le travail dans les mines de nutella est l'un des plus pénible qui soit...
Garance
Stephane Legras-Decussy a utilisé son clavier pour écrire :
si, on aurait dit tintin au Congo...
Allez, en attendant l'arrivée au Château, pour ceux qui s'ennuient, voilà l'avis de Yann Moix sur la question...
"Eux et Moix, chronique "J'aime beaucoup les people..." Voici n°975 [Oui, bon][Je fais la collec de ce que je veux][N'attendez rien d'autre d'une KL-IDT-NS-Starac-addict]
Muriel s'aime enfin chez les Namibiens
Muriel Robin s'aime-t-elle enfin ? Grâce à une retraite solitaire et mystique sponsorisée par France 2, elle est allée en Namibie se faire aimer pendant dix-sept jours par de vraies gens : les Himbas.
J'aime beaucoup Muriel Robin. C'est pourquoi je suis heureux quand elle va mieux. Comment je sais qu'elle va mieux ? Parce qu'elle le dit dans Paris Match, où on apprenait il y a dix jours qu'elle était partie en Namibie, "loin des sunlights", pour trouver enfin une nouvelle vie, retirée des artifices, du bruit, des paillettes et du showbiz. Loin des sunlights, mais "pour une émission de télé" (sic) : il faut y aller progressivement, hein, c'est normal. Muriel vient d'inventer, pour nous, l'adieu aux médias médiatisé, le retour aux vraies valeurs face caméra, la solitude régénératrice en compagnie de Frédéric Lopez. Là-bas, en Namibie, parmi les Himbas, tout l'émerveille : les femmes marchent pieds nus, on trait les vaches, et le soir, le soleil se couche (dans des tons plus ou moins orangés). "J'ai une grande faculté d'adaptation, précise Muriel, qui n'a peur ni des moustiques ni du ridicule : on me demande de dormir par terre, je dors par terre." A la lecture du propos, par terre, on aura plutôt tendance à sy rouler. Passons. A un moment, Frédécric Lopez a même demandé à Muriel de sourire à un enfant. Muriel a adoré ; du coup, elle va en adopter un. Le parrain pourrait être Pierre Palmade, la marraine, Régine. Et puis c'est chouette, un petit Namibien, ça fait partie de la vraie vie, celle qui est loin des boîtes de nuit enfumées et de la vodka des petits matins chez Bigard. Oui, la vraie vie, la vie fauve, dans une hutte avec des fumigations et des bêtes qui feulent au loin sous la lune, et Frédéric Lopez au portable qui rassure la prod : - Hé, les gars ! Muriel va mieux. - Tu déconnes ?! - Non, je vous jure : elle est en train d'apprendre à s'aimer. - On prévient l'AFP. Bref, la vraie vie, quoi : la vie lopézienne. On avait Saint-Tropez, on a désormais saint Lopez. C'est plus chic ; il y a moins de monde et on en apprend plus sur l'humanité des comiques-français-qui-ne-s'aiment-pas quand on les met en contact avec les peuples qui souffrent et les ethnies qui crèvent. Nul doute qu'on verra bientôt Edouard Baer en Irak, Stéphane Guillon chez les Kurdes et Florence Foresti dans les favelas de Sao Paolo. "Pour connaître un artiste, cette émission vaut tous les portrait", ajoute Muriel. Car les Himbas, après tout, c'est leur métier, leur fonction d'être les faire-valoir de Muriel Robin des bois. Ils sont là pour ça : pour prouver qu'un pétomane sait aussi faire parler son coeur. - C'est quoi la Namibie, Muriel ? - C'est le pays où je vais mieux. Où j'ai enfin aprris à m'aimer. - Comment sont les Himbas ? - Ils m'aiment. Ils m'ont appris comment m'apprendre à m'aimer. - Quelle langue parlent-ils ? - Une langue qui m'a dit je t'aime et qui m'a fait me dire que je m'aime. - C'est beau, la Namibie ? - Mieux que ça... C'est vrai. C'est, coment dire ? C'est... lopézien. - C'est situé où, exactement ? - Heu, là, par contre, tu m'en demandes un peu trop. J'ai du boulot, merde. Je suis en train d'essayer de m'aimer. Je peux pas tout faire ! Voyez ça avec Lopez. - Et le petit Namibien ? - Il m'aimera comme un enfant aime sa mère. D'ailleurs, je voudrais dire à tous ceux qui m'aiment que bientôt, je m'aimerai autant qu'ils m'aiment. Mais toi, Yann, tu m'aimes vraiment ? Oui, Muriel, mais je déteste les gens qui reviennent de loin sans jamais y être vraiment allés."
Ouch ! Sinon, ceux qui ont regardé, elle veut vraiment adopter un enfant namibien à la suite de cette émission ? J'espère que c'est coupé au montage, quand même ! J'ai pas regardé : je l'aimais bien au début, je trouve aussi qu'elle se répand trop partout maintenant, ça m'énerve.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du debrief de demain, c'est à quelle heure ?
-- Garance
Stephane Legras-Decussy a utilisé son clavier pour écrire :
si, on aurait dit tintin au Congo...
Allez, en attendant l'arrivée au Château, pour ceux qui s'ennuient,
voilà l'avis de Yann Moix sur la question...
"Eux et Moix, chronique "J'aime beaucoup les people..." Voici n°975
[Oui, bon][Je fais la collec de ce que je veux][N'attendez rien d'autre
d'une KL-IDT-NS-Starac-addict]
Muriel s'aime enfin chez les Namibiens
Muriel Robin s'aime-t-elle enfin ?
Grâce à une retraite solitaire et mystique sponsorisée par France 2,
elle est allée en Namibie se faire aimer pendant dix-sept jours par de
vraies gens : les Himbas.
J'aime beaucoup Muriel Robin. C'est pourquoi je suis heureux quand elle
va mieux. Comment je sais qu'elle va mieux ? Parce qu'elle le dit dans
Paris Match, où on apprenait il y a dix jours qu'elle était partie en
Namibie, "loin des sunlights", pour trouver enfin une nouvelle vie,
retirée des artifices, du bruit, des paillettes et du showbiz. Loin des
sunlights, mais "pour une émission de télé" (sic) : il faut y aller
progressivement, hein, c'est normal. Muriel vient d'inventer, pour
nous, l'adieu aux médias médiatisé, le retour aux vraies valeurs face
caméra, la solitude régénératrice en compagnie de Frédéric Lopez.
Là-bas, en Namibie, parmi les Himbas, tout l'émerveille : les femmes
marchent pieds nus, on trait les vaches, et le soir, le soleil se
couche (dans des tons plus ou moins orangés). "J'ai une grande faculté
d'adaptation, précise Muriel, qui n'a peur ni des moustiques ni du
ridicule : on me demande de dormir par terre, je dors par terre." A la
lecture du propos, par terre, on aura plutôt tendance à sy rouler.
Passons. A un moment, Frédécric Lopez a même demandé à Muriel de
sourire à un enfant. Muriel a adoré ; du coup, elle va en adopter un.
Le parrain pourrait être Pierre Palmade, la marraine, Régine. Et puis
c'est chouette, un petit Namibien, ça fait partie de la vraie vie,
celle qui est loin des boîtes de nuit enfumées et de la vodka des
petits matins chez Bigard. Oui, la vraie vie, la vie fauve, dans une
hutte avec des fumigations et des bêtes qui feulent au loin sous la
lune, et Frédéric Lopez au portable qui rassure la prod :
- Hé, les gars ! Muriel va mieux.
- Tu déconnes ?!
- Non, je vous jure : elle est en train d'apprendre à s'aimer.
- On prévient l'AFP.
Bref, la vraie vie, quoi : la vie lopézienne. On avait Saint-Tropez, on
a désormais saint Lopez. C'est plus chic ; il y a moins de monde et on
en apprend plus sur l'humanité des
comiques-français-qui-ne-s'aiment-pas quand on les met en contact avec
les peuples qui souffrent et les ethnies qui crèvent. Nul doute qu'on
verra bientôt Edouard Baer en Irak, Stéphane Guillon chez les Kurdes et
Florence Foresti dans les favelas de Sao Paolo. "Pour connaître un
artiste, cette émission vaut tous les portrait", ajoute Muriel.
Car les Himbas, après tout, c'est leur métier, leur fonction d'être les
faire-valoir de Muriel Robin des bois. Ils sont là pour ça : pour
prouver qu'un pétomane sait aussi faire parler son coeur.
- C'est quoi la Namibie, Muriel ?
- C'est le pays où je vais mieux. Où j'ai enfin aprris à m'aimer.
- Comment sont les Himbas ?
- Ils m'aiment. Ils m'ont appris comment m'apprendre à m'aimer.
- Quelle langue parlent-ils ?
- Une langue qui m'a dit je t'aime et qui m'a fait me dire que je
m'aime.
- C'est beau, la Namibie ?
- Mieux que ça... C'est vrai. C'est, coment dire ? C'est... lopézien.
- C'est situé où, exactement ?
- Heu, là, par contre, tu m'en demandes un peu trop. J'ai du boulot,
merde. Je suis en train d'essayer de m'aimer. Je peux pas tout faire !
Voyez ça avec Lopez.
- Et le petit Namibien ?
- Il m'aimera comme un enfant aime sa mère. D'ailleurs, je voudrais
dire à tous ceux qui m'aiment que bientôt, je m'aimerai autant qu'ils
m'aiment. Mais toi, Yann, tu m'aimes vraiment ?
Oui, Muriel, mais je déteste les gens qui reviennent de loin sans
jamais y être vraiment allés."
Ouch !
Sinon, ceux qui ont regardé, elle veut vraiment adopter un enfant
namibien à la suite de cette émission ? J'espère que c'est coupé au
montage, quand même ! J'ai pas regardé : je l'aimais bien au début, je
trouve aussi qu'elle se répand trop partout maintenant, ça m'énerve.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du
debrief de demain, c'est à quelle heure ?
Stephane Legras-Decussy a utilisé son clavier pour écrire :
si, on aurait dit tintin au Congo...
Allez, en attendant l'arrivée au Château, pour ceux qui s'ennuient, voilà l'avis de Yann Moix sur la question...
"Eux et Moix, chronique "J'aime beaucoup les people..." Voici n°975 [Oui, bon][Je fais la collec de ce que je veux][N'attendez rien d'autre d'une KL-IDT-NS-Starac-addict]
Muriel s'aime enfin chez les Namibiens
Muriel Robin s'aime-t-elle enfin ? Grâce à une retraite solitaire et mystique sponsorisée par France 2, elle est allée en Namibie se faire aimer pendant dix-sept jours par de vraies gens : les Himbas.
J'aime beaucoup Muriel Robin. C'est pourquoi je suis heureux quand elle va mieux. Comment je sais qu'elle va mieux ? Parce qu'elle le dit dans Paris Match, où on apprenait il y a dix jours qu'elle était partie en Namibie, "loin des sunlights", pour trouver enfin une nouvelle vie, retirée des artifices, du bruit, des paillettes et du showbiz. Loin des sunlights, mais "pour une émission de télé" (sic) : il faut y aller progressivement, hein, c'est normal. Muriel vient d'inventer, pour nous, l'adieu aux médias médiatisé, le retour aux vraies valeurs face caméra, la solitude régénératrice en compagnie de Frédéric Lopez. Là-bas, en Namibie, parmi les Himbas, tout l'émerveille : les femmes marchent pieds nus, on trait les vaches, et le soir, le soleil se couche (dans des tons plus ou moins orangés). "J'ai une grande faculté d'adaptation, précise Muriel, qui n'a peur ni des moustiques ni du ridicule : on me demande de dormir par terre, je dors par terre." A la lecture du propos, par terre, on aura plutôt tendance à sy rouler. Passons. A un moment, Frédécric Lopez a même demandé à Muriel de sourire à un enfant. Muriel a adoré ; du coup, elle va en adopter un. Le parrain pourrait être Pierre Palmade, la marraine, Régine. Et puis c'est chouette, un petit Namibien, ça fait partie de la vraie vie, celle qui est loin des boîtes de nuit enfumées et de la vodka des petits matins chez Bigard. Oui, la vraie vie, la vie fauve, dans une hutte avec des fumigations et des bêtes qui feulent au loin sous la lune, et Frédéric Lopez au portable qui rassure la prod : - Hé, les gars ! Muriel va mieux. - Tu déconnes ?! - Non, je vous jure : elle est en train d'apprendre à s'aimer. - On prévient l'AFP. Bref, la vraie vie, quoi : la vie lopézienne. On avait Saint-Tropez, on a désormais saint Lopez. C'est plus chic ; il y a moins de monde et on en apprend plus sur l'humanité des comiques-français-qui-ne-s'aiment-pas quand on les met en contact avec les peuples qui souffrent et les ethnies qui crèvent. Nul doute qu'on verra bientôt Edouard Baer en Irak, Stéphane Guillon chez les Kurdes et Florence Foresti dans les favelas de Sao Paolo. "Pour connaître un artiste, cette émission vaut tous les portrait", ajoute Muriel. Car les Himbas, après tout, c'est leur métier, leur fonction d'être les faire-valoir de Muriel Robin des bois. Ils sont là pour ça : pour prouver qu'un pétomane sait aussi faire parler son coeur. - C'est quoi la Namibie, Muriel ? - C'est le pays où je vais mieux. Où j'ai enfin aprris à m'aimer. - Comment sont les Himbas ? - Ils m'aiment. Ils m'ont appris comment m'apprendre à m'aimer. - Quelle langue parlent-ils ? - Une langue qui m'a dit je t'aime et qui m'a fait me dire que je m'aime. - C'est beau, la Namibie ? - Mieux que ça... C'est vrai. C'est, coment dire ? C'est... lopézien. - C'est situé où, exactement ? - Heu, là, par contre, tu m'en demandes un peu trop. J'ai du boulot, merde. Je suis en train d'essayer de m'aimer. Je peux pas tout faire ! Voyez ça avec Lopez. - Et le petit Namibien ? - Il m'aimera comme un enfant aime sa mère. D'ailleurs, je voudrais dire à tous ceux qui m'aiment que bientôt, je m'aimerai autant qu'ils m'aiment. Mais toi, Yann, tu m'aimes vraiment ? Oui, Muriel, mais je déteste les gens qui reviennent de loin sans jamais y être vraiment allés."
Ouch ! Sinon, ceux qui ont regardé, elle veut vraiment adopter un enfant namibien à la suite de cette émission ? J'espère que c'est coupé au montage, quand même ! J'ai pas regardé : je l'aimais bien au début, je trouve aussi qu'elle se répand trop partout maintenant, ça m'énerve.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du debrief de demain, c'est à quelle heure ?
-- Garance
Sasha
Elephant Man a écrit :
C'est le sens du message qu'elle voulait faire passer
OK, exactement ce que je redoutais... Stérile au possible, de mon point de vue.
-- Sasha
Elephant Man a écrit :
C'est le sens du message qu'elle voulait faire passer
OK, exactement ce que je redoutais... Stérile au possible, de mon point
de vue.
Allez, en attendant l'arrivée au Château, pour ceux qui s'ennuient, voilà l'avis de Yann Moix sur la question... [couic]
Et ben dis donc c'est sévère, quand même !!!
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du debrief de demain, c'est à quelle heure ?
Ah c'est toi qui t'y colles ? ;-) Tu me diras si par miracle il y a de l'écoutable ?
-- Sasha
Garance
Sasha avait prétendu :
Et ben dis donc c'est sévère, quand même !!!
Mais juste. Elle est fatiguante, de temps en temps.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du debrief de demain, c'est à quelle heure ?
Ah c'est toi qui t'y colles ? ;-) Tu me diras si par miracle il y a de l'écoutable ?
Je m'y colle volontiers si Raphie est aussi méchante que d'habitude (et si j'ai le temps !) Pour l'écoutable, c'est difficile à dire à ce stade : hier, ils ont chanté ce qu'ils connaissaient, forcément ça passe pas trop mal. Dans le casting : un Garou corse, une Anaïs, une professionnelle hargneuse à la Emilie, une Maud qui chante juste, un Raphaël-Patxi... Que des minces/maigres, au fait. Enfin selon les critères normaux, pas frtpiens ou publicitaires.
-- Garance
Sasha avait prétendu :
Et ben dis donc c'est sévère, quand même !!!
Mais juste. Elle est fatiguante, de temps en temps.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du
debrief de demain, c'est à quelle heure ?
Ah c'est toi qui t'y colles ? ;-) Tu me diras si par miracle il y a de
l'écoutable ?
Je m'y colle volontiers si Raphie est aussi méchante que d'habitude (et
si j'ai le temps !) Pour l'écoutable, c'est difficile à dire à ce stade :
hier, ils ont chanté ce qu'ils connaissaient, forcément ça passe pas
trop mal. Dans le casting : un Garou corse, une Anaïs, une
professionnelle hargneuse à la Emilie, une Maud qui chante juste, un
Raphaël-Patxi... Que des minces/maigres, au fait. Enfin selon les
critères normaux, pas frtpiens ou publicitaires.
Mais juste. Elle est fatiguante, de temps en temps.
Bon, après une heure de dactylo, je suis prête pour le compte rendu du debrief de demain, c'est à quelle heure ?
Ah c'est toi qui t'y colles ? ;-) Tu me diras si par miracle il y a de l'écoutable ?
Je m'y colle volontiers si Raphie est aussi méchante que d'habitude (et si j'ai le temps !) Pour l'écoutable, c'est difficile à dire à ce stade : hier, ils ont chanté ce qu'ils connaissaient, forcément ça passe pas trop mal. Dans le casting : un Garou corse, une Anaïs, une professionnelle hargneuse à la Emilie, une Maud qui chante juste, un Raphaël-Patxi... Que des minces/maigres, au fait. Enfin selon les critères normaux, pas frtpiens ou publicitaires.
-- Garance
Le bressan
Stephane Legras-Decussy a écrit :
le travail dans les mines de nutella est l'un des plus pénible qui soit...
désolé je n'ai pas réussi à ne pas rire :)
Le bressan
Stephane Legras-Decussy a écrit :
le travail dans les mines de nutella est l'un des plus pénible
qui soit...
ah oui tiens c'est vrai. ils l'ont encore en travers de la gorge le lobby des grosses de l'année dernière et l'accident industriel de la finale...
le mot d'ordre est PLUS JAMAIS ça...
Garance
Dans son message précédent, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ah oui tiens c'est vrai. ils l'ont encore en travers de la gorge le lobby des grosses de l'année dernière et l'accident industriel de la finale...
Excellent, l'expression :-)
le mot d'ordre est PLUS JAMAIS ça...
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids, c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac. Mais ils ont bien raté Christophe...
-- Garance
Dans son message précédent, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ah oui tiens c'est vrai.
ils l'ont encore en travers de la gorge
le lobby des grosses de l'année dernière
et l'accident industriel de la finale...
Excellent, l'expression :-)
le mot d'ordre est PLUS JAMAIS ça...
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids,
c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac.
Mais ils ont bien raté Christophe...
Dans son message précédent, Stephane Legras-Decussy a écrit :
ah oui tiens c'est vrai. ils l'ont encore en travers de la gorge le lobby des grosses de l'année dernière et l'accident industriel de la finale...
Excellent, l'expression :-)
le mot d'ordre est PLUS JAMAIS ça...
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids, c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac. Mais ils ont bien raté Christophe...
-- Garance
Sasha
Garance a écrit :
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids, c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac. Mais ils ont bien raté Christophe...
Il s'était présenté au casting ?
Garance a écrit :
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids,
c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac.
Mais ils ont bien raté Christophe...
Comme quoi, ils ont tout faux : le problème, c'était pas le poids, c'était le charisme d'huître. Ils auraient raté Dominique de la Starac. Mais ils ont bien raté Christophe...