Pour tout abonnement, un bout de bois offert...
Et le mois pr=E9c=E9dant, c'=E9tait l'article sur le diffuseur d'ions
n=E9gatifs qui positivent le signal et les supports de cable pour lutter
contre les champs magn=E9tiques des acariens...
Non, sans rire, si il y des gens qui ont trop d'argent, qu'ils me
fassent signe, je suis preneur, quitte =E0 jeter l'argent par les
fen=EAtres, autant que =E7a me fasse plaisir ;-)
On Thu, 06 Jul 2006 21:18:39 +0200, MELMOTH wrote:
Quant aux vernis, désolé, mais on ne connaît _toujours pas l'exacte composition" de ceux utilisés au XVIIIème siècle (compositions qui se transmettaient oralement)...Ce qui continue à enrager les spécialistes en lutherie, qui, bien sûr, grâce aux techniques physico-chimiques récentes, ont bien des idées relativement précises sur leurs spécificités
On sait tout de la composition, spectromètres de masse et autres onéreux trucs modernes aidant, et les process de fabrication sont bornés à disons, 90 % et plus.
mais en particulier pas sur la manière dont ils étaient posés sur le bois...
Bah. Il n'existe pas cent manières de vernir un violon. Ici encore tout est borné ou presque.
Les luthiers actuels eux-mêmes cachent d'ailleurs soigneusement la composition et la manière d'utiliser leurs propres vernis !...
Ça fait partie du pipô habtuel aux luthiers, qui, comme tout le monde, font leurs courses chez Laverdure ou autres.
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. Alors, pour le snobisme, hein.
On Thu, 06 Jul 2006 21:18:39 +0200, MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
Quant aux vernis, désolé, mais on ne connaît _toujours pas l'exacte
composition" de ceux utilisés au XVIIIème siècle (compositions qui se
transmettaient oralement)...Ce qui continue à enrager les spécialistes
en lutherie, qui, bien sûr, grâce aux techniques physico-chimiques
récentes, ont bien des idées relativement précises sur leurs
spécificités
On sait tout de la composition, spectromètres de masse et autres onéreux
trucs modernes aidant, et les process de fabrication sont bornés à disons,
90 % et plus.
mais en particulier pas sur la manière dont ils étaient
posés sur le bois...
Bah. Il n'existe pas cent manières de vernir un violon. Ici encore tout est
borné ou presque.
Les luthiers actuels eux-mêmes cachent d'ailleurs soigneusement la
composition et la manière d'utiliser leurs propres vernis !...
Ça fait partie du pipô habtuel aux luthiers, qui, comme tout le monde, font
leurs courses chez Laverdure ou autres.
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard
Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a
essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés,
pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad
ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement
pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux.
Alors, pour le snobisme, hein.
On Thu, 06 Jul 2006 21:18:39 +0200, MELMOTH wrote:
Quant aux vernis, désolé, mais on ne connaît _toujours pas l'exacte composition" de ceux utilisés au XVIIIème siècle (compositions qui se transmettaient oralement)...Ce qui continue à enrager les spécialistes en lutherie, qui, bien sûr, grâce aux techniques physico-chimiques récentes, ont bien des idées relativement précises sur leurs spécificités
On sait tout de la composition, spectromètres de masse et autres onéreux trucs modernes aidant, et les process de fabrication sont bornés à disons, 90 % et plus.
mais en particulier pas sur la manière dont ils étaient posés sur le bois...
Bah. Il n'existe pas cent manières de vernir un violon. Ici encore tout est borné ou presque.
Les luthiers actuels eux-mêmes cachent d'ailleurs soigneusement la composition et la manière d'utiliser leurs propres vernis !...
Ça fait partie du pipô habtuel aux luthiers, qui, comme tout le monde, font leurs courses chez Laverdure ou autres.
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. Alors, pour le snobisme, hein.
François Yves Le Gal
On Thu, 6 Jul 2006 19:54:52 +0200, "rcf" wrote:
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Quasi ? Seulement pour des systèmes surtendus.
Mais on peut aussi très bien le faire avec des parois minces fortement cloisonnées.
Bien sûr : on rejete les résonances vers le haut tout en augmentant le Q et en diminuant l'amplitude.
Il existe n approches pour la construction d'enceintes, qui, si elles sont bien suivies, donnent toutes d'excellents - mais différents - résultats. On peut faire de l'ultra-léger, genre composites et nid d'abeille; du léger amorti, façon école anglaise avec des parois fines doublées de feutre bitumineux; du lourd, avec absorption par masse; de l'entre deux, avec des structures à la Briggs, genre parois sablées; et plein d'autres.
On Thu, 6 Jul 2006 19:54:52 +0200, "rcf" <rcf@mecafrance.com> wrote:
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Quasi ? Seulement pour des systèmes surtendus.
Mais on peut
aussi très bien le faire avec des parois minces fortement cloisonnées.
Bien sûr : on rejete les résonances vers le haut tout en augmentant le Q et
en diminuant l'amplitude.
Il existe n approches pour la construction d'enceintes, qui, si elles sont
bien suivies, donnent toutes d'excellents - mais différents - résultats. On
peut faire de l'ultra-léger, genre composites et nid d'abeille; du léger
amorti, façon école anglaise avec des parois fines doublées de feutre
bitumineux; du lourd, avec absorption par masse; de l'entre deux, avec des
structures à la Briggs, genre parois sablées; et plein d'autres.
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Quasi ? Seulement pour des systèmes surtendus.
Mais on peut aussi très bien le faire avec des parois minces fortement cloisonnées.
Bien sûr : on rejete les résonances vers le haut tout en augmentant le Q et en diminuant l'amplitude.
Il existe n approches pour la construction d'enceintes, qui, si elles sont bien suivies, donnent toutes d'excellents - mais différents - résultats. On peut faire de l'ultra-léger, genre composites et nid d'abeille; du léger amorti, façon école anglaise avec des parois fines doublées de feutre bitumineux; du lourd, avec absorption par masse; de l'entre deux, avec des structures à la Briggs, genre parois sablées; et plein d'autres.
Nono Le Rouje/RBC
"rcf" a écrit dans news:N8crg.246$:
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Ah ??
-- Nono Le Rouje/RBC ICQ: 52647517 MSN: nonolerouje at free.fr (regrouper/remplacer at par @) `All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die.'
"rcf" <rcf@mecafrance.com> a écrit dans
news:N8crg.246$fA3.145@nntpserver.swip.net:
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Ah ??
--
Nono Le Rouje/RBC
ICQ: 52647517
MSN: nonolerouje at free.fr (regrouper/remplacer at par @)
`All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die.'
Toutes vibration entraîne quasi-nécessairement une résonance.
Ah ??
-- Nono Le Rouje/RBC ICQ: 52647517 MSN: nonolerouje at free.fr (regrouper/remplacer at par @) `All those moments will be lost in time like tears in rain. Time to die.'
Stephane Dupille
François Yves Le Gal écrit :
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. Alors, pour le snobisme, hein.
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard
Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a
essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés,
pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad
ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement
pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux.
Alors, pour le snobisme, hein.
Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. Alors, pour le snobisme, hein.
François Yves Le Gal écrit : > Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard > Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a > essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, > pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad > ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement > pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. > Alors, pour le snobisme, hein.
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
François Yves Le Gal <flegal@aingeal.com> écrit :
> Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard
> Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a
> essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés,
> pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad
> ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement
> pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux.
> Alors, pour le snobisme, hein.
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
François Yves Le Gal écrit : > Pour la bonne bouche : le grand André Rieu, qui est au violon ce que Richard > Claydermann est au piano, a voulu choisir le meilleur violon disponible et a > essayé pendant deux ans tous les plus beaux provenant de maîtres passés, > pour finalement avoir le coup de foudre pour le violon, ze violin, le Strad > ultime au son sans égal. Il l'achète, le fait expertiser plus complètement > pour les assurances, et paf le chien : le Strad de légende était un faux. > Alors, pour le snobisme, hein.
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
rcf
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi5sio.1bloc411dlk897N%
Info ou intox ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
news:1hi5sio.1bloc411dlk897N%filh@filh.orgie...
Info ou intox ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien
meilleur.
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi5sio.1bloc411dlk897N%
Info ou intox ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
filh
rcf wrote:
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi5sio.1bloc411dlk897N% >> Info ou intox ? > > FiLH > > -- > Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire > une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. > Roland Barthes. > http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
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FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
rcf <rcf@mecafrance.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
news:1hi5sio.1bloc411dlk897N%filh@filh.orgie...
>> Info ou intox ?
>
> FiLH
>
> --
> Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
> une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
> Roland Barthes.
> http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien
meilleur.
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FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi5sio.1bloc411dlk897N% >> Info ou intox ? > > FiLH > > -- > Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire > une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. > Roland Barthes. > http://www.filh.org
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
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FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
rcf
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi6dcg.1d6j8tn1xmge5mN%
rcf wrote:
> "FiLH" a écrit dans le message de > news:1hi5sio.1bloc411dlk897N% > >> Info ou intox ? > > > > FiLH > > > > -- > > Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire > > une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la
parle.
> > Roland Barthes. > > http://www.filh.org > > > Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du
bien
> meilleur.
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FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
S/Z par exemple ou le dernier Barthes, celui de juste avant l'accident qui s'était dégagé de la (mauvaise) influence de Tel Quel et qui avait pris ses distances avec ses idéologiques Mythologies des années 50. Bon mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
news:1hi6dcg.1d6j8tn1xmge5mN%filh@filh.orgie...
rcf <rcf@mecafrance.com> wrote:
> "FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de
> news:1hi5sio.1bloc411dlk897N%filh@filh.orgie...
> >> Info ou intox ?
> >
> > FiLH
> >
> > --
> > Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
> > une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la
parle.
> > Roland Barthes.
> > http://www.filh.org
>
>
> Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du
bien
> meilleur.
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FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
S/Z par exemple ou le dernier Barthes, celui de juste avant l'accident
qui s'était dégagé de la (mauvaise) influence de Tel Quel et qui avait
pris ses distances avec ses idéologiques Mythologies des années 50. Bon
mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
"FiLH" a écrit dans le message de news:1hi6dcg.1d6j8tn1xmge5mN%
rcf wrote:
> "FiLH" a écrit dans le message de > news:1hi5sio.1bloc411dlk897N% > >> Info ou intox ? > > > > FiLH > > > > -- > > Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire > > une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la
parle.
> > Roland Barthes. > > http://www.filh.org > > > Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du
bien
> meilleur.
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FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
S/Z par exemple ou le dernier Barthes, celui de juste avant l'accident qui s'était dégagé de la (mauvaise) influence de Tel Quel et qui avait pris ses distances avec ses idéologiques Mythologies des années 50. Bon mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
filh
rcf wrote:
Bon mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
Voilà une remarque pleine de... bon sens.
FILH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
rcf <rcf@mecafrance.com> wrote:
Bon
mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
Voilà une remarque pleine de... bon sens.
FILH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Bon mais c'est vous qui voyez comme dit le comique.
Voilà une remarque pleine de... bon sens.
FILH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Pierre Maurette
rcf, le 08/07/2006 a écrit : [...]
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
Oui:
"J’ai joué contre le Costa Rica parce qu’on me l’a demandé. Je n’ai pas été bon, je ne cherche pas d’excuses. J’avais une bursite, un coude blessé, et j’ai joué quand même, à cause de l’environnement, de la presse. Afin de calmer l’atmopshère qui régnait à ce moment-là. Ce fut à mes dépens, mais ce n’est pas grave. Le groupe n’a pas été touché, n’en a pas été affecté. Il ne faut pas oublier que chacun d’entre nous joue avec la carrière des autres. C’est très égoïste, le football, mais en même temps c’est collectif. " (A propos de sa prestation lors de France-Costa Rica qui a "coûté" deux buts aux bleus, L’Equipe du 11 avril 2006)
-- Pierre Maurette
rcf, le 08/07/2006 a écrit :
[...]
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien
meilleur.
Oui:
"J’ai joué contre le Costa Rica parce qu’on me l’a demandé. Je n’ai pas
été bon, je ne cherche pas d’excuses. J’avais une bursite, un coude
blessé, et j’ai joué quand même, à cause de l’environnement, de la
presse. Afin de calmer l’atmopshère qui régnait à ce moment-là. Ce fut
à mes dépens, mais ce n’est pas grave. Le groupe n’a pas été touché,
n’en a pas été affecté. Il ne faut pas oublier que chacun d’entre nous
joue avec la carrière des autres. C’est très égoïste, le football, mais
en même temps c’est collectif. "
(A propos de sa prestation lors de France-Costa Rica qui a "coûté" deux
buts aux bleus, L’Equipe du 11 avril 2006)
Vous pourriez cesser de citer le plus mauvais Barthes. Il y en a du bien meilleur.
Oui:
"J’ai joué contre le Costa Rica parce qu’on me l’a demandé. Je n’ai pas été bon, je ne cherche pas d’excuses. J’avais une bursite, un coude blessé, et j’ai joué quand même, à cause de l’environnement, de la presse. Afin de calmer l’atmopshère qui régnait à ce moment-là. Ce fut à mes dépens, mais ce n’est pas grave. Le groupe n’a pas été touché, n’en a pas été affecté. Il ne faut pas oublier que chacun d’entre nous joue avec la carrière des autres. C’est très égoïste, le football, mais en même temps c’est collectif. " (A propos de sa prestation lors de France-Costa Rica qui a "coûté" deux buts aux bleus, L’Equipe du 11 avril 2006)