"Gloops" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q2qgrb$81r$> Le baratin habituel, mais ça ne marche plus. On a d'un côté des
> prétendus dirigeants élus démocratiquement et qui chient dans leur froc,
> qui dans la panique font un peu n'importe quoi: ordre de viser la tête
> avec les flashball en choisissant des victimes au hasard et qui touche
malencontreusement des militaires en permission, loi soit-disant
anti-casseurs proposée à la hâte où toutes les allusions à la répression
illégale n'a pas encore bien été maquillées par des éléments de langage,
pots-de-vin aux "forces de l'ordre" et à l'armée, en oubliant qu'ils
avaient dit qu'il n'y avait plus d'argent, mensonges éhontés tout de suite
contredits par des document et des témoignages diffusés sur les réseaux
sociaux ; donc qui jettent de l'huile sur le feu en croyant toujours bien
maitriser leurs méthodes de manipulation. Et de l'autre côté, tout
simplement le peuple souverain, dans son bon droit, et qui avec un courage
extraordinaire ne se laisse pas dissuader par toutes ces agressions en
règle.
>
> Alors des révolutionnaires excités par le sang? Laissez-moi pouffer.
> Pfff!!! Voilà.
>
> Plutôt les 1% plus riches possédant 99% des richesses, et qui trouve
> encore le moyen de dépouiller le peuple en le considérant comme "rien,"
> donc pouvant tout subir, aussi bien les coups, les blessures, les
> mutilations, la mort que les calomnies, les injures et l'humiliation.
Bien résumé.
Et ce monde-là sait très bien, tout ça.
Mais on fait quand même semblant d'y croire, des fois que ça fasse
illusion.
Question "champ lexical," il ne reste plus qu'à utiliser le mot "terroriste"
(Schiappa en était très proche) et on en sera descendu au niveau qu'un
certain état d'apartheid. Pas besoin d'attendre l'opération "caoutchouc
durci" pour comprendre que nous sommes en fait dans une guerre civile, avec
la propagande qui va avec.
L'armée piaffe d'impatience, et ce n'est
certainement pas vers une dictature financière que nous allons.
Comment en sommes nous arrivés là? Contrairement à ses prédécesseurs, le
forcené de l'Elysée n'a jamais vraiment lutté dans sa vie pour apprendre que
le pouvoir est avant tout une question de compromis, et se partage pour se
renforcer. D'abord pistonné par Attali, il n'a jamais travaillé, mais a
seulement acheté et vendu des entreprises avec l'argent de quelqu'un
d'autre. Ensuite, sans même avoir réussi à devenir chef d'un parti, il a
fait un coup d'état électoral avec une task force qui lui a été fournie sur
un plateau.
Le fait d'avoir été mal élu aurait dû l'alerter. Bien sûr "venez
me chercher" était une gaffe puérile, mais dire au général de Villiers que
c'est lui le chef et que donc s'il n'est pas d'accord il prend la porte est
une grave erreur qui pourrait lui être fatale.
Nous ne sommes plus dans un régime stable, et alors tout peut arriver, y
compris un coup d'état militaire.
Maintenant que la grenouille est sortie du
bocal, elle n'y retournera jamais, même par la force des baïonnettes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Gloops" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q2qgrb$81r$1@nemo.pasdenom.info...
> > Le baratin habituel, mais ça ne marche plus. On a d'un côté des
> > prétendus dirigeants élus démocratiquement et qui chient dans leur froc,
> > qui dans la panique font un peu n'importe quoi: ordre de viser la tête
> > avec les flashball en choisissant des victimes au hasard et qui touche
> malencontreusement des militaires en permission, loi soit-disant
> anti-casseurs proposée à la hâte où toutes les allusions à la répression
> illégale n'a pas encore bien été maquillées par des éléments de langage,
> pots-de-vin aux "forces de l'ordre" et à l'armée, en oubliant qu'ils
> avaient dit qu'il n'y avait plus d'argent, mensonges éhontés tout de suite
> contredits par des document et des témoignages diffusés sur les réseaux
> sociaux ; donc qui jettent de l'huile sur le feu en croyant toujours bien
> maitriser leurs méthodes de manipulation. Et de l'autre côté, tout
> simplement le peuple souverain, dans son bon droit, et qui avec un courage
> extraordinaire ne se laisse pas dissuader par toutes ces agressions en
> règle.
> >
> > Alors des révolutionnaires excités par le sang? Laissez-moi pouffer.
> > Pfff!!! Voilà.
> >
> > Plutôt les 1% plus riches possédant 99% des richesses, et qui trouve
> > encore le moyen de dépouiller le peuple en le considérant comme "rien,"
> > donc pouvant tout subir, aussi bien les coups, les blessures, les
> > mutilations, la mort que les calomnies, les injures et l'humiliation.
>
> Bien résumé.
>
> Et ce monde-là sait très bien, tout ça.
>
> Mais on fait quand même semblant d'y croire, des fois que ça fasse
> illusion.
Question "champ lexical," il ne reste plus qu'à utiliser le mot "terroriste"
(Schiappa en était très proche) et on en sera descendu au niveau qu'un
certain état d'apartheid. Pas besoin d'attendre l'opération "caoutchouc
durci" pour comprendre que nous sommes en fait dans une guerre civile, avec
la propagande qui va avec.
L'armée piaffe d'impatience, et ce n'est
certainement pas vers une dictature financière que nous allons.
Comment en sommes nous arrivés là? Contrairement à ses prédécesseurs, le
forcené de l'Elysée n'a jamais vraiment lutté dans sa vie pour apprendre que
le pouvoir est avant tout une question de compromis, et se partage pour se
renforcer. D'abord pistonné par Attali, il n'a jamais travaillé, mais a
seulement acheté et vendu des entreprises avec l'argent de quelqu'un
d'autre. Ensuite, sans même avoir réussi à devenir chef d'un parti, il a
fait un coup d'état électoral avec une task force qui lui a été fournie sur
un plateau.
Le fait d'avoir été mal élu aurait dû l'alerter. Bien sûr "venez
me chercher" était une gaffe puérile, mais dire au général de Villiers que
c'est lui le chef et que donc s'il n'est pas d'accord il prend la porte est
une grave erreur qui pourrait lui être fatale.
Nous ne sommes plus dans un régime stable, et alors tout peut arriver, y
compris un coup d'état militaire.
Maintenant que la grenouille est sortie du
bocal, elle n'y retournera jamais, même par la force des baïonnettes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
"Gloops" a écrit dans le message de groupe de discussion :
q2qgrb$81r$> Le baratin habituel, mais ça ne marche plus. On a d'un côté des
> prétendus dirigeants élus démocratiquement et qui chient dans leur froc,
> qui dans la panique font un peu n'importe quoi: ordre de viser la tête
> avec les flashball en choisissant des victimes au hasard et qui touche
malencontreusement des militaires en permission, loi soit-disant
anti-casseurs proposée à la hâte où toutes les allusions à la répression
illégale n'a pas encore bien été maquillées par des éléments de langage,
pots-de-vin aux "forces de l'ordre" et à l'armée, en oubliant qu'ils
avaient dit qu'il n'y avait plus d'argent, mensonges éhontés tout de suite
contredits par des document et des témoignages diffusés sur les réseaux
sociaux ; donc qui jettent de l'huile sur le feu en croyant toujours bien
maitriser leurs méthodes de manipulation. Et de l'autre côté, tout
simplement le peuple souverain, dans son bon droit, et qui avec un courage
extraordinaire ne se laisse pas dissuader par toutes ces agressions en
règle.
>
> Alors des révolutionnaires excités par le sang? Laissez-moi pouffer.
> Pfff!!! Voilà.
>
> Plutôt les 1% plus riches possédant 99% des richesses, et qui trouve
> encore le moyen de dépouiller le peuple en le considérant comme "rien,"
> donc pouvant tout subir, aussi bien les coups, les blessures, les
> mutilations, la mort que les calomnies, les injures et l'humiliation.
Bien résumé.
Et ce monde-là sait très bien, tout ça.
Mais on fait quand même semblant d'y croire, des fois que ça fasse
illusion.
Question "champ lexical," il ne reste plus qu'à utiliser le mot "terroriste"
(Schiappa en était très proche) et on en sera descendu au niveau qu'un
certain état d'apartheid. Pas besoin d'attendre l'opération "caoutchouc
durci" pour comprendre que nous sommes en fait dans une guerre civile, avec
la propagande qui va avec.
L'armée piaffe d'impatience, et ce n'est
certainement pas vers une dictature financière que nous allons.
Comment en sommes nous arrivés là? Contrairement à ses prédécesseurs, le
forcené de l'Elysée n'a jamais vraiment lutté dans sa vie pour apprendre que
le pouvoir est avant tout une question de compromis, et se partage pour se
renforcer. D'abord pistonné par Attali, il n'a jamais travaillé, mais a
seulement acheté et vendu des entreprises avec l'argent de quelqu'un
d'autre. Ensuite, sans même avoir réussi à devenir chef d'un parti, il a
fait un coup d'état électoral avec une task force qui lui a été fournie sur
un plateau.
Le fait d'avoir été mal élu aurait dû l'alerter. Bien sûr "venez
me chercher" était une gaffe puérile, mais dire au général de Villiers que
c'est lui le chef et que donc s'il n'est pas d'accord il prend la porte est
une grave erreur qui pourrait lui être fatale.
Nous ne sommes plus dans un régime stable, et alors tout peut arriver, y
compris un coup d'état militaire.
Maintenant que la grenouille est sortie du
bocal, elle n'y retournera jamais, même par la force des baïonnettes.
-- ~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
Comment en sommes nous arrivés là?
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
Comment en sommes nous arrivés là?
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
Comment en sommes nous arrivés là?
(origine dans fr.soc.politique,fr.misc.droit)
Le 30 Janvier 2019 à 01:00, Cl Massé a écrit :Comment en sommes nous arrivés là?
À force de laisser courir ...
Je n'ai pas arrêté de gueuler ici de tout le mandat de Hollande, mais ...
Je me rends compte que c'était déjà trop tard.
Et les Français ne sont toujours pas conscients des conséquences de leur
passivité. Ils ne réagissent que quand on touche à leur porte-monnaie. Ce
qui fait de Macron un crétin, finalement, quand on y pense ...
Le 30 Janvier 2019 à 01:00, Cl Massé <contact@nospam.invalid> a écrit :
> Comment en sommes nous arrivés là?
À force de laisser courir ...
Je n'ai pas arrêté de gueuler ici de tout le mandat de Hollande, mais ...
Je me rends compte que c'était déjà trop tard.
Et les Français ne sont toujours pas conscients des conséquences de leur
passivité. Ils ne réagissent que quand on touche à leur porte-monnaie. Ce
qui fait de Macron un crétin, finalement, quand on y pense ...
Le 30 Janvier 2019 à 01:00, Cl Massé a écrit :Comment en sommes nous arrivés là?
À force de laisser courir ...
Je n'ai pas arrêté de gueuler ici de tout le mandat de Hollande, mais ...
Je me rends compte que c'était déjà trop tard.
Et les Français ne sont toujours pas conscients des conséquences de leur
passivité. Ils ne réagissent que quand on touche à leur porte-monnaie. Ce
qui fait de Macron un crétin, finalement, quand on y pense ...