Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
micol a écrit :Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants" en moins d'efforts en minimisant les
efforts et les coûts pour la machine. Par conséquent, il n'hésite pas à
négliger des affaires ou des dossiers qui ne lui rapportent rien, hormis
des heures de paperasse qui de toute façon aboutiraient à une relaxe ou
à une condamnation très légère par le juge.
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
micol a écrit :
Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants" en moins d'efforts en minimisant les
efforts et les coûts pour la machine. Par conséquent, il n'hésite pas à
négliger des affaires ou des dossiers qui ne lui rapportent rien, hormis
des heures de paperasse qui de toute façon aboutiraient à une relaxe ou
à une condamnation très légère par le juge.
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
micol a écrit :Bonsoir.
L'année dernière, j'ai été insulté et jeté à terre par un voyou sorti
d'une voiture alors que j'étais à vélo donc incapable de me défendre.
Il me reprochait de ne pas dégager la route assez vite.
Police secours est intervenue et mon agresseur a été identifié, ainsi
que la conductrice de la voiture dont il était sorti.
Le lendemain, je suis allé déposer plainte. J'ai dit que je pensais
que la conductrice était la mère de mon agresseur. L'agent qui
enregistrait ma plainte m'a dit qu'en effet les noms correspondaient.
On ne m'aurait pas fait cette réponse si les identités de ces
personnes étaient inconnues.
Quelque mois plus tard, le parquet classait sans suite pour motif de
"auteur inconnu".
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Non seulement le procureur connaît parfaitement l'identité de mon
agresseur, mais il sait aussi que je suis au courant. Ce qui ne
l'empêche pas de répéter sans vergogne son mensonge.
Que puis-je faire ?
Je n'accepte pas de laisser tomber.
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants" en moins d'efforts en minimisant les
efforts et les coûts pour la machine. Par conséquent, il n'hésite pas à
négliger des affaires ou des dossiers qui ne lui rapportent rien, hormis
des heures de paperasse qui de toute façon aboutiraient à une relaxe ou
à une condamnation très légère par le juge.
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
Prenez un avocat et mandatez le afin de diligenter une citation directe à
comparaitre, vous allez voir si votre agresseur pourra sauvez ses fesses à
si bon compte.
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Prenez un avocat et mandatez le afin de diligenter une citation directe à
comparaitre, vous allez voir si votre agresseur pourra sauvez ses fesses à
si bon compte.
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
Prenez un avocat et mandatez le afin de diligenter une citation directe à
comparaitre, vous allez voir si votre agresseur pourra sauvez ses fesses à
si bon compte.
J'ai cru à une erreur et me suis adressé à un avocat pour demander une
citation à comparaître. Elle vient d'être rejetée pour le même motif.
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un tribunal,
il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous bastonne, vengez
vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir la police ou de
porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose sauf si un médecin vous
délivre plusieurs jours d'arrêt de travail (et encore...)
On Fri, 26 Sep 2008 21:51:43 +0200, anonym wrote:
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un
tribunal, il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous
bastonne, vengez vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir
la police ou de porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose
sauf si un médecin vous délivre plusieurs jours d'arrêt de travail
(et encore...)
J'ai eu 3 jours.
On Fri, 26 Sep 2008 21:51:43 +0200, anonym <anon@gmail.com> wrote:
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un
tribunal, il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous
bastonne, vengez vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir
la police ou de porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose
sauf si un médecin vous délivre plusieurs jours d'arrêt de travail
(et encore...)
J'ai eu 3 jours.
On Fri, 26 Sep 2008 21:51:43 +0200, anonym wrote:
La justice est un concept très relatif.
Pour les petits délits, ne pas compter sur la police ou sur un
tribunal, il faut se faire justice soit même... Si un voyou vous
bastonne, vengez vous discrètement. Cela ne sert à rien d'aller voir
la police ou de porter plainte, cela ne mènera pas à grand chose
sauf si un médecin vous délivre plusieurs jours d'arrêt de travail
(et encore...)
J'ai eu 3 jours.
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
anonym a écrit :Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
Il faut donc chopper l'agresseur dans un coin noir la semaine prochaine
et lui péter "moyennement" les dents pour éviter de tomber dans le cadre
des délits condamnables ?
anonym a écrit :
Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
Il faut donc chopper l'agresseur dans un coin noir la semaine prochaine
et lui péter "moyennement" les dents pour éviter de tomber dans le cadre
des délits condamnables ?
anonym a écrit :Les tribunaux français sont débordés, et croulent sous la bureaucratie.
Un procureur n'a aucun intérêt à faire condamner pour "petits délits":
le proc est un fonctionnaire qui pense à son plan de carrière. Pour
évoluer dans le métier, il faut qu'il aligne le max de condamnation pour
des délits et crimes "importants"
Il faut donc chopper l'agresseur dans un coin noir la semaine prochaine
et lui péter "moyennement" les dents pour éviter de tomber dans le cadre
des délits condamnables ?