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NFS je nage

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jp willm
Bonjour à tous,

Sur une Fedora j'essaye en vain de paratager un répertoire avec une
autre machine Fedora.

J'ai écumé google et je me sens encore plus bête qu'au début...

A propos de début, j'ai installé nfsutils et portmap et les deux sont
activés. Pourtant quand je tape en root la phrase magique rpcinf -p on
me répond : bash command not found !!!!

A partir de là, j'ai bien l'impression que c'est même pas la peine de
paramétrer la suite.

Mais que faire ?

Un indice peut-être, quand la machine s'arrête elle doit s'y prendre à
plusieurs reprises pour démonter le sytème de fichier nfs. Est-ce normal ?

Voilà comme je vous disais, je nage :o(((

Auriez-vous une idée pour faire marcher notre réseau nfs, maintenant que
je suis arrivé à "winer" HEMERA et Larousse et que Nicole veut se jeter
dans la mare au pingouins ?

Merci d'avance,

jp willm

5 réponses

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jp willm
Salut Christophe,

Ainsi tu prends le relais. Malheureux va ;o)




Non, il y a des serveurs "maîtres" de DNS, et les autres s'y réfèrent.
Ils sont maîtres par rapport à des zones, et ton réseau local peut
lui même être une zone. Donc un serveur DNS local sera maître pour
cette zone, mais fera appel aux autres serveurs DNS pour les autres zones
non gérées par lui.
Oui maître. Interezzante. C'est donc plutôt pour des réseaux de grande

envergure ça.


En fait, tu devrais plutôt avoir quelque chose du genre :
Sur les 2 postes :
127.0.0.1 localhost localhost.localdomain
192.168.2.1 jp.localdomain jp
192.168.x.x nicole.localdomain nicole


C'est ce que j'ai fait et j'arrive toujours à ping-er des deux côtés.


PS : au fait, tu peux nous donner le x.x de nicole, nous avons tous le
même chez nous :-). C'est une adresse privé, non accessible telle quelle
par internet.


Ah bon. Alors voici ce que j'ai, "cartes sur table" :

127.0.0.1 localhost localhost.localdomain
192.168.2.1 jp.localdomain jp
192.168.2.1 niki.localdomain niki

Comme tu l'auras deviné niki est le diminutif de nicole :o)



Si tu veux partager des dossiers de chaque machine vers l'autre, il te
faut un serveur nfs sur chacune, et qui tourne, bien sûr, sans oublier
de lancer portmap avant (qui est aussi un service).
Donc, chaque machine doit avoir un fichier /etc/exports indiquant comment
il permet ses partages.
Voici mon /etc/export

/home/jp/Documents niki(ro,sync)


et, sur le poste nicole :
J'ai

/home/niki/Documents jp(ro,sync)


Simple, non ?


Quand tu modifie le fichier /etc/exports d'une machine, il faut relancer
le service nfs de cette machine pour qu'il soit pris en compte :
/etc/init.d/nfs restart
Pas mal. Ça évite de rédémarrer ?





jp:x:500:500:jp:/home/jp:/bin/bash

Rapide le mode console!



Et sur l'autre machine, jp est bien créé ?
Où ça ? Si tu parles du gestionnaire d'utilisateurs sur le PC de niki,

non. Chez moi non plus d'ailleurs. J'ai encore une Mandrake 10 et j'ai
quand essayé de faire un partage nfs, il m'a demandé de modifier le
groupe d'utilisateurs, mais pas comment. J'ai le même "user manager sous
Fedora, mais pas plus bavard...

Car je ne peux pas créer un nouvel utilisateur, sinon il me l'ajoute
dans le /home. Par contre dans les propriétés du groupe sous l'onglet
"Utilisateurs du groupe" je peux cocher des utilisateurs "obscurs" comme
daemon, nfsnobody, rpc etc...

Il a le même uid 501 ?
Les uid servent à reconnaître les utilisateurs.
S'ils sont différents, pour un même user, sur les différentes machines,
nfs ne peut pas s'en sortir.
On s'en doute. Je n'ai qu'un utilisateur par poste, mais chez moi, j'ai

deux groupes :

Le groupe jp d'origine et le groupe vfat que j'ai créé pour partager
avec root l'accès à une partition fat, car sous root on m'interdisait
d'y écrire. Et rien n'y faisait. Alors j'avais trouvé cette combine sur
le net, mais bon, on s'éloigne du sujet...


En plus clair, si le répertoire /home/jp/Documents est accessible à jp
sur le serveur, il est donc accessible à l'uid 501.
Par conséquent, si jp sur l'autre machine n'a pas l'uid 501, il n'aura
pas accès au partage, même si celui-ci s'effectue bien.
Là, c'est une pure question de permissions de fichiers/répertoires.
Il faut donc "synchroniser" les uid de tous les postes qui doivent
partager quelque chose du genre.
Ok. Mais comment ? Nos deux machines on chacune un user 500 d'origine

"non contrôlée" càd auquels je n'ai pas trifouillé.


Message subliminal : vive ldap !
Houla, ça a l'air compliqué... ne pas dépasser la dose precrite...


---------------------

Bon, pour l'instant j'ai toujours ça :

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1_niki:/home/niki/Documents /mnt/Nicole
mount: ne peut obtenir l'adresse de 192.168.2.1_niki
[ jp]#

ou ça :

[ jp]# mount -t nfs niki:/home/niki/Documents /mnt/Nicole
mount to NFS server 'niki' failed: server is down.
[ jp]#

ou ça :

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1:/home/niki/Documents /mnt/Nicole
mount to NFS server '192.168.2.1' failed: server is down.
[ jp]#

ou ça :

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1 /niki :/home/niki/Documents
/mnt/Nicole nfs
Usage: mount -V : print version
mount -h : print this help
mount : list mounted filesystems
mount -l : idem, including volume labels
So far the informational part. Next the mounting.
The command is `mount [-t fstype] something somewhere'.
Details found in /etc/fstab may be omitted.
mount -a [-t|-O] ... : mount all stuff from /etc/fstab
mount device : mount device at the known place
mount directory : mount known device here
mount -t type dev dir : ordinary mount command
Note that one does not really mount a device, one mounts
a filesystem (of the given type) found on the device.
One can also mount an already visible directory tree elsewhere:
mount --bind olddir newdir
or move a subtree:
mount --move olddir newdir
A device can be given by name, say /dev/hda1 or /dev/cdrom,
or by label, using -L label or by uuid, using -U uuid .
Other options: [-nfFrsvw] [-o options] [-p passwdfd].
For many more details, say man 8 mount .
[ jp]#

Désolé de te noyer, mais qu'est-ce qui cloche ?



Chouette ! Mais à mon avis, Frédéric est déjà en Week End :-)
Tout le monde connaît tout le monde :o)



PS : À tous, j'espère ne pas avoir écrit trop d'âneries, mais si c'est
le cas, n'hésitez pas à corriger, dans le but d'aider JP, pas moi :-)
Si tu m'a fait tourner en rond pendant tout mon samedi, je te jetterai

un sort par le réseau et crois-moi, là tu ne risques rien ;o)

@ + jp


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Christophe PEREZ
Le Sat, 18 Dec 2004 14:43:02 +0100, jp willm a écrit:

Oui maître. Interezzante. C'est donc plutôt pour des réseaux de grande
envergure ça.


Non, du tout.

C'est ce que j'ai fait et j'arrive toujours à ping-er des deux côtés.


tu pingues avec quoi, l'ip ou le nom ?

Ah bon. Alors voici ce que j'ai, "cartes sur table" :

127.0.0.1 localhost localhost.localdomain
192.168.2.1 jp.localdomain jp
192.168.2.1 niki.localdomain niki


Arg !! la même ip pour 2 postes ? pas possible !

Comme tu l'auras deviné niki est le diminutif de nicole :o)


Ah, on a changé le nom ? :-)

Voici mon /etc/export
/home/jp/Documents niki(ro,sync)


ok.

et, sur le poste nicole :
J'ai

/home/niki/Documents jp(ro,sync)


ok.

Simple, non ?


jusque là, oui.

Quand tu modifie le fichier /etc/exports d'une machine, il faut relancer
le service nfs de cette machine pour qu'il soit pris en compte :
/etc/init.d/nfs restart
Pas mal. Ça évite de rédémarrer ?



redémarrer ? sous Linux ? Très généralement inutile quand on sait quoi
faire.
15:09:02 ~ $ uptime
15:09:05 up 71 days, 5:48, 1 user, load average: 0.64, 0.59, 0.47

Et sur l'autre machine, jp est bien créé ?
Où ça ? Si tu parles du gestionnaire d'utilisateurs sur le PC de niki,

non.


Donc, Nicole, sur son poste, n'aura accès aux fichiers/répertoires du
partage que pour ceux auxquels elle est autorisée.

Chez moi non plus d'ailleurs. J'ai encore une Mandrake 10 et j'ai
quand essayé de faire un partage nfs, il m'a demandé de modifier le
groupe d'utilisateurs, mais pas comment. J'ai le même "user manager
sous Fedora, mais pas plus bavard...


Je ne parle pas partage nfs là, je parle utilisateurs existants ou pas.

Car je ne peux pas créer un nouvel utilisateur, sinon il me l'ajoute
dans le /home.


Ben oui, sinon, utiliser la commande useradd avec l'option -M.
man useradd

Par contre dans les propriétés du groupe sous l'onglet
"Utilisateurs du groupe" je peux cocher des utilisateurs "obscurs" comme
daemon, nfsnobody, rpc etc...


je n'utilise pas les interfaces graphiques pour ça, je ne peux donc pas
t'aider là dessus, mais je ne suis pas sûr que nous parlions bien des
mêmes choses.

On s'en doute. Je n'ai qu'un utilisateur par poste,


Donc, tu veux qu'un utilisateur lise les fichiers d'un autre.
Je te conseille vivement de te pencher sur les docs de base de Linux/unix
concernant les permissions. Mais tout ceci n'a quasiment plus rien à voir
avec le partage nfs qui ne peut être bloqué par ça.

mais chez moi, j'ai
deux groupes :
Le groupe jp d'origine et le groupe vfat que j'ai créé pour partager
avec root l'accès à une partition fat, car sous root on m'interdisait
d'y écrire. Et rien n'y faisait. Alors j'avais trouvé cette combine
sur le net, mais bon, on s'éloigne du sujet...


oh oui ! :-)

Ok. Mais comment ? Nos deux machines on chacune un user 500 d'origine
"non contrôlée" càd auquels je n'ai pas trifouillé.


Ben oui, c'est bien pour ça qu'on te parle d'avoir le même uid, car on
sait bien que par défaut, ton installation a donné le même uid (500) au
premier utilisateur créé. Et donc, si ce n'est pas le même sur chaque
machine que tu as créé en premier (quand tu en as créé plusieurs), il
ne peut pas avoir le même uid sur chaque machine.

Message subliminal : vive ldap !
Houla, ça a l'air compliqué... ne pas dépasser la dose precrite...



Et comment ! :-)

Bon, pour l'instant j'ai toujours ça :

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1_niki:/home/niki/Documents


Grrr... c'est quoi ça ?
Tu vas te décider à respecter la syntaxe que je t'ai déjà donnée 2
fois ?
C'est IP OU Nom, donc 192.168.2.1 OU niki, au choix, mais pas les 2.

/mnt/Nicole mount: ne peut obtenir l'adresse de 192.168.2.1_niki


Tu m'étonnes.

[ jp]# mount -t nfs niki:/home/niki/Documents /mnt/Nicole mount
to NFS server 'niki' failed: server is down.


Là, il te dit tout, ton serveur nfs ne tourne pas sur niki !
Ou alors, ton poste jp n'est pas autorisé à y accéder.
Voir les fichiers hosts.allow et hosts.deny pour les autorisations sur
portmap.

man google :-)

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1:/home/niki/Documents /mnt/Nicole
mount to NFS server '192.168.2.1' failed: server is down.


Idem puisque 192.168.2.1 = niki pour lui.

[ jp]# mount -t nfs 192.168.2.1 /niki :/home/niki/Documents
/mnt/Nicole nfs
Usage: mount -V : print version


Ben oui, c'est n'importe quoi cette syntaxe. Il ne la connais pas, et
t'incite à lire la doc.

Désolé de te noyer, mais qu'est-ce qui cloche ?


Tant de choses ;-)

Chouette ! Mais à mon avis, Frédéric est déjà en Week End :-)
Tout le monde connaît tout le monde :o)



Non, du tout, mais une étude statistique rapide de la fréquence de ses
posts, puis son absence totale m'a fait penser ça ;-)


Si tu m'a fait tourner en rond pendant tout mon samedi, je te jetterai
un sort par le réseau et crois-moi, là tu ne risques rien ;o)


Normalement, dans ce que j'ai écrit, il doit y avoir plus de vrai que de
faux ;-)


--
Christophe PEREZ
Écrivez moi sans _faute !


Avatar
jp willm
Ça y eeeeeeest ça marche !

Tout n'est pas encore réglé, mais on accède de part et d'autre au
répertoires partagés.




tu pingues avec quoi, l'ip ou le nom ?
Le nom ou juste 192.168.2.1




127.0.0.1 localhost localhost.localdomain
192.168.2.1 jp.localdomain jp
192.168.2.1 niki.localdomain niki



Arg !! la même ip pour 2 postes ? pas possible !
Ne me frappe pas, je savais que tu allais râler cause de ça.


Sur mon routeur en DHCP je vois bien que niki = 192.168.2.102 et jp 192.168.2.104.
Je pensais que le système allait pouvoir résoudre ces deux derniers
chiffres, car je pensais que la fin des adresses IP changeait en
fonction de l'ordre d'allumage des ordis ...




redémarrer ? sous Linux ? Très généralement inutile quand on sait quoi
faire.
15:09:02 ~ $ uptime
15:09:05 up 71 days, 5:48, 1 user, load average: 0.64, 0.59, 0.47
C'est-y pas beau ça :o)


( Depuis début 2004 j'utilise gnu/linux à mon boulot (gestion du service
maintenance et DAO 2D/3D avec Varicad (super). Pas un plantage. Même la
vielle hp laserjet 5L qui avant me donnait bien du souci ronronne... )

[ jp]$ uptime
08:02:27 up 48 min, 4 users, load average: 0.02, 0.02, 0.03

C'est normal qu'il y ait 4 user avec seulement 3 machines sur le réseau
ou alors c'est les users de ma propre machine jp, niki, root et qui ?
(Si ça n'a rien à voir avec le problème laisse tomber).



Car je ne peux pas créer un nouvel utilisateur, sinon il me l'ajoute
dans le /home.



Ben oui, sinon, utiliser la commande useradd avec l'option -M.
man useradd
-M Le répertoire personnel de l’utilisateur ne sera pas créé, même

si les réglages globaux au système présents dans /etc/login.defs
consistent en la création de répertoires personnels.

Ben oui :o)
Encore faut-il savoir que ça existe "man useradd" :o(





Ben oui, c'est bien pour ça qu'on te parle d'avoir le même uid, car on
sait bien que par défaut, ton installation a donné le même uid (500) au
premier utilisateur créé. Et donc, si ce n'est pas le même sur chaque
machine que tu as créé en premier (quand tu en as créé plusieurs), il
ne peut pas avoir le même uid sur chaque machine.
C'ést simple quand enfin on comprend :o)





Désolé de te noyer, mais qu'est-ce qui cloche ?



Tant de choses ;-)


Tu l'as dit :o}







Normalement, dans ce que j'ai écrit, il doit y avoir plus de vrai que de
faux ;-)


CQFD


Merci à toi, jp


Avatar
jp willm
Un grand merci à Frédéric et à Christophe pour leur aide précieuse et...

pour leur patience mise à rude épreuve...

Faut encore que j'arrive à étendre le partage aux sous-répertoires (il y
a bien une case à cocher dans konqueror, mais elle est "amnésique").
Faudra sans doute sévir en mode console...

Si je ne trouve rien, je crierai encore une fois à l'aide.

Belle journée, la neige qui tombe dehors, l'ordi qui roronne au coin du
feu et le réseau NFS qui marche :o)

@ 1 2 C jours,

jp
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Christophe PEREZ
Le Sun, 19 Dec 2004 19:55:32 +0100, jp willm a écrit:

Ça y eeeeeeest ça marche !


Parfait ;-)

Tout n'est pas encore réglé, mais on accède de part et d'autre au
répertoires partagés.


C'est déjà un bon début.

tu pingues avec quoi, l'ip ou le nom ?
Le nom ou juste 192.168.2.1



ok.

Arg !! la même ip pour 2 postes ? pas possible !
Ne me frappe pas, je savais que tu allais râler cause de ça.



Ben le premier à râler, c'était plutôt tes PC

Sur mon routeur en DHCP je vois bien que niki = 192.168.2.102 et jp > 192.168.2.104.
Je pensais que le système allait pouvoir résoudre ces deux derniers
chiffres, car je pensais que la fin des adresses IP changeait en
fonction de l'ordre d'allumage des ordis ...


Possible, je n'y connais strictement rien en DHCP routeur moi (et même
DHCP tout court, jamais touché).

15:09:02 ~ $ uptime
15:09:05 up 71 days, 5:48, 1 user, load average: 0.64, 0.59, 0.47
C'est-y pas beau ça :o)



Et j'en suis fier quand certains se souviennent ici comment j'ai galéré
avec mon ancienne qui me faisait un kernel panic par mois ;-)

( Depuis début 2004 j'utilise gnu/linux à mon boulot (gestion du service
maintenance et DAO 2D/3D avec Varicad (super). Pas un plantage. Même la
vielle hp laserjet 5L qui avant me donnait bien du souci ronronne... )


Wahou !
Je suis fier de toi ;-)

[ jp]$ uptime
08:02:27 up 48 min, 4 users, load average: 0.02, 0.02, 0.03

C'est normal qu'il y ait 4 user avec seulement 3 machines sur le réseau
ou alors c'est les users de ma propre machine jp, niki, root et qui ?


Oui, tu dois avoir des consoles ouvertes, et à chaque fois, c'est un
login, donc 1 user connecté.

(Si ça n'a rien à voir avec le problème laisse tomber).


Trop tard ;-)

Ben oui, sinon, utiliser la commande useradd avec l'option -M.
man useradd
-M Le répertoire personnel de l'utilisateur ne sera pas créé,

même si les réglages globaux au système présents dans
/etc/login.defs consistent en la création de répertoires personnels.

Ben oui :o)
Encore faut-il savoir que ça existe "man useradd" :o(


C'est bien pour cela que je te l'ai indiquée.
Ceci dit, pars toujours du principe que tout ce qui peut se faire avec
interface graphique, se fait _toujours_ aussi en ligne de commande. C'est
parfois plus lourd, ça impose un minimum de lecture du man (qui existe
quasiment toujours, mais pas toujours en Français), mais c'est aussi
quasiment toujours plus puissant et plus souple.
Je ne suis pas un intégriste de la ligne de commande, bien au contraire
quand on voit mon desktop, mais il y a des manipulations de base (gestion
des utilisateurs, édition d'un fichier de config etc...) qu'il est
quasiment indispensable de savoir réaliser en ligne de commande, pour le
moins que l'on veuille bidouiller un petit peu son linux.

[...]
C'ést simple quand enfin on comprend :o)


Et tu as compris ? Si oui, c'est parfait.

Merci à toi,


Je t'en prie.

--
Christophe PEREZ
Écrivez moi sans _faute !


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