Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main". Den
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se
retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon
coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction.
Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit
être rénovée.
Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les
carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon
aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la
première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins
réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e
sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme
la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce
job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des
couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de
maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très
esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main". Den
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » : Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se touchent. La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir sans répétition d'un 5x5 ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Den <tarata@yahoo.fr> wrote:
efji wrote:
> On 01/08/2019 07:13, Thierry Houx wrote:
>> Le 31/07/2019 à 23:51, Alf92 a écrit :
>>> https://www.cjoint.com/doc/19_07/IGFvYYipJLm_20190723-111346R.jpg
>>>
>> Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se
>> retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon
>> coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction.
>> Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit
>> être rénovée.
>>
>> Bien pris.
>>
>
> Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les
> carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon
> aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la
> première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins
> réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e
> sait un peu plus...
>
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme
la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce
job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des
couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de
maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très
esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » :
Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes
les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne
suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la
même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se
touchent.
La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions
d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku
différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir
sans répétition d'un 5x5 ;)
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » : Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se touchent. La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir sans répétition d'un 5x5 ;) -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » : Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se touchent.
il semble que ce ne soit pas cette méthode qui fût utiliser pour mon carrelage
La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir sans répétition d'un 5x5 ;)
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme
la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce
job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des
couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de
maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très
esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » :
Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes
les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne
suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la
même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se
touchent.
il semble que ce ne soit pas cette méthode qui fût utiliser pour mon
carrelage
La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions
d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku
différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir
sans répétition d'un 5x5 ;)
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
Je pense qu'autrefois ils utilisaient la solution « dodécaphonique » : Sur une ligne, ne pas reposer un carreau d'une couleur tant que toutes les autres couleurs n'ont pas été posées. Quand tu passes à la ligne suivantes tu t'interdis, plus simplement, de poser deux carreaux de la même couleur l'un en dessous de l'autre voire les angles sui se touchent.
il semble que ce ne soit pas cette méthode qui fût utiliser pour mon carrelage
La solution « moderne » pour éviter le plus possible des répétitions d'ensemble de 5 est que chaque bloc de 5x5 soit une sorte de Sudoku différent. Je n'ose imaginer la surface maximale que tu puisses couvrir sans répétition d'un 5x5 ;)
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
L'algo simule la vraie vie: tirer un à un un les carreaux d'un sac mélangé. C'est pareil que donner un ordre aléatoire aux carreaux. Et en fait que mélanger un jeu de cartes. Ça s'appelle shuffle() et ça existe dans les bibliothèques. Pour un résultat "esthétique" il faudra subdiviser la zone en carrés, faire autant de sacs homogènes (pas au hasard) qu'il y a de carrés, faire le shuffle pour chaque carré, et éventuellement un shuffle pour placer les carrés. On peut dans des cas particuliers continuer récursivement. Avec un seul niveau, un bout de code de vérification (deux ou trois lignes utiles, sinon c'est l'affichage): #! /usr/bin/env python3 # -*- coding: utf-8 -*- from random import shuffle from colorama import Fore, Back, Style tesselles = ['noir', 'blanc'] * 100 + ['rouge', 'bleu'] * 30 + ['jaune'] * 13 + ['violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet'] colortesselles = { 'noir': Back.BLACK + ' ' + Style.RESET_ALL, 'blanc': Back.WHITE + ' ' + Style.RESET_ALL, 'rouge': Back.RED + ' ' + Style.RESET_ALL, 'bleu': Back.BLUE + ' ' + Style.RESET_ALL, 'jaune': Back.YELLOW + ' ' + Style.RESET_ALL, 'violet': Back.MAGENTA + ' ' + Style.RESET_ALL, } ligne = 20 for i in range(0, len(tesselles), ligne): print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in tesselles[i:i+ligne]])) for _i in (1,2,3): shuffle(tesselles) print('nn') for i in range(0, len(tesselles), ligne): print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in tesselles[i:i+ligne]])) -- Pierre Maurette
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve
dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une
signature ciblant bien la période de construction.
Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être
rénovée.
Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les
carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon
aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la
première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers
avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu
plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la
surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai
voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case
excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette
méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la
répartion "à la main".
L'algo simule la vraie vie: tirer un à un un les carreaux d'un sac
mélangé. C'est pareil que donner un ordre aléatoire aux carreaux. Et en
fait que mélanger un jeu de cartes. Ça s'appelle shuffle() et ça existe
dans les bibliothèques.
Pour un résultat "esthétique" il faudra subdiviser la zone en carrés,
faire autant de sacs homogènes (pas au hasard) qu'il y a de carrés,
faire le shuffle pour chaque carré, et éventuellement un shuffle pour
placer les carrés. On peut dans des cas particuliers continuer
récursivement.
Avec un seul niveau, un bout de code de vérification (deux ou trois
lignes utiles, sinon c'est l'affichage):
for i in range(0, len(tesselles), ligne):
print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in
tesselles[i:i+ligne]]))
for _i in (1,2,3):
shuffle(tesselles)
print('nn')
for i in range(0, len(tesselles), ligne):
print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in
tesselles[i:i+ligne]]))
Carrelage classique des années 50/60. Ce genre de composition se retrouve dans certains bâtiments construits à cette époque dans mon coin: C'est une signature ciblant bien la période de construction. Rencontré dernièrement dans une cantine de groupe scolaire qui doit être rénovée. Bien pris.
Très courant et daté en effet. Je me suis toujours demandé si les carreleurs achetaient des grandes plaques déjà assemblées de façon aléatoire ou bien "composaient" eux même les motifs. Je penche pour la première solution car on ne voit jamais de motifs plus ou moins réguliers avec de genre de carreaux de second choix mais si quelqu'un e sait un peu plus...
J'ai voulu faire un carrelage avec 5 couleurs réparties au hasard. Comme la surface était assez petite et le carreleur "pas très chaud" pour ce job, j'ai voulu faire une feuille excel avec un tirage aléatoire des couleurs (une case excel = un carreau). Un de mes collègues profs de maths m'a dit que cette méthode ne donnait pas de résultat très esthétique. J'ai donc fait la répartion "à la main".
L'algo simule la vraie vie: tirer un à un un les carreaux d'un sac mélangé. C'est pareil que donner un ordre aléatoire aux carreaux. Et en fait que mélanger un jeu de cartes. Ça s'appelle shuffle() et ça existe dans les bibliothèques. Pour un résultat "esthétique" il faudra subdiviser la zone en carrés, faire autant de sacs homogènes (pas au hasard) qu'il y a de carrés, faire le shuffle pour chaque carré, et éventuellement un shuffle pour placer les carrés. On peut dans des cas particuliers continuer récursivement. Avec un seul niveau, un bout de code de vérification (deux ou trois lignes utiles, sinon c'est l'affichage): #! /usr/bin/env python3 # -*- coding: utf-8 -*- from random import shuffle from colorama import Fore, Back, Style tesselles = ['noir', 'blanc'] * 100 + ['rouge', 'bleu'] * 30 + ['jaune'] * 13 + ['violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet', 'violet'] colortesselles = { 'noir': Back.BLACK + ' ' + Style.RESET_ALL, 'blanc': Back.WHITE + ' ' + Style.RESET_ALL, 'rouge': Back.RED + ' ' + Style.RESET_ALL, 'bleu': Back.BLUE + ' ' + Style.RESET_ALL, 'jaune': Back.YELLOW + ' ' + Style.RESET_ALL, 'violet': Back.MAGENTA + ' ' + Style.RESET_ALL, } ligne = 20 for i in range(0, len(tesselles), ligne): print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in tesselles[i:i+ligne]])) for _i in (1,2,3): shuffle(tesselles) print('nn') for i in range(0, len(tesselles), ligne): print(''.join([colortesselles[tesselle] for tesselle in tesselles[i:i+ligne]])) -- Pierre Maurette