Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!!
heureusement elle file ses droits aux victimes...
et je crois qu'elle le merite....
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Danbaur
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial, vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
-- Danbaur Pour me répondre, il faut rajouter [MESSAGE] dans le sujet de l'e-mail.
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news:
cvl720$il$1@apollon.grec.isp.9tel.net...
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!!
heureusement elle file ses droits aux victimes...
et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt
d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial,
vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
--
Danbaur
Pour me répondre, il faut rajouter [MESSAGE] dans le sujet de l'e-mail.
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial, vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
-- Danbaur Pour me répondre, il faut rajouter [MESSAGE] dans le sujet de l'e-mail.
Gaor
yala a écrit :
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Des séquences comme celle-là j'en demande plus souvent (exit le Kikadékoné et autres merdes).
Pour ceux qui n'ont pas suivi le truc : Natacha Amal (l'actrice TF1, là...) et son mari étaient en Asie du Sud-Est (je ne sais pas exactement où) lors du tsunami. Ils ont légitimement ressenti le besoin de raconter le foutoir psychologique que ce genre d'épreuve provoque. Seulement, ils ont opté pour un style étonnant : le romanesque. Les auteurs s'expliquent (copié/collé Amazon) : /Les événements relatés ici ont en grande partie été vécus ou ressentis. Nous avons cependant souhaité, par pudeur mais aussi par respect pour ceux qui n'ont pas eu notre chance, raconter de manière romanesque comment un couple, une vie, peuvent être brisés en quelques secondes. Cela aurait pu être notre cas. Ce fut le drame d'un couple d'amis que nous avions rencontré à Nai Harn. Elle a survécu, lui n'a jamais été retrouvé. Des tragédies similaires, il y en eut de trop nombreuses./ De là, l'incompréhension s'installe, les questions fusent de la part des chroniqueurs : pourquoi le romanesque ? pourquoi cette projection dans le mental d'un autre ? pourquoi ne pas avoir raconté sa propre expérience, tout simplement ? Et là, c'est le bourbier. Les auteurs contournent la réponse, Natacha Amal semble touchée, elle commence par s'emporter légèrement pour finir par verser quelques larmes. Malaise. Malaise d'autant plus palpable que les auteurs ont précisé dès leur arrivée sur le plateau que l'intégralité des droits d'auteurs iront à une assoc' (qu'ils ont créée). Les chroniqueurs de Ruquier se sont sentis un peu inutiles, cet argument du versement des droits d'auteurs à une bonne oeuvre désamorçant quelque peu la critique. Pourtant, Gelluck, droit comme un "i", yeux dans les yeux, explique à Natacha Amal que ce n'est pas parce qu'on enregistre une chanson pour une bonne cause qu'on doit aimer la chanson. Grosso merdo, le consensus semble installé : tous les chroniqueurs ont trouvé le bouquin plus que moyen (pour rester mesuré) et essaie de comprendre la démarche a priori généreuse des auteurs. Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que fut le style adopté, il était pour. Et la polémique de naître entre les chroniqueurs qui trouvent tout de même ahurissants que sous couvert de la bonne action on soit immunisé contre la critique.
Ça s'est terminé sur un non-lieu, mais c'était, pour une fois, un débat intéressant dans cette émission d'ordinaire plutôt naze.
yala a écrit :
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!!
heureusement elle file ses droits aux victimes...
et je crois qu'elle le merite....
Des séquences comme celle-là j'en demande plus souvent (exit le
Kikadékoné et autres merdes).
Pour ceux qui n'ont pas suivi le truc :
Natacha Amal (l'actrice TF1, là...) et son mari étaient en Asie du
Sud-Est (je ne sais pas exactement où) lors du tsunami. Ils ont
légitimement ressenti le besoin de raconter le foutoir psychologique que
ce genre d'épreuve provoque. Seulement, ils ont opté pour un style
étonnant : le romanesque. Les auteurs s'expliquent (copié/collé Amazon)
: /Les événements relatés ici ont en grande partie été vécus ou
ressentis. Nous avons cependant souhaité, par pudeur mais aussi par
respect pour ceux qui n'ont pas eu notre chance, raconter de manière
romanesque comment un couple, une vie, peuvent être brisés en quelques
secondes. Cela aurait pu être notre cas. Ce fut le drame d'un couple
d'amis que nous avions rencontré à Nai Harn. Elle a survécu, lui n'a
jamais été retrouvé. Des tragédies similaires, il y en eut de trop
nombreuses./
De là, l'incompréhension s'installe, les questions fusent de la part des
chroniqueurs : pourquoi le romanesque ? pourquoi cette projection dans
le mental d'un autre ? pourquoi ne pas avoir raconté sa propre
expérience, tout simplement ?
Et là, c'est le bourbier. Les auteurs contournent la réponse, Natacha
Amal semble touchée, elle commence par s'emporter légèrement pour finir
par verser quelques larmes. Malaise. Malaise d'autant plus palpable que
les auteurs ont précisé dès leur arrivée sur le plateau que
l'intégralité des droits d'auteurs iront à une assoc' (qu'ils ont créée).
Les chroniqueurs de Ruquier se sont sentis un peu inutiles, cet argument
du versement des droits d'auteurs à une bonne oeuvre désamorçant quelque
peu la critique. Pourtant, Gelluck, droit comme un "i", yeux dans les
yeux, explique à Natacha Amal que ce n'est pas parce qu'on enregistre
une chanson pour une bonne cause qu'on doit aimer la chanson. Grosso
merdo, le consensus semble installé : tous les chroniqueurs ont trouvé
le bouquin plus que moyen (pour rester mesuré) et essaie de comprendre
la démarche a priori généreuse des auteurs.
Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et
explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le
bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que
fut le style adopté, il était pour.
Et la polémique de naître entre les chroniqueurs qui trouvent tout de
même ahurissants que sous couvert de la bonne action on soit immunisé
contre la critique.
Ça s'est terminé sur un non-lieu, mais c'était, pour une fois, un débat
intéressant dans cette émission d'ordinaire plutôt naze.
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Des séquences comme celle-là j'en demande plus souvent (exit le Kikadékoné et autres merdes).
Pour ceux qui n'ont pas suivi le truc : Natacha Amal (l'actrice TF1, là...) et son mari étaient en Asie du Sud-Est (je ne sais pas exactement où) lors du tsunami. Ils ont légitimement ressenti le besoin de raconter le foutoir psychologique que ce genre d'épreuve provoque. Seulement, ils ont opté pour un style étonnant : le romanesque. Les auteurs s'expliquent (copié/collé Amazon) : /Les événements relatés ici ont en grande partie été vécus ou ressentis. Nous avons cependant souhaité, par pudeur mais aussi par respect pour ceux qui n'ont pas eu notre chance, raconter de manière romanesque comment un couple, une vie, peuvent être brisés en quelques secondes. Cela aurait pu être notre cas. Ce fut le drame d'un couple d'amis que nous avions rencontré à Nai Harn. Elle a survécu, lui n'a jamais été retrouvé. Des tragédies similaires, il y en eut de trop nombreuses./ De là, l'incompréhension s'installe, les questions fusent de la part des chroniqueurs : pourquoi le romanesque ? pourquoi cette projection dans le mental d'un autre ? pourquoi ne pas avoir raconté sa propre expérience, tout simplement ? Et là, c'est le bourbier. Les auteurs contournent la réponse, Natacha Amal semble touchée, elle commence par s'emporter légèrement pour finir par verser quelques larmes. Malaise. Malaise d'autant plus palpable que les auteurs ont précisé dès leur arrivée sur le plateau que l'intégralité des droits d'auteurs iront à une assoc' (qu'ils ont créée). Les chroniqueurs de Ruquier se sont sentis un peu inutiles, cet argument du versement des droits d'auteurs à une bonne oeuvre désamorçant quelque peu la critique. Pourtant, Gelluck, droit comme un "i", yeux dans les yeux, explique à Natacha Amal que ce n'est pas parce qu'on enregistre une chanson pour une bonne cause qu'on doit aimer la chanson. Grosso merdo, le consensus semble installé : tous les chroniqueurs ont trouvé le bouquin plus que moyen (pour rester mesuré) et essaie de comprendre la démarche a priori généreuse des auteurs. Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que fut le style adopté, il était pour. Et la polémique de naître entre les chroniqueurs qui trouvent tout de même ahurissants que sous couvert de la bonne action on soit immunisé contre la critique.
Ça s'est terminé sur un non-lieu, mais c'était, pour une fois, un débat intéressant dans cette émission d'ordinaire plutôt naze.
Philippe
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
C'est honteux de faire un livre qui parle de ca sans avoir aucun talent journalistique et de faire sa pub sur France 2.
Y'a vraiment des gens privilégiés qui ont droit à des bons coups de pub
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news:
cvl720$il$1@apollon.grec.isp.9tel.net...
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!!
heureusement elle file ses droits aux victimes...
et je crois qu'elle le merite....
C'est honteux de faire un livre qui parle de ca sans avoir aucun talent
journalistique et de faire sa pub sur France 2.
Y'a vraiment des gens privilégiés qui ont droit à des bons coups de pub
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
C'est honteux de faire un livre qui parle de ca sans avoir aucun talent journalistique et de faire sa pub sur France 2.
Y'a vraiment des gens privilégiés qui ont droit à des bons coups de pub
reneve1
Merci pour votre récit et votre analyse. Je n'avais pas vu cette émission mais c'est comme si j'y avais été!!
Merci pour votre récit et votre analyse. Je n'avais pas vu cette émission
mais c'est comme si j'y avais été!!
"Philippe" a écrit dans le message de news: 421e318f$0$305$
C'est honteux de faire un livre qui parle de ca sans avoir aucun talent journalistique et de faire sa pub sur France 2.
Y'a vraiment des gens privilégiés qui ont droit à des bons coups de pub
Si il y avait que ceux qui ont du talent qui écrivaient il n'y auraient pas beaucoup de livres.
Somebaudy
leThu, 24 Feb 2005 20:10:50 +0100, Gaor ecrivat: [snip]
Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que fut le style adopté, il était pour.
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ? Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin reste dans un tiroir? Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la notoriété de maadame ? Ils ont passé combien de temps à l'écrire exactement ce bouquin ?
B. http://www.somebaudy.com Un blog qui pue le formica et l'imitation boiserie
leThu, 24 Feb 2005 20:10:50 +0100, Gaor <mr.gaor@online.fr> ecrivat:
[snip]
Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et
explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le
bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que
fut le style adopté, il était pour.
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ?
Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin
reste dans un tiroir? Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la
notoriété de maadame ? Ils ont passé combien de temps à l'écrire
exactement ce bouquin ?
B.
http://www.somebaudy.com
Un blog qui pue le formica et l'imitation boiserie
leThu, 24 Feb 2005 20:10:50 +0100, Gaor ecrivat: [snip]
Intervient alors Miller, qui se pose en psychanalyste (qu'il est) et explique à ses camarades, avec ce style enlevé qui est sien, que si le bouquin permet à ses auteurs de "panser" le traumatisme subi, quoi que fut le style adopté, il était pour.
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ? Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin reste dans un tiroir? Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la notoriété de maadame ? Ils ont passé combien de temps à l'écrire exactement ce bouquin ?
B. http://www.somebaudy.com Un blog qui pue le formica et l'imitation boiserie
Verogpx
reneve1 wrote:
Merci pour votre récit et votre analyse. Je n'avais pas vu cette émission mais c'est comme si j'y avais été!!
Egalement pour moi ! Lorsqu'ils sont passés à "Tout le monde en parle", Natacha et son mari n'ont subi aucune critique et Ardisson n'a cessé de répéter que les recettes des ventes iraient à une assoc sans préciser laquelle...
-- Véro
reneve1 wrote:
Merci pour votre récit et votre analyse. Je n'avais pas vu cette
émission mais c'est comme si j'y avais été!!
Egalement pour moi !
Lorsqu'ils sont passés à "Tout le monde en parle", Natacha et son mari
n'ont subi aucune critique et Ardisson n'a cessé de répéter que les recettes
des ventes iraient à une assoc sans préciser laquelle...
Merci pour votre récit et votre analyse. Je n'avais pas vu cette émission mais c'est comme si j'y avais été!!
Egalement pour moi ! Lorsqu'ils sont passés à "Tout le monde en parle", Natacha et son mari n'ont subi aucune critique et Ardisson n'a cessé de répéter que les recettes des ventes iraient à une assoc sans préciser laquelle...
-- Véro
Gaor
Somebaudy a écrit :
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ? Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin reste dans un tiroir?
La remarque a été faite sur le plateau. Je crois que c'est à ce moment-là que Natacha Amal, se sentant incomprise (ce qu'elle était totalement, en fait) a dévié la réponse en disant en substance "stop... d'accord, j'ai eu tort, j'ai entraîné mon mari dans cette histoire de roman, je m'excuse". Une réponse "coup de balai" qui permet à la victime d'une critique de s'échapper d'une situation qu'elle ne maîtrise plus, en somme.
Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la notoriété de maadame ?
Assurément non. Et pour se donner une légitimité, le mari de Amal a cité la parole d'un éditeur ("que je ne nommerai pas") qui lui aurait refusé le roman en disant (encore une fois en substance) que l'émotion contenue dans ce bouquin n'est pas celle qu'il (l'éditeur) recherche. En gros, il accusait cet éditeur de verser dans le sensationnalisme en voulant de la "vraie" histoire vraie. Il a alors fait appel à un exemple de "fausse" histoire vraie, la Liste de Schindler de Spielberg, film romancé... Le brouhaha des chroniqueurs gornda alors et l'on entendit "mais ça n'a rien à voir !".
Ils ont passé combien de temps à l'écrire exactement ce bouquin ?
Ce fut du rapide apparemment. La moitié du bouquin a été écrit alors qu'ils étaient encore en Asie du Sud-Est (il me semble qu'ils sont restés une dizaine de jour après le tsunami). Le plus troublant est cette confession de Amal qui ajouta que le romanesque s'est imposé puisqu'elle n'avait pas le recul nécessaire pour un récit de ses propres émotions. Tout cela est bien tortueux.
Somebaudy a écrit :
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ?
Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin
reste dans un tiroir?
La remarque a été faite sur le plateau. Je crois que c'est à ce
moment-là que Natacha Amal, se sentant incomprise (ce qu'elle était
totalement, en fait) a dévié la réponse en disant en substance "stop...
d'accord, j'ai eu tort, j'ai entraîné mon mari dans cette histoire de
roman, je m'excuse". Une réponse "coup de balai" qui permet à la victime
d'une critique de s'échapper d'une situation qu'elle ne maîtrise plus,
en somme.
Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la
notoriété de maadame ?
Assurément non. Et pour se donner une légitimité, le mari de Amal a cité
la parole d'un éditeur ("que je ne nommerai pas") qui lui aurait refusé
le roman en disant (encore une fois en substance) que l'émotion contenue
dans ce bouquin n'est pas celle qu'il (l'éditeur) recherche. En gros, il
accusait cet éditeur de verser dans le sensationnalisme en voulant de la
"vraie" histoire vraie. Il a alors fait appel à un exemple de "fausse"
histoire vraie, la Liste de Schindler de Spielberg, film romancé... Le
brouhaha des chroniqueurs gornda alors et l'on entendit "mais ça n'a
rien à voir !".
Ils ont passé combien de temps à l'écrire
exactement ce bouquin ?
Ce fut du rapide apparemment. La moitié du bouquin a été écrit alors
qu'ils étaient encore en Asie du Sud-Est (il me semble qu'ils sont
restés une dizaine de jour après le tsunami). Le plus troublant est
cette confession de Amal qui ajouta que le romanesque s'est imposé
puisqu'elle n'avait pas le recul nécessaire pour un récit de ses propres
émotions.
Tout cela est bien tortueux.
Une fois écrit le bouquin qu'est-ce qui les obligeait à le publier ? Le côté thérapeutique de l'écriture marche moins bien si le bouquin reste dans un tiroir?
La remarque a été faite sur le plateau. Je crois que c'est à ce moment-là que Natacha Amal, se sentant incomprise (ce qu'elle était totalement, en fait) a dévié la réponse en disant en substance "stop... d'accord, j'ai eu tort, j'ai entraîné mon mari dans cette histoire de roman, je m'excuse". Une réponse "coup de balai" qui permet à la victime d'une critique de s'échapper d'une situation qu'elle ne maîtrise plus, en somme.
Est-ce qu'ils auraient trouvé un éditeur dans la notoriété de maadame ?
Assurément non. Et pour se donner une légitimité, le mari de Amal a cité la parole d'un éditeur ("que je ne nommerai pas") qui lui aurait refusé le roman en disant (encore une fois en substance) que l'émotion contenue dans ce bouquin n'est pas celle qu'il (l'éditeur) recherche. En gros, il accusait cet éditeur de verser dans le sensationnalisme en voulant de la "vraie" histoire vraie. Il a alors fait appel à un exemple de "fausse" histoire vraie, la Liste de Schindler de Spielberg, film romancé... Le brouhaha des chroniqueurs gornda alors et l'on entendit "mais ça n'a rien à voir !".
Ils ont passé combien de temps à l'écrire exactement ce bouquin ?
Ce fut du rapide apparemment. La moitié du bouquin a été écrit alors qu'ils étaient encore en Asie du Sud-Est (il me semble qu'ils sont restés une dizaine de jour après le tsunami). Le plus troublant est cette confession de Amal qui ajouta que le romanesque s'est imposé puisqu'elle n'avait pas le recul nécessaire pour un récit de ses propres émotions. Tout cela est bien tortueux.
Don Tagliatelle
Danbaur a couché sur son écran :
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial, vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
Quand on est pas dans la norme on est en marge de la norme. C'est tres intello finalement la critique litté^m^m^mcamelottaire.
Danbaur a couché sur son écran :
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news:
cvl720$il$1@apollon.grec.isp.9tel.net...
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!!
heureusement elle file ses droits aux victimes...
et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt
d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial,
vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
Quand on est pas dans la norme on est en marge de la norme. C'est tres
intello finalement la critique litté^m^m^mcamelottaire.
"yala" <yala@]yal.fr> a écrit dans le message de news: cvl720$il$
Elle a ecrit son bouquin en 3 jours elle se fait fracasser sur la 2!!! heureusement elle file ses droits aux victimes... et je crois qu'elle le merite....
Sans préjuger de la qualité de cette affaire, sur ce coup, je suis plutôt d'accord avec Miller. C'est quand même visiblement un livre un peu spécial, vraisemblablement en dehors des "canons" littéraires conventionnels.
Quand on est pas dans la norme on est en marge de la norme. C'est tres intello finalement la critique litté^m^m^mcamelottaire.