bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est la
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà 2
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents nécessaires
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien faire
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne pourrai
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait ce
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un huissier,
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est la
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà 2
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents nécessaires
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien faire
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne pourrai
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait ce
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un huissier,
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est la
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà 2
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents nécessaires
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien faire
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne pourrai
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait ce
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un huissier,
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
bonjour,
mon locataire qui est un en fait un occupant sans droit ni titre qui est
définition juridique fait l'objet d'un jugement d'expulsion. je dois
attendre un délai de 2 mois pour faire appliquer ce jugement. aujourd'hui
mon locataire paie ses indemnités d'occupations quand ça lui chante. déjà
mois de non payés. il attend qu'on lui decerne un logement "social" pour
lequel il a la priorité (j'ai de mon côté fourni les documents
à ce dossier) mais le locataire lui, néglige de fournir les documents que
l'organisme lui réclame : du coup, on n'a pas pu lui attribuer le logement
vacant, et il reste dans mon immeuble en attendant qu'il veuille bien
le nécessaire pour boucler son dossier. après le 1er novembre je ne
plus l'expulser.
j'ai vraiment l'impression que même dans mon bon droit, le locataire fait
qu'il veut.Il joue avec les lois qui lui sont favorables.
avez vous des conseils pour d'une part, réclamer mes indemnités
d'occupation, et comment déclencher la mesure d'expulsion. J'ai un
que je n'arrive jamais à joindre malgré mes courriers.
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
"Fred" a écrit
[...]
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
Bonjour,
Je me permets d'ajouter qu'après la circulaire de M. Jean-Louis Borloo aux
préfets à propos des expulsions relevant des HLM, certains de ces préfets
généralisent son application aux bailleurs privés, et les services de la
préfecture parlant même de "loi Borloo".
Donc tout repose sur la négociation que vous pouvez avoir avec votre
occupant sans droit ni titre : les quelques indemnités d'occupation qu'il
voudra bien vous verser dans sa grande bonté seront sûrement la seule
compensation de votre préjudice, et sa célérité pour obtenir un logement
social est la seule chose qui le fera partir car le soutien de la force
publique devient de plus en plus hypothétique.
Je viens de vivre la même situation : le locataire qui ne payait plus ses
loyers depuis l'automne 2002 vient d'être expulsé fin juin. Il a fallu plus
de 6 mois pour obtenir l'ordonnance de référé (il parait que "ça a été
vite"). Elle est exécutoire, mais ça veut dire qu'il ne se passe strictement
rien après cette ordonnance si vous ne continuez pas à payer huissier,
commissaire pour l'explusion (il faut payer spécifiquement), serrurier, etc.
Tout ça, dans mon cas, a pris encore un an. Et encore, j'ai eu parait-il la
chance que mon dossier soit enclenché avant la susdite "loi Borloo".
"Fred" a écrit
[...]
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
Bonjour,
Je me permets d'ajouter qu'après la circulaire de M. Jean-Louis Borloo aux
préfets à propos des expulsions relevant des HLM, certains de ces préfets
généralisent son application aux bailleurs privés, et les services de la
préfecture parlant même de "loi Borloo".
Donc tout repose sur la négociation que vous pouvez avoir avec votre
occupant sans droit ni titre : les quelques indemnités d'occupation qu'il
voudra bien vous verser dans sa grande bonté seront sûrement la seule
compensation de votre préjudice, et sa célérité pour obtenir un logement
social est la seule chose qui le fera partir car le soutien de la force
publique devient de plus en plus hypothétique.
Je viens de vivre la même situation : le locataire qui ne payait plus ses
loyers depuis l'automne 2002 vient d'être expulsé fin juin. Il a fallu plus
de 6 mois pour obtenir l'ordonnance de référé (il parait que "ça a été
vite"). Elle est exécutoire, mais ça veut dire qu'il ne se passe strictement
rien après cette ordonnance si vous ne continuez pas à payer huissier,
commissaire pour l'explusion (il faut payer spécifiquement), serrurier, etc.
Tout ça, dans mon cas, a pris encore un an. Et encore, j'ai eu parait-il la
chance que mon dossier soit enclenché avant la susdite "loi Borloo".
"Fred" a écrit
[...]
Bref, si l'ex locataire refuse de partir, l'Huissier s'adresse à la
Préfecture ou la sous-préfecture pour demander le concours de la force
publique.
La Préfecture dispose d'un délai de deux mois pour répondre. Si la
Préfecture n'a pas répondu, ou si elle refuse explicitement, alors, et
seulement à partir de ce moment là, l'État vous indemnise - c'est prévu
par la loi, et certaines préfecture ont même un formulaire prévu pour et
vous l'envoie.
Voilà. Votre indemnisation par l'État ne commencera, au mieux, que 6
mois après le jugement. Pour les sommes dues avant cette date, elles
restent à la chage de l'ex locataire, donc, si il est insolvable ...
Bonjour,
Je me permets d'ajouter qu'après la circulaire de M. Jean-Louis Borloo aux
préfets à propos des expulsions relevant des HLM, certains de ces préfets
généralisent son application aux bailleurs privés, et les services de la
préfecture parlant même de "loi Borloo".
Donc tout repose sur la négociation que vous pouvez avoir avec votre
occupant sans droit ni titre : les quelques indemnités d'occupation qu'il
voudra bien vous verser dans sa grande bonté seront sûrement la seule
compensation de votre préjudice, et sa célérité pour obtenir un logement
social est la seule chose qui le fera partir car le soutien de la force
publique devient de plus en plus hypothétique.
Je viens de vivre la même situation : le locataire qui ne payait plus ses
loyers depuis l'automne 2002 vient d'être expulsé fin juin. Il a fallu plus
de 6 mois pour obtenir l'ordonnance de référé (il parait que "ça a été
vite"). Elle est exécutoire, mais ça veut dire qu'il ne se passe strictement
rien après cette ordonnance si vous ne continuez pas à payer huissier,
commissaire pour l'explusion (il faut payer spécifiquement), serrurier, etc.
Tout ça, dans mon cas, a pris encore un an. Et encore, j'ai eu parait-il la
chance que mon dossier soit enclenché avant la susdite "loi Borloo".
Je confirme, 18 mois d'attente est un délai courant - je dirais même
que c'est le minimum.
Le pire, c'est que la loi de lutte contre les exclusions de 1998 à
retiré ses pouvoirs à l'Huissier de Justice - comme je disais il peut
seulement demander à l'occupant si il veut bien partir, mais la
procédure est inchangée : on DOIT faire appel à l'Huissier.
Je confirme, 18 mois d'attente est un délai courant - je dirais même
que c'est le minimum.
Le pire, c'est que la loi de lutte contre les exclusions de 1998 à
retiré ses pouvoirs à l'Huissier de Justice - comme je disais il peut
seulement demander à l'occupant si il veut bien partir, mais la
procédure est inchangée : on DOIT faire appel à l'Huissier.
Je confirme, 18 mois d'attente est un délai courant - je dirais même
que c'est le minimum.
Le pire, c'est que la loi de lutte contre les exclusions de 1998 à
retiré ses pouvoirs à l'Huissier de Justice - comme je disais il peut
seulement demander à l'occupant si il veut bien partir, mais la
procédure est inchangée : on DOIT faire appel à l'Huissier.
Accessoirement, que risquerait Jean à forcer la porte et vider l'appart sur
le trottoir ? Dans la mesure ou son loc est "occupant sans titre", comment
pourrait-il (le loc) faire reconnaitre quoi que ce soit quant à son
occupation effective de l'appart ?
Sans vouloir pousser le manicheisme trop loin, est-ce que ca ne sera pas la
parole de Jean contre celle de son loc ? Alors dans ce cas, si Jean pretend
ne pas connaitre cet individu, etc
Avis de juristes ?
Accessoirement, que risquerait Jean à forcer la porte et vider l'appart sur
le trottoir ? Dans la mesure ou son loc est "occupant sans titre", comment
pourrait-il (le loc) faire reconnaitre quoi que ce soit quant à son
occupation effective de l'appart ?
Sans vouloir pousser le manicheisme trop loin, est-ce que ca ne sera pas la
parole de Jean contre celle de son loc ? Alors dans ce cas, si Jean pretend
ne pas connaitre cet individu, etc
Avis de juristes ?
Accessoirement, que risquerait Jean à forcer la porte et vider l'appart sur
le trottoir ? Dans la mesure ou son loc est "occupant sans titre", comment
pourrait-il (le loc) faire reconnaitre quoi que ce soit quant à son
occupation effective de l'appart ?
Sans vouloir pousser le manicheisme trop loin, est-ce que ca ne sera pas la
parole de Jean contre celle de son loc ? Alors dans ce cas, si Jean pretend
ne pas connaitre cet individu, etc
Avis de juristes ?
Principe :
"Nul n'est admis à se faire justice lui même" (ça c'est pour la morale)
Article 226-4 du Code Pénal : (violation de domicile) :
"L'introduction ou le maintien dans le domicile d'autrui à l'aide de
manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la
loi le permet, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros
d'amende."
Jurisprudence :
"L'intrusion de force du propriétaire constitue toujours une violation
de domicile, même si le bail est arrivé à expiration, du moment que le
locataire n'a pas encore rendu les clés, et même si le locataire n'a
plus droit au maintient dans les lieux. (Arrêt de la Chambre criminelle
de la Cour de Cassation du 22 janvier 1957).
Principe :
"Nul n'est admis à se faire justice lui même" (ça c'est pour la morale)
Article 226-4 du Code Pénal : (violation de domicile) :
"L'introduction ou le maintien dans le domicile d'autrui à l'aide de
manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la
loi le permet, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros
d'amende."
Jurisprudence :
"L'intrusion de force du propriétaire constitue toujours une violation
de domicile, même si le bail est arrivé à expiration, du moment que le
locataire n'a pas encore rendu les clés, et même si le locataire n'a
plus droit au maintient dans les lieux. (Arrêt de la Chambre criminelle
de la Cour de Cassation du 22 janvier 1957).
Principe :
"Nul n'est admis à se faire justice lui même" (ça c'est pour la morale)
Article 226-4 du Code Pénal : (violation de domicile) :
"L'introduction ou le maintien dans le domicile d'autrui à l'aide de
manoeuvres, menaces, voies de fait ou contrainte, hors les cas où la
loi le permet, est puni d'un an d'emprisonnement et de 15000 euros
d'amende."
Jurisprudence :
"L'intrusion de force du propriétaire constitue toujours une violation
de domicile, même si le bail est arrivé à expiration, du moment que le
locataire n'a pas encore rendu les clés, et même si le locataire n'a
plus droit au maintient dans les lieux. (Arrêt de la Chambre criminelle
de la Cour de Cassation du 22 janvier 1957).