difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre des n otes,
ce qui me semble assez peu évident c'est la reproductibilité à l'id entique
, mais bon, c'st pas non pluspour faire des séries de tirages.
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre des n otes,
ce qui me semble assez peu évident c'est la reproductibilité à l'id entique
, mais bon, c'st pas non pluspour faire des séries de tirages.
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre des n otes,
ce qui me semble assez peu évident c'est la reproductibilité à l'id entique
, mais bon, c'st pas non pluspour faire des séries de tirages.
On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.
Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
On 7 juil, 12:21, "eric" <d.francois...@aliceadsl.fr> wrote:
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.
Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.
Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Christophe wrote:
> On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:
>> difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
>> des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
>> reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
>> faire des séries de tirages.
> Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
> imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
> condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
> platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
> surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première foi s que je
vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en balayant le labo,
alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique de
procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé à
l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant, ça n 'aurait
pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les proc édés
anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs se décarcas ser
pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils auraient largué depuis un
moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs , quand
je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux virages b leus
absolument identiques sur le même papier et dans les mêmes conditions .
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait , l à,
c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande place, je re ste
persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci serait resté au p lacard,
je sais aussi que ma position est très dure à défendre, mais bon, l e titre
c'est " négatif numérique "
eric
Christophe wrote:
> On 7 juil, 12:21, "eric" <d.francois...@aliceadsl.fr> wrote:
>> difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
>> des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
>> reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
>> faire des séries de tirages.
> Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
> imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
> condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
> platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
> surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première foi s que je
vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en balayant le labo,
alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique de
procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé à
l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant, ça n 'aurait
pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les proc édés
anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs se décarcas ser
pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils auraient largué depuis un
moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs , quand
je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux virages b leus
absolument identiques sur le même papier et dans les mêmes conditions .
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait , l à,
c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande place, je re ste
persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci serait resté au p lacard,
je sais aussi que ma position est très dure à défendre, mais bon, l e titre
c'est " négatif numérique "
eric
Christophe wrote:
> On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:
>> difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
>> des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
>> reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
>> faire des séries de tirages.
> Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
> imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
> condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
> platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
> surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première foi s que je
vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en balayant le labo,
alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique de
procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé à
l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant, ça n 'aurait
pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les proc édés
anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs se décarcas ser
pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils auraient largué depuis un
moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs , quand
je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux virages b leus
absolument identiques sur le même papier et dans les mêmes conditions .
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait , l à,
c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande place, je re ste
persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci serait resté au p lacard,
je sais aussi que ma position est très dure à défendre, mais bon, l e titre
c'est " négatif numérique "
eric
On 8 juil, 11:50, "eric" wrote:Christophe wrote:On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première fois
que je vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en
balayant le labo, alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique
de procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé
à l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant,
ça n'aurait pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les
procédés anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs
se décarcasser pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils
auraient largué depuis un moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs,
quand je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux
virages bleus absolument identiques sur le même papier et dans les
mêmes conditions.
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait
, là, c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande
place, je reste persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci
serait resté au placard, je sais aussi que ma position est très dure
à défendre, mais bon, le titre c'est " négatif numérique "
eric
Je ne pense pas que ce soit la reproductibilité qui soit le principal
avantage.
Mais plutôt
- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier salé).
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
- La conservation plus simple qu'un fichier numérique (risques de
dégradation des supports: CD, DVD, HD...)
Certains procédés anciens ne permettent aucune reproductibilité (ex le
tirage à l'huile ou oléotypie qui implique un encrage entièrement
manuel) et sont cependant encore couramment utilisés:
Site Eurobrom: http://www.eurobrom.info/ebr3.html
Voir le site de l'APA : http://jaclo14.free.fr/
Jacques
PS- je ne considère pas non plus la nécessité de me calfeutrer dans un
labo comme un inconvénient -- ah quel luxe de pouvoir s'isoler pendant
quelques heures dans sa "bulle"! L'inconvénient pour moi c'est plutôt
de devoir s'installer à nouveau devant un ordi après une journée ou
semaine de travail devant le même engin.. :-)
On 8 juil, 11:50, "eric" <d.francois...@aliceadsl.fr> wrote:
Christophe wrote:
On 7 juil, 12:21, "eric" <d.francois...@aliceadsl.fr> wrote:
difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.
Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première fois
que je vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en
balayant le labo, alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique
de procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé
à l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant,
ça n'aurait pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les
procédés anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs
se décarcasser pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils
auraient largué depuis un moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs,
quand je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux
virages bleus absolument identiques sur le même papier et dans les
mêmes conditions.
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait
, là, c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande
place, je reste persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci
serait resté au placard, je sais aussi que ma position est très dure
à défendre, mais bon, le titre c'est " négatif numérique "
eric
Je ne pense pas que ce soit la reproductibilité qui soit le principal
avantage.
Mais plutôt
- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier salé).
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
- La conservation plus simple qu'un fichier numérique (risques de
dégradation des supports: CD, DVD, HD...)
Certains procédés anciens ne permettent aucune reproductibilité (ex le
tirage à l'huile ou oléotypie qui implique un encrage entièrement
manuel) et sont cependant encore couramment utilisés:
Site Eurobrom: http://www.eurobrom.info/ebr3.html
Voir le site de l'APA : http://jaclo14.free.fr/
Jacques
PS- je ne considère pas non plus la nécessité de me calfeutrer dans un
labo comme un inconvénient -- ah quel luxe de pouvoir s'isoler pendant
quelques heures dans sa "bulle"! L'inconvénient pour moi c'est plutôt
de devoir s'installer à nouveau devant un ordi après une journée ou
semaine de travail devant le même engin.. :-)
On 8 juil, 11:50, "eric" wrote:Christophe wrote:On 7 juil, 12:21, "eric" wrote:difficile, peut ^tre pas, disons qu il faut être patient, prendre
des notes, ce qui me semble assez peu évident c'est la
reproductibilité à l'identique , mais bon, c'st pas non pluspour
faire des séries de tirages.Bah si, detrompe toi... une fois qu'on a la calibre la chaine
imprimante-transparent-procedes-insoleuse, on a normalise les
condition et donc on sort par exemple des negatifs pour le tirage
platine qui on toujours le meme temps d'expo sous l'insoleuse et
surtout on obtient ce qu'on veux en terme d'image...
Mouais, c'est merveilleux comme procédé, c'est bien la première fois
que je vois ça, mais bon, moi, je ne faisais que regarder en
balayant le labo, alors :=)
Stable et reproductible , oui, mais tu parles de la partie numérique
de procédé, et heureusement pour vous, parce qu avec un vrai procédé
à l'ancienne qui ne mélange pas les techniques en les simplifiant,
ça n'aurait pas été pareil du tout.
C'est à mon sens ce qui encourage ce regain d'intérêt pour les
procédés anciens, sinon, je ne vois pas vraiment beaucoup d'amateurs
se décarcasser pour obtenir un négatif argentique, à mon avis ils
auraient largué depuis un moment
Du reste, c'est aussi ça qui a remis ces techniques en vogue.
tu connais ma position quant à ces hybrides de procédés alternatifs,
quand je vois qu il était parfois difficile d'obtenir ensemble deux
virages bleus absolument identiques sur le même papier et dans les
mêmes conditions.
Que ce soit pour cette technique ou celle de la trichromie, en fait
, là, c'est la mise au point numérique qui occupe la plus grande
place, je reste persuadé qu 'autrement, sans numérique, tout ceci
serait resté au placard, je sais aussi que ma position est très dure
à défendre, mais bon, le titre c'est " négatif numérique "
eric
Je ne pense pas que ce soit la reproductibilité qui soit le principal
avantage.
Mais plutôt
- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier salé).
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
- La conservation plus simple qu'un fichier numérique (risques de
dégradation des supports: CD, DVD, HD...)
Certains procédés anciens ne permettent aucune reproductibilité (ex le
tirage à l'huile ou oléotypie qui implique un encrage entièrement
manuel) et sont cependant encore couramment utilisés:
Site Eurobrom: http://www.eurobrom.info/ebr3.html
Voir le site de l'APA : http://jaclo14.free.fr/
Jacques
PS- je ne considère pas non plus la nécessité de me calfeutrer dans un
labo comme un inconvénient -- ah quel luxe de pouvoir s'isoler pendant
quelques heures dans sa "bulle"! L'inconvénient pour moi c'est plutôt
de devoir s'installer à nouveau devant un ordi après une journée ou
semaine de travail devant le même engin.. :-)
> - La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité au x
> exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
> d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier sal é).
ben voyons, merveilleux !
> - La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à u n
> jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu as dû
mal lire.
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un négati f
numerique sur la forme et le fonds, alors....
> - La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité au x
> exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
> d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier sal é).
ben voyons, merveilleux !
> - La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à u n
> jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu as dû
mal lire.
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un négati f
numerique sur la forme et le fonds, alors....
> - La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité au x
> exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
> d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier sal é).
ben voyons, merveilleux !
> - La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à u n
> jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu as dû
mal lire.
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un négati f
numerique sur la forme et le fonds, alors....
Eric,- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier
salé).
ben voyons, merveilleux !
-------------------------------------------------------
Un tirage au platine demande un négatif aux caracéristiques
(contraste, densité) différentes de celles pour un négatif destiné à
un tirage à l'albumine. La voie numérique permet de partir de la même
image de base, et d'arriver facilement à un négatif adapté en
travaillant les courbes. On peut se construire une "bibliothèque" de
profils pour les différents procédés. C'est tout ce que j'ai voulu
dire....
Mais si tu pratiques ces procédés, tu dois le savoir, je suppose..
-------------------------------------------------------
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu
as dû mal lire.
-------------------------------------------------------
Un fichier numérique peut être flashé pour aboutir à un négatif
argentique.
maximum de qualité (résolution plus grande que pour une imprimante) -
et de robustesse.
C'est par ailleurs moins cher que l'achat d'une imprimante A3 et de
ses encres hors de prix..
-------------------------------------------------------
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un
négatif numerique sur la forme et le fonds, alors....
-------------------------------------------------------
Dans les messages précédents, on évoquait le côté rébarbatif du labo
argentique,
parfaite, etc
Ceci étant dit, je ne suis pas là pour me battre en faveur d'une
technique ou l'autre (j'utilise les deux). C'est le résultat qui
compte, et le plaisir que chacun prend à son travail.
Eric,
- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier
salé).
ben voyons, merveilleux !
-------------------------------------------------------
Un tirage au platine demande un négatif aux caracéristiques
(contraste, densité) différentes de celles pour un négatif destiné à
un tirage à l'albumine. La voie numérique permet de partir de la même
image de base, et d'arriver facilement à un négatif adapté en
travaillant les courbes. On peut se construire une "bibliothèque" de
profils pour les différents procédés. C'est tout ce que j'ai voulu
dire....
Mais si tu pratiques ces procédés, tu dois le savoir, je suppose..
-------------------------------------------------------
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu
as dû mal lire.
-------------------------------------------------------
Un fichier numérique peut être flashé pour aboutir à un négatif
argentique.
maximum de qualité (résolution plus grande que pour une imprimante) -
et de robustesse.
C'est par ailleurs moins cher que l'achat d'une imprimante A3 et de
ses encres hors de prix..
-------------------------------------------------------
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un
négatif numerique sur la forme et le fonds, alors....
-------------------------------------------------------
Dans les messages précédents, on évoquait le côté rébarbatif du labo
argentique,
parfaite, etc
Ceci étant dit, je ne suis pas là pour me battre en faveur d'une
technique ou l'autre (j'utilise les deux). C'est le résultat qui
compte, et le plaisir que chacun prend à son travail.
Eric,- La possibilité d'adapter exactement le contraste et la densité aux
exigences de la technique appliquée (un tirage au platine demandera
d'autres spécifications qu'un cyanotype ou un tirage sur papier
salé).
ben voyons, merveilleux !
-------------------------------------------------------
Un tirage au platine demande un négatif aux caracéristiques
(contraste, densité) différentes de celles pour un négatif destiné à
un tirage à l'albumine. La voie numérique permet de partir de la même
image de base, et d'arriver facilement à un négatif adapté en
travaillant les courbes. On peut se construire une "bibliothèque" de
profils pour les différents procédés. C'est tout ce que j'ai voulu
dire....
Mais si tu pratiques ces procédés, tu dois le savoir, je suppose..
-------------------------------------------------------
- La robustesse plus grande d'un négatif argentique par rapport à un
jet d'encre
comme il s'agit justement d'un négatif jet d'encre, je crois que tu
as dû mal lire.
-------------------------------------------------------
Un fichier numérique peut être flashé pour aboutir à un négatif
argentique.
maximum de qualité (résolution plus grande que pour une imprimante) -
et de robustesse.
C'est par ailleurs moins cher que l'achat d'une imprimante A3 et de
ses encres hors de prix..
-------------------------------------------------------
tout ce que tu dis n'a aucun interet, tu es hors sujet, c'est un
négatif numerique sur la forme et le fonds, alors....
-------------------------------------------------------
Dans les messages précédents, on évoquait le côté rébarbatif du labo
argentique,
parfaite, etc
Ceci étant dit, je ne suis pas là pour me battre en faveur d'une
technique ou l'autre (j'utilise les deux). C'est le résultat qui
compte, et le plaisir que chacun prend à son travail.
je me demande bien pourquoi, la robustesse, on ne marche pas dessus ?>
bien sûr qu il peut , maintenant donnes moi un prix pour un néga 30 x 40 par
exemple,
je me demande bien pourquoi, la robustesse, on ne marche pas dessus ?>
bien sûr qu il peut , maintenant donnes moi un prix pour un néga 30 x 40 par
exemple,
je me demande bien pourquoi, la robustesse, on ne marche pas dessus ?>
bien sûr qu il peut , maintenant donnes moi un prix pour un néga 30 x 40 par
exemple,