J'essaye de transférer des données entre un GSM Nokia 6280 et un PC
portable tournant sous Linux (debian/etch noyau 2.6.20.4).
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM,
j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par
mount /dev/sda /mnt
Je peux voir ce qu'elle contient par ls -l sans aucun problème.
Mais, il m'est impossible de copier des fichiers (au moins dans le
sens gsm vers pc), ça mouline, ça mouline, ça mouline, et rien, je
suis obliger de débrancher le câble.
Par ailleurs, est-il possible de copier le contenu du répertoire ?
Le montage précédent ne donnant accès qu'à la carte SD...
Cordialement,
JKB, finalement, mon vieux 8110i n'était pas mal du tout...
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM, j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par mount /dev/sda /mnt [...] Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
On Mon, 9 Apr 2007 10:57:48 +0000 (UTC), JKB
<knatschke@koenigsberg.fr>:
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM,
j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par
mount /dev/sda /mnt
[...]
Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un
dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM, j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par mount /dev/sda /mnt [...] Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
lhabert
Fabien LE LEZ :
sda, c'est le volume, pas la partition qui serait plutôt sda1,
Pour les disques durs, effectivement. Pour les clés USB (et les CD-ROM), il me semble que /dev/sda désigne la "partition" (enfin, du moins, le truc qu'on peut monter).
Vu de l'OS, il n'y a pas de différence entre une clef USB et un disque dur. /dev/sda désigne le volume entier, et les éventuelles partitions sont numérotées à partir de /dev/sda1. Après, la clef peut ne pas être partitionée, et dans ce cas, c'est /dev/sda qu'il faut monter. Ça dépend de la clef, et ça se change d'un coup de « cfdisk /dev/sda ».
Les CD-ROM, il n'y a classiquement pas de partitions dessus, et le nom du volume (souvent /dev/hdc) coincide avec le truc à monter. Enfin il y a pour les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession, c'est dommage qu'ils n'aient pas choisi de les présenter comme des partitions à la place.
Fabien LE LEZ :
sda, c'est le volume, pas la partition qui serait plutôt sda1,
Pour les disques durs, effectivement.
Pour les clés USB (et les CD-ROM), il me semble que /dev/sda désigne
la "partition" (enfin, du moins, le truc qu'on peut monter).
Vu de l'OS, il n'y a pas de différence entre une clef USB et un disque dur.
/dev/sda désigne le volume entier, et les éventuelles partitions sont
numérotées à partir de /dev/sda1. Après, la clef peut ne pas être
partitionée, et dans ce cas, c'est /dev/sda qu'il faut monter. Ça dépend de
la clef, et ça se change d'un coup de « cfdisk /dev/sda ».
Les CD-ROM, il n'y a classiquement pas de partitions dessus, et le nom du
volume (souvent /dev/hdc) coincide avec le truc à monter. Enfin il y a pour
les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois
que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession, c'est dommage
qu'ils n'aient pas choisi de les présenter comme des partitions à la place.
sda, c'est le volume, pas la partition qui serait plutôt sda1,
Pour les disques durs, effectivement. Pour les clés USB (et les CD-ROM), il me semble que /dev/sda désigne la "partition" (enfin, du moins, le truc qu'on peut monter).
Vu de l'OS, il n'y a pas de différence entre une clef USB et un disque dur. /dev/sda désigne le volume entier, et les éventuelles partitions sont numérotées à partir de /dev/sda1. Après, la clef peut ne pas être partitionée, et dans ce cas, c'est /dev/sda qu'il faut monter. Ça dépend de la clef, et ça se change d'un coup de « cfdisk /dev/sda ».
Les CD-ROM, il n'y a classiquement pas de partitions dessus, et le nom du volume (souvent /dev/hdc) coincide avec le truc à monter. Enfin il y a pour les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession, c'est dommage qu'ils n'aient pas choisi de les présenter comme des partitions à la place.
On Tue, 10 Apr 2007 20:07:07 +0200, Olivier Masson :
...Et qu'il faut dix minutes pour le lancer :-/
A peine plus que Gimp pour CS3. Désolé.
Sur ce plan, le logiciel libre n'a rien à envier au commercial. Y'a qu'à voir Open Office...
Fabien LE LEZ
On Tue, 10 Apr 2007 13:39:57 +0000 (UTC), (Luc Habert):
Enfin il y a pour les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession,
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que l'accès est généralement un petit peu plus long.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC (table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce que tu veux. On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais il est rare qu'on en ait besoin.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus gros qu'un CD-ROM (650 Mo). Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher (0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
Enfin il y a pour
les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois
que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession,
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en
plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que
l'accès est généralement un petit peu plus long.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis
le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC
(table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce
que tu veux.
On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais
il est rare qu'on en ait besoin.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais
beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus
gros qu'un CD-ROM (650 Mo).
Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très
petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher
(0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a
plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
On Tue, 10 Apr 2007 13:39:57 +0000 (UTC), (Luc Habert):
Enfin il y a pour les CD la notion de session que je ne connais essentiellement pas, je crois que c'est tout un bordel pour accéder à un CD multisession,
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que l'accès est généralement un petit peu plus long.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC (table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce que tu veux. On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais il est rare qu'on en ait besoin.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus gros qu'un CD-ROM (650 Mo). Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher (0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
Nicolas George
Fabien LE LEZ wrote in message :
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que l'accès est généralement un petit peu plus long.
Plus exactement, voici comment ça marche : un système de fichiers ISO 9660 mono-session commence par divers entêtes globaux, puis l'arborescence des répertoires, qui contient des pointeurs (sous la forme de numéros de secteurs) vers les données des fichiers.
Pour transformer ça en un système multi-session, on ajoute au bout un nouvel exemplaire des entêtes globaux et de l'arborescence des répertoires (normalement en entier, même si techniquement il est parfaitement possible de référencer en bloc un répertoire préexistant). Les données des anciens fichiers seront simplement des pointeurs vers les secteurs déjà enregistrés, les données des nouveaux fichiers viendront ensuite, avec des numéros de secteurs plus élevés.
Lors qu'on insère le CD dans le lecteur, le lecteur détecte automatiquement les débuts de session, et le noyau choisit automatiquement l'arborescence des répertoires de la dernière session.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC (table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce que tu veux.
Comme c'est du read-only, on peut faire toutes les conneries qu'on veut (si c'était du read-write, il faudrait faire attention à ce qu'une connerie ne provoque pas plus tard une corruption grave) : on peut, par exemple, faire en sorte que les mêmes données soient accessibles soit par un gros fichier, soit par plusieurs petits.
En pratique, ça ne sert à rien, donc les outils usuels ne l'implémentent pas.
On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais il est rare qu'on en ait besoin.
Même pas besoin d'un logiciel de gravure, « mount -o session=1 » suffit pour retrouver le CD exactement dans l'état de la session 1.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus gros qu'un CD-ROM (650 Mo). Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher (0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
Au contraire : les CD multisession étaient un hack bizarre et pas fiable, qui risquait de ne marcher qu'avec certains lecteurs, et qui, en prime, gaspillait 23 Mo du support, plus 14 Mo par session supplémentaire.
De nos jours, on a les DVD-R, pour lesquels le multisession était prévu dès le départ. Et, conjointement, les outils pour gérer le multisession confortablement, comme growisofs, se sont développés. Ça apporte un réel gain de confort.
Fabien LE LEZ wrote in message
<17uo13toesg7jbe0nf0ijfdgfilt8tis6n@4ax.com>:
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en
plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que
l'accès est généralement un petit peu plus long.
Plus exactement, voici comment ça marche : un système de fichiers ISO 9660
mono-session commence par divers entêtes globaux, puis l'arborescence des
répertoires, qui contient des pointeurs (sous la forme de numéros de
secteurs) vers les données des fichiers.
Pour transformer ça en un système multi-session, on ajoute au bout un nouvel
exemplaire des entêtes globaux et de l'arborescence des répertoires
(normalement en entier, même si techniquement il est parfaitement possible
de référencer en bloc un répertoire préexistant). Les données des anciens
fichiers seront simplement des pointeurs vers les secteurs déjà enregistrés,
les données des nouveaux fichiers viendront ensuite, avec des numéros de
secteurs plus élevés.
Lors qu'on insère le CD dans le lecteur, le lecteur détecte automatiquement
les débuts de session, et le noyau choisit automatiquement l'arborescence
des répertoires de la dernière session.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis
le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC
(table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce
que tu veux.
Comme c'est du read-only, on peut faire toutes les conneries qu'on veut (si
c'était du read-write, il faudrait faire attention à ce qu'une connerie ne
provoque pas plus tard une corruption grave) : on peut, par exemple, faire
en sorte que les mêmes données soient accessibles soit par un gros fichier,
soit par plusieurs petits.
En pratique, ça ne sert à rien, donc les outils usuels ne l'implémentent
pas.
On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais
il est rare qu'on en ait besoin.
Même pas besoin d'un logiciel de gravure, « mount -o session=1 » suffit pour
retrouver le CD exactement dans l'état de la session 1.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais
beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus
gros qu'un CD-ROM (650 Mo).
Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très
petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher
(0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a
plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
Au contraire : les CD multisession étaient un hack bizarre et pas fiable,
qui risquait de ne marcher qu'avec certains lecteurs, et qui, en prime,
gaspillait 23 Mo du support, plus 14 Mo par session supplémentaire.
De nos jours, on a les DVD-R, pour lesquels le multisession était prévu dès
le départ. Et, conjointement, les outils pour gérer le multisession
confortablement, comme growisofs, se sont développés. Ça apporte un réel
gain de confort.
Un CD multisession, c'est un CD où tu as ajouté des fichiers en plusieurs fois. La seule différence avec un CD "normal", c'est que l'accès est généralement un petit peu plus long.
Plus exactement, voici comment ça marche : un système de fichiers ISO 9660 mono-session commence par divers entêtes globaux, puis l'arborescence des répertoires, qui contient des pointeurs (sous la forme de numéros de secteurs) vers les données des fichiers.
Pour transformer ça en un système multi-session, on ajoute au bout un nouvel exemplaire des entêtes globaux et de l'arborescence des répertoires (normalement en entier, même si techniquement il est parfaitement possible de référencer en bloc un répertoire préexistant). Les données des anciens fichiers seront simplement des pointeurs vers les secteurs déjà enregistrés, les données des nouveaux fichiers viendront ensuite, avec des numéros de secteurs plus élevés.
Lors qu'on insère le CD dans le lecteur, le lecteur détecte automatiquement les débuts de session, et le noyau choisit automatiquement l'arborescence des répertoires de la dernière session.
Par contre, tu peux graver un fichier dans une première session, puis le "cacher" dans une session suivante, i.e. le retirer de la TOC (table of contents). Il ne sera alors plus visible, et c'est bien ce que tu veux.
Comme c'est du read-only, on peut faire toutes les conneries qu'on veut (si c'était du read-write, il faudrait faire attention à ce qu'une connerie ne provoque pas plus tard une corruption grave) : on peut, par exemple, faire en sorte que les mêmes données soient accessibles soit par un gros fichier, soit par plusieurs petits.
En pratique, ça ne sert à rien, donc les outils usuels ne l'implémentent pas.
On peut le retrouver, généralement avec un logiciel de gravure -- mais il est rare qu'on en ait besoin.
Même pas besoin d'un logiciel de gravure, « mount -o session=1 » suffit pour retrouver le CD exactement dans l'état de la session 1.
Enfin, tout ça n'existe plus vraiment. À l'époque, j'utilisais beaucoup ce principe, car mon disque dur n'était pas beaucoup plus gros qu'un CD-ROM (650 Mo). Aujourd'hui, 650 ou 700 Mo (ou même les 4 Go d'un DVD-R), c'est très petit (par rapport à un disque dur), et un CD-R coûte très peu cher (0,20 EUR environ au lieu de 50 FRF à l'époque) -- du coup, il n'y a plus aucune raison de s'emmerder avec un CD multisession.
Au contraire : les CD multisession étaient un hack bizarre et pas fiable, qui risquait de ne marcher qu'avec certains lecteurs, et qui, en prime, gaspillait 23 Mo du support, plus 14 Mo par session supplémentaire.
De nos jours, on a les DVD-R, pour lesquels le multisession était prévu dès le départ. Et, conjointement, les outils pour gérer le multisession confortablement, comme growisofs, se sont développés. Ça apporte un réel gain de confort.
JKB
Le 10-04-2007, à propos de Re: Nokia 6280 et Linux (USB), Fabien LE LEZ écrivait dans fr.comp.os.linux.configuration :
On Mon, 9 Apr 2007 10:57:48 +0000 (UTC), JKB :
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM, j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par mount /dev/sda /mnt [...] Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
Pas essayé. Il faudrait que j'y songe...
Cordialement,
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 10-04-2007, à propos de
Re: Nokia 6280 et Linux (USB),
Fabien LE LEZ écrivait dans fr.comp.os.linux.configuration :
On Mon, 9 Apr 2007 10:57:48 +0000 (UTC), JKB
<knatschke@koenigsberg.fr>:
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM,
j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par
mount /dev/sda /mnt
[...]
Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un
dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
Pas essayé. Il faudrait que j'y songe...
Cordialement,
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 10-04-2007, à propos de Re: Nokia 6280 et Linux (USB), Fabien LE LEZ écrivait dans fr.comp.os.linux.configuration :
On Mon, 9 Apr 2007 10:57:48 +0000 (UTC), JKB :
En choisissant la bonne option (sauvegarde de fichier) côté GSM, j'arrive à monter par USB le contenu de la carte mémoire par mount /dev/sda /mnt [...] Mais, il m'est impossible de copier des fichiers
Que donne un dd if=/dev/sda of=un_repertoire_quelconque/secteurs_bruts ?
Pas essayé. Il faudrait que j'y songe...
Cordialement,
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.