Twitter iPhone pliant OnePlus 11 PS5 Disney+ Orange Livebox Windows 11

Nikon coolscan optimisation scanner

11 réponses
Avatar
chevallier
Quand faut il traiter les images lorsqu'il manque des informations dans les
basses ou hautes lumieres avec l'outil courbes? avant (pretraitement)ou
aprés le scan du négatif ?
Faut -il utiliser l'outil "editeur LCT" ou gain analogique avec nikonscan ?
merçi de m'aider

10 réponses

1 2
Avatar
HyperDupont
Deux réponses, dont une réservée aux utilisateurs d'un logiciel
exceptionnel...

- avec Nikonscan, utiliser les courbes dès le scan , en utilisant
l'histogramme, de façon à ce que le scanner ajuste au mieux les données
utiles, qu'il peut échantillonner sur + de 3 fois 8bits et te les
"normalise" vers le nombre de bits que gèrent les logiciels "aval".

- si tu as "vuescan", c'est différent, mais il faut disposer de plus de
surface disque de stockage: vuescan peut stocker les données "brutes"
(tous les bits dispos au scanner) et permet de simuler ensuite toutes
les configs de scan possible à partir de cette image "complète" des
données contenues dans ta diapo/ton neg.

Vuescan n'est pas très cher, la version démo donne une bonne idée de ses
possibilités, mais inscrit un quadrillage noir (si ça n'a pas changé)
sur l'image produite...

Quand faut il traiter les images lorsqu'il manque des informations dans les
basses ou hautes lumieres avec l'outil courbes? avant (pretraitement)ou
aprés le scan du négatif ?
Faut -il utiliser l'outil "editeur LCT" ou gain analogique avec nikonscan ?
merçi de m'aider




Avatar
maurice
Salut chevallier
"chevallier" a écrit
Quand faut il traiter les images lorsqu'il manque des informations dans
les
basses ou hautes lumieres


à la prise de vue
1.
1 photo pour les hautes lumières
1 photo pour les basses lumières
assemblage automatique avec PS et un plug in

2. débouchage ou fill in au flash

3. ne pas cadrer d'image contenant une flaque de mazout

4. baisser ou attendre que la lumiére diminut
(les ombres et lumières seront moins franches)



avec l'outil courbes? avant (pretraitement)ou
aprés le scan du négatif ?


une légère mise à niveau , mais pas la "Totale"

Faut -il utiliser l'outil "editeur LCT" ou gain analogique avec nikonscan
?
merçi de m'aider


Avatar
Jean-Pierre Roche
Quand faut il traiter les images lorsqu'il manque des informations dans les
basses ou hautes lumieres avec l'outil courbes? avant (pretraitement)ou
aprés le scan du négatif ?


S'il manque des éléments sur l'original vous ne le
obtiendrez pas par miracle...
Comme d'habitude il faut disposer d'un bon écran calibré
pour un travail sérieux. Ensuite, avec un négatif, il ne
doit pas manquer de détails : son contraste propre est faible !

Faut -il utiliser l'outil "editeur LCT" ou gain analogique avec nikonscan ?


LCT est très utile pour certaines corrections couleur mais
guère dans ce cas amha. Le gain analogique est un outil très
dangereux si on n'en a pas l'expérience et, avec un scanner
actuel, rarement indispensable. S'il s'agit de négatifs il
ne doit même jamais être utilisé.

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...

http://jpierreroche.free.fr/

Avatar
Laurent Martin
Le gain analogique est un outil très
dangereux si on n'en a pas l'expérience et, avec un scanner
actuel, rarement indispensable. S'il s'agit de négatifs il
ne doit même jamais être utilisé.


Peux-tu donner quelques explications à ce propos... Pourquoi le gain ne
doit-il jamais être utilisé en négatif.

Le gain analogique est une sorte de "correcteur d'exposition" initial.
Je l'utilise pour "dégrossir" mon image, en particulier lorsque le néga est
sous-exposé.
Ensuite je choisi mon point noir et mon point blanc.
Ensuite, je j'oriente la courbe entre ces deux points, soit globalement
(RVB) soit séparement au niveau de chacune des couches.
En quoi ai-je tord de travailler mon image ainsi ?

--
Laurent

Avatar
Jean-Pierre Roche

Peux-tu donner quelques explications à ce propos... Pourquoi le gain ne
doit-il jamais être utilisé en négatif.


Comme je l'ai dit un négatif présente un contraste propre
faible. Le scanner en configuration typique ne doit avoir
aucun mal pour sa numérisation...

Le gain analogique est une sorte de "correcteur d'exposition" initial.


Houla non. Pas du tout. C'est un outil pour les cas
désespérés où le scanner ne parvient pas à faire quelque
chose de propre (densité trop faible ou trop forte).

Je l'utilise pour "dégrossir" mon image, en particulier lorsque le néga est
sous-exposé.


? Un néga sousex = transparent. Pourquoi utiliser le gain
analogique ? Sauf évidemment si l'expo est vraiment mauvaise
mais de bonnes photos avec une mauvaise exposition je doute
ce que soit une voie à explorer longtemps !

Ensuite je choisi mon point noir et mon point blanc.
Ensuite, je j'oriente la courbe entre ces deux points, soit globalement
(RVB) soit séparement au niveau de chacune des couches.
En quoi ai-je tord de travailler mon image ainsi ?


Selon moi, la numérisation a pour but de récupérer le
maximum d'information sur l'original. Et ensuite on
travaille ces informations pour en faire une photo.
Travailler directement au moment du scan fige ce qu'on
pourra en faire...
Evidemment récupérer le maximum d'infos veut parfois dire
numériser en 48 bits et utiliser le multiéchantillonnage...

--
Jean-Pierre Roche

enlever sanspub pour m'écrire...

http://jpierreroche.free.fr/

Avatar
Laurent Martin
? Un néga sousex = transparent. Pourquoi utiliser le gain
analogique ? Sauf évidemment si l'expo est vraiment mauvaise
mais de bonnes photos avec une mauvaise exposition je doute
ce que soit une voie à explorer longtemps !


Nul n'est parfait, je n'ai pas forcément envie de jeter à la poubelle toutes
mes photos mal exposées. J'ai constaté jusqu'ici que le gain analogique
était la meilleure façon de "rattraper le coup", peut-être parce que je ne
suis pas suffisemment compétent au niveau des autres moyens possibles. Je
reste parfaitement disposé à me remettre en cause.

Travailler directement au moment du scan fige ce qu'on
pourra en faire...


"Fige", c'est un grand mot, je ne brulle pas mon négatif après scan et si
j'ai passé du temps sur NikonScan, je n'hésite pas à exporter les paramètres
dans un fichier ".set". Jusqu'ici, j'ai fais le choix de travailler au
maximum mes images sous NikonScan et de me limiter sous PS à faire de la
retouche et de l'accentuation. Toi, tu donne le sentiment d'avoir fait le
choix extrème inverse. La meilleure solution est certainement entre les
deux.

Evidemment récupérer le maximum d'infos veut parfois dire
numériser en 48 bits et utiliser le multiéchantillonnage...


Sur mon LS40, je dois me contenter de 36bits sans multi, peut-être que cela
doit guider mon choix quant aux interventions à faire pendant ou après le
scan.

--
Laurent

Avatar
Philippe LAGARDE

Jusqu'ici, j'ai fais le choix de travailler au
maximum mes images sous NikonScan et de me limiter sous PS à faire de la
retouche et de l'accentuation. Toi, tu donne le sentiment d'avoir fait le
choix extrème inverse. La meilleure solution est certainement entre les
deux.


Je n'ai pazs une grande expérience du scan, mais je suis tout à fait dans
l'optique de JPR. J'ai fait récemment des essais de tirages dans différents
labos, avec plein de profils et de papiers différents, en croisant tout ça
dans tous les sens. Ben c'est clair qu'à un moment donné, il faut se
remettre en boucle fermée, mettre le tirage d'essai à côté de l'écran, et
rouvrir Photoshop. Et là, tu es content d'avoir une image de base avec un
max d'info, et le plus de futurs potentiels possibles.

Cordialement,

--
Philippe LAGARDE
www.mise-en-lumiere.org

Avatar
Laurent Martin
dans tous les sens. Ben c'est clair qu'à un moment donné, il faut se
remettre en boucle fermée, mettre le tirage d'essai à côté de l'écran, et
rouvrir Photoshop. Et là, tu es content d'avoir une image de base avec un
max d'info, et le plus de futurs potentiels possibles.


Je suis d'accord avec toi, mais pour ce genre de légères corrections, même
en ayant déjà travaillé l'image sous NikonScan, le fichier TIFF 12bits que
je produit à encore suffisemment de potentiel.
C'est d'ailleurs pour ça que les fichiers que je produit en sortie de
NikonScan sont toujours en 12bits, et que j'accentue toujours le plus tard
possible.

--
Laurent

Avatar
Philippe LAGARDE

Je suis d'accord avec toi, mais pour ce genre de légères corrections, même
en ayant déjà travaillé l'image sous NikonScan, le fichier TIFF 12bits que
je produit à encore suffisemment de potentiel.


On doit pas parler de la même chose :-) Moi je parle de corrections
vraiment importantes, suivant les profils utilisés sur des papier un peu
exotiques, du peux avoir des écarts à l'impression énormes (deux diaphs,
genre...)

Cordialement,

--
Philippe LAGARDE
www.mise-en-lumiere.org

Avatar
Laurent Martin
On doit pas parler de la même chose :-) Moi je parle de corrections
vraiment importantes, suivant les profils utilisés sur des papier un peu
exotiques, du peux avoir des écarts à l'impression énormes (deux diaphs,
genre...)


Deux diaphs ??????
Effectivement, jusqu'ici, mes corrections pour "m'adapter" à une machine de
labo se sont limitées à un peu de luminosité, de contraste, de saturation ou
de très légères corections de couleurs ;-)

Plus, ça doit être ingérable... Par curiosité, quel genre de machine/papier
?

--
Laurent

1 2