Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude
de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus
que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les
bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur
un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite
physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient
notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile
de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la
valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres
raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet. On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette limitation de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle se situe environ à f/8 (ce qui peut être gênant si on veut faire des filés en utilisant de basses vitesses d'obturation). par chance, ces capteurs ne sont pas trés sensibles (50 ISO) ce qui limite un peu le pb :-)
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises à f/8 sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
In article <419f7134$0$9081$8fcfb975@news.wanadoo.fr>,
"df" <nospam@nospam.com> writes:
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude
de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus
que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les
bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur
un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite
physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient
notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile
de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la
valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres
raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette limitation
de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle se situe environ
à f/8 (ce qui peut être gênant si on veut faire des filés en utilisant de
basses vitesses d'obturation). par chance, ces capteurs ne sont pas trés
sensibles (50 ISO) ce qui limite un peu le pb :-)
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises à f/8
sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet. On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette limitation de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle se situe environ à f/8 (ce qui peut être gênant si on veut faire des filés en utilisant de basses vitesses d'obturation). par chance, ces capteurs ne sont pas trés sensibles (50 ISO) ce qui limite un peu le pb :-)
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises à f/8 sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 41a077b0$0$8154$
Mic. Archambault a écrit ( 419fd8de$0$14296$ )
En fait la raison est d'abord mécanique ! f:16 signifie un diamètre d'iris égal à la focale divisée par 16. Ainsi pour 7 mm
de focale on a diamètre = 0,43 mm ! Soit autant (environ) que l'épaisseur des lamelles de l'iris !
Tiens, question : si mon A1 me propose actuellement du f : 11 à la focale de
7,2 mm ça voudrait dire qu'il s'accommode très bien d'un trou de 0,65 mm.
Dès lors, qu'est-ce qui l'empêche de proposer f : 77 en télé ? A noter qu'à
cette focale, certains objectifs macro proposent déjà un joli f : 45 :
http://nanolink.fr/f45a50mm
Pour des objectifs macro de focales réelles très supérieures à 100 mm c'est possible mais pas en 7 mm réels.
Et optiquement c'est un non-sens...
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens d'avoir du f : 16
sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas minuscule ? Ca serait-y
pas plutôt une histoire de compromis, comme d'habitude, entre coût et
qualité ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors qu'il
devrait être infiniment mince.
-- Michel La pensée louf de la semaine : Proverbe Taliban. Un de pendu, dix de décapités AntiSpam : remplacez mac par m
Alf92
df a dit ça :
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet. On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors... -- Cordialement, Alf92
df a dit ça :
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la
latitude de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible
de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF
accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur
ce sujet.
On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite
que sur un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus
rapidement une limite physique en deça de laquelle la diffraction sur
les lamelles devient notable, ou aussi une limite mécanique en deça
de laquelle il est difficile de maitriser la précision de
positionnement des lamelles et donc de la valeur exacte de la
fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres raisons à
cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la
profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36
argentique.
alors...
--
Cordialement,
Alf92
Quelqu'un sait-il pourquoi les bridges sont aussi limitées dans la latitude de leurs diaphragmes vers le bas : il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet. On imagine bien qu'avec une taille de capteur 2 à 3 fois plus petite que sur un reflex (argentique ou numérique) on atteigne plus rapidement une limite physique en deça de laquelle la diffraction sur les lamelles devient notable, ou aussi une limite mécanique en deça de laquelle il est difficile de maitriser la précision de positionnement des lamelles et donc de la valeur exacte de la fermeture obtenue, mais je me demande s'il y a d'autres raisons à cette limitation assez ennuyeuse des bridges.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors... -- Cordialement, Alf92
Bour-Brown
Mic. Archambault a écrit ( 41a0d6b2$0$5193$ )
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens d'avoir du f : 16 sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas minuscule ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors qu'il devrait être infiniment mince.
?
Pas compris.
Ce qui me gêne un peu, c'est la relation qui est faite entre diaphragme affiché et le trou physique correspondant quand on applique la règle de trois : focale / nombre affiché = diamètre du trou.
- d'une part on néglige toujours l'absorption lumineuse des lentilles, ce qui laisse entendre qu'elle est quasiment nulle même pour un zoom de 16 lentilles en 9 groupes (j'ai un doute)
- d'autre part dans ce zoom j'ai des groupes de lentilles qui se baladent et qui changent la focale effective de l'objectif, mais le diaphragme peut très bien garder une ouverture fixe, non ? Si c'est le cas, je l'ouvre à 1,25 mm et on n'en parle plus : à 7 mm ça fait du f : 5.6 et à 20 mm de focale, ça me fait déjà du f : 16. Hélas apparemment ce n'est pas comme ça que ça marche...
Mic. Archambault a écrit
( 41a0d6b2$0$5193$636a15ce@news.free.fr )
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens d'avoir du f :
16 sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas minuscule ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors qu'il
devrait être infiniment mince.
?
Pas compris.
Ce qui me gêne un peu, c'est la relation qui est faite entre diaphragme
affiché et le trou physique correspondant quand on applique la règle de
trois : focale / nombre affiché = diamètre du trou.
- d'une part on néglige toujours l'absorption lumineuse des lentilles, ce
qui laisse entendre qu'elle est quasiment nulle même pour un zoom de 16
lentilles en 9 groupes (j'ai un doute)
- d'autre part dans ce zoom j'ai des groupes de lentilles qui se baladent et
qui changent la focale effective de l'objectif, mais le diaphragme peut très
bien garder une ouverture fixe, non ? Si c'est le cas, je l'ouvre à 1,25 mm
et on n'en parle plus : à 7 mm ça fait du f : 5.6 et à 20 mm de focale, ça
me fait déjà du f : 16. Hélas apparemment ce n'est pas comme ça que ça
marche...
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens d'avoir du f : 16 sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas minuscule ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors qu'il devrait être infiniment mince.
?
Pas compris.
Ce qui me gêne un peu, c'est la relation qui est faite entre diaphragme affiché et le trou physique correspondant quand on applique la règle de trois : focale / nombre affiché = diamètre du trou.
- d'une part on néglige toujours l'absorption lumineuse des lentilles, ce qui laisse entendre qu'elle est quasiment nulle même pour un zoom de 16 lentilles en 9 groupes (j'ai un doute)
- d'autre part dans ce zoom j'ai des groupes de lentilles qui se baladent et qui changent la focale effective de l'objectif, mais le diaphragme peut très bien garder une ouverture fixe, non ? Si c'est le cas, je l'ouvre à 1,25 mm et on n'en parle plus : à 7 mm ça fait du f : 5.6 et à 20 mm de focale, ça me fait déjà du f : 16. Hélas apparemment ce n'est pas comme ça que ça marche...
Bour-Brown
Patrick MOREAU a écrit (message )
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette limitation de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle se situe environ à f/8
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises à f/8 sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
J'ai cherché des photos comparatives qui montrent l'effet des grandes fermetures, mais quand on cherche des images de diffraction avec un moteur de recherche on a plutôt droit aux figures d'interférences (il n'est pas exclu que je m'y prenne comme un manche). En regardant des tests d'objectifs, j'ai l'impression qu'effectivement en fermant trop on repart dans la soupe, mais pas comme un flou de mise au point, plutôt comme un flou de vaseline, je dirais...
La différence, c'est que ça permet peut-être d'extraire du détail quand même.
Patrick MOREAU a écrit
(message hK0L4PgUkNog@sinead )
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette
limitation de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle
se situe
environ à f/8
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises
à f/8 sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
J'ai cherché des photos comparatives qui montrent l'effet des grandes
fermetures, mais quand on cherche des images de diffraction avec un moteur
de recherche on a plutôt droit aux figures d'interférences (il n'est pas
exclu que je m'y prenne comme un manche). En regardant des tests
d'objectifs, j'ai l'impression qu'effectivement en fermant trop on repart
dans la soupe, mais pas comme un flou de mise au point, plutôt comme
un flou de vaseline, je dirais...
La différence, c'est que ça permet peut-être d'extraire du détail quand
même.
C'est la diffraction qui est le principal facteur entrainant cette limitation de l'ouverture minimale. Sur un capteur 2/3 " de 8 Mpix, elle se situe environ à f/8
C'est encore pire sur un capteur de 1/1.8" de 7 Mpix ou des photos prises à f/8 sont carrément floues alors qu'à f/5.6 elles sont nettes ...
J'ai cherché des photos comparatives qui montrent l'effet des grandes fermetures, mais quand on cherche des images de diffraction avec un moteur de recherche on a plutôt droit aux figures d'interférences (il n'est pas exclu que je m'y prenne comme un manche). En regardant des tests d'objectifs, j'ai l'impression qu'effectivement en fermant trop on repart dans la soupe, mais pas comme un flou de mise au point, plutôt comme un flou de vaseline, je dirais...
La différence, c'est que ça permet peut-être d'extraire du détail quand même.
Bour-Brown
Alf92 a écrit ( 41a1e997$0$10251$ )
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en existe de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un faux problème, ne serait-ce par exemple que pour la macro.
Alf92 a écrit
( 41a1e997$0$10251$626a14ce@news.free.fr )
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça
limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on
entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la
profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36
argentique.
alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en existe
de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un faux problème,
ne serait-ce par exemple que pour la macro.
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en existe de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un faux problème, ne serait-ce par exemple que pour la macro.
Alf92
Bour-Brown a dit ça :
Alf92 a écrit ( 41a1e997$0$10251$ )
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en existe de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un faux problème, ne serait-ce par exemple que pour la macro.
biensur. mais il faut relativiser. avec un capteur si petit la profondeur de champ est immense ! exemple : 24x36, 210mm, f11, màp 10m : pdc = 3.08m 1/2.7", 210mm(eqiv 35mm), f11, màp 10m : pdc = infinie !
et dit moi, pour faire de la macro tu utilises la focale la plus longue ?
-- Cordialement, Alf92
Bour-Brown a dit ça :
Alf92 a écrit
( 41a1e997$0$10251$626a14ce@news.free.fr )
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et
ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce
qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la
profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36
argentique.
alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en
existe de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un
faux problème, ne serait-ce par exemple que pour la macro.
biensur.
mais il faut relativiser.
avec un capteur si petit la profondeur de champ est immense !
exemple :
24x36, 210mm, f11, màp 10m : pdc = 3.08m
1/2.7", 210mm(eqiv 35mm), f11, màp 10m : pdc = infinie !
et dit moi, pour faire de la macro tu utilises la focale la plus longue ?
il est rarement possible de fermer à plus que f/11 par exemple, et ça limite beaucoup la PDF accessible avec les bridges, malgré ce qu'on entend parfois dire sur ce sujet.
c'est un faux probème, car avec un bridge (donc petit capteur), la profondeur de champ à f11 et largement supérieur à f22 sur un 24x36 argentique. alors...
... alors une limitation peut tout à fait être gênante même s'il en existe de pires. En photo la profondeur de champ est loin d'être un faux problème, ne serait-ce par exemple que pour la macro.
biensur. mais il faut relativiser. avec un capteur si petit la profondeur de champ est immense ! exemple : 24x36, 210mm, f11, màp 10m : pdc = 3.08m 1/2.7", 210mm(eqiv 35mm), f11, màp 10m : pdc = infinie !
et dit moi, pour faire de la macro tu utilises la focale la plus longue ?
-- Cordialement, Alf92
Mic. Archambault
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 41a2382d$0$9095$
Mic. Archambault a écrit ( 41a0d6b2$0$5193$ )
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens d'avoir du f :
16 sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas minuscule ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors qu'il
devrait être infiniment mince.
?
Pas compris.
"tube" parce longueur voisine du diamètre
Ce qui me gêne un peu, c'est la relation qui est faite entre diaphragme
affiché et le trou physique correspondant quand on applique la règle de
trois : focale / nombre affiché = diamètre du trou.
- d'une part on néglige toujours l'absorption lumineuse des lentilles, ce
qui laisse entendre qu'elle est quasiment nulle même pour un zoom de 16
lentilles en 9 groupes (j'ai un doute)
Le diaphragme effectif résultant des pertes optiques s'appelle "T" (comme "True") ; il figure sur quelques bons zooms pour reflex.
- d'autre part dans ce zoom j'ai des groupes de lentilles qui se baladent et
qui changent la focale effective de l'objectif, mais le diaphragme peut très
bien garder une ouverture fixe, non ?
Non ! le diamètre de l'iris est mécaniquement couplé à la bague des focales...
Si c'est le cas, je l'ouvre à 1,25 mm et on n'en parle plus : à 7 mm ça fait du f : 5.6 et à 20 mm de focale, ça
me fait déjà du f : 16. Hélas apparemment ce n'est pas comme ça que ça
marche...
-- Michel La pensée louf de la semaine : Proverbe Taliban. Un de pendu, dix de décapités AntiSpam : remplacez mac par m
"Bour-Brown" <Bour-Brown@wanadoo.fr> a écrit dans le message de
news: 41a2382d$0$9095$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Mic. Archambault a écrit
( 41a0d6b2$0$5193$636a15ce@news.free.fr )
Sérieusement, pourquoi ça serait «optiquement» un non-sens
d'avoir du f :
16 sur un bridge, surtout quand le capteur n'est pas
minuscule ?
Parce que le trou devient alors une sorte de tube, alors
qu'il
devrait être infiniment mince.
?
Pas compris.
"tube" parce longueur voisine du diamètre
Ce qui me gêne un peu, c'est la relation qui est faite entre
diaphragme
affiché et le trou physique correspondant quand on applique la
règle de
trois : focale / nombre affiché = diamètre du trou.
- d'une part on néglige toujours l'absorption lumineuse des
lentilles, ce
qui laisse entendre qu'elle est quasiment nulle même pour un
zoom de 16
lentilles en 9 groupes (j'ai un doute)
Le diaphragme effectif résultant des pertes optiques s'appelle
"T" (comme "True") ; il figure sur quelques bons zooms pour
reflex.
- d'autre part dans ce zoom j'ai des groupes de lentilles qui
se baladent et
qui changent la focale effective de l'objectif, mais le
diaphragme peut très
bien garder une ouverture fixe, non ?
Non ! le diamètre de l'iris est mécaniquement couplé à la bague
des focales...
Si c'est le cas, je l'ouvre à 1,25 mm
et on n'en parle plus : à 7 mm ça fait du f : 5.6 et à 20 mm de
focale, ça
me fait déjà du f : 16. Hélas apparemment ce n'est pas comme ça
que ça
marche...
--
Michel
La pensée louf de la semaine :
Proverbe Taliban. Un de pendu, dix de décapités
AntiSpam : remplacez mac par m