaces de mort
sur les témoins- mais laissé en liberté, a enlevé un soir de la semaine
dernière, avec une violence digne du film Orange Mécanique, une jeune
fille. Au petit matin, il l'a jetée blessée et traumatisée au bord de la
route..
Que Mme Péhau exerce son métier en privilégiant ses partis pris
personnels au mépris de toute règle éthique professionnelle et humaine
ou qu'elle se croit autorisée de se faire le porte voix d'avocats locaux
en mal de publicité pour des causes pour le moins contestables au plan
moral, c'est apparemment son choix. Aujourd'hui, autant qu'à blâmer,
elle est à plaindre.
Si, toutefois, elle est capable d'un brin de lucidité, elle détient en
effet le terrible poids moral d'avoir, par son action médiatique, incité
à décider du maintien en liberté d'un individu particulièrement
dangereux et, par voie de conséquence, d'avoir contribué
intellectuellement à rendre possible l'épouvantable calvaire et le
traumatisme de cette jeune fille toute une nuit et peut-être toute une
vie durant.
J'avoue qu'il m'apparait injustifiable que des dirigeants d'une chaîne
de service public tolèrent ces errements indignes et la relégation de
leur antenne au rang d'organe de manipulation au service de délinquants
avec des conséquences humaines aussi dramatiques. Je crois que la
liberté des journalistes est trop nécessaire pour la voir ainsi dévoyée
dans une minable manipulation qui a, en outre, injustement jeté le
discrédit sur une rédaction généralement très professionnelle.
Connaissant votre sens des responsabilités et votre attachement à
l'exercice impartial de votre métier, je suis sûr que vous aurez à c½ur
de prendre toute les mesures appropriées pour que ce triste épisode,
épouvantablement préjudiciable, ne se reproduise plus.
J'attends quant à moi les excuses de Mme Péhau. Tant que votre chaine ne
se sera pas expliqué, vous comprendrez que je n'accepterai plus que
France 3 Nord/Pas-de-Calais nous suive, même au cours de la campagne
municipale d'Hénin-Beaumont qui sera pourtant l'une des plus médiatisée.
Je vous prie d'agréer, Monsieur le Directeur général, l'expression, de
mes sentiments distingués.
Steeve Briois
Secrétaire départemental du FN 62
Conseiller régional du Nord Pas-de-Calais
Conseiller municipal d'Hénin-Beaumont
C'est règlé (ou presque) , cette histoire-là.
Pour peu que les financements soient bouclés et les promesses tenues, un
lieu d'accueil et d'hébergement pour femmes victimes de violences conjugales
pourrait ouvrir avant la fin de l'année à Hénin-Beaumont.Il s'agirait de
quatre studios avec une salle commune et une pièce réservée aux
professionnels. Pas un luxe dans un Pas-de-Calais classé parmiles trois
premiers départements de France quant au nombre de morts violentes dans des
conflits de couple...
Je comprends que vous changiez de sujet, devant l'évidence des
saloperies faites contre le FN vous n'avez pas le choix !
Mais vous auriez été moins ridicule en gardant le silence.
c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît.
--
With best regards, FLG. E-mail:
"Philippe RAI" news: 1i7bo9g.gkocxpoyyl76N%
Pourquoi opposez vous a chaque gauchiste et nationnaliste ? Pour vous un
nationnaliste ne peut etre que l'esclave du patronat ?
Excés de haine? Euh, de n?
[...]
Non, ce n'est pas une preuve. La logique a son illettrisme,
semble-t-il.
--
Pierre Maurette
[...]
[...]
Merci, Steeve.
J'étais dans l'erreur. Après vérification, c'est effectivement "Prendre
parti", "Prendre son parti", "Tirer parti", "Faire un mauvais parti",
mais "Faire partie de" et finalement "Prendre à partie".
Le reste est sans intérêt.
--
Pierre Maurette
Mais ... Comment peut-on ...
Oh ? Toi y en a pas sûr ?
Toi y en a pas sourd ???
Parce que pistolet, ça faire beaucoup panpan, quand même ...
Toi y a parti en courant, peut-être ?
Eux y en a pas vouloir être reconnus puis ensuite tabassés par les
petits fneux en colère, non ?
Eux y en a racailles ?
Pas de Calais y en a pas avoir de chance, quand même ... Toi croire
machination ?
Eux y en a qu'à demander !
Mais là, victime s'appeler Marinette ! Or, toi parler honneur, toi
plaisanter !
Toi finir sur bonne nouvelle, alors que toi être remercié !
Distingués, ça pas être possible, toi FN, Steeve !
--
La France va mieux.
Pas mieux qu'hier, hein ?
Mieux que DEMAIN !
Mais encore ?
Excès ?
(Test.)