Je vient d'apprendre, dans un post precedent,
que les capteurs numerique avais une dynamique
limitée. J'avais deja constaté ce phenomene si
on pointe sont objetif d'une source de lumiere
elevée à une source de lumiere plus faible
(ombre et soleil par exemple) on entend un petit
"clic" et la luminosite a l'ecran LCD change.
Je suppose donc qu'il en est de meme pour le capteur.
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic
vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
(entre 2 "clic") (je sais pas si je me fait bien comprendre)
Juste de facon comparative pour me donner une idée.
Par avance merci.
NB : j'espere que : Pehache lira se post.
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Harry COVER
pouf wrote:
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ? (entre 2 "clic") (je sais pas si je me fait bien comprendre) Juste de facon comparative pour me donner une idée. Par avance merci.
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique, voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines pellicules; là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de nuances de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que les images raw
voici un lien qui explique les avantages du mode raw http://www.luminous-landscape.com/tutorials/understanding-series/u-raw-files.shtml quelqu'un ici avait donné un autre lien en français mais je ne l'ai pas noté
NB : j'espere que : Pehache lira se post.
-- http://www.rando-photo.tk/
http://cerbermail.com/?P5rAOr6d6n
pouf wrote:
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic
vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
(entre 2 "clic") (je sais pas si je me fait bien comprendre)
Juste de facon comparative pour me donner une idée.
Par avance merci.
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique,
voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines pellicules;
là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais
très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de nuances
de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui
explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que
les images raw
voici un lien qui explique les avantages du mode raw
http://www.luminous-landscape.com/tutorials/understanding-series/u-raw-files.shtml
quelqu'un ici avait donné un autre lien en français mais je ne l'ai pas noté
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ? (entre 2 "clic") (je sais pas si je me fait bien comprendre) Juste de facon comparative pour me donner une idée. Par avance merci.
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique, voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines pellicules; là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de nuances de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que les images raw
voici un lien qui explique les avantages du mode raw http://www.luminous-landscape.com/tutorials/understanding-series/u-raw-files.shtml quelqu'un ici avait donné un autre lien en français mais je ne l'ai pas noté
NB : j'espere que : Pehache lira se post.
-- http://www.rando-photo.tk/
http://cerbermail.com/?P5rAOr6d6n
François Jouve
pouf wrote:
Bonjour. (soir)
Je vient d'apprendre, dans un post precedent, que les capteurs numerique avais une dynamique limitée.
exact
J'avais deja constaté ce phenomene si on pointe sont objetif d'une source de lumiere elevée à une source de lumiere plus faible (ombre et soleil par exemple) on entend un petit "clic" et la luminosite a l'ecran LCD change.
Rien à voir. Vous avez sans doute un apn compact à petit capteur qui n'a pas de diaphragme. En cas de forte luminosité il interpose un filtre gris ayant eventuellement un masque de plus faible diametre. Vous pouvez le voir en regardant dans l'objectif au moment du "clic".
Je suppose donc qu'il en est de meme pour le capteur.
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
c'est compliqué à evaluer. En tout cas c'est différent selon que votre apn ne sort que du jpg ou bien aussi du raw.
-- F.J.
pouf wrote:
Bonjour. (soir)
Je vient d'apprendre, dans un post precedent,
que les capteurs numerique avais une dynamique
limitée.
exact
J'avais deja constaté ce phenomene si
on pointe sont objetif d'une source de lumiere
elevée à une source de lumiere plus faible
(ombre et soleil par exemple) on entend un petit
"clic" et la luminosite a l'ecran LCD change.
Rien à voir. Vous avez sans doute un apn compact
à petit capteur qui n'a pas de diaphragme. En cas
de forte luminosité il interpose un filtre gris
ayant eventuellement un masque de plus faible diametre.
Vous pouvez le voir en regardant dans l'objectif au moment
du "clic".
Je suppose donc qu'il en est de meme pour le capteur.
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic
vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
c'est compliqué à evaluer.
En tout cas c'est différent selon que votre apn ne sort
que du jpg ou bien aussi du raw.
Je vient d'apprendre, dans un post precedent, que les capteurs numerique avais une dynamique limitée.
exact
J'avais deja constaté ce phenomene si on pointe sont objetif d'une source de lumiere elevée à une source de lumiere plus faible (ombre et soleil par exemple) on entend un petit "clic" et la luminosite a l'ecran LCD change.
Rien à voir. Vous avez sans doute un apn compact à petit capteur qui n'a pas de diaphragme. En cas de forte luminosité il interpose un filtre gris ayant eventuellement un masque de plus faible diametre. Vous pouvez le voir en regardant dans l'objectif au moment du "clic".
Je suppose donc qu'il en est de meme pour le capteur.
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
c'est compliqué à evaluer. En tout cas c'est différent selon que votre apn ne sort que du jpg ou bien aussi du raw.
-- F.J.
pehache
"pouf" a écrit dans le message de news: ca77nu$cv9$
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
Un film négatif enregistre la lumière facilement sur 10 IL (+1 IL correspond à 2x plus de lumière). Ca correspond à la partie linéaire de la courbe. Si on inclue le pied et l'épaule de la courbe (parties non-linéaires) on arrive dans les 15 IL.
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe avec le film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL: si on veut exposer correctement une scène contrastée, on a toutes les chances de cramer les hautes lumières (signal brutalement écrêté au-delà des 12bits disponibles). La stratégie consiste alors à sous-exposer légèrement, de sorte à ce que les hautes lumières rentrent dans les 12bits, et à jouer intelligemment sur les courbes de luminosité en post-traitement afin de redonner une luminosité "normale" à l'image sans cramer les hautes lumières (en les tassant, ou en les masquant).
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
"pouf" <pouf@nomail.com> a écrit dans le message de news:
ca77nu$cv9$1@news-reader2.wanadoo.fr...
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic
vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
Un film négatif enregistre la lumière facilement sur 10 IL (+1 IL correspond
à 2x plus de lumière). Ca correspond à la partie linéaire de la courbe. Si
on inclue le pied et l'épaule de la courbe (parties non-linéaires) on arrive
dans les 15 IL.
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si
mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe avec le
film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL: si on veut exposer
correctement une scène contrastée, on a toutes les chances de cramer les
hautes lumières (signal brutalement écrêté au-delà des 12bits disponibles).
La stratégie consiste alors à sous-exposer légèrement, de sorte à ce que les
hautes lumières rentrent dans les 12bits, et à jouer intelligemment sur les
courbes de luminosité en post-traitement afin de redonner une luminosité
"normale" à l'image sans cramer les hautes lumières (en les tassant, ou en
les masquant).
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre
remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
"pouf" a écrit dans le message de news: ca77nu$cv9$
Je souhaiterais savoir, si on estime que l'argentic vat de 0 à 100 quel serait la valeur du numerique ?
Un film négatif enregistre la lumière facilement sur 10 IL (+1 IL correspond à 2x plus de lumière). Ca correspond à la partie linéaire de la courbe. Si on inclue le pied et l'épaule de la courbe (parties non-linéaires) on arrive dans les 15 IL.
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe avec le film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL: si on veut exposer correctement une scène contrastée, on a toutes les chances de cramer les hautes lumières (signal brutalement écrêté au-delà des 12bits disponibles). La stratégie consiste alors à sous-exposer légèrement, de sorte à ce que les hautes lumières rentrent dans les 12bits, et à jouer intelligemment sur les courbes de luminosité en post-traitement afin de redonner une luminosité "normale" à l'image sans cramer les hautes lumières (en les tassant, ou en les masquant).
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
pehache
"Harry COVER" a écrit dans le message de news: 40c72713$0$26904$
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique, voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines pellicules;
là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de nuances
de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que les images raw
Non, le problème n'est pas vraiment là, car les fichiers RAW sont dans un espace linéaire (valeur enregistrée proportionnelle à la quantité de lumière reçue), alors que les JPG sont en général dans des espaces de gamma 2.2 (valeur enregistré proportionnelle à la (lumière reçue)^(1/2.2)). Or 8 bits en gamma 2.2 permettent la même dynamique que 12 bits en linéaire (et même un peu plus).
Sur les cas difficiles, si la prise de vue n'est pas un peu sous-exposée, même le RAW aura les hautes cramées.
Par contre, on ne sait pas bien tout ce que font les appareils quand ils calculent le fichier JPG: il est fort probable que des corrections de luminosité-contraste soient appliquées à ce stade, conduisant à des pertes irréversibles d'information.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
"Harry COVER" <harycover@ifrance.com> a écrit dans le message de news:
40c72713$0$26904$626a14ce@news.free.fr...
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique,
voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines
pellicules;
là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais
très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de
nuances
de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui
explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que
les images raw
Non, le problème n'est pas vraiment là, car les fichiers RAW sont dans un
espace linéaire (valeur enregistrée proportionnelle à la quantité de lumière
reçue), alors que les JPG sont en général dans des espaces de gamma 2.2
(valeur enregistré proportionnelle à la (lumière reçue)^(1/2.2)). Or 8 bits
en gamma 2.2 permettent la même dynamique que 12 bits en linéaire (et même
un peu plus).
Sur les cas difficiles, si la prise de vue n'est pas un peu sous-exposée,
même le RAW aura les hautes cramées.
Par contre, on ne sait pas bien tout ce que font les appareils quand ils
calculent le fichier JPG: il est fort probable que des corrections de
luminosité-contraste soient appliquées à ce stade, conduisant à des pertes
irréversibles d'information.
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre
remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
"Harry COVER" a écrit dans le message de news: 40c72713$0$26904$
les images enregistrées en raw égalent la dynamique d'un film argentique, voire même la dépassent selon certains modèles contre certaines pellicules;
là où le problème se pose c'est quand on sauve en jpeg bits :
1 : la transformation raw> jpeg se fait dans l'appareil (qui n'est jamais très fûté)
2 : on passe de 12 bits à 8 bits / canal (RVB) soit 16 fois moins de nuances
de luminosité et 4096 fois moins de nuances de couleurs en tout, ce qui explique pourquoi le jpeg est beaucoup plus fragile au post traitement que les images raw
Non, le problème n'est pas vraiment là, car les fichiers RAW sont dans un espace linéaire (valeur enregistrée proportionnelle à la quantité de lumière reçue), alors que les JPG sont en général dans des espaces de gamma 2.2 (valeur enregistré proportionnelle à la (lumière reçue)^(1/2.2)). Or 8 bits en gamma 2.2 permettent la même dynamique que 12 bits en linéaire (et même un peu plus).
Sur les cas difficiles, si la prise de vue n'est pas un peu sous-exposée, même le RAW aura les hautes cramées.
Par contre, on ne sait pas bien tout ce que font les appareils quand ils calculent le fichier JPG: il est fort probable que des corrections de luminosité-contraste soient appliquées à ce stade, conduisant à des pertes irréversibles d'information.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Jean-Claude Ghislain
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe avec le film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL
On rencontre exactement le même "problème" - il faudrait plutôt dire la même limitation - en audio. Lorsqu'on enregistre en analogique, on peut laisser aller les aiguilles dans le rouge (pas trop quand même), le signal est un peu "écrasé" mais parfaitement audible et utilisable ; en numérique la moindre saturation rend l'enregistrement inécoutable...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si
mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe
avec le film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL
On rencontre exactement le même "problème" - il faudrait plutôt dire la
même limitation - en audio. Lorsqu'on enregistre en analogique, on peut
laisser aller les aiguilles dans le rouge (pas trop quand même), le signal
est un peu "écrasé" mais parfaitement audible et utilisable ; en numérique
la moindre saturation rend l'enregistrement inécoutable...
Un capteur enregistre sur 12bits, soit 12 IL. Ce qui n'est en soi pas si mal, en fait. Le "problème" est que contrairement à ce qui se passe avec le film, il n'y a pas de tolérance au-delà de ces 12 IL
On rencontre exactement le même "problème" - il faudrait plutôt dire la même limitation - en audio. Lorsqu'on enregistre en analogique, on peut laisser aller les aiguilles dans le rouge (pas trop quand même), le signal est un peu "écrasé" mais parfaitement audible et utilisable ; en numérique la moindre saturation rend l'enregistrement inécoutable...