In news : 49db7c5e$0$5266$426a74cc@news.free.fr, sacha martinetti-levy
<sacha.retirez-moimartin@freesurf.fr> Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha le
Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du cochon en
charcutaille. Pas trop non plus. Simplement relever l'oreiller.
Désolé pour la longueur, non, je ne suis pas la réincarnation sachaïenne de
Makhno. Bien que je n'imagine pas que cette fois-ci, il ne soit pas d'accord
avec moi, au moins dans de rares niches. S'il me lit, bien entendu.
Il ne peut y avoir d'opposition totale en matière d'humanité. C'est une
impossibilité structurelle. Ceux qui s'en prétendrons seront aveuglé par la
haine animale. Dire que l'on est d'accord avec même un millième, c'est déjà
pactiser, c'est ouvrir une brèche, c'est présenter le flanc.
Ah, oui, la véritable modestie est intérieure. Elle est du domaine privé.
Mais le royaume est celui de l'autre, la fausse, qu'il est de bon aloi local
d'épancher, et à laquelle déroger est un choc affectif assez mal vécu par
les victimes présentes ou collatérales.
A moins d'être pipeulle. Et encore, ça dépend des genres.
Ceci dit :
> La somme des lois nous renseigne sur l'étendue du travail à accomplir.
La qualité de Loi et des lois ?
Tout ou quasiment à été dit sur la Loi, les lois, du générique au champ
lexical en passant par toutes les interprétations données à ce mot, l'un des
plus complexes de toutes les langues depuis la parabole de Babel, c'est à
dire la métamorphose des cris instinctifs en langage, forcément petit à
petit de plus en plus locaux.
Les sciences tant de ce langage que du sens ou de la communication,
éthologie, sémiologie, sémantique, linguistique et bien sûr la part
neurobiologique toujours en exploration intensive, sont des outils en
perpétuelle évolution. Je ne suis pas spécialiste, bien loin de là. Mais le
mot est un des plus centraux et génériques, donc un mot-monde immense, en
interaction perpétuelle avec lui-même.
Lois de la physique ? Lois humaines ? Lois assouplies ou durcies ? Arrêtés
municipaux ? Nul n'est sensé ignorer la Loi ? Au Nom de la Loi ? Lois et
Libertés ? Hors-la-Loi ? Limite légale ? Frôler l'illégalité ? Homme de Loi
? Loi divine ? Loi inique ? Contourner la Loi ? Il fait la Loi ici ? Loyal ?
etc..
Et l'étymologie : ligare = liens, sans doute, mais ce n'est pas tranché.
Ce qui autorise le lien. La société.
Mais si on ne s'arrête qu'au code civil et que l'on oublie tout le reste,
demeure la question du "Contrat social".
Celui-ci commence en soi, prend effet de manière pratique à partir de deux
personnes et englobe in fine un état (voire pour les "lois internationales"
à l'ensemble des pays signataires de la convention légale en question.
Une limite est toutefois omise : celle, profondément ancrée de par nos
origines simiesques, notre nature de primate, sans doute nos capacités (sans
s'étendre), et le caractère très récent de notre civilisation - à la tribu,
c'est à dire en ordre d'idée celle d'une centaine de personnes.
Au-delà, les règles de vie commune qui regardent cette partie de l'immense
mot "Loi", deviennent abstraites en terme de responsabilité affective. deux
pays l'un de 150 000 et l'autre d'1 500 000 000 d'habitants, sont soumis aux
mêmes difficultés : Le liant.
Solutions, le drapeau-symbole, L'hymne artificiellement sacré, l'Histoire
trafiquée (les frontières bougent, l'unité est parfois récente et souvent
artificielle quant à des histoires plus longues passées, de lieux, peuples,
ou territoires fragmentés), haro sur les "ennemis de la Nation", propaganda
sport de masse et tutti quanti.
Mais les lois fondamentales demeurent les mêmes : Tuer, voler, menacer la
collectivité locale.
Puis les règles pragmatiques invisibles sans les éléments globaux. Normal.
Du détail ici ou là, dû à la complexité croissante d'une société dont on est
sensé partager les valeurs avec n'importe lequel des co-nationaux
(compatriote est drôlement connoté). Jusqu'ici, tout va bien.
Mais arrivent les empêchements en cascade, amender ou légiférer plus étant
infiniment plus facile que réfléchir à un remplacement des lois génériques
qui ont échoué, par exemple.
Je ne reviendrai pas sur ce que disais du trop et du chiendent. D'ailleurs,
ce n'est pas un quelconque libéralisme de ma part. Ce mot ne concerne que
les gens qui ont les moyens de se le payer, le libéralisme, à coup de
protections pour toutes sortes de raisons, fric ou bancs des grandes écoles
et administrations, parfois les deux.
Ce qui surprend parfois au travers d'amitiés politiques au tout premier
abord improbables (type Hue/Chirac et vous connaissez le style), petit à
petit révélées lorsque les types ont pris leur retraite et autorisent leurs
potes journalistes à se lâcher. Lorsqu'on n'est pas dans les secrets de la
Bulle...
C'est à hurler de dépit après la souffrance des dérisoires conversations
politiques du bar ou pire encore, de celles des familles.
Essayez comme Brasseur Sagan (que je ne juge absolument pas, ce ni mon
métier, ni trop ma manière, même si s'en empêcher relève du fantasme
idéologique) ou d'autres, de vous retrouver avec plusieurs dizaines, voire
centaines de grammes de poudre chez vous. Vous pourrez juger de la qualité
des étalons lors de la pesée légale, judiciaire, dans notre si ultra-libéral
pays. Dire qu'il est si beau par ailleurs...
Que l'on vous trouve simplement - au lieu de frapper votre femme, une
bouteille d'Armagnac hors d'âge dans le sang dans votre manoir - avec dix
grammes d'herbe sur vous dans la rue.
Et même, avec une cannette de bière à la main à quinze mètres d'une terrasse
à 15 euros le baron du même diurétique.
Racontez-moi. J'ai vécu cette dernière mésaventure, Clair et net, debout,
seul, en train d'admirer bêtement la géométrie des gargouilles de
Saint-Eustache, géométrie étonnante que je n'avais jamais remarquée, sous le
soleil chaud de Satan, ciel bleu, trente sous le cagnard.
Six policiers en cercle pour une contravention municipale, refus de ma part
pour irrégularité (je n'était pas stricto sensu dans un jardin public mais
dans une rue piétonne qui le longe. Procès en cours.
Tout ça parce qu'au lieu de ferme ma grande gueule, d'être doux et gentil
comme ça m'arrive sans doute trop souvent, je leur ai dit ce que je pensais
de voir six flics fondre sur un type qui n'emmerde strictement personne,
parce qu'il ne les voit pas arriver, l'air con qu'il a, planté dans le ciel,
à regarder des choses au-dessus de la chaussée parisienne, ce qui fait de
vous un dingue à verbaliser.
Forcément. On ne regarde pas en l'air pendant une minute, le bar portatif à
la pogne, même une superbe église parisienne lorsqu'on est normal. C'est ce
dit la vision policière à longueur de C dans l'air, avec l'assentiment
populiste de Calvi qui a perdu ses qualités pour devenir un des pires cons
de la télé : "Vous n'avez rien à craindre, lorsque vous n'avez rien à vous
reprocher".
Il faudra m'expliquer. Juge de proximité, 38 euros de base, 22 euros de
procédure avec condamnation pour délit. Mon fils a reçu ce truc : il m'a dit
qu'il était rédigé dans des termes d'une âpreté rare? Quasi un criminel.
Mais je ne laisse pas passer. On verra.
6 flics pour rien, moyenne 22 ans, neuf mois de formation, des gosses avec
des flingues, le plus vieux, maximum 25 ans, BEP à tout casser. Investissons
dans le service public. Pas dans le nombre, mais la qualité.
6 flics qui auraient dû se trouver ailleurs, à défendre les gens contre les
monstres qui jaillissent de l'esprit des humains.
6 flics qui n'ont pas été là dans des affaires qui ont touché des viols, des
agressions majeures, autour de moi.
"Les lois sont intriquées avec la société. A société injuste, lois
injustes". LDH il y a qqs années sur France-Info.
Ce que la présidente omet de dire, c'est qu'une société juste est une fable,
et si elle devait recouvrir une réalité, ce serait la fin de tout. Donc une
légalité juste est en proportion.
Mais comme horizon appréhendé avec la sagesse de celui qui sait que l'homme
sera sans doute toujours un funambule, une espèce très récente, une espèce
animale parmi avec le logos, la seule et très menacée, et que ce ne sont
pas des absolus qu'il convient de faire son potager, de loin beau comme le
sont les étoiles, mais tout aussi mortelles de près, il n'y a pas de raison
de nous en priver.
Ah : La gare champêtre du post du tant est en vue :
> La somme des lois nous renseigne sur l'étendue du travail à accomplir.2
Je m'approche d'une école. Dans une petite rue en bagnole. Un panneau "30
km/h limite". Un autre symbolisant deux enfants en train de traverser la
rue.
Le second me fait rouler à 10 km/h.
Le premier autorise une vitesse de 33 kms chrono, alors que n'importe quel
môme peut surgir entre deux bagnoles sous vos roues. Maître de son véhicule,
oui, mais incitation à choisir la limite haute.
Par contre, autoroute totalement dégagée, ligne droite sur cinq kms devant,
visibilité dix. Voiture rapide mais sûre. bon conducteur. 180 km/h sans
problèmes de sécurité hormis l'imprévu, mais on ne peut le supprimer tout à
fait, grave erreur que de le faire croire.
Je roule à 134 km/h. Pour rien. Je ne m'adresse pas aux radicaux de
l'écologie. Et il ne s'agit que de situation rares, et pas obligatoirement
avec un 4x4 de deux tonnes et demie.
La sagesse est cette capacité d'être responsable qui disparait avec ces
tonnes de lois qui donnent l'illusion d'un progrès, d'un contrôle possible
de tout, d'une sécurité quasi totale. D'ailleurs le moindre type qui fait
une connerie dans son boulot à responsabilité doit payer de sa personne.
Sauf les PDG des maousses, mais évidemment, deux personnes tuées dans un
hôpital, c'est plus visible que mille morts pour cause d'argent manquant
dans les caisses et qui fatalement manqueront aux services publics.
Ces services publics décriés qui sont parmi les meilleurs du monde, privé
inclus, lorsqu'il s'agit d'enseignement scientifique, de pompiers, de
production d'ingénieurs de qualité alpha au plan mondial en industrie,
recherche biologique, mathématiques (égalité avec les USA malgré le
différentiel de population et la réputation de leurs universités), espace,
aéronautique, qualité des infrastructures (les meilleurs de la planète, en
tous cas jusqu'ici, ça ne va pas durer), et bien sûr Culture.
Et les policemen (que les antis-prélèvements voudraient voir multipliés par
dix, surtout en bas de leurs résidences) ? SP. Les mairies ? SP. La Sécu ?
SP. Cette dernière nous plaçant cinquante rangs devant ces mêmes Etats-Unis
où il y a un flic toujours à moins de cent mètres de vous. Ce qui ne les
empêche pas d'être le plus violent des pays occidentaux.
Je lis souvent : Histoire, Western, Jeune Nation.
Oui, mais alors pas Exemplarité Omnidirectionnelle et mimétisme
inconditionnel des restes occidentaux, dont nos engeances gouvernementales.
Mais je digresse. Ca faisait longtemps. Promis, si je crève, je vais m'en
faire : je ne le ferai plus, nous ne sommes pas sur soc.pol. Revenons à nos
ovins avinés rien que pour clore, enfin.
> La somme des lois nous renseigne sur l'étendue du travail à accomplir.3
Le travail à accomplir en tant qu'espèce transcendée, mais conditionnée par
sa mémoire animale, toujours tapie dans la hiérarchie qui précède notre
(néo)cortex.
Aime-Sagesse, Philosophie. Nécessité moindre des lois contraignantes (et non
des règles que je cite tout en haut), lois plus prospectives (mais certains
travaillent tout de même très bien), et un travail de fond pour redonner, si
cela est encore possible, le sens de l'autre, du potentiel d'identification
à cet autre, se rappelant qu'avant toute chose, il est un citoyen comme
vous, c'est à dire que vous êtes lui dans l'autre sens, évidemment au plan
restreint de ses droits, qui sont automatiquement des devoirs, donc cela ne
sert à rien de les coller tous deux comme cela veut être fait.
Typique : Au lieu d'expliquer, on rajoute. Mais presque personne n'a compris
autre chose qu'un amendement, un ajout, une contrainte de plus. Alors qu'un
droit de soi, en société, ne peut s'interpréter que comme le devoir
correspondant d'agir de même avec l'autre. Bref de prendre en compte cette
altérité.
***
D'habitude, je commente vaguement sur dix lignes et souvent moins. J'essaye
de condenser tout ceci en quelques phrases, qu'il suffira ensuite de
décortiquer au calme, sans que cela prenne beaucoup de temps, puisqu'on en
gagne à la lecture, et qu'il n'y a pas de sens caché dans ce que je dis, à
moins que, et alors je préviens.
C'est bien pour cela que je n'aime pas les essais, en dehors de ceux des
meilleurs : On délaye, on sur-explique - à part parfois la nécessité ou
l'opportunité de citations ou de description de la méthode - parce que peu
se donnent le mal d'entrer dans la densité un tout petit peu plus grande de
la poétique, qui serait une sorte de zip, de compression esthétique.
De ce qui sinon fait perdre un temps fou à tout le monde.
Encore faut-il aimer ça, je l'accorde évidemment, et de supporter le
contributeur.
Mais bon, je suis musicien, déjà assez prenant. Ni Platon ni Spinoza ni
Hegel (mein gott !). Je n'en connais pas beaucoup des vivants. Encore moins
sur les forums.
> Un, trois, puis cinq puis dix commandements. Aujourd'hui, il y en a des
> myriades. On les achète et les vend au marché de l'avocatier et son
> beurre.
> La graine ne passe pas inaperçue. Pourtant, elle pousse avec une facilité
> déconcertante.
Il y a tant d'argent à se faire (donc d'illusion d'être moins frustré), et
le modèle est encore une fois l'agressivité technique inouïe des
cabinet-commandos US. Cela donne forcément de mauvaises idées aux avocats
des autres pays, et à leurs plaignants, lorsque ces derniers apprennent des
seconds, que glisser dans une flaque de café dans un macdo peut rapporter de
quoi vivre soi et sa famille pendant trois cents ans, et ceci, dans de très
bonnes conditions.
Si cela est notre futur, notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le
défendre.
Crosspost avec fr.misc.droit
Pas de suivi, trop aléatoire
--
Sacha
PS : Fautes et coquilles seront dues aux corrections en cours de frappe et à
ma paresse revenue qui interdit de me relire. Pliz, je ne ferai pas ça tous
les jours.
Oui, Que le grand Yeti en préserve le forum, et moi par la même occasion.
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Delestaque
sacha martinetti-levy wrote:
In news : 49db7c5e$0$5266$, sacha martinetti-levy Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ? -- -- Ricco
sacha martinetti-levy wrote:
In news : 49db7c5e$0$5266$426a74cc@news.free.fr, sacha martinetti-levy
<sacha.retirez-moimartin@freesurf.fr> Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha
le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du
cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le
défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ?
--
--
Ricco
In news : 49db7c5e$0$5266$, sacha martinetti-levy Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ? -- -- Ricco
diegel
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages, voire en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit en moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent et se complexifient les règles. Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles parfois complexes. Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale, règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes. L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de moins en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non, toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont indubitables. Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès encore à réaliser ...
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ? Je ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question accessoire, en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des règles, multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi.
En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne,
en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile
d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité
mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages,
voire
en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit en
moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent
et se complexifient les règles.
Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une
forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles
parfois complexes.
Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale,
règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se
modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur
l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui
sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des
règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit
nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes.
L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en
plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et
des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de moins
en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non,
toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont indubitables.
Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès encore
à réaliser ...
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ? Je
ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus
importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit
nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question accessoire,
en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté
qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une
liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des règles,
multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont
pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que
dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de
l'intelligence des lois.] (diegel)
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages, voire en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit en moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent et se complexifient les règles. Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles parfois complexes. Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale, règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes. L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de moins en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non, toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont indubitables. Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès encore à réaliser ...
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ? Je ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question accessoire, en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des règles, multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
jpm
"diegel" a écrit dans le message de news: 49de2caf$0$17104$
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
"diegel" <diegel@orange.fr> a écrit dans le message de news:
49de2caf$0$17104$ba4acef3@news.orange.fr...
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi.
En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une
ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une
formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de
toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait
d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
"diegel" a écrit dans le message de news: 49de2caf$0$17104$
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
erlouma
On 9 avr, 19:13, "diegel" wrote:
Négatif, cher Sacha,
dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
oui , limpide sinon rien ; des traces légères comme des cirus des lois qui n'oublient pas la loi des caresses qui dé-brisent les hommes et leurs donnent des petites fleurs de printemps
qu'on respire et comprenne .
On 9 avr, 19:13, "diegel" <die...@orange.fr> wrote:
Négatif, cher Sacha,
dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de
l'intelligence des lois.] (diegel)
oui , limpide sinon rien ;
des traces légères
comme des cirus
des lois qui n'oublient pas la loi des caresses
qui dé-brisent les hommes
et leurs donnent
des petites fleurs de printemps
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
oui , limpide sinon rien ; des traces légères comme des cirus des lois qui n'oublient pas la loi des caresses qui dé-brisent les hommes et leurs donnent des petites fleurs de printemps
qu'on respire et comprenne .
sacha martinetti-levy
In news : 49de31c1$0$15430$, jpm Publia :
"diegel" a écrit dans le message de news: 49de2caf$0$17104$
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
Jugement de goût sans le moindre argument. Un classique use et inter-naute : dire trois mots au lieu de cent donne l'illusion d'une possible hauteur. Méli-mélo, par-contre, je veux bien, puisque je cite une anecdote personnelle qui est bien davantage de la politique des lois que d'une quelconque philosophie.
Mais puisque nous sommes sur Le forum de Philosophie de la hiérarchie francophone, j'attends forcément davantage qu'un papier gras, lui sentant pour de bon la poubelle : "Un méli-mélo ramassé dans un vide-ordure". C'est puissant, ouh la la.
Nous ne sommes pas sur un forum de cinéma pour post-pubères qui s'essayent sans résultat, au Masque, au vitriol lapidaire. Dites ou ne dites pas. Et si vous voulez être méchant, de grâce, faîtes-le avec la maestria des frères Goncourt, de Groucho ou Sacha Guitry. Au moins, il y aura du contenu.
In news : 49de31c1$0$15430$426a74cc@news.free.fr, jpm
<jeanpaulmarlot@free.fr> Publia :
"diegel" <diegel@orange.fr> a écrit dans le message de news:
49de2caf$0$17104$ba4acef3@news.orange.fr...
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi.
En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une
ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une
formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de
toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait
d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
Jugement de goût sans le moindre argument. Un classique use et inter-naute :
dire trois mots au lieu de cent donne l'illusion d'une possible hauteur.
Méli-mélo, par-contre, je veux bien, puisque je cite une anecdote
personnelle qui est bien davantage de la politique des lois que d'une
quelconque philosophie.
Mais puisque nous sommes sur Le forum de Philosophie de la hiérarchie
francophone, j'attends forcément davantage qu'un papier gras, lui sentant
pour de bon la poubelle : "Un méli-mélo ramassé dans un vide-ordure". C'est
puissant, ouh la la.
Nous ne sommes pas sur un forum de cinéma pour post-pubères qui s'essayent
sans résultat, au Masque, au vitriol lapidaire. Dites ou ne dites pas. Et si
vous voulez être méchant, de grâce, faîtes-le avec la maestria des frères
Goncourt, de Groucho ou Sacha Guitry. Au moins, il y aura du contenu.
"diegel" a écrit dans le message de news: 49de2caf$0$17104$
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
vos zélateurs avoisinnent le niveau zéro. le texte d'origine ne valait d'ailleurs pas gran,d chose: un méli-mêlo ramassé dans un vide-ordure
Jugement de goût sans le moindre argument. Un classique use et inter-naute : dire trois mots au lieu de cent donne l'illusion d'une possible hauteur. Méli-mélo, par-contre, je veux bien, puisque je cite une anecdote personnelle qui est bien davantage de la politique des lois que d'une quelconque philosophie.
Mais puisque nous sommes sur Le forum de Philosophie de la hiérarchie francophone, j'attends forcément davantage qu'un papier gras, lui sentant pour de bon la poubelle : "Un méli-mélo ramassé dans un vide-ordure". C'est puissant, ouh la la.
Nous ne sommes pas sur un forum de cinéma pour post-pubères qui s'essayent sans résultat, au Masque, au vitriol lapidaire. Dites ou ne dites pas. Et si vous voulez être méchant, de grâce, faîtes-le avec la maestria des frères Goncourt, de Groucho ou Sacha Guitry. Au moins, il y aura du contenu.
sacha martinetti-levy
In news : 49de2983$0$11788$, Delestaque Publia :
sacha martinetti-levy wrote:
In news : 49db7c5e$0$5266$, sacha martinetti-levy Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ?
Plus maintenant, non.
Sacha
In news : 49de2983$0$11788$426a34cc@news.free.fr, Delestaque
<r.delestaque@free.fr> Publia :
sacha martinetti-levy wrote:
In news : 49db7c5e$0$5266$426a74cc@news.free.fr, sacha martinetti-levy
<sacha.retirez-moimartin@freesurf.fr> Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha
le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du
cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le
défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ?
In news : 49db7c5e$0$5266$, sacha martinetti-levy Publia :
Allons donc symboliquement et stupidement nous lever du lit de Sacha le Bienheureux et sa vue imprenable sur les meilleures parties du cochon en charcutaille.....notre chemin, notre tarîqa, je vous laisse le défendre.
tu crois franchement que quelqu un va se cogner 282 lignes sur usenet ?
Plus maintenant, non.
Sacha
sacha martinetti-levy
In news : 49de2caf$0$17104$, diegel Publia :
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages, voire en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit en moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent et se complexifient les règles. Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles parfois complexes. Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale, règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Bien entendu, je vous ai compris. Je suis d'ailleurs d'accord avec vous quant aux règles.
Je parle également des règles abusivement synonymes de lois. Une règle n'a pas forcément à être ajoutée d'une Loi coercitive et fonctionne souvent bien mieux lorsqu'elle est elle adoptée par les citoyens comme une évidence éthique. Je dis également qu'il serait complètement aberrant d'imaginer, du moins en l'état des choses et pour des millénaires, de réduire drastiquement le nombre de ces coercitions, donc pas ces règles, mais ces lois.
Je pense néanmoins que l'intelligence des lois/règles dont vous parlez in fine, réduirait grandement leur nombre, colmaterait nombre de fuites créées par leur surabondance et exploitées par les avocats spécialisés, et qu'en allant de nouveau vers une conscience plus approfondie des nécessités d'un certain ordre social en déliquescence, ces règles de vie commune auraient bien moins besoin d'être obligées par la Loi.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes. L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
Oui
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de moins en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non, toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont indubitables. Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès encore à réaliser ...
Je suis d'un naturel optimiste, mais certainement moins que le votre.
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ? Je ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question accessoire, en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des règles, multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
Ce à quoi je réponds plus haut, avec la sensation d'un certain accord avec vous !
--
Sacha
In news : 49de2caf$0$17104$ba4acef3@news.orange.fr, diegel
<diegel@orange.fr> Publia :
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi.
En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une
ligne,
en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule
débile
d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité
mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages,
voire
en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit
en
moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent
et se complexifient les règles.
Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une
forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles
parfois complexes.
Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale,
règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se
modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Bien entendu, je vous ai compris. Je suis d'ailleurs d'accord avec vous
quant aux règles.
Je parle également des règles abusivement synonymes de lois. Une règle n'a
pas forcément à être ajoutée d'une Loi coercitive et fonctionne souvent bien
mieux lorsqu'elle est elle adoptée par les citoyens comme une évidence
éthique.
Je dis également qu'il serait complètement aberrant d'imaginer, du moins en
l'état des choses et pour des millénaires, de réduire drastiquement le
nombre de ces coercitions, donc pas ces règles, mais ces lois.
Je pense néanmoins que l'intelligence des lois/règles dont vous parlez in
fine, réduirait grandement leur nombre, colmaterait nombre de fuites créées
par leur surabondance et exploitées par les avocats spécialisés, et qu'en
allant de nouveau vers une conscience plus approfondie des nécessités d'un
certain ordre social en déliquescence, ces règles de vie commune auraient
bien moins besoin d'être obligées par la Loi.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur
l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui
sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des
règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit
nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes.
L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en
plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
Oui
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et
des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de
moins
en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non,
toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont
indubitables.
Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès
encore
à réaliser ...
Je suis d'un naturel optimiste, mais certainement moins que le votre.
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ?
Je
ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus
importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit
nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question
accessoire,
en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté
qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une
liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des
règles,
multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont
pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que
dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de
l'intelligence des lois.] (diegel)
Ce à quoi je réponds plus haut, avec la sensation d'un certain accord avec
vous !
Négatif, cher Sacha, on n'a pas tout dit sur les lois, la loi. En tout cas, pas avant que diegel veuille bien en dire quelque chose.
Je place donc ici le texte de diegel dont vous n'avez pas compris une ligne, en m'étonnant que vous soyez à commenter, en 289 lignes, une formule débile d'une personne ne disposant plus, depuis longtemps, de toute sa mobilité mentale.
Place donc à la diegelienne parole.
[Un bavard ferait de ce sujet un livre au nombre considérable de pages, voire en plusieurs tomes, diegel, lui, étonnera en moins de trente lignes, soit en moins qu'une page.
On ne règle pas une société de plus en plus complexe sans que s'augmentent et se complexifient les règles. Même une société d'une centaine de traîne-lattes dans un coin perdu d'une forêt équatoriale est régit par un nombre important de règles, règles parfois complexes. Songez au nombre de règles qui existent dans la simple cellule familiale, règles non écrites mais qui n'en sont pas moins agissantes, règles qui se modifient, s'annulent et se remplacent, se complexifie.
Bien entendu, je vous ai compris. Je suis d'ailleurs d'accord avec vous quant aux règles.
Je parle également des règles abusivement synonymes de lois. Une règle n'a pas forcément à être ajoutée d'une Loi coercitive et fonctionne souvent bien mieux lorsqu'elle est elle adoptée par les citoyens comme une évidence éthique. Je dis également qu'il serait complètement aberrant d'imaginer, du moins en l'état des choses et pour des millénaires, de réduire drastiquement le nombre de ces coercitions, donc pas ces règles, mais ces lois.
Je pense néanmoins que l'intelligence des lois/règles dont vous parlez in fine, réduirait grandement leur nombre, colmaterait nombre de fuites créées par leur surabondance et exploitées par les avocats spécialisés, et qu'en allant de nouveau vers une conscience plus approfondie des nécessités d'un certain ordre social en déliquescence, ces règles de vie commune auraient bien moins besoin d'être obligées par la Loi.
Il y a lieu de constater que la totalité des règles ne pèse pas sur l'individu, qu'usuellement peu de règles, par rapport à cette somme, lui sont ordinairement opposées ou encombrent sa prudence. Si la somme des règles fait figure d'une jungle épaisse, l'individu n'enfreint qu'un petit nombre de règles dans son existence, et souvent toujours les mêmes. L'évolution de la société produit des individus naturellement de plus en plus réglés. Naître en complexité simplifie beaucoup de choses !
Oui
D'un côté nous avons les règles de tous les cas possibles de frottement et des cas nouveaux, d'un autre nous avons un corps social qui connaît de moins en moins de frottements internes. S'en rend t-il compte, certes non, toujours à ronchonner, mais les progrès qu'il a accomplit sont indubitables. Naître en progrès accomplis insensibilise aux progrès et aux progrès encore à réaliser ...
Je suis d'un naturel optimiste, mais certainement moins que le votre.
D'où vient alors la peur de l'excès de lois ? De quels excès s'agit-il ? Je ne suis pas sûr que l'activité réglementaire d'aujourdhui soit plus importante que par un passé de quelques décennies et que cette peur soit nouvelle; des spécialistes pourraient répondre à cette question accessoire, en annexe de la présente.
La peur de l'excès de lois provient essentiellement de la difficulté qu'éprouvent certains individus à évoluer et de l'impression fausse d'une liberté qui serait de plus en plus réduite par la multiplication des règles, multiplication qu'ils exagèrent ou ne comprennent pas, tandis qu'ils n'ont pas l'impression d'être de mieux en mieux protégés.
En vérité, diegel nous le dit, l'excès de lois ne sera jamais ailleurs que dans l'excès des lois.
A la question de l'abondance des lois, je réponds donc par la question de l'intelligence des lois.] (diegel)
Ce à quoi je réponds plus haut, avec la sensation d'un certain accord avec vous !
--
Sacha
diegel
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité. L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite. L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha !
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se
confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me
comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce
système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines
fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité.
L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite.
L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la
complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha !
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité. L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite. L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha !
sacha martinetti-levy
In news : 49df9f80$0$12654$, diegel Publia :
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité. L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite. L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha !
Comme quoi ceux qui aboient que l'on ne peut avoir une discussion avec vous n'essaient pas.
Bien à vous, et profitez surtout de ce temps magnifique !
--
Sacha
In news : 49df9f80$0$12654$ba4acef3@news.orange.fr, diegel
<diegel@orange.fr> Publia :
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se
confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me
comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce
système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines
fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité.
L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite.
L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la
complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha
!
Comme quoi ceux qui aboient que l'on ne peut avoir une discussion avec vous
n'essaient pas.
Bien à vous, et profitez surtout de ce temps magnifique !
Non, vous n'avez guère compris cette diegelienne parole, règle et loi se confondant strictement dans mon propos.
Aussi, cher Sacha, dois-je vous inviter à me relire pour tenter de me comprendre.
La notice d'utilisation d'un système est d'autant plus épaisse que ce système admet de fonctionnalités, le caractère intuitif de certaines fonctions couramment utilisées ne donnant lieu qu'à une notice abrégée.
Lois ou règles suivront la montée en complexité. L'intuition aussi, peut-être aussi vite, peut-être plus vite. L'être humain massivement intuitif, de science infuse, n'abolira ni la complexité, ni sa description.
Ne pas être d'accord avec diegel ? Je salue votre combattivité, cher Sacha !
Comme quoi ceux qui aboient que l'on ne peut avoir une discussion avec vous n'essaient pas.
Bien à vous, et profitez surtout de ce temps magnifique !
--
Sacha
diegel
L'âge de la majorité intellectuelle, l'immense majorité meure bien avant. diegel sait qu'on n'instruit pas un petit porteur d'opinion sans le ruiner. Aussi ne verra t-on pas diegel le poursuivre vainement de tranchée en tranchée. diegel se situe là, disponible et joueur, où des esprits témoignent d'une bonne intuition de son intelligence.
L'âge de la majorité intellectuelle, l'immense majorité meure bien avant.
diegel sait qu'on n'instruit pas un petit porteur d'opinion sans le ruiner.
Aussi ne verra t-on pas diegel le poursuivre vainement de tranchée en
tranchée.
diegel se situe là, disponible et joueur, où des esprits témoignent d'une
bonne intuition de son intelligence.
L'âge de la majorité intellectuelle, l'immense majorité meure bien avant. diegel sait qu'on n'instruit pas un petit porteur d'opinion sans le ruiner. Aussi ne verra t-on pas diegel le poursuivre vainement de tranchée en tranchée. diegel se situe là, disponible et joueur, où des esprits témoignent d'une bonne intuition de son intelligence.