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Même quand nous avons tort, nous avons raison et vous devez le reconnaître !

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jacobs
Bonjour Olivier Mukuna, vous êtes un journaliste belge d’origine
congolaise spécialisé dans les médias et vous venez de sortir "Egalité
Zéro, enquête sur le procès médiatique de Dieudonné" (Editions Blanche),
pouvez-vous me dire de prime abord comment est né cet ouvrage, quel en a
été le déclic ?

Une double indignation. Professionnelle et personnelle. Depuis plus de
deux ans, on ne peut pas dire que Dieudonné ait bénéficié du «
pluralisme » des médias dominants. Comme d’autres affaires (la fausse
agression antisémite du RER D, le faux terroriste-bagagiste de Roissy,
les faux pédophiles d’Outreau, etc.), « l’affaire Dieudonné » a confirmé
que le pluralisme médiatique français se trouve plongé dans un coma
profond. Un an avant son fameux sketch télévisé, j’avais interviewé
Dieudonné pour l’hebdo belge Le Journal du mardi. J’avais rencontré un
citoyen engagé, passionné, critique, drôle, épris de justice et
d’égalité. Bref : une personne intéressante aux antipodes du « raciste
anti-juif » que beaucoup ont dépeint par la suite. Je lui ai donc
proposé un livre d’entretien (1) pour qu’il ait la possibilité de
développer son engagement tout en lui renvoyant les accusations et
critiques qu’il avait provoqué.

Après la publication de ce livre - totalement boycotté par la presse
française et médiatisé normalement en Belgique -, je prévoyais de passer
à autre chose. Mais, à partir du 18 février 2005, sur la base d’une
intox non vérifiée, hypermédiatisée et récupérée par certains
politiques, les médias français se sont livrés à une chasse aux
sorcières d’une rare hystérie. Durant une douzaine de jours consécutifs,
un ou plusieurs médias audiovisuels ont violemment condamné Dieudonné en
tant que « symbole du nouvel antisémitisme ». Le mois suivant, pas moins
de 40 articles de presse différents - soit plus d’un par jour - feront
de même. Un lynchage médiatique qui conduira, notamment, quatre jeunes
français sionistes à agresser physiquement Dieudonné. Information
scandaleusement censurée par l’audiovisuel de service public et
minimisée par le reste de la presse.

Ces différents éléments m’ont motivé à enquêter sur une dimension
souvent ignorée lorsqu’on évoque Dieudonné : son procès médiatique. Avec
« Egalité Zéro », je propose une alternative journalistique, précise et
argumentée, à la somme de désinformations sur le sujet. Celles et ceux
qui ne vont pas sur Internet oublient souvent que ce qu’ils savent sur
Dieudonné vient essentiellement d’un discours médiatique univoque que
certains, par intérêt personnel ou paresse intellectuelle, relayent sans
vérifier.

Bien que ce livre soit centré sur l’affaire Dieudonné, on peut dire que
le message en filigrane de votre livre est que les médias français sont
malades et qu’il faut véritablement apprendre à les décoder pour avoir
une vision juste de la réalité de la Presse ?

Pour décoder les médias ou d’autres sujets d’importance, il faut surtout
diversifier ses sources d’infos et ne pas se contenter de la télé et de
la radio. Les médias français dominants ne sont pas « malades », mais
fonctionnent selon une inquiétante subordination au système marchand et
aux politiques qui le défendent. Un mode de fonctionnement qui les
conduit à s’adresser aux publics comme à de stricts consommateurs
frénétiques, à renforcer les clichés abrutissants et à produire une
uniformisation du discours journalistique au sein duquel réflexions
critiques et vérifications sont devenus accessoires. Le lynchage dont a
été victime Dieudonné, comme d’autres avant lui, ne se déclenche pas tel
un malencontreux « accès de fièvre » ou par « emballement », pour
utiliser le terme exonératoire et fallacieux des journalistes de meute.
Il s’agit de décisions qui, si elles sont davantage pavloviennes que
réfléchies, n’en sont pas moins prises en fonction d’intérêts
économiques, d’interprétations et de positionnements politiques et d’un
substrat culturel ethnocentriste.

Comme le souligne justement le journaliste et écrivain, Denis Robert : «
A partir du moment où des financiers ou des gens qui sont intéressés par
faire de l’argent mettent les mains, les pieds, de l’argent dans un
journal, une télévision ou une société d’édition, on est pas loin de la
mort ou de l’agonie parce que ces gens-là font de la finance et ne font
pas de l’information » (2) ... Dans ce système médiatique où PDG de
multinationales, financiers, annonceurs, politiciens de gauche comme de
droite et directeurs de médias caporalisés font pression, il reste les
journalistes. En principe, ceux-ci ont le devoir professionnel d’assurer
la transmission d’une information exacte, complète et honnête. Ce qui
est sans rapport avec le mythe entretenu de « l’objectivité ». La mise
en scène journalistique d’une information n’est jamais « objective »,
mais le respect de l’exactitude des faits et l’honnêteté intellectuelle
sont deux impératifs qui tempèrent la subjectivité de chaque
journaliste. Et lorsqu’il y a polémique ou controverse : on se doit de
médiatiser de manière équilibrée les principaux points de vue et non un
seul, celui qui arrange parce que « politiquement, médiatiquement et
économiquement » correct. Autant d’impératifs journalistiques
complètement bafoués dans le traitement médiatique global de l’affaire
Dieudonné.

Malheureusement, l’intérêt personnel, le corporatisme, la précarisation
croissante du métier mais aussi, il faut le dire, la bêtise, l’ignorance
et la lâcheté conduit beaucoup de journalistes à suivre la direction du
vent dominant. C’est beaucoup plus simple et ça évite les ennuis. Durant
mon enquête, j’ai rencontré plusieurs journalistes. A deux exceptions
près, tous refusaient d’être nommément cités. Par crainte de
représailles ou de perdre leur boulot. Tous avaient en commun d’être
très critiques ou en désaccord partiel avec le traitement médiatique de
l’affaire Dieudonné. En France, il y a une perte de l’indispensable
honneur qu’implique cette profession.

En quoi Dieudonné est un déclencheur médiatique aussi fort, parce qu’il
touche aux grands tabous des médias français ?

Il a effectivement bousculé plusieurs tabous médiatiques tels que la
critique sans fards de l’intégrisme sioniste, l’occultation
politico-médiatique délibérée du passé esclavagiste de l’Empire français
et la hiérarchisation actuelle de la lutte politique et médiatique
contre les différentes formes de racisme. Sur le premier point,
l’affaire des caricatures de Mahomet a mis en évidence la défense d’une
« liberté d’expression à géométrie variable » chez certains médias et
journalistes qui, deux ans plus tôt, déniaient avec force cette liberté
d’expression au sketch de Dieudonné. En clair : on peut rire de l’Islam
et amalgamer tous les musulmans aux terroristes intégristes, mais on ne
peut pas ridiculiser les intégristes sionistes qui instrumentalisent le
Judaïsme à des fins colonialistes.

En ce qui concerne le second tabou, j’explique précisément dans mon
livre comment et pourquoi une majorité de médias finira par récupérer
les dénonciations de Dieudonné sur l’invisibilité de la mémoire de
l’Esclavage. Ce qu’ils ne s’étaient jamais décidés à faire auparavant
lorsque d’autres dénonçaient la même problématique. Enfin, sur le
dernier point, l’impunité et la mansuétude médiatiques dont ont
bénéficié Marc-Olivier Fogiel (condamné pour racisme anti-noir) et Alain
Finkielkraut (auteur d’un entretien truffé de diatribes anti-noirs et
anti-rabes) ont confirmé les dénonciations de Dieudonné sur la
persistance d’un « deux poids deux mesures ».

Mais je pense que l’humoriste engagé a aussi payé son refus de se plier
à un certain diktat médiatique que l’on peut résumer ainsi : « Même
quand nous avons tort, nous avons raison et vous devez le reconnaître !
». C’est toute la dérive de ce quatrième pouvoir ivre de sa « liberté
d’informer ». Une liberté qui impose pourtant une responsabilité, une
autocritique et, en cas de faute, l’amende honorable.

Ce que sous-entend clairement votre ouvrage c’est que Dieudonné est
attaqué dans la Presse et défendu par le peuple... ce qui justement peut
faire peur à pas mal de monde... C’est pour cela qu’on en a fait un bouc
émissaire ?

Qui a intérêt à une véritable égalité effective ? Certainement pas les
puissants de la société française, en ce compris les dirigeants de mass
médias et le petit groupe de journalistes, éditorialistes et animateurs
médiatiques surpayés. Parallèlement à un combat pour une égalité de
traitement entre tous les citoyens, Dieudonné s’inscrit dans une
opposition élites/peuple en rejetant notamment le recours à l’imposture,
au double discours et à l’escroquerie intellectuelle trop souvent
utilisés à gauche comme à droite. Cette parole libre conjuguée à un
certain courage plaît effectivement à une partie des classes populaires
et des classes moyennes. Sa récente visite au Salon de l’Agriculture a
confirmé l’existence d’une bienveillance populaire à son égard. Enfin,
son analyse critique et argumentée dérange beaucoup ceux qui profitent
du statu quo socio-politique et récoltent les dividendes de la montée
des communautarismes. Ces personnes ont tout intérêt à agiter ou
alimenter une accusation « raciale » qui permet de faire écran et de ne
pas débattre du fond des problèmes soulevés par Dieudonné. Elles auront
en partie atteint leur but si l’humoriste engagé ne parvenait pas à
réunir les 500 signatures nécessaires pour être candidat aux prochaines
élections présidentielles ...

Vous avez travaillé des mois sur des centaines d’archives concernant
Dieudonné, qu’est-ce qui vous a le plus surpris suite à ce travail de
recherche ?

A vrai dire, beaucoup de choses m’ont époustouflé. Mais je vais en
sélectionner quatre. D’abord, la capacité de mensonge, toujours
renouvelée, d’un Ardisson, d’un BHL et d’une série de types qui se
prétendent journalistes. Ensuite, le militantisme sioniste acharné de
radios communautaires, telle que RCJ, dont il semble qu’une des closes
du cahier des charges consiste à mettre tout Français juif sous haute
tension. Notamment avec les fréquentes interventions alarmistes,
délirantes et dangereuses d’Alain Finkielkraut et d’Elizabeth Schemla.
Troisièmement : le suivisme affligeant des journalistes qui ont
cautionné la censure audiovisuelle de l’agression de Dieudonné ou le
soutien d’Aimé Césaire à l’humoriste engagé. Enfin, la suffisance
ethnocentriste de la majorité des éditorialistes et autres invités
médiatiques permanents. Ces gens sont totalement déconnectés des
réalités du peuple français multicolore et n’ont vraiment aucune idée de
ce qu’implique le fait d’être non-blanc dans leur pays. En fait, ils
s’en contrefoutent...

L’affaire Dieudonné finalement créait pour la première fois un
électrochoc médiatique qui permet que l’on débatte enfin sur
l’antisémitisme ou le pseudo-antisémitisme et sur la cause noire et
l’esclavage ?

Les accusations grotesques portées contre Pascal Boniface ou Tariq
Ramadan avaient déjà mis en débat ce chantage à l’antisémitisme. Mais «
l’affaire Dieudonné » a mis en lumière l’hystérie liberticide et
violente (censures de spectacles suite aux menaces et pressions
extérieures, agressions physiques, harcèlement judiciaire, boycott
télés) d’un lobby sioniste composé de politiques, intellectuels,
journalistes, producteurs de cinéma et extrémistes adeptes du « coup de
poing ». Sur ce sujet hautement tabou, le débat n’a pas été médiatique,
mais il est désormais ouvert dans la société française. Plutôt que de «
cause noire et d’esclavage », je parlerais davantage de revendications
égalitaires des Français noirs devant l’Histoire en lien avec une
acceptation sociale contemporaine. Pas « intégration », mais acceptation
! Ces français dont les parents et grands-parents ont enduré le
colonialisme ou sont morts en se battant pour la France durant la
seconde guerre mondiale ne sont toujours pas acceptés comme des citoyens
à part entière. Ils n’ont pas à « s’intégrer » mais doivent être
acceptés tels qu’ils sont, avec l’entièreté de leur héritage culturel et
historique. Enfin, sur la visibilité de la mémoire de l’esclavage,
Dieudonné a effectivement obtenu un résultat médiatique qu’aucun
promoteur de ce thème n’avait obtenu avant lui. J’utilise cette
métaphore dans mon livre : « Devant la porte fermée de la
reconnaissance, certains ont frappé poliment durant des années, d’autres
l’ont mise à mal en tambourinant dessus, mais c’est Dieudonné qui l’a
défoncée ». Face à la mauvaise foi récurrente, à la persistance d’un
esprit colonialiste et à la tolérance du racisme insidieux, on ne peut
faire l’économie d’un discours de rupture.

Quelles précautions intellectuelles ou autocensures avez-vous prises
pour ne pas faire le livre d’un noir qui tente d’analyser l’acharnement
médiatique contre un autre noir et faire de cet ouvrage un outil qui
dépasse largement le cas Dieudo ?

Ce qui m’amuse dans votre question, c’est qu’on ne la poserait pas à un
journaliste blanc qui aurait enquêté et écrit sur une personnalité
blanche controversée. Le fait qu’ils aient la même couleur de peau
n’apparaîtrait pas comme une suspicion de connivence communautaire
orientant le contenu du travail produit. Demanderiez-vous à la
journaliste qui a récemment publié un livre sur Cécilia Sarkozy si
celle-ci a pris des « précautions intellectuelles » parce qu’elle est
blanche et femme comme son sujet d’enquête ? Seuls les blancs seraient
donc capables d’une démarche journalistique et littéraire non
communautaire ?

Dieudonné et le traitement médiatique qui lui a été réservé méritaient
un livre parce que l’homme a provoqué un débat de société qui dépasse sa
propre individualité et qui contraint chacun à se positionner.

Néanmoins, votre question permet de développer l’aspect personnel qui
m’a aussi conduit à écrire « Egalité Zéro ». Le fait que je sois métis -
c’est-à-dire noir et blanc - et Dieudonné également nous rapproche dans
le rejet de toute forme de communautarisme. Nous sommes héritiers d’une
histoire similaire qui comprend cette richesse que constitue une double
culture. Mais l’une d’entre-elles, la « noire », reste dénigrée,
infériorisée et folklorisée au sein des sociétés occidentales. Il est
légitime de le dénoncer. Contrairement à certains « chevaliers de
l’antiracisme », Dieudonné, moi-même et la plupart des bronzés d’Europe
avons subi le racisme, du plus insidieux au plus ordurier. Pour nous,
depuis l’enfance, le racisme n’est pas une donnée théorique, mais un
comportement néfaste à combattre d’où qu’il vienne !

Donc, lorsque certaines personnes monoculturelles me font entendre une
sorte d’invitation à choisir, à privilégier, à me « clarifier », cela a
tendance à m’exaspérer. Si vous n’avez pas à choisir entre votre père et
votre mère, pourquoi les métis auraient-ils à choisir entre les couleurs
et les cultures différentes de leurs parents ? Au-delà des apparences,
des couleurs et des religions, mon livre s’adresse à ceux qui ont envie
de s’informer et de réfléchir. Pour répondre à votre question, je n’ai
donc pas pris de précaution intellectuelle particulière sinon celle que
m’impose mon métier : offrir une scrupuleuse présentation factuelle à
partir de laquelle découle mes analyses.

Etes-vous optimiste pour l’avenir, que prédisez-vous pour Dieudonné dans
son action à venir ?

Au vu de la capacité de résistance impressionnante de Dieudonné, il n’y
a pas de raison d’être pessimiste. Ce qui est néanmoins prévisible,
c’est que certains adversaires politiques de Dieudonné n’hésiteront pas
à se livrer aux pires ignominies pour tenter de le salir. La dernière en
date étant l’amalgame répugnant de Julien Dray, porte-parole du PS, qui
a associé, le 19 février 2006, l’assassinat crapuleux d’Ilan Halimi à un
« effet Dieudonné ».

Une telle instrumentalisation irresponsable et irrationnelle montre en
quel mépris ce politicien tient la douleur irréparable de la famille du
jeune homme, mais aussi les 21 relaxes judiciaires successives de
Dieudonné et enfin, la capacité d’analyse critique de ses concitoyens.
Il est aussi effarant d’observer la lâcheté de la classe politique. Quel
représentant de parti a condamné publiquement cette incitation à la
haine raciale ? Je rappelle que, lors de la manifestation en hommage à
Ilan Halimi (26 février 2006), circulaient des tracts reprenant la photo
de Dieudonné et celle de Youssouf Fofana, en dessous desquelles on
pouvait lire « Penseur » pour l’humoriste engagé et « Tueur » pour
l’assassin présumé... Quelle personnalité politique a condamné cet «
effet Julien Dray » ? Jusqu’à présent : aucune ! C’est plutôt inquiétant
pour l’avenir.

Alors, finalement, qui est Dieudonné selon vous ?

Un artiste engagé, un libre-penseur, un humaniste courageux à qui le
temps rendra justice...

Je vous laisse le mot de la fin, cher Olivier ...

Merci tout d’abord pour cet interview, cher Frédéric. Ensuite, au-delà
des interprétations différentes que l’on peut faire de « l’affaire
Dieudonné », j’invite chacun à réfléchir sur l’un de ses enseignements :
après Dieudonné, à qui le tour ? Le vrai débat contradictoire doit
reprendre le pas sur le lynchage et l’ostracisme. Notre liberté
d’expression et de contestation publiques des pouvoirs est en évidente
régression depuis ce fameux 11 septembre 2001. Et les médias dominants
ne pallient pas à ce déficit démocratique, ils contribuent à l’aggraver.
Raison pour laquelle il est essentiel de diversifier ses sources
d’infos, de lire davantage et de se tourner plus que jamais vers Internet.

http://tinyurl.com/gqvgf


Egalité zéro !
Enquête sur le procès médiatique de Dieudonné de Olivier Mukuna
http://www.amazon.fr/exec/obidos/ASIN/2846281300/

10 réponses

1 2
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Verogpx
jacobs wrote:
Bonjour Olivier Mukuna, vous êtes un journaliste belge d’origine
congolaise spécialisé dans les médias et vous venez de sortir "Egalité
Zéro, enquête sur le procès médiatique de Dieudonné" (Editions
Blanche), pouvez-vous me dire de prime abord comment est né cet
ouvrage, quel en a été le déclic ?



[COUIC]

C'est quoi encore ce délire ???? pfffffff

--
Véro
http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/
Avatar
jacobs
Verogpx wrote:
jacobs wrote:

Bonjour Olivier Mukuna, vous êtes un journaliste belge d’origine
congolaise spécialisé dans les médias et vous venez de sortir "Egalité
Zéro, enquête sur le procès médiatique de Dieudonné" (Editions
Blanche), pouvez-vous me dire de prime abord comment est né cet
ouvrage, quel en a été le déclic ?




[COUIC]

C'est quoi encore ce délire ???? pfffffff





> http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/

Ouais c'est quoi?
Avatar
Verogpx
jacobs wrote:
Verogpx wrote:
jacobs wrote:
Bonjour Olivier Mukuna, vous êtes un journaliste belge d’origine
congolaise spécialisé dans les médias et vous venez de sortir
"Egalité Zéro, enquête sur le procès médiatique de Dieudonné"
(Editions Blanche), pouvez-vous me dire de prime abord comment est
né cet ouvrage, quel en a été le déclic ?


[COUIC]

C'est quoi encore ce délire ???? pfffffff





http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/



Ouais c'est quoi?



Je ne vois pas pourquoi ton mail est posté ici, il ne devrait se trouver que
sur un forum politique...
Quant à mon adresse de site, elle fait partie de ma signature, je ne vois
pas ou est le problème...
Et vi, certaines personnes ont une vie en dehors des forums...

--
Véro
http://monsite.wanadoo.fr/verogpx/
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jacobs
Verogpx wrote:

Je ne vois pas pourquoi ton mail est posté ici, il ne devrait se trouver que
sur un forum politique...



La propagande anti Dieudonné et raciste (Fogiel) se passe sur France
Televisions.
Avatar
Largeau
jacobs wrote:
Verogpx wrote:

Je ne vois pas pourquoi ton mail est posté ici, il ne devrait se
trouver que sur un forum politique...



La propagande anti Dieudonné et raciste (Fogiel) se passe sur France
Televisions.



Triste con...
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jacobs
Largeau wrote:

La propagande anti Dieudonné et raciste (Fogiel) se passe sur France
Televisions.




Triste con...





Meais toujours en place a France 3 !
Avatar
fiLou
jacobs vient de nous annoncer :
Largeau wrote:

La propagande anti Dieudonné et raciste (Fogiel) se passe sur France
Televisions.




Triste con...





Meais toujours en place a France 3 !



Il a fait allégeance au pouvoir en place. Dame Chirak veille au grain,
du coup le petit roquet condamné pour des propos racistes peut alors
continuer, tranquillement son émission. Deux poids deux mesures. C'est
cela la justice.
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Largeau
jacobs wrote:
Largeau wrote:

La propagande anti Dieudonné et raciste (Fogiel) se passe sur France
Televisions.




Triste con...





Meais toujours en place a France 3 !




Tu travailles à France 3? C'est à toi que s'adressait mon apostrophe...
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jacobs
Largeau wrote:


Meais toujours en place a France 3 !





Tu travailles à France 3? C'est à toi que s'adressait mon apostrophe...



Je ne suis pas Fogiel.





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Pierre Maurette
jacobs, le 13/03/2006 a écrit :
Largeau wrote:


Meais toujours en place a France 3 !





Tu travailles à France 3? C'est à toi que s'adressait mon apostrophe...



Je ne suis pas Fogiel.


"Apostrophes", c'était Pivot, et sur "Antenne 2" puis "France 2".
Ah, vous êtes effectivement un triste con.

--
Pierre Maurette
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