La liberté des ondes...
Dans le cours des années 1980, une puissante évolution technique avait
laissé croire à beaucoup de Français que les ondes allaient se libérer. Ce
sont en effet des industriels japonais, et aucunement des technocrates
hexagonaux, qui ont permis, par une plus grande précision dans la
recherche des longueurs d’ondes, de passer des ondes longues à la
modulation de fréquence. La Bande FM libérait ainsi une virtualité de
diversité considérable, d’autant que, tous les 50 km environ, selon le
relief, on passe d’une zone à une autre, et ceci aurait pu permettre une
grande variété de productions libres et régionales.
Or, cet espace de liberté a été méthodiquement fermé par le système. Les
bureaucrates ont pratiquement imposé l'attribution de fréquences FM aux
radios longues ondes qui n'en avaient pas besoin.
En 20 ans, techniquement toujours, les avancées technologiques se sont
prodigieusement multipliées encore du fait du satellite, du câble et, bien
entendu, de toutes les dérivations d’Internet.
Or, non seulement la France ne s’est pas adaptée aux mutations qui en
découleraient normalement, — et qui en résultent effectivement dans la
plupart des grands pays — mais la culture du financement étatique et du
service public audiovisuel a complètement bloqué l’adaptation.
Tout d’abord, soulignons que le mécanisme fondamental reste toujours lié
aux chaînes hertziennes de télévision. C’est le dérisoire concept de
"poste de télévision", l’outil écran archaïque, dont la détention demeure
la base juridique de la redevance.
Et celle-ci est supposée assurer un soi-disant "service public" du
bourrage de crâne audiovisuel, lequel, cependant, peut passer par de
nombreux autres canaux : le poste de radio sous toutes ses formes, y
compris le baladeur, mais aussi l’internet, le câble, sans oublier
l’instrument central de l’intoxication, la bonne vieille agence de presse,
dont le monopole était apparu avec le téléscripteur et dont la disparition
aurait dû commencer, normalement, dès l’époque du développement du fax.
Le monopole étatique reste donc particulièrement fort dans les chaînes
hertziennes, parmi lesquelles, en France, 4 chaînes nationales sur 6, sont
gouvernementales, les 2 groupes privés étant eux-mêmes de culture et de
droit monopolistes. Toutes ces chaînes hertziennes nationales sont
parisiennes y compris la fameuse chaîne à délestage et sous-marques
régionales FR3.
Comme toujours quand on parle de "service public", il faut noter que le
vrai public aspire à quelque chose de différent.
Il existe par exemple 9 petites chaînes hertziennes locales et l’on
appelle actuellement à candidature dans 9 nouvelles villes, privilégiées,
qui seront échelonnées d’ici mars 2004. Le filtrage sera effectué par le
CSA, organisme franco-parisien et la concurrence sera limitée, au sein de
chaque ville concernée par cette rivalité pour l’attribution du monopole
local, entre des intérêts eux-mêmes monopolistes. N’oublions pas en effet
que la presse régionale est monopoliste dans quelque 80 départements
français sur 90. (1)
Or, partout où il a le choix, le public français, le peuple français donc,
choisit autre chose que le produit unique proposé par l’État.
Cela devrait faire réfléchir nos gouvernants qui gagneraient à observer
l’audience effective de toutes les petites chaînes locales ou associatives
diffusées par le câble ; elles sont une centaine. Partout l’effet de
proximité l’emporte sur l’ahurissement centralisé.
Toutes ces chaînes hertziennes ne sont pas prospères. TV Mont-Blanc avait
connu, avant de repartir avec de nouveaux actionnaires une crise et une
interruption de 3 ans. Aqui-TV en Périgord a déposé son bilan et cessé
d’émettre début 2003. Mais n’est-ce pas le lot de la libre entreprise ? (2)
C’est exclusivement par la contrainte et la subvention que les monopoleurs
historiques maintiennent leur domination.
Et de ce point de vue les procédures et les délais d’autorisation du CSA
sont conçus pour assurer un blocage réglementaire maximal.
Le verrouillage légal est ici la base même de la rouille culturelle.
Cela nous semble donner une autre légitimité à la campagne contre la
redevance. Il ne s’agit pas de refuser de payer un impôt : ce serait,
accessoirement, illégal. Il s’agit de remettre en cause un contrôle
socialiste sur l’audiovisuel, une censure larvée et une tentative pour
enfermer les Français derrière une ligne bleue des Vosges audiovisuelle,
qui se révélera bientôt une ligne Maginot culturelle.
C’est pour mettre un terme à cette imposture que quelques amis de la
liberté se retrouveront ce jeudi 6 novembre à 20 heures au Centre Chaillot
Galliéra, 28 avenue George V.
Jean-Gilles Malliarakis
--
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Message posté à partir de http://www.gyptis.org, BBS actif depuis 1995.
Bonjour tt a fait exact je me suis mal exprimé c'est une mesure ""de retortion"" qui a fait atribuer a l'allemagne les frequences trop élevèes pour etre utilisable a l'époque ce qui a ammené les allemands a developper la bande fm et a exploiter ses qualités intinséques de haute qualité qq années plus tard cela devenait un atout technique et commercial pour eux on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré le succès attendu amitiés a tous Gilbert
Jean Louis a écrit :
Plus précisément, ces accords ont interdit à l'Allemagne d'utiliser les fréquences alors couramment utilisées, c'est à dire l'AM en OL et OM. Pour eux, la FM au dessus de 50 MHz fut la seule solution pour développer la radio, ils n'avaient pas trop le choix.
Parat Gilbert F1LCE wrote in message news:... > Bonsoir > au risque d vous contredire ce sont les accords découlant des traités > diplomatiques consécutifs a la fin de la guerre qui a attribué aux allemands > la partie du spectre au dessus de 50 méga > il en découlé un développement de la bande fm outre rhin > alors que chez nous rien n'existait encore > les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les > postes ""grundig"" était performants en fm > puis bien apres c'est la capacité de production de masse des japonais qui > leur a permis d'inonder le marché européen et français > par contre peu de vraies nouveautés techniques sont seulement nippone > a part peu étre la tvhd > pourtant en france on en a fait de belles démo pour les jeux d'albertville mais > depuis plus rien > ne confondons pas production et recherche et rendons aux teutons > l'innovation en brodcast fm qui leur reviens > amitiés > Gilbert > > > jean-claude poujade a écrit . > > > Dans le cours des années 1980, une puissante évolution technique avait > > laissé croire à beaucoup de Français que les ondes allaient se libérer. Ce > > sont en effet des industriels japonais, et aucunement des technocrates > > hexagonaux, qui ont permis, par une plus grande précision dans la > > recherche des longueurs d?ondes, de passer des ondes longues à la > > modulation de fréquence. La Bande FM libérait ainsi une virtualité de > > diversité considérable,
Bonjour
tt a fait exact je me suis mal exprimé
c'est une mesure ""de retortion"" qui a fait atribuer a l'allemagne
les frequences trop élevèes pour etre utilisable a l'époque
ce qui a ammené les allemands a developper la bande fm
et a exploiter ses qualités intinséques de haute qualité
qq années plus tard cela devenait un atout technique et commercial pour eux
on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa
avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré le succès
attendu
amitiés a tous
Gilbert
Jean Louis a écrit :
Plus précisément, ces accords ont interdit à l'Allemagne d'utiliser
les fréquences alors couramment utilisées, c'est à dire l'AM en OL et
OM.
Pour eux, la FM au dessus de 50 MHz fut la seule solution pour
développer la radio, ils n'avaient pas trop le choix.
Parat Gilbert F1LCE <f1lce@free.fr> wrote in message news:<3FAA803F.D4F482DD@free.fr>...
> Bonsoir
> au risque d vous contredire ce sont les accords découlant des traités
> diplomatiques consécutifs a la fin de la guerre qui a attribué aux allemands
> la partie du spectre au dessus de 50 méga
> il en découlé un développement de la bande fm outre rhin
> alors que chez nous rien n'existait encore
> les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les
> postes ""grundig"" était performants en fm
> puis bien apres c'est la capacité de production de masse des japonais qui
> leur a permis d'inonder le marché européen et français
> par contre peu de vraies nouveautés techniques sont seulement nippone
> a part peu étre la tvhd
> pourtant en france on en a fait de belles démo pour les jeux d'albertville mais
> depuis plus rien
> ne confondons pas production et recherche et rendons aux teutons
> l'innovation en brodcast fm qui leur reviens
> amitiés
> Gilbert
>
>
> jean-claude poujade a écrit .
>
> > Dans le cours des années 1980, une puissante évolution technique avait
> > laissé croire à beaucoup de Français que les ondes allaient se libérer. Ce
> > sont en effet des industriels japonais, et aucunement des technocrates
> > hexagonaux, qui ont permis, par une plus grande précision dans la
> > recherche des longueurs d?ondes, de passer des ondes longues à la
> > modulation de fréquence. La Bande FM libérait ainsi une virtualité de
> > diversité considérable,
Bonjour tt a fait exact je me suis mal exprimé c'est une mesure ""de retortion"" qui a fait atribuer a l'allemagne les frequences trop élevèes pour etre utilisable a l'époque ce qui a ammené les allemands a developper la bande fm et a exploiter ses qualités intinséques de haute qualité qq années plus tard cela devenait un atout technique et commercial pour eux on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré le succès attendu amitiés a tous Gilbert
Jean Louis a écrit :
Plus précisément, ces accords ont interdit à l'Allemagne d'utiliser les fréquences alors couramment utilisées, c'est à dire l'AM en OL et OM. Pour eux, la FM au dessus de 50 MHz fut la seule solution pour développer la radio, ils n'avaient pas trop le choix.
Parat Gilbert F1LCE wrote in message news:... > Bonsoir > au risque d vous contredire ce sont les accords découlant des traités > diplomatiques consécutifs a la fin de la guerre qui a attribué aux allemands > la partie du spectre au dessus de 50 méga > il en découlé un développement de la bande fm outre rhin > alors que chez nous rien n'existait encore > les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les > postes ""grundig"" était performants en fm > puis bien apres c'est la capacité de production de masse des japonais qui > leur a permis d'inonder le marché européen et français > par contre peu de vraies nouveautés techniques sont seulement nippone > a part peu étre la tvhd > pourtant en france on en a fait de belles démo pour les jeux d'albertville mais > depuis plus rien > ne confondons pas production et recherche et rendons aux teutons > l'innovation en brodcast fm qui leur reviens > amitiés > Gilbert > > > jean-claude poujade a écrit . > > > Dans le cours des années 1980, une puissante évolution technique avait > > laissé croire à beaucoup de Français que les ondes allaient se libérer. Ce > > sont en effet des industriels japonais, et aucunement des technocrates > > hexagonaux, qui ont permis, par une plus grande précision dans la > > recherche des longueurs d?ondes, de passer des ondes longues à la > > modulation de fréquence. La Bande FM libérait ainsi une virtualité de > > diversité considérable,
Philippe Walraff
Parat Gilbert F1LCE a écrit :
Bonsoir
les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les postes ""grundig"" était performants en fm
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB, diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique ? -- Philippe Walraff Bruxelles
Parat Gilbert F1LCE a écrit :
Bonsoir
les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les
postes ""grundig"" était performants en fm
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et
peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une
bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les
premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient
alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà
diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera
reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB,
diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait
plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs
furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique
?
--
Philippe Walraff
Bruxelles
les "anciens" se souviendront sûrement que quasiment seuls les postes ""grundig"" était performants en fm
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB, diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique ? -- Philippe Walraff Bruxelles
Thierry VIGNAUD
On Fri, 07 Nov 2003 10:37:20 +0100, Philippe Walraff wrote:
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB, diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique ?
Pratiquement oui.
Je cite de mémoire car j'ai des infos plus précises chez moi où je ne suis pas à cette heure.
Au milieu des années 50 c'était le Club d'Essai qui a dû bénéficier du premier émetteur à Paris et ensuite ça a dû suivre par l'ancêtre de France Musique, mais tout a démarré assez vite lors de l'installation des pylônes TV qui ont été équipés également en FM, à la fin des années 50/début années 60 avec des sites équipés pour la diffusion de 3 programmes : Inter, Culture et Musique.
On Fri, 07 Nov 2003 10:37:20 +0100, Philippe Walraff
<nosex.nomoney@no.ads.be> wrote:
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et
peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une
bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les
premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient
alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà
diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera
reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB,
diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait
plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs
furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique
?
Pratiquement oui.
Je cite de mémoire car j'ai des infos plus précises chez moi où je ne
suis pas à cette heure.
Au milieu des années 50 c'était le Club d'Essai qui a dû bénéficier du
premier émetteur à Paris et ensuite ça a dû suivre par l'ancêtre de
France Musique, mais tout a démarré assez vite lors de l'installation
des pylônes TV qui ont été équipés également en FM, à la fin des
années 50/début années 60 avec des sites équipés pour la diffusion de
3 programmes : Inter, Culture et Musique.
On Fri, 07 Nov 2003 10:37:20 +0100, Philippe Walraff wrote:
Le récepteur radio dont notre famille disposait dans les années 56-57 et peut-être même avant - j'étais tout gosse - était un grundig muni d'une bande UKW (FM), le modèle était assez proche du "Grundig 960". Les premières émissions captées sur cette bande en Belgique reprenaient alternativement les émissions flamandes et francophones de l'INR déjà diffusées sur ondes moyennes. La longueur d'onde (96,1 MHz ?) sera reprise ultérieurement par le tout nouveau 3ème programme de la RTB, diffusant de la musique classique, le genre musical que l'on pensait plus adapté à l'époque pour la promotion de la FM.
Les auditeurs français peuvent-ils me dire si les premiers émetteurs furent dédiés à la diffusion de la musique classique via France-Musique ?
Pratiquement oui.
Je cite de mémoire car j'ai des infos plus précises chez moi où je ne suis pas à cette heure.
Au milieu des années 50 c'était le Club d'Essai qui a dû bénéficier du premier émetteur à Paris et ensuite ça a dû suivre par l'ancêtre de France Musique, mais tout a démarré assez vite lors de l'installation des pylônes TV qui ont été équipés également en FM, à la fin des années 50/début années 60 avec des sites équipés pour la diffusion de 3 programmes : Inter, Culture et Musique.
Aux Etats-Unis les premières stations FM sont apparues vers 1940 entre 42 et 50 MHz. En 1942 il y avait aux U.S.A.environ 80 station FM entre 42100 kHz (WYNE à New-York) et 49900 kHz (W99NY à New-York). Quelques stations de 1942 : 42500 kHz : WBEZ Chicago 42600 kHz : W3XMC Washington 43100 kHz : K31LA Los Angeles 43900 kHz : W39B Boston 44500 kHz : K45SF San Francisco 44700 kHz : K47SL Salt Lake City 44700 kHz : W47NV Nashville 44900 kHz : K49KC Kansas City 45100 kHz : K51L Saint Louis 46900 kHz : W69PH Philadelphie
73 de Daniel
"Parat Gilbert F1LCE" a écrit dans le message de news:
Bonjour on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré
le succès
attendu amitiés a tous Gilbert
Jean Louis a écrit :
Aux Etats-Unis les premières stations FM sont apparues vers 1940 entre 42 et
50 MHz.
En 1942 il y avait aux U.S.A.environ 80 station FM entre 42100 kHz (WYNE à
New-York) et 49900 kHz (W99NY à New-York).
Quelques stations de 1942 :
42500 kHz : WBEZ Chicago
42600 kHz : W3XMC Washington
43100 kHz : K31LA Los Angeles
43900 kHz : W39B Boston
44500 kHz : K45SF San Francisco
44700 kHz : K47SL Salt Lake City
44700 kHz : W47NV Nashville
44900 kHz : K49KC Kansas City
45100 kHz : K51L Saint Louis
46900 kHz : W69PH Philadelphie
73 de Daniel
"Parat Gilbert F1LCE" <f1lce@free.fr> a écrit dans le message de
news:3FAB5D25.942A8BB5@free.fr...
Bonjour
on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa
avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré
Aux Etats-Unis les premières stations FM sont apparues vers 1940 entre 42 et 50 MHz. En 1942 il y avait aux U.S.A.environ 80 station FM entre 42100 kHz (WYNE à New-York) et 49900 kHz (W99NY à New-York). Quelques stations de 1942 : 42500 kHz : WBEZ Chicago 42600 kHz : W3XMC Washington 43100 kHz : K31LA Los Angeles 43900 kHz : W39B Boston 44500 kHz : K45SF San Francisco 44700 kHz : K47SL Salt Lake City 44700 kHz : W47NV Nashville 44900 kHz : K49KC Kansas City 45100 kHz : K51L Saint Louis 46900 kHz : W69PH Philadelphie
73 de Daniel
"Parat Gilbert F1LCE" a écrit dans le message de news:
Bonjour on pourrrais aussi preciser que rca avait fait des essais en fm aux usa avant la guerre mais en po donc a bande réduire et n'avais pas rencontré
le succès
attendu amitiés a tous Gilbert
Jean Louis a écrit :
bah James quoi
On Wed, 5 Nov 2003 20:24:50 +0100, "TOF" wrote:
ça fou l'a trouille !
oh, lui il est vieux, donc ça va , on craint rien.
"Francis" a écrit dans le message de news: 3fa8ff85$0$6982$
> > Jean-Gilles Malliarakis >
Un simple éclairage : http://minilien.com/?h2ji04WmYH
On Wed, 5 Nov 2003 20:24:50 +0100, "TOF" <christopheimbert@wanadoo.fr>
wrote:
ça fou l'a trouille !
oh, lui il est vieux, donc ça va , on craint rien.
"Francis" <Francis@thefrancis.com> a écrit dans le message de news:
3fa8ff85$0$6982$7a628cd7@news.club-internet.fr...
>
> Jean-Gilles Malliarakis
>
Un simple éclairage :
http://minilien.com/?h2ji04WmYH